La [popupdefinition id=6127]vitamine C[/popupdefinition], ou [popupdefinition id=750]acide[/popupdefinition]-L-ascorbique, est s&ucirc;rement la plus connue. C'est une vitamine hydrosoluble importante pour bon nombre de r&eacute;actions [popupdefinition id=8557]enzymatiques[/popupdefinition] physiologiques&nbsp;dans lesquelles elle intervient comme cofacteur. C'est aussi un [popupdefinition id=2995]antioxydant[/popupdefinition] fort qui &eacute;limine les d&eacute;riv&eacute;s [popupdefinition id=4105]r&eacute;actifs[/popupdefinition] de l'oxyg&egrave;ne, des [popupdefinition id=783]mol&eacute;cules[/popupdefinition] s&eacute;cr&eacute;t&eacute;es par les cellules en &eacute;tat de [popupdefinition id=15106]stress[/popupdefinition] intense.La dose journali&egrave;re recommand&eacute;e pour <a href="https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/medecine-medecine-regenerative-cellules-reprogrammees-grace-vitamines-c-64816/" title="M&eacute;decine r&eacute;g&eacute;n&eacute;rative : les cellules reprogramm&eacute;es gr&acirc;ce aux vitamines A et C">la vitamine C</a> est de 110 mg pour les adultes.&nbsp;Elle est pr&eacute;sente naturellement dans bon nombre de fruits et l&eacute;gumes, comme&nbsp;les agrumes ou les choux.&nbsp;Par exemple, un [popupdefinition id=7369]kiwi[/popupdefinition] ou une orange de taille moyenne en contiennent autour de 70 mg.&copy; Futura&nbsp;

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La vitamine C, une vitamine antioxydante

Enzymatique est un adjectif désignant ce qui est relatif aux enzymes.

Enzymatique

Au niveau de l’organisme, le stress définit une situation où l’individu est en tension nerveuse, du fait d’une agression, d’un traumatisme, d'une surcharge (voir à ce sujet notre dossier comprendre et gérer le stress). Il se différencie du stress qui peut avoir lieu au niveau cellulaire et moléculaire (stress oxydatif).
 Les hormones du stress sont sécrétées par les glandes surrénales, comprenant les corticosurrénales (sur le bord) et les médullosurrénales (au centre). © Arnavaz, PouX, Wikipedia, DP
La réaction de l’organisme au stress
Du point de vue physiologique, dans une situation de stress, l’hypothalamus active :
les médullosurrénales, par voie nerveuse sympathique, qui produisent alors des catécholamines (adrénaline et noradrénaline), agissant à court terme ;les corticosurrénales, par voie hormonale ; l’hypothalamus sécrète la corticolibérine, qui stimule la libération de l’hormone ACTH par l’hypophyse et l’ACTH stimule ensuite la libération des hormones stéroïdes par les corticosurrénales (cortisol), avec une action à plus long terme.
La réponse immédiate de l’organisme au stress consiste en une augmentation de la fréquence cardiaque, de la pression artérielle, une libération de glucose dans le sang, une dilatation des bronchioles, une accélération du métabolisme et une diminution de l’activité gastro-intestinale. À plus long terme, il peut y avoir un affaiblissement du système immunitaire.

Stress

Une molécule est un ensemble d’atomes (au moins deux) identiques ou non, unis les uns aux autres par le biais de liaisons chimiques. Ces dernières sont les résultats de la mise en commun d’un certain nombre d’électrons gravitant sur la couche externe des atomes.
La liaison dite covalente simple est la plus simple des liaisons que l’on puisse rencontrer entre deux atomes lorsque ceux-ci mettent en commun un unique électron de leur couche externe chacun. Les deux électrons en question forment ainsi un doublet liant.
La structure d'une molécule est déterminée par le nombre de doublets d'électrons, liants ou non. Une molécule qui compte quatre liaisons covalentes simples, comme le méthane (CH4), présente une forme tétraédrique. En revanche, une molécule qui présente quatre liaisons covalentes dont une triple, comme l'acétylène (C2H2), sera de forme linéaire. L'objectif étant de minimiser les forces de répulsions entre doublets.
Composition chimique et représentation des molécules
La formule chimique d’une molécule renseigne sur sa composition chimique. La molécule d’eau, de formule H2O, par exemple, est constituée de deux atomes d’hydrogène, H, et d’un atome d’oxygène, O.
D’autres représentations peuvent renseigner sur la structure de la molécule comme par exemple les représentations suivantes : 
La formule développée fait apparaître les doublets d'électrons liants. Pour la molécule d’eau, on obtient : H – O – H ;La formule de Lewis figure les liaisons entre les atomes ainsi que les électrons de valence qui ne participent pas aux liaisons. C'est en quelque sorte, une formule développée plus complète ;La représentation de Cram met en évidence la structure de la molécule dans l'espace mais elle ne distingue pas les liaisons chimiques simples des liaisons doubles.
Une formule unique mais des molécules différentes
Ces différentes représentations peuvent être très utiles pour distinguer des molécules que l'on nomme isomères. Celles-ci possèdent une même formule brute mais des formules développées ou des représentations différentes. Elles peuvent donc avoir des propriétés différentes.
C'est par exemple le cas du butane et du méthylpropane (ou isobutane) : ils sont tous deux représentés par la formule brute C4H10 mais se distinguent par la configuration de leurs chaînes carbonées.

Molécule

Un antioxydant est un agent qui empêche ou ralentit l’oxydation en neutralisant des radicaux libres. Dans l’organisme, la respiration cellulaire génère des espèces réactives de l’oxygène qui peuvent être à l’origine de radicaux libres. Les radicaux libres en excès sont responsables de dommages cellulaires, notamment sur l’ADN, et peuvent favoriser des maladies. À l’inverse, les antioxydants luttent contre le stress oxydatif responsable du vieillissement cellulaire. Ils auraient donc un effet anti-âge. 
Dans les aliments, le pouvoir antioxydant est mesuré par l’indice ORAC (pour Oxygen Radical Absorbance Capacity ou capacité d’absorption des radicaux libres). Les aliments ayant un indice ORAC élevé sont surtout des fruits et des légumes (kiwi, agrumes, pomme, fruits rouges, chou, épinard, carotte…) mais aussi d’autres aliments comme le chocolat, les épices, le vin rouge, les coquillages, le thé. Certains compléments alimentaires proposent des produits riches en antioxydants. Des cosmétiques contiennent aussi des molécules antioxydantes pour lutter contre les effets du vieillissement sur la peau.
Exemples de molécules antioxydantes
Parmi les molécules antioxydantes, on trouve par exemple :
des vitamines : E, C, A ;des minéraux : sélénium, zinc ;des molécules complexes : polyphénols, flavonoïdes, coenzyme Q10, caroténoïdes... ;des enzymes comme la glutathion peroxidase et la superoxyde dismutase (SOD) : dans l’organisme, ces enzymes jouent un rôle de protection antioxydante naturelle. La glutathion peroxydase est une sélénoprotéine, ce qui explique l’importance du sélénium pour lutter contre les radicaux libres.

Antioxydant

Un réactif est une substance qui réagit avec d'autres substances pour former de nouveaux produits dans une réaction chimique. Il est choisi en fonction de la réaction chimique souhaitée et des produits que l'on souhaite obtenir. Les facteurs à prendre en compte comprennent la disponibilité, le coût, la stabilité, la réactivité et la sécurité des réactifs. Les réactions doivent également être optimisées pour maximiser le rendement et minimiser les déchets.Le rôle des réactifs dans une réaction chimiqueLe rôle d'un réactif dans une réaction chimique est de fournir les atomes ou les molécules nécessaires pour former de nouveaux produits. Les réactifs réagissent ensemble pour former de nouveaux produits, en brisant leurs liaisons chimiques existantes et en formant de nouvelles liaisons. Les réactifs peuvent également affecter la vitesse et l'efficacité de la réaction. Par exemple, certains réactifs peuvent accélérer la réaction en fournissant une source d'énergie ou en abaissant l'énergie d'activation nécessaire pour que la réaction se produise. D'autres réactifs peuvent ralentir la réaction en absorbant l'énergie ou en augmentant l'énergie d'activation nécessaire. Dans l'ensemble, les réactifs jouent un rôle crucial dans la détermination de la nature et de l'étendue de la réaction chimique.Différents types de réactifsIl existe différents types de réactifs en chimie, qui peuvent être classés en fonction de leur nature, de leur fonction ou de leur utilisation. Voici quelques exemples de types de réactifs couramment utilisés :Réactifs acido-basiques : ces réactifs sont utilisés dans les réactions acido-basiques, telles que les réactions de neutralisation. Les acides et les bases sont des exemples courants de réactifs acido-basiques.Réactifs d'oxydoréduction : ces réactifs sont utilisés dans les réactions d'oxydoréduction, où il y a transfert d'électrons entre les espèces chimiques. Les oxydants et les réducteurs sont des exemples courants de réactifs d'oxydoréduction.Réactifs de précipitation : ces réactifs sont utilisés dans les réactions de précipitation, où un produit insoluble est formé à partir de réactifs solubles. Les ions métalliques et les anions tels que les halogénures et les sulfates sont des exemples courants de réactifs de précipitation.Réactifs organiques : ces réactifs sont utilisés dans les réactions de synthèse organique, où des molécules organiques sont formées à partir de réactifs plus simples. Les alcools, les acides carboxyliques et les amines sont des exemples courants de réactifs organiques.Réactifs de complexation : ces réactifs sont utilisés dans les réactions de complexation, où des ions métalliques sont liés à des ligands pour former des complexes. Les ions métalliques de transition et les ligands tels que les amines et les acides carboxyliques sont des exemples courants de réactifs de complexation.Réactifs catalytiques : ces réactifs sont utilisés pour accélérer les réactions chimiques sans être consommés dans la réaction. Les catalyseurs tels que les métaux de transition et les enzymes sont des exemples courants de réactifs catalytiques. La réaction aluminothermique est une oxydo-réduction utilisée dans diverses applications industrielles, telles que la production de métaux purs, la soudure de rails de chemin de fer et la réduction de minerais. Ici, soudure aluminothermique de deux rails de chemin de fer mis bout-à-bout. © evastar, Adobe StockLe réactif et le produit final de l'équation chimique Le résultat d'une réaction chimique impliquant un ou plusieurs réactifs est appelé produit. Les produits sont les substances qui sont formées à la fin de la réaction chimique. Ils peuvent être différents des réactifs initiaux en termes de composition chimique, de propriétés physiques et de structure moléculaire. Les produits peuvent être solides, liquides ou gazeux, et peuvent être séparés des réactifs non réagis à l'aide de différentes techniques de séparation telles que la filtration, la distillation ou la cristallisation.Les réactifs communs utilisés dans les expériences de chimie comprennent l'acide chlorhydrique, l'acide sulfurique, le bicarbonate de sodium, le chlorure de sodium, le dioxyde de carbone, l'hydrogène, l'oxygène et l'eau. Dans une équation chimique, les réactifs sont généralement écrits à gauche de la flèche dans une équation chimique, tandis que les produits sont écrits à droite de la flèche. Voici quelques exemples de réactions chimiques avec leurs réactifs et leurs produits finis :Réaction de combustion du méthane : Réactifs : méthane (CH4) + dioxygène (O2) => dioxyde de carbone (CO2) + eau (H2O) ;Réaction de neutralisation entre l'acide chlorhydrique et l'hydroxyde de sodium : Réactifs : acide chlorhydrique (HCl) + hydroxyde de sodium (NaOH) => chlorure de sodium (NaCl) + eau (H2O) ;Réaction de précipitation entre le nitrate d'argent et le chlorure de sodium : Réactifs : nitrate d'argent (AgNO3) + chlorure de sodium (NaCl) => chlorure d'argent (AgCl) + nitrate de sodium (NaNO3) ;Réaction de décomposition de l'eau oxygénée : Réactifs : eau oxygénée (H2O2) => eau (H2O) + dioxygène (O2) ;Réaction de synthèse de l'ammoniac : Réactifs : diazote (N2) + dihydrogène (H2) => ammoniac (NH3).Dans chacun de ces exemples, les réactifs initiaux réagissent ensemble pour former un ou plusieurs produits finis. Les produits peuvent avoir des propriétés chimiques et physiques différentes des réactifs initiaux, et peuvent être utilisés dans une variété d'applications industrielles et scientifiques.Note : le réactif n'est pas obligatoirement l'espèce réagissante ; ainsi, dans la nitration du benzène, HNO3 est le réactif et le cation NO2+ l'espèce réagissante.Les facteurs influençant la réactivité d'une substanceLes facteurs qui influencent la réactivité d'une substance comprennent sa stabilité, sa concentration, sa surface, sa température et la présence d'un catalyseur. Les réactifs sont plus réactifs lorsqu'ils ont une énergie d'activation plus faible, ce qui signifie qu'ils nécessitent moins d'énergie pour réagir avec d'autres substances. La stabilité de la substance, la présence de liaisons chimiques faibles et la taille de la particule peuvent également affecter la réactivité.Réactif limitantUn réactif limitant est le réactif qui est entièrement consommé dans une réaction chimique et qui limite donc la quantité de produit formé. La quantité de produit formé peut être calculée en utilisant la stoechiométrie de la réaction et la quantité de réactif limitant.

Réactif

Le kiwi est un fruit d'hiver, particulièrement riche en vitamine C.
Saison du kiwi
Le kiwi fait partie des fruits à consommer en hiver, quand les organismes ont tendance à s'affaiblir. Chaque année, entre les mois de novembre et de mai, la France produit environ 70.000 tonnes de kiwis, ce qui en fait le deuxième pays producteur d'Europe après l'Italie, selon la Fédération nationale des producteurs de fruits.
Qualités nutritionnelles du kiwi
Avec 80 milligrammes de vitamine C et seulement 47 kilocalories pour 100 grammes, le kiwi demeure le champion toutes catégories des fruits santé et vitalité. En effet, le kiwi contient plus de vitamine C que les agrumes, contrairement aux idées reçues. Selon l'Agence pour la recherche et l'information en fruits et légumes (Aprifel), la consommation d'un seul kiwi apporte la totalité des apports journaliers recommandés (AJR) en vitamine C. L'Aprifel conseille ainsi aux personnes souffrant de déficit en vitamine C, notamment les hommes, les adolescents, les fumeurs et les personnes âgées, de consommer ce fruit. Sa teneur en vitamine E (3 milligrammes pour 100 grammes, soit 30 % des AJR) lui confère également des vertus antioxydantes, qui permettent de lutter contre le vieillissement cellulaire et la neutralisation des radicaux libres.
Variétés de kiwis
Il existe plusieurs variétés de kiwis, notamment la Zespri Gold à la chair jaune et le Hayward, variété la plus connue et la plus consommée en France. Si certaines personnes disent ne pas aimer le kiwi, c'est avant tout parce qu'ils ne savent pas le choisir. Pour acheter un kiwi de bonne qualité, il est recommandé de le préférer plus ferme que souple et de laisser de côté ceux qui semblent mous quand on les prend à pleine main.
Conservation du kiwi
Les kiwis se conservent plusieurs jours après achat, notamment ceux de plus petite taille, surtout s'ils sont gardés au frais dans un réfrigérateur. Pour que leur processus de maturation ralentisse, mieux vaut les tenir éloignés des pommes et des bananes. Au contraire, pour les faire mûrir plus rapidement quand ils ont été achetés un peu verts, il ne faut pas hésiter à les placer, avec des pommes et des bananes, dans un même sac plastique.
Cuisiner le kiwi
Et pour le déguster, rien de plus facile. Il se consomme à tout moment de la journée, que ce soit au petit déjeuner, en dessert ou au goûter. Les plus audacieux peuvent également le servir en salade, accompagné d'endives et de gruyère ou encore avec du saumon fumé. Le tout, sans craindre les kilos en trop grâce à sa faible teneur en calories.

Kiwi

Il existe plusieurs définitions d’un acide (Arrhénius, Brönsted…) mais la conception de Lewis est la plus large. Cette dernière précise qu’un acide est un accepteur de doublet d'électrons (donc possédant une orbitale vide).
Acide et base conjuguée
À tout acide correspond une base conjuguée et vice versa. Une base est par conséquent un donneur de doublet d’électrons. La force d'un acide et de sa base conjuguée sont liées. Si un acide est fort, sa base conjuguée est faible et réciproquement.
Généralités sur les acides
 Un acide colore de rouge le papier tournesol et possède un pH inférieur à 7.

Acide

La vitamine C ou acide ascorbique est une molécule antioxydante, comme la vitamine E, et donc un atout considérable pour freiner le vieillissement cellulaire. Elle est importante pour l’immunité car elle participe aux défenses contre les infections virales et bactériennes ; elle est protectrice pour les vaisseaux sanguins, facilite l'absorption du fer et la cicatrisation. La vitamine C est généralement recommandée pour lutter contre les maladies de l’hiver comme le rhume.L’histoire de la découverte de la vitamine C est liée à l’étude d’une maladie qui touchait les marins : le scorbut. Cette pathologie se manifeste par des saignements, en particulier aux gencives, des œdèmes, et peut conduire au décès. Le scorbut est dû à une carence en vitamine C, à cause du manque de fruits et de légumes à bord des navires partant pour de longs voyages. Au XVIIIe siècle, James Lind avait observé qu’on pouvait éviter le scorbut en donnant du jus de citron aux marins. Le mot scorbut a donné le terme d’acide ascorbique. La vitamine C a été isolée en 1931 par Albert Szent-Gyorgyi (prix Nobel de médecine et physiologie 1937) et synthétisée en 1933 par Tadeusz Reichstein, et en 1934 par Walter Norman Haworth (prix Nobel de chimie 1937). La vitamine C est un cofacteur d’enzymes du métabolisme. Elle intervient par exemple dans la synthèse du collagène.Les sources de vitamine CNotre organisme est incapable de synthétiser la vitamine C ; il est donc indispensable de la trouver dans notre alimentation. Nos besoins journaliers sont de 93 mg d’après l’Anses. La vitamine C est présente dans :des fruits : mangue, kiwi, agrumes (oranges, citrons, pamplemousses…), fraises, cassis… ;des légumes : crucifères (chou, brocoli, chou-fleur), poivron, épinards... ;des compléments alimentaires.

Vitamine C

15344_la-vitamine-c--une-vitamine-antioxydante

La [popupdefinition id=6125]vitamine A[/popupdefinition], ou r&eacute;tinol, est pr&eacute;sente dans les aliments d'origine animale, tandis que les aliments d'origine v&eacute;g&eacute;tale contiennent des pr&eacute;curseurs de cette derni&egrave;re, les [popupdefinition id=3101]carot&egrave;nes[/popupdefinition] ou provitamine A. Liposoluble, la vitamine A est importante pour la formation des os et les pigments de l'[popupdefinition id=14131]&oelig;il[/popupdefinition]. D'o&ugrave; l'adage qui dit que les [popupdefinition id=7429]carottes[/popupdefinition], riches en carot&egrave;ne, sont bonnes pour les yeux. En effet, <a href="https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/vie-huile-palme-rouge-lutter-carences-vitamine-3271/" title="L'huile de palme rouge pour lutter contre les carences en Vitamine A">une carence en vitamine A</a> prolong&eacute;e peut conduire &agrave; la c&eacute;cit&eacute;.Les doses journali&egrave;res recommand&eacute;es sont de 650 &micro;g (&eacute;quivalent r&eacute;tinol) pour une femme et 750 &micro;g (&eacute;quivalent r&eacute;tinol) pour un homme. Par exemple, 100 grammes de beurre contient 0,7 mg de vitamine A et 100 grammes de laitue contient 1 mg de provitamine A.&copy; Futura&nbsp;

La vitamine A, indispensable à la vision

Sous sa forme directe – le rétinol – la vitamine A est récente en quantités dans les aliments d’origine animale. Et uniquement dans ces derniers : les huiles de poisson, le foie, le jaune d’œuf mais aussi… le caviar en sont de très bonnes sources. Le rétinol, antioxydant reconnu, nous protège également contre les maladies cardiovasculaires.
Mais il y a une autre source de vitamine A ou plutôt de pro-vitamine A, une substance que notre organisme est capable de transformer en vitamine A. Cette substance, vous la connaissez bien puisque c’est le bêta-carotène. Il est présent dans les carottes, les épinards, les patates douces ou le poivron rouge et surtout dans… la salade de mâche. Le melon, la mangue et les abricots en contiennent également. Sans oublier les myrtilles et les fruits à baies noires – cassis, bleuets – dont les pilotes alliés faisaient une grande consommation durant la seconde guerre mondiale. La vitamine A en effet, outre les nombreux bienfaits évoqués plus haut, présente l’avantage de développer la vision nocturne
Vous voulez savoir si vous en manquez ? Sachez qu’un déficit se traduit notamment, par des yeux rouges et une sécheresse de la peau. Une fragilité de l’émail des dents peut également être un signe, ainsi qu’une perte récurrente de l’appétit.

Vitamine A

Le carotène est un pigment présent dans des végétaux et qui leur donne une coloration rouge ou orangée. Dans les végétaux chlorophylliens, les carotènes ne servent pas directement à la photosynthèse mais ils limitent les quantités d’espèces réactives de l’oxygène : ce sont des antioxydants. 
La famille des caroténoïdes comprend les carotènes, qui n’ont pas d’oxygène, et les xanthophylles. À l’automne, la perte de chlorophylle des feuilles révèle des couleurs rouges et orangées liées aux caroténoïdes.
Diversité des molécules de carotènes
Les carotènes les plus courants sont le bêta-carotène et le lycopène, mais il existe aussi : 
l’alpha-carotène,des formes plus rares : ε, γ, δ ou ζ-carotène.
Le β-carotène se trouve dans de nombreux végétaux : poivron, carotte, épinard, laitue, tomate, patate douce, brocoli, courge, abricot, petits pois…. La spiruline contient des taux élevés de bêta-carotène. Le bêta-carotène est aussi présent dans de nombreux compléments alimentaires antioxydants, mais il est déconseillé pour les fumeurs, chez qui un apport élevé de bêta-carotènes peut favoriser le cancer. Le bêta-carotène est aussi le colorant alimentaire E160a. 
Le lycopène est un pigment qui est responsable de la couleur rouge des tomates (Solanum lycopersicum), à qui il doit son nom. Il est aussi présent dans d’autres fruits comme le pamplemousse. 
L’alpha-carotène, le bêta-carotène et le lycopène sont des précurseurs de la vitamine A. Les carotènes sont donc importants pour une bonne vue.

Carotène

L'œil, également appelé globe oculaire, correspond à l’organe de la vue, captant le signal lumineux avant que l’information ne soit réinterprétée par le cerveau et transformée en formes et en couleurs. Il se compose de différentes régions lui permettant d’assurer sa fonction, de la cornée jusqu’à la rétine. Il est inséré dans une orbite, et on en retrouve une ou plusieurs paires chez bon nombre d’espèces animales, aussi bien chez les arthropodes, les mollusques ou les vertébrés.
Anatomie de l’œil humain
L’œil humain correspond grossièrement à une petite boule de 2,5 cm de diamètre, pesant sept à huit grammes. Comme chez beaucoup de mammifères, le globe oculaire se compose de différentes couches. La plus externe correspond à la sclère, membrane résistante qui donne sa couleur blanche à l’œil en le recouvrant à 80 %, sur laquelle s’insèrent les muscles oculomoteurs. Au centre se trouve la cornée, qui permet de capter les premiers rayons de lumière et de commencer la réfraction.
Sous la sclère, on trouve la choroïde, couche fine irriguée de vaisseaux sanguins et assurant la nutrition de la rétine et de l’iris.
La rétine, située dans le fond du globe oculaire, au contact de la choroïde, correspond à la région directement sensible à la lumière, polarisée principalement par la cornée et le cristallin. Elle est composée de cellules en cônes et en bâtonnets, sensibles aux détails de l’environnement et à la luminosité. C’est à ce niveau que le signal lumineux va être traduit en message nerveux, et être envoyé au cerveau par le nerf optique.
Au centre de l’œil, derrière la cornée, on trouve l’iris, région qui confère sa couleur particulière au globe oculaire. En son centre, on trouve la pupille, région sombre qui, sous l’action de muscles, se contracte ou se dilate pour laisser passer plus ou moins de lumière, à l’instar d’un diaphragme sur un appareil photo.
L’essentiel du volume de l’œil (90 %) est dû à l’humeur vitrée, liquide gélatineux situé en arrière du cristallin, qui donne au globe oculaire sa consistance. Il contribue également à la réfraction de la lumière.
Les yeux composés
Si l’Homme, les autres vertébrés et d’autres groupes possèdent deux yeux simples, ce n’est pas le cas chez tous les animaux. Ainsi, de nombreux arthropodes, comme les mouches, les libellules ou les crabes possèdent des yeux composés, c’est-à-dire un ensemble de photorécepteurs appelés ommatidies. Certains de ces animaux peuvent posséder jusqu’à cinq yeux composés.Champ lexical : yeux | globe oculaire

Œil

Le mot carotte peut désigner le légume (détaillé ci-dessous) ou la carotte de glace (prélèvement d'un échantillon vertical de glace).
La carotte, dont on consomme la racine, possède de bons atouts nutritionnels.
Saison de la carotte
La carotte est bonne à consommer fraîche entre les mois d’avril et d’octobre, ou toute l'année sous forme de carotte de conservation.
Qualités nutritionnelles de la carotte
La carotte est un légume peu énergétique (33 kilocalories pour 100 grammes) et présente de nombreuses vitamines dont une grande richesse en provitamine A, en minéraux (potassium) et en fibres. Ses taux en vitamines et en antioxydants auraient un rôle dans la prévention des maladies cardiovasculaires et de cancers.
Les variétés de carottes
Les variétés se succèdent au fil des saisons. Au printemps, on trouve par exemple les Grelots et les Bellots, puis viennent les Nantaises. À l’automne apparaissent les carottes longues ou demi-longues et goûteuses.
Conserver la carotte
Les carottes de conservation se gardent une semaine dans le bac à légumes tandis que les carottes primeurs, plus fragiles, ne se conservent que deux jours au même endroit.

Carotte

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Le terme [popupdefinition id=285]vitamine[/popupdefinition] E d&eacute;signe en r&eacute;alit&eacute; huit [popupdefinition id=783]mol&eacute;cules[/popupdefinition] liposolubles : 4 [popupdefinition id=6126]tocoph&eacute;rols[/popupdefinition] et 4 tocotri&eacute;nols. Parmi elles, l'&alpha;-tocoph&eacute;rol est la plus active. La vitamine E a <a href="https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/nutrition-bienfaits-antioxydants-remis-cause-51994/" title="Les bienfaits des antioxydants remis en cause">des effets antioxydants</a> et, comme la [popupdefinition id=6127]vitamine C[/popupdefinition], elle &eacute;limine les d&eacute;riv&eacute;s [popupdefinition id=4105]r&eacute;actifs[/popupdefinition] de l'oxyg&egrave;ne.Cette famille de vitamines est pr&eacute;sente dans les huiles v&eacute;g&eacute;tales, comme l'huile de [popupdefinition id=3418]germe[/popupdefinition] de [popupdefinition id=16233]bl&eacute;[/popupdefinition] ou l'[popupdefinition id=8471]huile d'argan[/popupdefinition]. On la retrouve aussi dans des aliments comme l'[popupdefinition id=7417]avocat[/popupdefinition] ou les &oelig;ufs et les [popupdefinition id=18035]ol&eacute;agineux[/popupdefinition]. La dose journali&egrave;re recommand&eacute;e pour un adulte se situe entre 15 et 19 mg d'&alpha;-tocoph&eacute;rols. Par exemple, 50 g d'huile de colza contiennent 21 mg de vitamine E.&copy; Futura&nbsp;

La vitamine E, une famille de huit molécules essentielles

Les oléagineux sont des plantes dont les graines ou les fruits sont riches en huile. D’après le site de l’Union française des semenciers, les principales plantes oléagineuses cultivées en Europe sont le colza, le tournesol, le soja et le lin oléagineux. Les huiles oléagineuses sont utilisées dans l'alimentation humaine.Les oléagineux contiennent des graisses insaturées mais ces graines apportent souvent plus d’acides gras oméga-6 que d’acides gras oméga-3. Les oléagineux sont aussi riches en protéines, mais ils manquent de certains acides aminés essentiels comme la lysine, la méthionine ou la cystéine. On trouve également des fibres dans les graines oléagineuses : environ 27 grammes pour 100 grammes de graines de lin ! Enfin, les oléagineux sont une source de vitamines B, E, de sels minéraux et d'oligo-éléments.Des exemples de fruits et de graines oléagineusesVoici quelques exemples de fruits et de graines oléagineuses consommés dans l’alimentation humaine :l’amande est un fruit oléagineux à coque riche en fibres, potassium, calcium et vitamine E. La consommation d’amandes favorise la satiété ;la noix de Grenoble est riche en protéines végétales, en oméga-3 (acide alpha-linolénique), vitamine E et K1, une vitamine importante pour la coagulation. La consommation de noix serait favorable à une bonne santé cardiovasculaire ;la noisette est un fruit à coque riche en vitamine B9 (folates), potassium, fer, calcium, vitamine E ;la noix du Brésil est riche en magnésium, en sélénium (un antioxydant), protéines et calcium ;la cacahuète est un fruit à coque particulièrement riche en protéines, mais il faut éviter les cacahuètes salées à cause des apports en sel. De nombreuses personnes développent une allergie aux arachides ;la noix de cajou, fruit de l’anacardier, est un fruit à coque riche en fer ;la pistache est un fruit à coque riche en fibres, qui apporte aussi du magnésium et du potassium.Ces oléagineux peuvent servir d’en-cas pour éviter les grignotages.

Oléagineux

L'avocat est un des fruits les plus riches en calories.
Saison de l’avocat
L’avocat se consomme plutôt à la saison hivernale, entre octobre et avril, même si on en trouve toute l’année.
Qualités nutritionnelles de l’avocat
Souvent critiqué pour son pouvoir énergétique (138 kilocalories pour 100 grammes), l'avocat convient aux sportifs et aux enfants en pleine croissance, du fait de sa richesse en vitamines (B9, C, E). Il contient des acides gras insaturés (acide linoléique), qui sont très bons pour le système cardiovasculaire. Sa teneur en minéraux et en oligoéléments est élevée.
Variétés d’avocats
Votre primeur propose deux variétés : Hass (à peau dure, verruqueuse, verte à tendance violette) et Fuerte (peau fine et lisse, vert mat).
Bien choisir l’avocat
La couleur de la peau de l’avocat n’indique pas sa maturité. Le mieux est de le consommer lorsqu’il devient mou et que sa peau est facile à retirer.

Avocat

L'huile d'argan est une huile naturelle comestible.
Origine de l’huile d’argan
L’huile d’argan est extraite des graines de l’arganier (les amandons), arbre qui pousse naturellement au Maroc et de façon endémique. Suivant la torréfaction des amandons avant préparation de l’huile, celle-ci est plus ou moins foncée.
Composition de l’huile d’argan
L’huile d’argan contient un grand nombre d’éléments :
des acides gras insaturés (80 %), dont 43 % sont des acides gras mono-insaturés (principalement l’acide oléique) et 36 % sont des acides gras essentiels (principalement de l’acide linoléique) ;des éléments antioxydants en grande concentration, notamment le tocophérol (la vitamine E) ;des éléments phénoliques comme les acides caféique, vanillique et férulique, le tyrosol ;des stérols comme le schotténol, le spinastérol et le squalène.
Utilisations de l’huile d’argan
L’huile d’argan peut être utilisée en cuisine, mais aussi en cosmétique (pour des soins du visage, des cheveux...).

Huile d'argan

Le blé est une céréale de la famille des Graminées dont la graine sert à l’alimentation humaine.Histoire du blé, cette plante du genre Triticum
Historiquement, au Moyen Âge et à la Renaissance, le mot bleds faisait référence aux cultures annuelles. Au XVIIIe siècle, le terme « blé » désignait toute plante cultivée dont les graines pouvaient être réduites en farine pour l’alimentation humaine.Aujourd’hui, le blé est considéré comme étant une plante monocotylédone du genre Triticum. Du point de vue génétique, le blé est une plante hexaploïde ; elle doit provenir d’une hybridation entre des blés tétraploïdes cultivés et des espèces sauvages diploïdes.Culture du blé : blé dur et blé tendreEn France, les quatre principales céréales cultivées sont :
le blé tendre ;
le blé dur ;
le maïs ;
l'orge.
Parmi les céréales secondaires moins présentes se trouvent le triticale, l’avoine, le sorgho, le seigle, l’épeautre, le millet.Différentes espèces de blésPlusieurs espèces appartiennent au genre Triticum :

Triticum aestivum, ou blé tendre, aussi appelé froment, qui est couramment utilisé pour le pain ;

Triticum durum, ou blé dur, qui sert pour les pâtes et le couscous ;

Triticum spelta, ou épeautre, un blé « vêtu » (en allemand Spelz fait référence à l’enveloppe) ;

Triticum monococcum, pour le petit épeautre ou engrain ;

Triticum dicoccum, pour l’amidonnier. Avant l'apparition de l'agriculture, l'amidonnier sauvage était récolté.
Différence entre blé et sarrasin (blé noir)Malgré la similitude de noms, le blé et le sarrasin (blé noir) appartiennent à des familles botaniques différentes. Le blé appartient au genre Triticum, tandis que le sarrasin, bien qu'il soit souvent appelé "blé noir", est en réalité une plante du genre Fagopyrum. Outre leur classification botanique distincte, la principale différence réside dans leur composition nutritionnelle. Le sarrasin est sans gluten, offrant une alternative intéressante pour les personnes souffrant d'intolérance au gluten.Quels sont les bienfaits du blé ?Le blé est une source importante de nutriments essentiels. Il est riche en glucides complexes, en fibres, en protéines, en vitamines B et en minéraux tels que le fer et le magnésium. Les fibres présentes dans le blé favorisent la digestion et contribuent à maintenir un système digestif sain. Les glucides fournissent une source d'énergie à libération lente, tandis que les protéines contribuent à la construction et à la réparation des tissus.Est-ce que le blé est calorique ?Le blé est une source calorique importante, principalement due à sa teneur en glucides complexes. Cependant, il est également crucial de noter que le blé contribue à fournir une énergie durable en raison de la présence de fibres et de nutriments essentiels. Les produits à base de blé, tels que le pain complet, peuvent être inclus dans une alimentation équilibrée pour apporter des calories tout en fournissant une gamme étendue de nutriments bénéfiques.

Blé

Le terme "germe" est l'appellation commune des micro-organismes provoquant des maladies.

Types et caractéristiques des germes pathogènes
Les germes pathogènes peuvent être classés en plusieurs groupes principaux, notamment les bactéries, les virus, les champignons et les parasites. Chaque type possède des caractéristiques uniques qui influencent leur manière de se répandre, d'infecter les hôtes et de provoquer des maladies. Les bactéries, par exemple, sont des organismes unicellulaires qui peuvent survivre à l'extérieur de l'hôte. Les virus, quant à eux, nécessitent des cellules hôtes pour se reproduire et sont souvent responsables de maladies hautement contagieuses telles que la grippe ou le rhume.

Mécanismes de transmission des germes
La transmission des germes peut se faire de diverses manières, y compris par contact direct, transmission aéroportée, ingestion d'aliments ou d'eau contaminés, et par des vecteurs comme les insectes. Comprendre ces mécanismes est essentiel pour le développement des stratégies de prévention et de contrôle des maladies infectieuses. Par exemple, les mesures d'hygiène telles que le lavage des mains et l'utilisation de désinfectants sont cruciales pour limiter la propagation des infections bactériennes et virales.

Impact des germes sur la santé humaine
Les maladies causées par les germes varient considérablement en termes de gravité, allant de conditions mineures comme le rhume à des maladies graves et potentiellement mortelles comme la pneumonie ou la méningite. La réponse de l'organisme à une infection dépend de nombreux facteurs, y compris le type de germe, l'état immunitaire de la personne, et la rapidité du diagnostic et du traitement.

Les germes peuvent également développer des résistances aux médicaments, ce qui rend certaines infections extrêmement difficiles à traiter. Par exemple, la résistance aux antibiotiques est un problème de santé mondial croissant qui entrave l’efficacité du traitement des infections bactériennes.

Prévention et contrôle des infections germinales
La prévention des maladies infectieuses est une préoccupation majeure de santé publique. Elle implique une série de mesures préventives telles que la vaccination, la mise en œuvre de normes sanitaires et la promotion de comportements sains. La vaccination est l'une des méthodes les plus efficaces pour prévenir les infections virales et bactériennes, en aidant le système immunitaire à reconnaître et à combattre les germes spécifiques.

En outre, la surveillance continue des infections et l'utilisation prudente des antimicrobiens sont cruciales pour prévenir la propagation des résistances aux médicaments. Les institutions de santé publique et les organismes de recherche jouent un rôle vital dans le suivi des tendances des maladies infectieuses et la réponse à de nouvelles menaces épidémiologiques.

La recherche future sur les germes
Les avancées dans la recherche biologique et médicale continuent d'élargir notre compréhension des germes et de leur impact sur la santé humaine. Les scientifiques s'efforcent de développer de nouveaux médicaments, vaccins et technologies de diagnostic pour faire face à l'évolution des défis posés par les maladies infectieuses. La biotechnologie, notamment, offre de nouvelles approches prometteuses pour la conception de traitements plus efficaces et personnalisés.

Bien que les germes soient de petits organismes, leur impact sur la santé humaine est immense. La compréhension approfondie de leur fonctionnement, transmission, et contrôle est primordiale pour la santé publique mondiale. Cela nécessite un effort coordonné de la part des scientifiques, des professionnels de la santé, et des autorités sanitaires pour protéger les populations et améliorer les résultats de santé à l'échelle mondiale.

Germe

La vitamine E - ou tocophérol - joue un rôle important dans la protection des globules rouges contre les substances oxydantes (les radicaux libres) et dans le ralentissement du vieillissement cellulaire. Elle protège aussi contre les maladies coronariennes.

Sources de vitamine E
Vous trouverez la vitamine E dans les huiles végétales, les céréales, les fruits secs, les oléagineux, les légumes verts, les laitages, le jaune d'œuf et le beurre. Bref, un peu partout.

Le rôle antioxydant de la vitamine E
La vitamine E est reconnue pour ses propriétés antioxydantes exceptionnelles. Elle contribue à neutraliser les radicaux libres dans l'organisme, qui sont des molécules instables pouvant endommager les cellules et contribuer à l'initiation de maladies cardiovasculaires et de cancers ainsi qu'au processus de vieillissement. Le rôle protecteur de la vitamine E est donc vital pour maintenir l'intégrité des cellules notamment dans les tissus exposés aux stress oxydatifs comme la peau et les yeux.

Benefits de la vitamine E pour la peau
En dermatologie, la vitamine E est souvent utilisée pour ses effets bénéfiques sur la peau. Elle aide à maintenir l'élasticité et l'hydratation de la peau en renforçant la barrière naturelle de l'épiderme. Grâce à ses propriétés antioxydantes, elle aide également à prévenir les dommages causés par l'exposition aux UV, réduisant ainsi les signes du vieillissement tels que les rides et les lignes fines.

Prévention des maladies chroniques
Outre ses effets sur la peau et les yeux, la vitamine E joue un rôle crucial dans la protection contre certaines maladies chroniques. Des études ont montré que la vitamine E peut aider à réduire le risque de maladies cardiaques en améliorant la santé endothéliale et en réduisant l'oxydation des lipoprotéines de basse densité (LDL), communément appelées le "mauvais cholestérol".

Efficacité de la vitamine E dans la prévention des maladies oculaires
La vitamine E est également valorisée pour sa capacité à contribuer à la santé oculaire. Elle est utilisée pour prévenir ou traiter des conditions telles que la cataracte et la dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA). En protégeant les yeux des radicaux libres, cette vitamine aide à maintenir une vision saine au fur et à mesure que nous vieillissons.

Apports recommandés en vitamine E
Les besoins quotidiens en vitamine E varient selon l'âge, le sexe et l'état de santé général. En général, les adultes ont besoin d'environ 15 milligrammes par jour. Cependant, il est important de consulter un professionnel de santé pour obtenir des recommandations personnalisées, surtout si vous envisagez de prendre des suppléments.

Sources et formes de vitamine E
La vitamine E est disponible sous plusieurs formes, y compris naturelle et synthétique. La forme naturelle, connue sous le nom de D-alpha-tocophérol, est mieux absorbée par le corps que la forme synthétique, le DL-alpha-tocophérol. Pour assurer une absorption optimale, il est conseillé de consommer la vitamine E avec un repas contenant des matières grasses, car c'est une vitamine liposoluble.

Précautions et interactions de la vitamine E
Bien que la vitamine E soit essentielle, sa surconsommation peut entraîner des effets indésirables, tels que des troubles sanguins ou des interactions médicamenteuses, surtout avec des médicaments anticoagulants. Il est donc crucial de respecter les doses recommandées et de discuter de toute supplémentation avec un professionnel de la santé avant de débuter un traitement.

Vitamine E

Molécule organique indispensable au bon fonctionnement de l’organisme, souvent apportée par l’alimentation, et agissant à de faibles doses. Il existe 13 vitamines essentielles à l’Homme, parmi lesquelles :
9 vitamines hydrosolubles : les vitamines B1 (thiamine), B2 (riboflavine), B3 (niacine ou vitamine PP), B5 (acide pantothénique), B6 (pyridoxine), B8 (biotine), B9 (acide folique), B12 (cobalamine) et C (acide ascorbique). Les vitamines B sont généralement des coenzymes intervenant dans le métabolisme,4 vitamines liposolubles : les vitamines A (rétinol, intégré aux pigments visuels), D (calciférol, nécessaire à la santé osseuse), E (tocophérols et tocotriénols, molécules anti-oxydantes comme la vitamine C) et K (impliquée dans la coagulation).
Les carences en vitamines
Les carences en vitamines provoque des syndromes graves comme le scorbut (carence en vitamine C), le béribéri (carence en vitamine B1), la pellagre (carence en vitamine PP) ou le rachitisme (carence en vitamine D).

Vitamine

15333_la-vitamine-e--une-famille-de-huit-molecules-essentielles

La [popupdefinition id=285]vitamine[/popupdefinition] F est l'ancien nom de ce&nbsp;que l'on appelle aujourd'hui les [popupdefinition id=9]acides gras[/popupdefinition] essentiels. Ces acides gras contiennent plusieurs doubles liaisons dans leur chaine carbon&eacute;e et ne sont pas synth&eacute;tis&eacute;s par l'organisme des [popupdefinition id=2142]mammif&egrave;res[/popupdefinition]. Les <a href="https://www.futura-sciences.com/sante/questions-reponses/nutrition-omega-3-omega-6-difference-1916/" title="Om&eacute;ga-3 et om&eacute;ga-6, quelle diff&eacute;rence ?">om&eacute;gas-3</a> (acide&nbsp;&alpha;-linol&eacute;nique) et les [popupdefinition id=6553]om&eacute;gas-6[/popupdefinition] ([popupdefinition id=6561]acide linol&eacute;ique[/popupdefinition])&nbsp;sont tous les deux indispensables &agrave; la [popupdefinition id=17955]construction[/popupdefinition] des [popupdefinition id=780]membranes cellulaires[/popupdefinition]. Les [popupdefinition id=6551]om&eacute;gas-3[/popupdefinition] ont un effet b&eacute;n&eacute;fique sur le fonctionnement du [popupdefinition id=3125]cerveau[/popupdefinition] et du c&oelig;ur et les om&eacute;gas-6&nbsp;r&eacute;gulent l'hyperchol&eacute;sterol&eacute;mie.&nbsp;Les om&eacute;gas-3 sont pr&eacute;sents dans de nombreuses graines comme les graines de [popupdefinition id=10293]lin[/popupdefinition], de [popupdefinition id=15810]chia[/popupdefinition] et dans les [popupdefinition id=10415]poissons[/popupdefinition] gras ([popupdefinition id=2066]saumon[/popupdefinition], sardine, maquereau). Les om&eacute;gas-6 se trouvent&nbsp;dans les huiles v&eacute;g&eacute;tales comme l'huile de [popupdefinition id=11400]tournesol[/popupdefinition]. Les apports journaliers recommand&eacute;s sont d'environ 2&nbsp;grammes d'om&eacute;ga-3 et 10 grammes d'om&eacute;ga-6 pour un adulte,&nbsp;soit un ratio de 5:1, recommand&eacute; par l'[popupdefinition id=4321]Organisation mondiale de la Sant&eacute;[/popupdefinition].&copy; Futura&nbsp;

Les omégas-3 et 6, des acides gras indispensables

L'acide linoléique est un acide gras polyinsaturé, de type oméga-6, retrouvé dans des huiles végétales, en particulier dans l'huile de carthame.Acide linoléique : un acide gras polyinsaturé oméga-6 Acide gras essentiel, il doit être apporté à l'organisme par la nourriture.Sa chaîne carbonée est constituée de 18 atomes de carbone, et de deux doubles-liaisons, l'une impliquant le sixième carbone, et l'autre le neuvième.Sa température de fusion est de -9°C, ce qui rend l'acide linoléique liquide à température ambiante.

Acide linoléique

Le terme « saumon » peut être utilisé en aéronautique mais il est le plus souvent employé dans son acception zoologique.Le saumon en aéronautiqueForme carénée constituant le bord marginal d'une aile d'avion, d'une pale d'hélicoptère, ou des plans horizontaux et verticaux d'un empennage.Le saumon en zoologieLe saumon est un salmonidé, au nom latin : Salmo salar pour le saumon de l’Atlantique.Salmo salar. © U.S. Fish & Wildlife Service domaine publicLes saumons de l'océan Pacifique comptent 5 espèces du genre Oncorhynchus, ceux de l'Océan Atlantique sont d'une espèce du genre Salmo.Régime alimentaire du saumonEn rivière au début de sa vie, le tacon se nourrit de petits invertébrés aquatiques. En estuaire le smolt va modifier son apparence et va s’attaquer à des proies plus grosses comme des petits poissons. En mer, le saumon adulte va s’attaquer à des harengs par exemple, mais ne dédaignera pas le krill. En rivière à la fin de sa vie le saumon adulte cesse de se nourrir.Risques rencontrésLe saumon peut être victime de ses prédateurs comme le chabot (prédation sur les œufs et les alevins), les truites, la loutre, les oiseaux de mer, les poissons carnassiers marins, les phoques et l’Homme… Il est également victime de la pollution : le saumon est un bio-indicateur très sensible à la pollution. Les barrages et aménagements sont une cause de raréfaction et ne lui permettent pas l’accès aux frayères.Cycle de vie du saumonFraisonLes géniteurs sont sur les frayères. La fraye débute fin octobre et se termine mi-novembre. La femelle pond ses œufs dans le gravier, après avoir creusé un nid en donnant des coups de queue et le mâle y répand sa laitance. Une femelle pond 1.800 œufs par kg de poids. Seul un adulte de cette ponte reviendra pondre !Œufs de saumon à différents stades de développement. © Kils licence Creative Commons paternité – partage des conditions initiales à l’identique 3.0 (non portée)AlevinAu printemps suivant l'œuf donnera naissance à un alevin : poisson minuscule, dont le ventre a un sac vitellin qui contient la nourriture dont l'alevin a besoin durant les premières semaines. Au cours du premier été, l'alevin se nourrit d'insectes. Au début de l'hiver, il aura atteint entre 5 et 9 cm.Saumon sorti de l'œuf. © Uwe Kils. la Licence de documentation libre GNU, version 1.2TaconDurant le deuxième été, la croissance sera plus rapide. Les tacons vivent de deux à sept ans dans la rivière.SaumoneauAprès ces années en rivière, le tacon se transforme et prend une couleur argentée, ses nageoires noircissent et son corps s'allonge (15 à 20 cm ). Il se prépare à la vie en mer. Il descend la rivière jusqu'à la mer. Le jeune saumon doit faire face à ses prédateurs en allant vers des sites d'engraissement. Cette période d'engraissement varie d'un à trois ans.Retour à la rivière Devenu adulte il retourne vers son lieu d'origine, on ne sait pas trop comment ! Cependant, il semblerait qu'une fois près de la côte, le saumon localise sa rivière par l'odeur.Montaison Le saumon est gras. La vitesse de la montaison dépend de deux facteurs : plus l'eau est haute et froide, donc plus oxygénée, plus elle est rapide.On pense que les saumons de trois ans de mer (plus de 8 kg) arrivent les premiers. Donc lorsque la pêche commence, la remise à l'eau (catch and release) de ces gros saumons est obligatoire, le pêcheur peut conserver les jeunes, presque tous mâles. Mais ces lois sont remises en question car certains facteurs sont venus modifier l'ordre…La coloration du saumon devient rougeâtre. La mâchoire inférieure du mâle forme un crochet. En rivière, le saumon se déplace surtout la nuit et s'arrêtera dans certains endroits. Contrairement au saumon du Pacifique, le saumon de l'Atlantique ne meurt pas forcément après avoir frayé.

Saumon

Le lin est une plante herbacée annuelle répandue dans toute l’Europe. Pouvant atteindre un mètre de hauteur, sa tige frêle porte des feuilles très étroites. Ses fleurs isolées atteignent 3 cm de diamètre et portent cinq pétales d’un bleu pâle caractéristique. Les fruits sont des capsules globuleuses d’un brun clair, divisées à l’intérieur en une dizaine de petites « loges » dont chacune contient une graine unique. 
Le lin est notamment recommandé pour lutter contre la constipation chronique. La récolte du lin s’effectue de manière industrielle en été, à maturité des fruits. Ces derniers sont ensuite écrasés pour libérer les graines dont on extrait une huile abondante. Une fois cette opération réalisée, l’enveloppe restante est broyée pour donner la farine de lin. En phytothérapie, les graines sont parfois utilisées entières.
 Le lin, riche en huile
Les graines sont composées de 35 % à 45 % d’huile riche en acides gras insaturés. Elles possèdent également des propriétés laxatives. C’est pourquoi elles sont recommandées contre la constipation chronique. Sous quelle forme ? Laissez macérer 15 à 20 graines dans un litre d’au froide toute une nuit. Buvez ensuite cette préparation tout au long de la journée. Il est également possible d’avaler quelques graines entières avec un grand verre d’eau. 
 La graine de lin soulage également les inflammations de la muqueuse gastrique et intestinale. En applications externes, elle est employée contre les inflammations articulaires, les dermatoses, les prurits, les contusions… Pour cela, procurez-vous de la farine de lin : mélangée à un peu d’eau, vous l’utiliserez pour confectionner un cataplasme. Après l’avoir fait tiédir, remplissez une compresse. Il ne vous reste plus qu’à l’appliquer sur la zone concernée, une à trois fois par jour.
 Sources : 
Phytothérapie, la santé par les plantes, Vidal éditeur ;Plantes médicinales, Ed. Gründ

La chia (Salvia hispanica) est une variété de sauge dont les graines sont consommées. La chia est originaire de la vallée centrale du Mexique.
Graines de chia : comment les consommer ?
Cette plante est tellement emblématique qu’elle a donné son nom à l’État du Chiapas. Ses graines faisaient partie intégrante de l’alimentation des Aztèques. Aujourd’hui encore, elles sont largement consommées en Amérique latine sous forme d’eau fraîche parfumée au citron et aux graines de chia. Présentant une saveur neutre, elles peuvent parfaitement être intégrées dans de nombreuses recettes, sucrées et salées.
Bienfaits de la chia
Elles sont riches en fibres et en oméga 3 mais aussi en protéines, en vitamine B9, en calcium et en antioxydants. Elles contribuent à réduire le taux de LDL-cholestérol (le mauvais) et à réguler la glycémie, ce qui est protecteur vis-à-vis des accidents cardio-vasculaires. Une étude publiée en novembre 2007 dans la revue Diabetes Care a confirmé que les graines de chia avaient un effet de réduction du taux de sucre dans le sang.
De plus, des travaux complémentaires ont montré que la consommation de 40 g de chia par jour faisait baisser nettement la tension artérielle. Un autre effet protecteur au niveau du cœur, donc. Enfin, une protéine sanguine, la C-reactive protein, signe d’une inflammation chronique, a également pu être réduite significativement.
Un coupe-faim naturel en gel 
Les propriétés de coupe-faim et de régulateur de la glycémie de cet aliment venu d’outre-Atlantique sont-elles bien réelles ? Les graines de chia sont riches en fibres solubles, lesquelles facilitent le transit sans irriter la muqueuse intestinale et favorisent la satiété. Pour bénéficier de ces atouts, il est nécessaire de faire tremper les graines dans de l’eau pendant au moins 30 minutes. Le gel obtenu, absorbé avant de manger, réduit naturellement l’appétit.

Chia

Les poissons sont des animaux qui ont colonisé la quasi-totalité des écosystèmes aquatiques : océans jusqu'à des profondeurs extrêmes (des soles ont été aperçues dans la fosse des Mariannes, à plus de 10.000 m de profondeur), lacs et rivières parfois à des altitudes très élevées et dans des zones où les températures sont très différentes.
Les poissons sont pourvus de branchies, qui permettent la respiration aquatique et de nageoires dont le nombre et la forme diffèrent selon les groupes.
Phylogénie des poissons
Les poissons forment un groupe polyphylétique (donc, non monophylétique). À ce titre, le terme « poissons » n'est en théorie pas correct en phylogénie.
Cependant, il est très largement utilisé, et il représente tout de même des notions bien précises. 
 Les poissons comportent : 
les agnathes (lamproies et myxines) qui est un groupe paraphylétique ;les chondrichtyens (requins et raies) ;les actinistiens (coelacanthes) ;les dipneustes ;les actinoptérygiens (plus de 95 % des poissons).
Ce qui veut dire que :
tous les poissons sont des crâniates ;tous les poissons ne sont pas des vertébrés (les myxines n'ont pas de vertèbres).
On compte, en tout, un peu plus de 24.000 espèces de poissons.

Poisson

Le cerveau appartient au système nerveux central.
Fonction du cerveau
Situé dans la boîte crânienne, le cerveau est le siège des fonctions supérieures (fonctions cognitives, sens, réponses nerveuses) et végétatives. C’est donc un organe essentiel qui assure la régulation de toutes les fonctions vitales. Le cerveau reçoit des informations provenant de l’ensemble du corps humain via des nerfs afférents, les intègre et les analyse puis répond en émettant de nouveaux signaux qui redescendent vers les parties du corps concernées par les nerfs efférents.
Le cerveau est ainsi responsable du rythme cardiaque et respiratoire, des fonctions qui pour nous sont inconscientes. Mais il est aussi impliqué dans la prise de décision, dans la motricité du corps, le comportement, la mémoire, la conscience…
Le cerveau a été cartographié et certaines zones semblent associées à des fonctions précises (aire de la parole…), alors que les fonctions plus complexes (la mémoire, la conscience) semblent être beaucoup plus réparties.
De quoi est composé notre cerveau ? Quel est le rôle de la matière grise, encore appelée "cortex" ? De quoi est-elle constituée ? Comment les neurones gèrent-ils et traitent-ils les informations ? Qu’est-ce que la matière blanche ? Toutes les explications en vidéo. Une animation coréalisée avec L’Esprit Sorcier. © CEA Recherche
Structure du cerveau
Le cerveau humain comporte environ 100 milliards de neurones et possède un poids moyen de 1.300 à 1.400 grammes. Il contient également des cellules gliales et des astrocytes. Il baigne dans le liquide céphalo-rachidien.
Le cerveau est composé de deux hémisphères, droit et gauche, connectés entre eux par le corps calleux composé de substance blanche (axones gainés de myéline). Divisés en lobes, les hémisphères sont les parties les plus développées chez les mammifères.
Le cerveau est divisé en plusieurs parties, en fonction de leur origine embryonnaire :
le télencéphale, la partie supérieure, composé du cortex cérébral et du striatum ;le diencéphale qui contient le thalamus et l’hypothalamus (glandes endocrines) ;le mésencéphale ;le cervelet (coordination motrice et apprentissage des mouvements routiniers) ;le pont de Varole ;le bulbe rachidien (contrôle des mouvements réflexes et végétatifs : respiration, modération du rythme cardiaque, régulation des muscles lisses artériels) qui communique avec la moelle épinière.
Le cortex cérébral constitue la couche externe du cerveau et comporte la majorité des neurones (substance grise). Les méninges sont des enveloppes protectrices (dure-mère, arachnoïde et pie-mère) entre le cortex et l’os du crâne. Le cortex cérébral est subdivisé en cinq lobes cérébraux en fonction de leur position : 
le lobe frontal (motricité, mémoire, raisonnement) ;le lobe pariétal (toucher) ;le lobe temporal (ouïe, odorât) ;le lobe occipital (vision) ;le lobe limbique.
Pour tout savoir sur le cerveau, consultez notre dossier « Voyage dans le cerveau ».

Cerveau

La membrane plasmique est la membrane qui délimite une cellule. Elle sépare l’intérieur de la cellule (le cytoplasme) du milieu extérieur. Elle est majoritairement composée de lipides, particulièrement de phospholipides, entre lesquels des protéines peuvent s’insérer. Contrairement aux membranes des bactéries et des cellules végétales, celles des cellules animales contiennent des molécules de cholestérol, ce qui les rigidifie et augmente leur imperméabilité vis-à-vis des molécules hydrophiles.La bicouche lipidiqueLes phospholipides forment une double couche (bicouche) qui est relativement imperméable aux passages de la plupart des molécules hydrosolubles. Elle constitue donc une barrière très efficace, même si les molécules hydrophobes comme l’alcool peuvent facilement la traverser. La structure en double couche de la membrane plasmique est directement due aux propriétés amphiphiles des phospholipides qui possèdent une extrémité hydrophile, c’est-à-dire aimant l’eau, et une extrémité hydrophobe, qui au contraire craint l’eau.Des protéines essentiellesLes quantités et les types de protéines sont extrêmement variables d’une cellule à l’autre. Ces protéines sont associées à la membrane de manières variées et ont de nombreuses fonctions, dont voici une liste non exhaustive : transport de molécules à travers la membrane ; adhésion sur les surfaces ; réception de signaux de l’environnement ; signalisation dans la cellule ;connexion avec le cytosquelette ;

Membrane plasmique

Les liants utilisés en maçonnerie diffèrent de ceux entrant dans la composition des peintures et vernis. En construction, on utilise deux grandes familles de liants : aériens ou hydrauliques. Les liants des peintures et vernis sont constitués de macromolécules (polymères) d’origine naturelle ou synthétique.Les liants de maçonneriePoudreux ou pâteux, ils se distinguent par leur mode de durcissement ou de prise. Les liants aériens sont essentiellement de la chaux calcique (CL) ou dolomitique (DL). À base de roches calcaires, ils sont hydratés (éteints) après cuisson à une température avoisinant 900 °C. Ils durcissent lentement, au contact de l’air uniquement.Un mortier de chaux aérienne et de sable, pour le jointoiement ou l’enduisage, durcit toujours de l’extérieur vers l’intérieur. © BCB TradicaOn distingue plusieurs types de liants hydrauliques. Le ciment et le plâtre durcissent (se pétrifient) en réaction avec l’eau servant à homogénéiser le mélange. Selon leur composition, la prise est rapide, demi-lente ou lente. La chaux hydraulique naturelle (NHL) présente la particularité de durcir au contact de l’eau d’abord, puis de l’air.Bloc "Le saviez-vous ?"Les liants pour peintures et produits assimilésAssurant la fixation au support, le liant permet à la peinture ou au vernis de durcir par évaporation de son solvant ou par polymérisation. Les liants d’origine naturelle proviennent du règne animal (caséine, œuf, colle de peau…), minéral (argile, chaux…) ou végétal (argile, fécule de pomme de terre, gomme arabique, huile de carthame…). Les liants synthétiques sont des résines dérivées du caoutchouc, de la cellulose, des résines plastiques diluables à l’eau (acryliques, alkydes, uréthanes, vinyliques…) ou au white-spirit (glycérophtaliques, polyesters…). Une peinture ou vernis peut combiner plusieurs liants afin d’améliorer certaines caractéristiques : tendu ou durcissement du feuil, par exemple.Patine murale d’aspect soyeux associant une sous-couche acrylique blanche et une finition sablée métallisé, chacune en phase aqueuse. Un temps de séchage de huit heures est nécessaire entre les deux applications. © Maison DécoChamp lexical : construction | maçonnerie | décoration

Liant

Les oméga-6 constituent une sorte d'acides gras polyinsaturés, dont la première double-liaison C=C implique le sixième carbone (en partant de l'extrémité opposée au groupe acide).
L'acide linoléique est le précurseur des oméga-6, puisqu'il sert de base à la synthèse des autres oméga-6.
Les oméga-6 sont des acides gras essentiels (le corps ne sait pas les produire), et doivent donc être apportés par l'alimentation.
On les retrouve dans l'huile de maïs, de carthame, de tournesol, de pépins de raisin, de germe de blé, de soja. On les retrouve également dans la viande, et dans certains poissons et abats.
Les oméga-6 sont essentiels puisqu'ils servent de précurseurs pour la synthèse de molécules, comme la prostaglandine ou le leucotriène. Leur consommation est donc importante pour la gestion des inflammations, de la vasomotricité et de la coagulation.
Le ratio d'apport quotidien oméga-6/oméga-3 semble avoir un rôle sur la santé. L'Afssa recommande que ce ratio soit proche de 5, mais il est souvent plus élevé. La surconsommation d'oméga-6 favoriserait l'obésité.

Oméga-6

Les mammifères forment une classe d’animaux homéothermes, regroupant une trentaine d’ordres, 150 familles, 1.200 genres et plus de 5.000 espèces. Ce taxon monophylétique se caractérise notamment par la présence de poils, de mamelles chez les femelles (à l’exception des monotrèmes) permettant l’allaitement des petits, mais aussi par l’articulation de la mandibule ou la présence d’un néocortex cérébral. Les fossiles de mammifères connus les plus anciens remontent au Trias, il y a 220 millions d’années, à l’époque où apparaissaient également les dinosaures.
Les différentes sous-classes de mammifères
Les mammifères comportent deux sous-classes bien distinctes, dont une qui se subdivise également en deux.
Les protothériens regroupent les monotrèmes, ainsi que deux ordres éteints. Ces mammifères possèdent la particularité d’être ovipares. Seuls les ornithorynques et les échidnés sont aujourd’hui concernés.
Le groupe des thériens comporte tous les autres mammifères, tous vivipares. Néanmoins, une subdivision importante sépare les métathériens (ou marsupiaux) des euthériens.
Les marsupiaux, composés des kangourous, des koalas ou encore des wombats, se caractérisent (sauf exception) par la présence d’une poche marsupiale chez les femelles, permettant au petit de terminer son développement fœtal. En effet, les spécialistes parlent de larve marsupiale, qui finit sa croissance au chaud, attaché à la mamelle de sa mère.
Les euthériens regroupent tous les autres mammifères, placentaires, qui ont colonisé tous les milieux. Parmi eux, on peut noter les rongeurs, les félidés, les canidés, les bovidés, les chiroptères, les cétacés ou encore les primates. Entre autres.

Mammifère

Un acide gras est une famille de molécules lipidiques, qui renferme notamment les oméga-3 et les oméga-6.
Structure des acides gras
Un acide gras est une molécule formée d'une chaîne de carbones liés à des hydrogènes (c'est ce qu'on appelle un hydrocarbure en chimie organique) terminée par un groupement acide : COOH.
Dans les aliments d'origine végétale, la chaîne carbonée comporte rarement plus de 18 atomes de carbone. Dans les aliments d'origine animale et dans notre organisme, la chaîne carbonée peut atteindre plus de 30 atomes de carbone : cet « allongement » est possible grâce à des métabolismes complexes au sein de nos cellules.
Il existe trois types d'acides gras :
les acides gras saturés ;les acides gras mono-insaturés (la chaîne carbonée contient une double-liaison) ;les acides gras polyinsaturés (contenant plusieurs doubles-liaisons).
Les oméga-3 et les oméga-6 appartiennent à la famille des acides gras et se caractérisent par la présence d'une double liaison sur le carbone n-3 ou sur le carbone n-6, respectivement.
Rôles des acides gras
L'utilisation et l'assimilation des acides gras par l'organisme ne peut se produire qu'en présence et en synergie avec des nutriments tels que minéraux, oligoéléments, vitamines, enzymes... D'où découle la nécessité de remédier aux éventuelles carences constatées lors d'examens spécifiques (par prise de sang total), par l'alimentation quotidienne biologique ou par une supplémentation appropriée. 
On déconseille la consommation d'acides gras saturés. Des études ont démontré qu'il y a une corrélation entre la quantité de gras saturés dans la diète et un taux anormalement élevé de cholestérol sanguin. Un taux élevé de cholestérol augmente les risques de maladies cardiovasculaires. En résumé, les acides gras saturés ont tendance à faire monter le cholestérol et le cholestérol favorise les maladies cardiovasculaires.
Sources d'acides gras polyinsaturés
L'acide linolénique (à 18 carbones et trois doubles liaisons) est principalement contenu dans certaines huiles végétales dites vierges et de première pression à froid et aussi dans les œufs, dans la viande de gibier sauvage...
L'acide α-linolénique provient des végétaux verts, de certains végétaux aquatiques (comme la spiruline), des produits de la mer (huiles de poissons de mer froides tels le saumon, le flétan, le maquereau...), de certaines huiles végétales (huiles de noix, de soya, de lin...).

Acide gras

Les oméga-3 sont une sorte d'acides gras polyinsaturés, dont la première double-liaison C=C implique le troisième carbone (en partant du côté opposé au groupe acide).Le précurseur des oméga-3 est l'acide α-linolénique, c'est-à-dire qu'à partir de cet acide gras, d'autres oméga-3 peuvent être synthétisés.L'acide α-linolénique est essentiel à notre alimentation puisque le corps ne peut pas le produire. On retrouve cet oméga-3 dans des poissons gras, des algues, et dans des huiles végétales, comme l'huile de noix, de lin ou de colza.Sous forme de complément alimentaire, il est recommandé d'opter pour des formes naturelles de triglycérides comme ici, généralement issues d'huile purifiée et de petits poissons (sardines, anchois, maquereaux) pour une propreté optimale. Les gros poissons en haut de la chaine alimentaire ayant tendance à accumuler de plus hauts taux de métaux lourds.Les oméga-3 sont nécessaires au bon fonctionnement cérébral, puisqu'ils participent à la formation des cellules. Ils seraient aussi impliqués dans la diminution des risques d'accidents cardiovasculaires.Notre corps a besoin d'environ 1 à 2 grammes d'oméga-3 par jour. En revanche, une consommation excessive est aussi délétère : augmentation du mauvais cholestérol, diminution de la glycémie et fluidification du sang.Selon les recommandations de l'Afssa, la consommation d'oméga-3 devrait être égale à 1/5 de notre consommation d'oméga-6, mais en général, le ratio est bien plus faible.

Oméga-3

Plante herbacée annuelle de haute stature, le tournesol est originaire d’Amérique du Nord. Sa tige droite est couverte de feuilles vertes, ovales et alternées, tandis que ses fleurs varient du jaune pâle au rouge selon les variétés. C’est pourquoi le tournesol est souvent utilisé aussi, comme fleur d’ornement. 
Membre de la famille des astéracées, le tournesol a bien d’autres appellations souvent d’origines locales, telles que « grand-soleil », « soleil-des-jardins » ou « hélianthe ». Il est aujourd’hui cultivé partout dans le monde, notamment pour son huile mais aussi pour servir de fourrage aux animaux d’élevage. Cependant l’huile de tournesol, extraite après broiement par pression à froid, présente un double intérêt : alimentaire et… pharmaceutique. 
Le tournesol, contre les petits maux
En cuisine, l’huile de tournesol est largement appréciée pour son équilibre en acides gras. Elle ne contient en effet que 45 % d’acides gras insaturés, contre seulement 4 % environ d’acides gras saturés. Très consommée en France, cette huile de qualité est également une excellente source de vitamine E. En pharmacie, l’huile de tournesol est utilisée pour la préparation d’onguents destinés à lutter contre les douleurs rhumatismales. 
Le tournesol semblerait également efficace en poudre ou en infusion, contre les troubles inflammatoires des voies aériennes supérieures. Il serait également intéressant pour soulager certains troubles digestifs, comme les gaz intestinaux et les diarrhées. 
Source : 
Phytothérapie, la Santé par les plantes, Vidal Editeur Plantes médicinales, Gründ

Tournesol

L'Organisation mondiale de la santé (OMS) est l'institution spécialisée des Nations Unies pour la santé. Elle a été fondée le 7 avril 1948.
Santé : qu'est-ce que l'OMS ?
Comme il est précisé dans sa constitution, l'OMS a pour but d'amener tous les peuples au niveau de santé le plus élevé possible. Dans ce même document, la santé est définie comme un état de complet bien-être physique, mental et social et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d'infirmité.
L'OMS est dirigée par les 192 États membres réunis à l'Assemblée mondiale de la Santé. Cette assemblée est composée des délégués représentant les États membres. Elle a pour fonctions principales d'approuver le programme et le budget de l'OMS pour l'exercice biennal suivant et de statuer sur ses grandes orientations politiques.
Plus de 7.000 personnes travaillent à l’OMS dans 150 bureaux de pays, six bureaux régionaux et au siège de Genève.
Exemples d’actions de l’OMS
Voici des exemples d'actions menées par l’OMS :
Maladies infectieuses : l’OMS travaille avec les États pour favoriser la prévention et le traitement de maladies infectieuses, comme le VIH-Sida, la tuberculose, le paludisme et les maladies tropicales négligées.Surveillance et alerte : l’OMS surveille la situation sanitaire dans le monde et lance des alertes en cas d’épidémies. Ainsi, en février 2016, l’OMS a déclaré que l’épidémie de Zika relevait d'une urgence de santé publique de portée mondiale, puis en novembre 2016 l’organisation a considéré que cette épidémie n’était plus une urgence mondiale.Vaccination : l’OMS travaille à l’extension de la couverture vaccinale dans les pays qui en ont besoin. Ceci se fait par exemple dans le cadre du Plan d'action mondial pour les vaccins 2011-2020.Recherche : l’OMS participe activement à la recherche en santé publique, par exemple grâce au CIRC (Centre international de recherche sur le cancer) situé à Lyon.Accès aux médicaments : l’OMS œuvre en faveur de l’accès aux médicaments essentiels pour tous. Par exemple, dans le cas de la filariose lymphatique, l’OMS a lancé en 2000 le Programme mondial pour l’élimination de la filariose lymphatique, avec un traitement à grande échelle. De 2000 à 2015, plus de 6,2 milliards de traitements ont été délivrés à environ 820 millions de personnes dans 64 pays.

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La [popupdefinition id=6119]vitamine B1[/popupdefinition], ou thiamine, est une vitamine hydrosoluble, pr&eacute;curseur de la thyamine pyrophosphate,&nbsp;indispensable &agrave; la transformation des [popupdefinition id=499]glucides[/popupdefinition] en [popupdefinition id=15884]&eacute;nergie[/popupdefinition] puisqu'elle intervient dans&nbsp;le&nbsp;[popupdefinition id=696]cycle de Krebs[/popupdefinition]. Une insuffisance en vitamine B1 provoque <a href="https://www.futura-sciences.com/planete/dossiers/botanique-riz-plante-fascinante-2411/page/7/" title="B&eacute;rib&eacute;ri : sympt&ocirc;mes et pr&eacute;vention">une maladie appel&eacute;e le b&eacute;rib&eacute;ri</a> qui se traduit par une [popupdefinition id=16698]insuffisance cardiaque[/popupdefinition] et des troubles neurologiques.Chaque jour, il est conseill&eacute;, pour un adulte, de consommer entre 1,3 et 1,5 mg de vitamine B1. On la retrouve en grande quantit&eacute; dans la&nbsp;[popupdefinition id=8340]levure de bi&egrave;re[/popupdefinition], puisque les levures sont capables de la synth&eacute;tiser contrairement aux animaux, mais aussi dans les graines de [popupdefinition id=11400]tournesol[/popupdefinition].&copy; Futura&nbsp;

La vitamine B1, première du groupe B

Les physiciens emploient le terme d'énergie pour désigner une capacité à modifier un état ou à produire un travail entraînant un mouvement ou générant un rayonnement électromagnétique – de la lumière, par exemple – ou de la chaleur. Le mot vient d’ailleurs du grec et signifie « force en action ».
Dans le système international, l’énergie s’exprime en joules, mais dans le langage courant, elle s’exprime plus souvent en kilowatt-heure (kWh). Quant à la tonne d’équivalent pétrole (tep), elle permet généralement de comparer les différentes sources d’énergie entre elles.
Il est à noter que, selon le premier principe de la thermodynamique, l’énergie d’un système fermé se conserve.
Pas une mais des énergies
Il existe en fait de nombreuses formes d’énergie. Ainsi, l’énergie cinétique, par exemple, est une forme d’énergie liée au mouvement d’un corps. Elle est proportionnelle au carré de sa vitesse. La combustion, quant à elle, permet de récupérer l’énergie potentielle chimique contenue dans un combustible. Les panneaux solaires captent l’énergie lumineuse pour la transformer en énergie électrique.
Les sources d’énergie
Les énergies sont également parfois classées en fonction de leur source. On peut parler des énergies fossiles – tirées du charbon ou du pétrole, par exemple –, de l’énergie nucléaire – qui provient de réactions nucléaires –, ou encore des énergies renouvelables, qui sont naturellement régénérées comme l’énergie solaire ou l’énergie éolienne.
Énergie primaire, secondaire, finale ou utile
Une autre classification vient du fait que les énergies qui nous sont utiles dans la vie de tous les jours ne sont pas forcément disponibles, prêtes à l’emploi dans la nature. On parle ainsi :
d’énergie primaire quand elle est directement exploitable (le rayonnement solaire, par exemple) ;d’énergie secondaire pour celle obtenue après transformation (l’électricité, par exemple) ;d’énergie finale pour l’ensemble des énergies prêtes à l’emploi, délivrées au consommateur (l’essence disponible à la pompe, etc.) ;d’énergie utile pour celle qui rend réellement service à l’utilisateur (la lumière issue d’une lampe, etc.).

Énergie

Une insuffisance cardiaque se définit comme l’incapacité du cœur à accomplir correctement sa tâche de propulsion du sang dans les vaisseaux. Cela signifie que le cœur a perdu de sa force de contraction.
Pour compenser ce problème, le cœur a tendance à battre plus vite et à grossir (hypertrophie). Comme la circulation sanguine fonctionne moins bien, le sang risque de stagner dans les vaisseaux, il peut y avoir des œdèmes. Il y aurait environ un million de personnes souffrant d’insuffisance cardiaque en France.
Symptômes et traitements de l’insuffisance cardiaque
L’insuffisance cardiaque se manifeste par de la fatigue, une gêne respiratoire (essoufflement à l'effort), un rythme cardiaque plus rapide, des œdèmes aux jambes ou aux mains, une prise de poids… Le tabagisme, l’obésité, la consommation d’alcool, des problèmes rénaux peuvent aggraver la maladie. Pour diagnostiquer une insuffisance cardiaque, le médecin fait réaliser plusieurs examens comme un bilan sanguin, une radiographie du thorax, un électrocardiogramme et un écho-doppler cardiaque.
L’insuffisance cardiaque peut être la conséquence d’un infarctus du myocarde, d’une angine de poitrine, d’une hypertension artérielle, de troubles du rythme cardiaque (fibrillation), de maladies des valves cardiaques ou du muscle cardiaque... Le traitement passe par une modification des habitudes de vie (arrêt du tabac, alimentation équilibrée, activité physique adaptée) et des médicaments comme des bêta-bloquants, diurétiques, inhibiteurs de l'enzyme de conversion.

Insuffisance cardiaque

Les glucides sont une famille de molécules familièrement appelées « sucres ».
Caractéristiques des glucides
Les glucides possèdent tous une fonction aldéhyde ou cétone et plusieurs groupements OH. Les glucides ont donc une formule chimique brute qui est, dans la plupart des cas, Cn(H2O)n, ce qui explique qu'ils sont également nommés hydrates de carbone. Mais certains possèdent en plus des atomes de phosphore ou d’azote.
Diversité des glucides
Les glucides peuvent être classés en :
monosaccharides : ce sont des molécules simples, non hydrolysables (le glucose, le fructose, le galactose…) ;polysaccharides qui sont constitués de plus d'un monosaccharide. On différencie :les disaccharides, qui sont en fait l’association de deux monosaccharides liés par une liaison osidique : le lactose, le saccharose…les polysaccharides, qui sont des chaînes (polymères) de monosaccharides, également liés par des liaisons osidiques : amidon, cellulose, glycogène…
Seuls les monosaccharides et les disaccharides ont un pouvoir sucrant, les polysaccharides sont insipides.
Rôle des glucides
Les glucides ont un rôle énergétique. Stockés sous forme de polymères (amidon chez les plantes, glycogène chez les animaux), ils constituent une réserve énergétique, qui pourra être utilisée lors de la glycolyse (la dégradation du glucose), en formant des molécules d’ATP.
Mais les glucides ont aussi un rôle structural. Chez les végétaux, la cellulose longue et rigide leur confère une certaine solidité. Chez les animaux, la chitine est le constituant principal de l’exosquelette des insectes et arthropodes.

Glucide

Le cycle de Krebs (ou de Szent-Györgyi et Krebs, ou encore cycle de l'acide citrique) est une voie métabolique ayant lieu dans toutes les cellules, au niveau du cytoplasme pour les bactéries, ou de la mitochondrie chez les eucaryotes.
Rôle du cycle de Krebs
Le cycle de Krebs participe au métabolisme des glucides, des lipides et des protéines, mais il est surtout connu pour permettre la production d'énergie cellulaire sous forme de molécule de GTP. Il en produit une par cycle, à partir d'une molécule de GDP.
Les molécules qui interviennent dans le cycle de Krebs
Une molécule de citrate est peu à peu modifiée par des enzymes, en présence de cofacteurs. On compte huit étapes au total, soit huit molécules, du citrate de départ jusqu'au citrate final :
citrate ;isocitrate ;alphacétoglutarate ;succinyl CoA ;succinate ;fumarate ;malate ;oxaloacétate ;citrate.
D'autres molécules interviennent, comme l'acétyl-CoA, l'eau, le dioxyde de carbone (CO2), le NADH, le FADH2, le GTP...
Bilan du cycle de Krebs
Le cycle de Krebs produit au total :
2 molécules de CO2 ;3 molécules de NADH,H+ ;1 molécule de CoQH2 ;1 molécule de GTP.Champ lexical : cycle de Szent-Györgyi et Krebs | cycle de l'acide citrique

Cycle de Krebs

Saccharomyces cerevisiae (ou levure de bière, levure de boulanger) est un champignon très courant. Il est aussi un organisme modèle étudié dans les laboratoires de biologie pour étudier les eucaryotes. 
Classification de Saccharomyces cerevisiae
Saccharomyces cerevisiae est une levure unicellulaire, organisme eucaryote appartenant au règne des champignons et à la famille des saccharomycètes. 
Caractéristiques de Saccharomyces cerevisiae
Saccharomyces cerevisiae prend la forme d’une cellule ronde ou ovale de 5 à 10 micromètres de diamètre. Elle possède un génome à ADN double brin linéaire, de 13 millions de paires de bases partagées en 16 chromosomes (qui sont entièrement séquencés). Elle se réplique assez rapidement à 30 °C, environ toutes les deux heures. Elle peut vivre dans deux milieux différents : 
en milieu aérobie, en présence d’oxygène, où elle se reproduit rapidement grâce au processus de respiration ;en milieu anaérobie, où elle fermente, c'est-à-dire qu’elle convertit le sucre en alcool. C’est une levure communément utilisée en cuisine (pour faire monter la pâte) et pour la fabrication d’alcool.
Reproduction de Saccharomyces cerevisiae
Saccharomyces cerevisiae a la particularité, comme certains champignons, d'alterner entre reproduction sexuée et asexuée. Dans ce premier cas, elle se multiplie par l'intermédiaire de mitoses successives. Quand l'environnement devient moins hospitalier, la levure peut choisir d'échanger son patrimoine génétique avec une autre afin d'engendrer une descendance disposant éventuellement d'un patrimoine génétique lui permettant de mieux s'adapter aux conditions de vie.
Dans le cas de Saccharomyces cerevisiae, on ne parle pas de mâles ou de femelles mais de cellules a et α (alpha). Toutes deux sont haploïdes. La cellule a attire α via l'émission de phéromones d'accouplement. Après échange des génomes, la fécondation donne naissance à deux spores a et deux spores α.
Utilisation de Saccharomyces cerevisiae au laboratoire
Saccharomyces cerevisiae est un organisme modèle car elle est l’organisme eucaryote le plus simple. Les chercheurs peuvent donc essayer de comprendre les procédés des mécanismes biologiques basiques avant de le faire chez l’Homme. Elle présente l’avantage de se reproduire rapidement et peut également être transformée pour exprimer de nouveaux gènes, tester des molécules…Champ lexical : levure de bière | levure de boulanger

Saccharomyces cerevisiae

Autrement appelée thiamine, la vitamine B1 participe à la transformation du glucose en énergie. Elle est également essentielle au bon fonctionnement de notre mémoire et du système nerveux.

Sources de vitamine B1 

Pour faire le plein de vitamine B1, pensez au germe de blé, au jambon et à la viande de porc en général.

Rôles essentiels de la vitamine B1 dans l'organisme

La vitamine B1 joue un rôle crucial dans plusieurs processus métaboliques de l'organisme. Au-delà de sa contribution à la conversion des glucides en énergie, la thiamine est indispensable pour la synthèse de l'ATP, molécule qui fournit de l'énergie aux cellules. Elle participe également à la conduction nerveuse et à la contraction musculaire, influençant ainsi notre santé musculaire et neurologique.

Impact sur le système cardiovasculaire

La thiamine est également bénéfique pour le cœur. Elle aide à maintenir la fonction musculaire du cœur et joue un rôle dans la transmission des signaux électriques qui dictent le rythme cardiaque. Une carence en vitamine B1 peut conduire à des maladies cardiovasculaires, notamment la beribéri, qui affecte surtout le cœur et les systèmes circulatoire et nerveux.

Symptômes d'une carence en vitamine B1

La carence en vitamine B1 peut se manifester par plusieurs symptômes, tels que la fatigue, la faiblesse, l'irritabilité, la perte de poids, des troubles cardiaques et neurologiques. Le manque de vitamine B1 est particulièrement fréquent chez les individus souffrant de malnutrition, de troubles de l'alimentation ou d'alcoolisme chronique.

Détection et prévention de la carence en thiamine

La détection précoce de la carence en vitamine B1 est cruciale pour éviter ses complications. Elle peut être identifiée par des tests sanguins qui mesurent les niveaux de thiamine ou l'activité enzymatique dans le sang. Pour prévenir cette carence, il est conseillé de maintenir une alimentation équilibrée, riche en sources de thiamine comme les céréales complètes, les légumes secs, les noix et les protéines maigres.

Recommandations quotidiennes en vitamine B1

Les apports recommandés en vitamine B1 varient selon l'âge, le sexe et d'autres facteurs tels que la grossesse ou l'allaitement. En général, les hommes adultes ont besoin d'environ 1,2 mg de thiamine par jour, tandis que les femmes adultes nécessitent environ 1,1 mg. Pendant la grossesse ou l'allaitement, les besoins augmentent légèrement.

Rôles additionnels de la vitamine B1

Bien que ses rôles principaux soient liés à l'énergie et au système nerveux, la thiamine influence également d'autres fonctions corporelles. Elle a un impact sur le métabolisme des lipides et des protéines et contribue à la santé de la peau, des cheveux et des yeux. De plus, la recherche révèle que la vitamine B1 pourrait jouer un rôle dans l'amélioration de l'humeur et la réduction des symptômes de la dépression.

Conséquences d'un excès de vitamine B1

Heureusement, un excès de vitamine B1 est rare, car la thiamine hydrosoluble est excrétée dans l'urine lorsque le corps en possède en excès. Cependant, des doses très élevées de suppléments de thiamine peuvent entraîner des effets secondaires légers, tels que des maux de tête et des irritations cutanées.

Une alimentation équilibrée incluant une variété de sources de thiamine est essentielle pour maintenir ces fonctions corporelles vitales et éviter les complications associées à la carence en cette vitamine précieuse.

Vitamine B1

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La [popupdefinition id=6120]vitamine B2[/popupdefinition], ou riboflavine, est une vitamine hydrosoluble qui participe au [popupdefinition id=781]m&eacute;tabolisme[/popupdefinition] des [popupdefinition id=184]lipides[/popupdefinition], [popupdefinition id=499]glucides[/popupdefinition] et [popupdefinition id=237]prot&eacute;ines[/popupdefinition]. Elle a aussi un r&ocirc;le plus original puisque sa [popupdefinition id=4126]couleur[/popupdefinition] jaune est utilis&eacute;e comme [popupdefinition id=9179]additif alimentaire[/popupdefinition] (E 101). La vitamine B2 fait partie de la liste des m&eacute;dicaments essentiels &eacute;mise par l'[popupdefinition id=4321]Organisation mondiale de la Sant&eacute;[/popupdefinition].Utilis&eacute;e aussi contre les migraines, la vitamine B2 se&nbsp;retrouve en abondance dans le fromage de ch&egrave;vre, dans les [popupdefinition id=7667]amandes[/popupdefinition] ou la [popupdefinition id=15814]spiruline[/popupdefinition]. L'apport&nbsp;journalier&nbsp;recommand&eacute;&nbsp;pour un adulte est de 1,6 mg.&copy; Futura

La vitamine B2, importante pour le métabolisme

Les additifs alimentaires sont des substances ajoutées en faibles quantités aux aliments industriels pour en améliorer la saveur, la texture, l’apparence… Composés d’une molécule simple (contrairement aux ingrédients souvent plus complexes) ils possèdent tous un code, Exxx, attribué par la Commission du Codex Alimentarius.Classes des additifs alimentairesLes additifs alimentaires se décomposent en plusieurs groupes en fonction de leur rôle :les colorants ;les conservateurs ;les antioxydants ;les agents de texture (dont les émulsifiants et les amidons modifiés) ;les édulcorants ;les exhausteurs de goût ;les acidifiants...Réglementation des additifs alimentairesLes additifs alimentaires doivent être inscrits sur les emballages des produits et doivent figurer sur la liste des produits autorisés, sans leur utilisation est interdite.

Additif alimentaire

Le métabolisme définit l'ensemble des réactions couplées se produisant dans les cellules de l'organisme. Il est constitué de deux mécanismes opposés : 
le catabolisme : il permet d'extraire l'énergie des nutriments, par dégradation des molécules énergétiques (glucides, lipides...) ;l'anabolisme : il permet de synthétiser les constituants nécessaires à la structure et au bon fonctionnement des cellules.
On oppose également le métabolisme basal au métabolisme en activité.
Le métabolisme basal
Le métabolisme basal est l'ensemble des réactions qui permettent de maintenir l'organisme en vie et sont donc incompressibles. Il permet d'assurer la respiration, les battements de cœur, l'alimentation du cerveau, la température corporelle, la digestion...
Le métabolisme basal dépend de nombreux facteurs :
la taille ;le poids ;l'âge ;le sexe...
Il est généralement situé autour de 1.200 à 2.000 kilocalories par jour, devant être apportées par l'alimentation. Le surplus de kilocalories consommées est alors stocké ou doit être éliminé par l'activité physique. En cas de carence alimentaire (régime trop sévère), le métabolisme basal se modifie. Il apprend à consommer moins et à stocker davantage, d'où une prise de poids plus importante à la fin du régime.
Le métabolisme en activité
Le métabolisme en activité correspond à l'augmentation du besoin énergétique, nécessaire au bon fonctionnement de l'organisme lors de l'exercice physique. De l'énergie supplémentaire est en effet consommée par les muscles en activité, mais cette énergie dépend du degré d'activité.

Métabolisme

La vitamine B2, ou riboflavine, est une vitamine hydrosoluble qui est aussi un puissant antioxydant. C’est l’une des rares vitamines à être fabriquée dans l’organisme par les bactéries intestinales, mais en quantité insuffisante pour couvrir les besoins de l’organisme.Rôle de la vitamine B2La riboflavine intervient en tant que coenzyme, comme porteuse de protons dans les réactions redox des mécanismes énergétiques, et plus particulièrement dans l’oxydation du glucose, responsable de la libération d’énergie. Elle est aussi impliquée dans le métabolisme de la vitamine B6, le cycle de la niacine (vitamine B3), le cycle des folates et de la méthionine (un acide aminé). La riboflavine participe aussi à la respiration cellulaire dans les mitochondries et améliore la concentration en hémoglobine dans le sang. La vitamine B2 contribue ainsi à la réparation musculaire et à la bonne santé de la peau et des yeux.Sources de vitamine B2foie et rognon de veau, de génisse ou d’agneau : 2,3 à 4,3 mg/100 g ;levure de boulanger : 3,7 à 4 mg/100 g ;fromage à pâte molle et croûte fleurie (type camembert) : 4,2 mg/100 g ;persil séché, algue Nori séchée : 2,1 à 2,3 mg/100 g ;biscuits secs ou céréales de petit-déjeuner à teneur garantie en vitamines : 2 à 2,2 mg/100 g ;jambon, lait concentré, lait en poudre : 1,8 à 1,9 mg/100 g ;calmar : 1,7 mg/100 g ;maquereau et hareng fumé : 0,2 à 0,3 mg/100 g ;œufs : 0,5 mg/100 g ;noisettes : 1,5 mg/100 g.La vitamine B2 ne craint pas la chaleur. Hydrosoluble, elle se retrouve dans l'eau de cuisson ; il convient alors de privilégier la cuisson à la vapeur. Les aliments et compléments alimentaires qui contiennent de la B2 doivent être conservés dans des contenants opaques car la vitamine B2 est sensible la lumière.Vitamine B2 : apports journaliers recommandésnourrissons : 0,4 mg ;enfants de 1 à 3 ans : 0,8 mg ;enfants et adolescents : 1 à 1,6 mg ;adultes : 1,5 à 1,6 mg.À ce jour, il n’existe aucun effet néfaste connu de la riboflavine même à forte dose.Signes de carence en vitamine B2Les carences en vitamine B2 sont très rares dans le pays occidentaux, et souvent associées à d’autres carences vitaminiques. Un déficit en vitamine B2 se traduit par des problèmes de peau, des muqueuses (dermite séborrhéique, hyperpigmentation, chéilite…) et des yeux (photophobie, hypervascularisation conjonctivale).La riboflavine comme additif alimentaireLa riboflavine est caractérisée par sa couleur jaune. Elle est d’ailleurs utilisée comme additif alimentaire sous le code E101 dans les confiseries, fruits en conserve, produits laitiers, purées, poisson fumé ou certains spiritueux. Les codes E101i et E101ii désignent respectivement la riboflavine naturelle et la riboflavine-5'-phosphate sodium obtenues par synthèse.

Vitamine B2

De son nom scientifique Arthrospira platensis, la spiruline est couramment désignée comme une algue bleue. Elle se développe dans les eaux chaudes, alcalines et riches en nutriments. Consommée depuis l’Antiquité, elle possède d’innombrables vertus pour la santé.Vertus de la spirulineVoilà un superaliment malheureusement trop peu consommé ! Les vertus de la spiruline sont nombreuses. Celle-ci est tout particulièrement riche en vitamines du groupe B. Plus précisément les vitamines B1, B2, B3, B5, B6, B8, B9 et B12 ! Ce n’est pas tout, vous trouverez également vitamine E et vitamine K, calcium, fer, bêta-carotène…Par ailleurs, la spiruline contient des quantités intéressantes de chlorophylle. Cette dernière permet à l’organisme de capter le magnésium organique nécessaire à l’équilibre acido-basique. La spiruline concentre donc un véritable cocktail de nutriments bons pour la santé.Spiruline en poudre, brindilles, paillettes…La spiruline se présente sous plusieurs formes : brindilles, paillettes, poudre… Vous pourrez d'ailleurs la trouver dans des compléments alimentaires sous forme de gélules ou comprimés. Ces galéniques permettent d'éviter d'éventuels problèmes de goût et de dosage précis, puisqu’il est déconseillé d'en consommer plus de 5 g / jour. Cependant, les gélules présentent un inconvénient, les géluleuses chauffant obligatoirement la poudre de spiruline ce qui a tendance à détériorer son profil nutritionnel. Les comprimés de spiruline bio sont à privilégier à condition qu’ils soient 100% purs, c’est-à-dire sans agent de compression comme la silice ou le talc.De nombreuses études ont été menées sur l’action de cette algue sur le cholestérol. Un travail américain de 2010 a mis en évidence l’action positive de l’acide gamma linolénique et de la vitamine B3 contenus dans la spiruline sur la baisse du mauvais cholestérol. Enfin, elle agirait également sur le taux de sucre et donc le risque de développer un diabète de type 2.La spiruline serait par ailleurs efficace contre l’anémie. Un travail réalisé en France en 2001 a montré l’importante biodisponibilité du fer contenu dans cette algue. Elle serait même supérieure à celle du fer présent dans la viande de bœuf !Dosages recommandés et dangersAttention toutefois à ne pas en abuser. La quantité recommandée entre 3 g et 5 g par jour. À hautes doses, elle risque en effet de provoquer des troubles gastro-intestinaux et des maux de tête. Évitez également d’en consommer le soir, elle peut avoir un effet stimulant chez certaines personnes.Sources : Puyfoulhoux G., Rouanet JM., Besançon P., Baroux B., Baccou J.C., Caporiccio B., Iron avaibility from iron-fortified spirulina by an in vitro digestion/ Caco-2 cell culture model – Journal of Agricultural and Fodd Chemistry, 2001, 49: pp. 1625-1629 Mani U.V, Desai S., Iyer U.M., Studies on the Long-Term Effect of Supplmentation on Serum Lipid Profile and Glycated Proteins in NIDDM Patients - Journal of Nutraceuticals, Functional and Medical Foods, 2000, 2(3)-25-32

Spiruline

L’amande est un fruit sec très nutritif. L’amande se récolte dès le mois de juin (amande verte) et jusqu’au mois d’octobre où elle atteint sa pleine maturité.Qualités nutritionnelles de l’amandeAugmentant la satiété, les amandes sont source de minéraux et nutriments essentiels (magnésium, manganèse, cuivre, phosphore, fer, zinc, calcium, potassium...). Elles contiennent également des oméga-3, sources de bienfaits pour le système cardiovasculaire. La vitamine E est aussi présente en grandes quantités.Variétés d’amandesLes amandes sont cultivées dans les régions du monde possédant un climat méditerranéen : Corse, Provence, Californie, Espagne, Tunisie. Il existe : des variétés d’amandes à coque tendre ; des variétés d’amandes amères (pour la pharmacologie) ; et des variétés d’amandes douces (pour la cuisine). Les laits végétaux sont-ils bons pour la santé ?Achetées avec coques, elles en sont débarrassées avant d’être préparées pour votre recette. Pour les amandes fraîches, ôtez aussi leur « chemise » pour un meilleur goût.Son huile peut être utilisée en cosmétique pour ses vertus adoucissantes, hydratantes et apaisantes.

Amande

La couleur, c'est ce qui permet de différencier deux objets de formes et de structures identiques, par exemple le drapeau italien du drapeau français. C'est aussi ce qui n'est ni blanc, ni gris, ni noir. Le blanc et le noir étant les bornes de la gamme des gris neutres.
Quelquefois, la couleur est utilisée pour désigner un objet, comme dans le cas d’un tube de rouge pour parler du rouge à lèvres, par exemple. La couleur est aussi parfois confondue avec la tonalité. Par exemple dans un ton vert, il y a plusieurs couleurs vertes, plus ou moins claires ou foncées. Une couleur est unique.
Il existe deux systèmes trichromatiques (trois couleurs primaires) :
par synthèse additive, dont les couleurs primaires sont rouge, vert et bleu (RVB) ;et par synthèse soustractive, dont les couleurs primaires sont cyan, magenta et jaune (CMJ).
La couleur du physicien
La couleur, c’est aussi la sensation produite par un rayonnement physiquement défini appelé stimulus. Celui-ci pénètre dans l'œil et est capté par des millions de cônes répartis dans la rétine mais surtout concentrés dans sa partie centrale, la fovéa, siège de la vision la plus distincte.
Pour le physicien, le terme de couleur renvoie donc à la couleur spectrale, c’est-à-dire à la perception sensorielle de l’œil humain en fonction de la longueur d’onde de la lumière qu’il reçoit. Ainsi, une lumière de longueur d’onde 550 nm est perçue comme étant de couleur verte. Le spectre visible est composé des sept couleurs de l’arc-en-ciel, soit rouge, orange, jaune, vert, bleu, indigo et violet. Le vert étant la couleur à laquelle l’œil humain est le plus sensible.
 L’œil humain peut différencier près de huit millions de nuances de couleurs. Pourtant, cet organe si avancé ne donne que peu d’informations à notre cortex pour créer une image. Alors que se passe-t-il exactement lorsque nous voyons ? Unisciel et l’université de Lille 1 nous expliquent, avec le programme Kézako, le fonctionnement de ce surprenant organe. © Unisciel
La production des couleurs
C’est en interagissant (absorption, diffusion, réfraction, interférences ou diffraction) avec la matière que la lumière produit des couleurs. La couleur bleue du ciel est ainsi le résultat d'une combinaison de plusieurs de ces phénomènes.
L’absorption de lumière est l’un des principaux mécanismes qui entrent dans le jeu des couleurs dans la vie courante. En effet, la plupart des matériaux ont pour particularité d’absorber certaines longueurs d’ondes de la lumière. Si, par exemple, les carottes nous apparaissent orange, c’est qu’elles contiennent du bêtacarotène qui absorbe les longueurs d’ondes comprises entre le violet et le vert et réfléchit la partie du spectre allant du rouge au vert.
La couleur du physicien des particules
Le physicien des particules utilise le terme « couleur » pour désigner un nombre quantique attribué aux quarks et aux gluons. Ainsi, les quarks existent en trois couleurs : rouge, bleu et vert. Les hadrons, quant à eux, sont de couleur neutre, c’est-à-dire blancs. Cependant, aucun rapport ici avec une perception visuelle que nous pourrions en avoir.
La notion de charge de couleur a été introduite pour expliquer la coexistence des quarks au sein des hadrons, tout en satisfaisant le principe d’exclusion de Pauli. Aujourd’hui, la chromodynamique quantique joue un rôle important dans le modèle standard de la physique des particules.

Couleur

Les protéines sont des molécules biologiques dont les activités peuvent être très variées.Rôles des protéinesLes protéines peuvent assurer des fonctions très diverses au sein de la cellule ou de l’organisme. Elles peuvent avoir :un rôle structural (comme l’actine ou la tubuline qui participent à l’architecture de la cellule, la kératine qui constitue les cheveux) ;un rôle enzymatique (comme l’ADN polymérase qui recopie l’ADN) ;un rôle hormonal (comme l’insuline qui régule la glycémie) ;un rôle moteur (comme la myosine qui transporte des molécules dans la cellule)…Fabrication des protéinesLes protéines sont codées par les gènes et synthétisées par le ribosome au cours du processus de traduction de l’ARN. Elles sont ainsi créées par l’incorporation successive d’acides aminés, maintenus entre eux grâce à la formation de liaisons peptidiques, selon l’ordre indiqué par la succession des codons sur l’ARN.Structure des protéinesSuivant l’ordre des acides aminés et leurs interactions entre eux, les protéines prennent des conformations particulières, qui sont essentielles pour leur fonctionnalité. Il existe des structures rencontrées très fréquemment :les hélices alpha, où les acides aminés forment une hélice grâce à des liaisons hydrogènes entre eux ;les feuillets beta, où les liaisons hydrogènes entre les acides aminés favorisent la formation de couches superposées.Des modifications chimiques post-traductionnelles peuvent aussi participer à leur fonction (des acétylations, des phosphorylations, des ponts disulfures...).Quels sont les aliments les plus riches en protéines ?Il est important de savoir quels sont les aliments possédant le plus de protéines car elles sont essentielles pour notre organisme. Leur rôle est également primordial dans la métabolisation et la circulation des éléments dans notre sang (fer, calcium, magnésium). Voici une liste non exhaustive d'aliments très riches en protéines :viande séchée (51 g pour 100 g) ;œufs (13 g pour 100 g) ;saumon fumé (23 g pour 100 g) ;fromage blanc allégé (10,6 g pour 100 g) ;farine de soja (45 g pour 100 g).

Protéine

Les lipides sont des corps gras, c'est-à-dire des molécules hydrophobes ou amphiphatiques (une partie hydrophobe et une partie hydrophile).Caractéristiques des lipidesLes lipides sont caractérisés par leur insolubilité dans l'eau et, au contraire, par leur solubilité dans les solvants organiques non polaires.Le côté amphiphatique des lipides les pousse à s'associer entre eux pour éviter le contact avec l'eau. Les parties hydrophiles (en blanc) restent en contact avec l'eau, alors que les parties hydrophobes (en jaune) restent associées. C'est ce phénomène qui conduit à la formation de liposomes, de micelles, ou de la bicouche lipidique (des membranes cellulaires). © Domaine publicDiversité des lipidesSelon le classement de l’Union internationale de chimie pure et appliquée (IUPAC), il existe huit variétés de lipides :
les acides gras (dont les oméga-3);
les acylglycérols (ou glycérides, dont les triglycérides) ;
les phosphoacylglycérols (ou phosphoglycérides) ;
les sphingolipides ;
les stérols (dont le cholestérol) ;
les prénols ;
les polykétides ;
les saccharolipides (ou glycolipides).
Rôle des lipidesLes cires et les huiles végétales sont constituées de lipides. Dans l'alimentation, ce sont les lipides qui apportent le plus de calories (9,3 kilocalories par gramme). Les lipides exercent une grande variété de fonctions biologiques, parmi lesquelles :
la production d'énergie par β-oxydation principalement ;
la transmission de messages hormonaux (œstrogène, testostérone...) ;
ils jouent un rôle essentiel dans la cellule en tant que constituants de la trame des bicouches lipidiques des membranes cellulaires.
Les corps gras, comme l'huile et le beurre, sont riches en lipides. © charlottelake, Adobe StockLa consommation d’aliments riches en lipidesLes lipides, appelés « graisses » dans le langage courant, sont source d’énergie pour l’organisme humain. Les lipides, et surtout les acides gras insaturés, sont essentiels au bon fonctionnement des membranes cérébrales et contribuent à bonne élasticité de la peau. Il est à noter toutefois que la consommation en excès d'acides gras saturés (AGS), que l’on trouve dans les aliments d’origine animale, est néfaste pour la santé.Sur son site, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) précise : « Comme pour tout nutriment, des apports excessifs en lipides peuvent être néfastes pour la santé. La part recommandée des lipides dans l'apport énergétique est de 35 à 40 % […] La limite haute de cette fourchette est dépassée en France par environ 43 % des adultes et 34 % des enfants. »Le beurre, les huiles végétales, le saumon, les viennoiseries et les produits industriels sont des aliments riches en lipides.

Lipide

15338_la-vitamine-b2--importante-pour-le-metabolisme

Derri&egrave;re le nom de [popupdefinition id=6121]vitamine B3[/popupdefinition] se cache en r&eacute;alit&eacute; deux [popupdefinition id=783]mol&eacute;cules[/popupdefinition] distinctes : la [popupdefinition id=789]niacine[/popupdefinition] et le nicotinamide. On l'appelle aussi vitamine [popupdefinition id=16673]PP[/popupdefinition]. La vitamine B3 est le pr&eacute;curseur du NAD+ et du NADP+, deux [popupdefinition id=691]coenzymes[/popupdefinition] indispensables au [popupdefinition id=781]m&eacute;tabolisme[/popupdefinition]. Comme les autres vitamines du&nbsp;groupe B, elle est indispensable &agrave; la m&eacute;tabolisation des [popupdefinition id=499]glucides[/popupdefinition], [popupdefinition id=184]lipides[/popupdefinition] et [popupdefinition id=237]prot&eacute;ines[/popupdefinition].Les [popupdefinition id=674]carences[/popupdefinition] <a href="https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/cancer-forme-vitamine-b3-reduit-risque-cancers-peau-58255/" title="Une forme de vitamine B3 r&eacute;duit le risque de cancers de la peau">en vitamine B3</a> sont rares dans les pays d&eacute;velopp&eacute;s, bien que les alcooliques chroniques et les femmes enceintes puissent en souffrir. Un manque de cette vitamine&nbsp;provoque la pellagre, une maladie li&eacute;e &agrave; la malnutrition&nbsp;qui se manifeste par une [popupdefinition id=3234]dermatite[/popupdefinition], des [popupdefinition id=3246]diarrh&eacute;es[/popupdefinition] et la [popupdefinition id=3227]d&eacute;mence[/popupdefinition] dans&nbsp;les formes les plus s&eacute;v&egrave;res.Les aliments sources de vitamine B3 sont essentiellement&nbsp;les abats et les [popupdefinition id=12772]levures[/popupdefinition] alimentaires, mais aussi dans les [popupdefinition id=14469]champignons[/popupdefinition] shiitake entre autres. Il est conseill&eacute; pour un adulte de consommer 13 mg de vitamine B3 chaque jour.&copy; Futura&nbsp;

La vitamine B3, précurseur de coenzymes vitaux

La démence est une diminution de toutes les facultés intellectuelles d'un individu, à la suite d'une pathologie cérébrale organique.

Démence

La diarrhée est l'évacuation fréquente de selles molles et riches en eau. Généralement, elle constitue le symptôme de certains types de grippes, d'intoxications alimentaires et elle peut même apparaître après l'absorption d'aliments épicés. Si elle n'est pas traitée, la diarrhée peut conduire à une déshydratation.

Diarrhée

Acide nicotinique, vitamine B3, vitamine PP, vitamine antipellagreuse. Vitamine hydrosoluble faisant partie de la structure du NAD et du NADP, des coenzymes nécessaires à de nombreuses réactions d'oxydoréduction. Les aliments riches en protéines (viande, volaille, poisson, levure, arachides) sont de bonnes sources de niacine. Cette vitamine est également synthétisée en quantité insuffisante à partir du tryptophane dans l'organisme humain. Une carence en niacine entraîne le pellagre.

Niacine

Les champignons, ou plus justement les mycètes, regroupent de nombreuses espèces, formant ensemble l’un des cinq règnes du vivant. Bien que longtemps considérés comme des algues, et donc des plantes, ils se distinguent du règne végétal par de nombreuses caractéristiques, notamment par l’absence de chloroplastes, faisant d’eux des êtres hétérotrophes pour le carbone. D’après la classification phylogénétique, ils sont plus proches des animaux, formant avec eux l’essentiel du super-règne des opistochontes. Tous dérivent en effet d’un ancêtre eucaryote aquatique capable de se mouvoir à l’aide d’un flagelle.
Caractéristiques des champignons
Les mycètes présentent une grande diversité, certains étant unicellulaires (les levures) tandis que la plupart sont pluricellulaires. Tous sont eucaryotes et hétérotrophes, se nourrissant par nécrotrophie (matière organique inerte), biotrophie (parasitisme, comme les mycoses), ou symbiose (comme les lichens). Ils synthétisent des molécules qui ne sont pas retrouvées ailleurs dans le domaine du vivant. Enfin, ils se reproduisent par l’intermédiaire de spores non flagellées (voire uniflagellées), contenues dans des structures spéciales appelées sporophores. Chez les eumycètes, les champignons qui peuvent être cueillis, ce sont les sporophores (formés du pied et du chapeau) qui sont apparents et récoltés.
Classification des champignons
Le règne des mycètes se divise en quatre grands taxons, aux caractéristiques propres :
 les ascomycètes, produisent des spores regroupées en général par huit et contenues dans un sac, appelé asque, duquel elles sont projetées à maturité ; les basidiomycètes, dont les spores non flagellées se développent à l’extrémité des basides, cellules spécialisées, avant dispersion par le vent ; les chytridiomycètes, seuls champignons à posséder encore des spores uniflagellées, critère qui permet de les considérer comme des mycètes primitifs ; les gloméromycètes. 
Les oomycètes et les myxomycètes, autrefois rangés dans le règne fongique, ont depuis été exclus et rangés dans d’autres taxons.Champ lexical : mycète | fungi

Champignon

La levure désigne originellement des champignons unicellulaires capables de provoquer la fermentation des matières animales ou végétales. Ce nom provient de l’aptitude de la levure de boulanger Saccharomyces cerevisae à faire lever la pâte à pain. Elle n’a rien à voir avec la levure chimique, ou levain, qui ne correspond qu’à une poudre chimique, principalement composée de bicarbonate de sodium et d’acide tartrique, elle aussi utilisée en boulangerie dans le même but.
Les levures, des champignons microscopiques
La plus célèbre des levures est donc Saccharomyces cerevisae mais elle n’est pas la seule. L’expression regroupe de nombreuses espèces de champignons unicellulaires parmi lesquels le genre Candida, connu pour causer des mycoses chez l’Homme, Leucosporidium, Rhodotolura, Torulopsis ou Trichosporon...
Caractéristiques des levures
Les levures possèdent toutes une membrane plasmique protégée des agressions extérieures par une paroi cellulaire. En tant qu’eucaryotes, elles possèdent un noyau clairement délimité et différents chromosomes. On y trouve aussi des mitochondries, organites cellulaires capables de fournir de l’énergie à partir du dioxygène. Les levures réalisent la reproduction sexuée ou asexuée en fonction du contexte.
Les levures et la fermentation
La fermentation consiste en une réaction chimique d’oxydoréduction sur une structure carbonée dans un milieu dépourvu de dioxygène. Ainsi, les levures comme certaines bactéries peuvent survivre dans un environnement anaérobie à partir de molécules carbonées comme des sucres. Dans ce contexte, les levures parviennent à survivre en décomposant cette molécule en une autre plus petite, avec émission de dioxyde de carbone.
C’est ce dioxyde de carbone qui va permettre à la levure de boulanger de faire lever la pâte à pain. Le gaz cherche à s’échapper, ce qui gonfle l’ensemble de la structure.
Le levain, ou levure chimique
La levure chimique, quant à elle, n’est pas vivante. Il s’agit juste d’utiliser une réaction d’oxydoréduction afin d’aboutir, sous certaines conditions de chaleur et d’humidité, à l’émission de dioxyde de carbone à partir de composés plus complexes comme du bicarbonate de sodium (25 %) et de l’acide tartrique (60 %). Une fois encore, c’est le dégagement de dioxyde de carbone qui lève la pâte.

Levure

Le terme de polypropylène (PP) — ou de polypropène — renvoie à un polymère thermoplastique semi-cristallin synthétisé pour la première fois au milieu des années 1950.
Le polypropylène est issu de la polymérisation de monomères propylène — un hydrocarbure simple de la classe des alcènes (CH2=CH-CH3) et la seconde molécule de la pétrochimie — en présence de catalyseurs. Historiquement, les premiers catalyseurs employés ont permis de produire du polypropylène dit isotactique. Comprenez que la chaîne de ses monomères présente tous ses groupes méthyle du même côté du squelette carboné. De quoi assurer au polypropylène, une grande rigidité à la flexion. Des catalyseurs modifiés ont ensuite permis de synthétiser du polypropylène syndiotactique — alternance régulière de l’orientation des groupes méthyle — puis atactique – répartition au hasard des groupes méthyle le long de la chaîne. Aujourd’hui, de nouveaux catalyseurs permettent d’augmenter encore la productivité, de se passer de l’usage de solvants et de maîtriser la tacticité du polypropylène produit.
Les pailles qu’affectionnent nos enfants sont faites de polypropylène. © photoAC, Pixabay, CC0 Creative Commons
Les usages du polypropylène
Le polypropylène d’intérêt industriel est essentiellement isotactique. Il peut être moulé ou extrudé pour fabriquer des objets. En plus d’être bon marché, alimentaire, indéchirable, chimiquement inerte, stérilisable et recyclable, ce sont alors ses qualités de dureté, de flexibilité, de poids et de tenue thermique qui sont les plus recherchées. Le polypropylène peut aussi être filé pour servir à fabriquer des textiles, essentiellement industriels ou de ménage (combinaisons de peinture, masques chirurgicaux, etc.).
Ainsi, on trouve des pièces en polypropylène dans nos voitures : pare-chocs, tableaux de bord, etc. Résistant aux graisses, ce matériau est également intéressant pour l’industrie de l’emballage alimentaire. Il peut par exemple avantageusement contenir du beurre. On en trouve aussi au cœur de la vaisselle qui résiste au lave-vaisselle ou au four à micro-ondes.Champ lexical : polypropène | pP

Polypropylène

Une carence provient d’un déséquilibre entre les apports alimentaires et les besoins en macronutriments (protéines, lipides, glucides) et micronutriments (vitamines et oligo-éléments). Ses causes peuvent être multiples (maladie, mauvaise alimentation, trouble du comportement alimentaire…) et elle concerne tous les âges de la vie (nouveau-nés, enfants en période de croissance, personnes âgées…).Le risque est évidemment bien plus élevé chez les sujets dénutris, cependant même des individus en surpoids peuvent être concernés si leur alimentation est déséquilibrée. Les personnes suivant un régime spécifique (végétalien par exemple) sont aussi plus exposées. Enfin, certains médicaments ou aliments entraînent une malabsorption des nutriments pouvant induire une carence. Les antibiotiques, l’alcool, le tabac ou le café à haute dose empêchent par exemple l’assimilation de vitamine B12.Quand parle-t-on de carence ?Il est difficile de déterminer un seuil absolu de carence. Les besoins varient selon l’âge et l’activité et sont différents d’une population à l’autre. Le consensus scientifique est par ailleurs susceptible de varier au cours du temps. On considère par exemple qu’un individu est en situation de carence en vitamine B12 lorsque le taux dans le sérum sanguin est inférieur à 200 pg/mol, mais certaines études récentes avancent que le seuil se trouverait plutôt entre 500 et 600 pg/mol. Selon le niveau défini, on parlera ainsi de «carence» en vitamine D pour des apports inférieurs à 10 ou 12 ng/mL, mais d’un « déficit » pour une concentration inférieure à 20 ng/mL et d’une «insuffisance» en dessous de 30 mL. Enfin, un apport inférieur à l’apport recommandé n’implique pas forcément une carence, mais seulement une probabilité de carence, probabilité d’autant plus élevée qu’on s’éloigne de l’apport recommandé. De nombreuses maladies sont associées aux carences alimentaires. © Shahin, FotoliaConséquences des carencesLes carences alimentaires ont de multiples conséquences sur la santé. Des apports insuffisants en fer s’accompagnent par exemple d’une anémie générale et d’une moindre résistance aux infections. Un manque de vitamine B12 entraîne des troubles digestifs, un fourmillement et engourdissent des membres et un essoufflement. Dans les cas graves, les carences se transforment en maladies potentiellement mortelles. Une carence en vitamine D est associée au rachitisme ou à l’ostéomalacie, une carence en vitamine C conduit au scorbut et un grave manque de vitamine A amène à la xérophtalmie entraînant une cécité. De manière générale, une carence affaiblit l’organisme et augmente aussi la probabilité de survenue d’autres maladies. Champ lexical : carence alimentaire | déficit alimentaireChamp lexical : carence alimentaire | déficit alimentaire

Carence

Très proche de la vitamine B2, la vitamine B3 est également appelée vitamine PP car sa carence provoque la pellagre, une maladie de peau assez rare qui peut évoluer jusqu’à la démence. Cette vitamine favorise la production des acides gras, des hormones sexuelles et des globules rouges. Sources de vitamine B3Là encore vous en trouverez dans le foie de veau, les céréales, les anchois, le thon, le saumon, la viande de porc.

Vitamine B3

La dermatite est une inflammation de la peau.

Dermatite

Un coenzyme est une molécule organique permettant à des enzymes de catalyser une réaction : un coenzyme est un cofacteur d’enzyme. Cependant, coenzyme et cofacteur ne sont pas des termes synonymes : il existe des cofacteurs qui sont des ions métalliques comme Zn2+, et non des molécules organiques comme les coenzymes.Plusieurs coenzymes sont dérivées de vitamines, comme NAD et NADP qui dérivent de la vitamine PP (ou B3). Les coenzymes subissent des modifications chimiques lors des réactions enzymatiques auxquelles ils participent.Exemples de coenzymesVoici des exemples de coenzymes :La biotine (vitamine H), un cofacteur de carboxylases. Elle joue un rôle dans la néoglucogenèse. La biotine est fabriquée par des bactéries de la flore intestinale.la cobalamine (vitamine B12) : fabriquée par des bactéries, des champignons et des algues, elle est indispensable à la formation des cellules sanguines. Les végétaliens peuvent manquer de vitamine B12 car cette vitamine se trouve dans les viandes, poissons, œufs, laitages.Le coenzyme A, dérivé de la vitamine B5 (acide pantothénique). Dans l’organisme, le coenzyme A est souvent associé à un groupement acétyl pour former l’acétyl-coenzymeA ou acétyl-CoA. L’acétyl-coA produit de la glycolyse anaérobie ; c’est un intermédiaire important dans le métabolisme des glucides, des lipides et des protéines.Le coenzyme Q10 ou ubiquinone : ce coenzyme joue un rôle important dans la formation d’ATP dans la mitochondrie. Le coenzyme Q10 existe sous forme de compléments alimentaires, utilisés par les sportifs, mais aussi contre des troubles cardiovasculaires. Antioxydant, il est aussi présent dans des crèmes anti-âge.Les coenzymes nicotinamide NAD (nicotinamide adénine dinucléotide) et NADP (nicotinamide adénine dinucléotide phosphate), deux cofacteurs de réactions d’oxydoréductions. NAD+ est un agent d’oxydation et NADH (associé à proton H+), un agent de réduction. Le système NADH/H+ a pour fonction de transférer des électrons.Le FAD (flavine adénine dinucléotide), qui dérive de la riboflavine (vitamine B2).

Coenzyme

15339_la-vitamine-b3--precurseur-de-coenzymes-vitaux

La [popupdefinition id=21113]vitamine B5[/popupdefinition] est une vitamine hydrosoluble pr&eacute;curseur du [popupdefinition id=691]coenzyme[/popupdefinition] A. Comme toutes les vitamines du groupe B, elle intervient dans des voies m&eacute;taboliques essentielles. Elle est aussi utilis&eacute;e comme traitement contre l'[popupdefinition id=2924]acn&eacute;[/popupdefinition] &agrave; forte de dose, environ 4 grammes par jour.On la retrouve dans bon nombre d'aliments comme la [popupdefinition id=12772]levure[/popupdefinition], les &oelig;ufs ou les [popupdefinition id=10415]poissons[/popupdefinition] gras. L'apport journalier recommand&eacute; est de 5 mg pour les adultes.&copy; Futura

La vitamine B5, présente dans les œufs et le poisson

La vitamine B5, également connue sous le nom d'acide pantothénique, est une vitamine hydrosoluble essentielle au bon fonctionnement de l'organisme. Son nom dérive du grec « pantothen », signifiant « de partout », reflétant ainsi sa présence dans une grande variété d'aliments. Cette vitamine joue un rôle clé dans de nombreux processus physiologiques, ce qui en fait un élément crucial pour la santé générale.Quels sont les rôles de la vitamine B5 ? Rôle métabolique : la vitamine B5 est fondamentale dans le métabolisme des protéines, des glucides et des lipides. Elle est un composant essentiel du coenzyme A (CoA) et de l'acyle porteur de protéines (ACP pour acyl carrier protein, en anglais), des molécules impliquées dans de nombreuses voies métaboliques, notamment dans la synthèse et l'oxydation des acides gras. Ce rôle central dans le métabolisme énergétique fait de la vitamine B5 un élément vital pour la conversion des aliments en énergie.Santé de la peau et des cheveux : la vitamine B5 est réputée pour ses bienfaits sur la peau et les cheveux. Elle contribue à la production et à la réparation des cellules cutanées et est souvent utilisée dans des produits cosmétiques pour ses propriétés hydratantes. Elle joue également un rôle dans la réduction des signes de vieillissement cutané comme les rides et les taches de vieillesse.Fonctionnement du système nerveux : la vitamine B5 est importante pour la synthèse des neurotransmetteurs, des substances chimiques qui transmettent les signaux dans le cerveau. Elle aide ainsi à maintenir la santé et la fonctionnalité du système nerveux.Réponse au stress : la vitamine B5 est impliquée dans la production d'hormones liées au stress, notamment les corticostéroïdes sécrétés par les glandes surrénales. Cela la rend essentielle dans la gestion des réponses de l'organisme au stress.Quelles sont les sources de vitamine B5 ? On trouve la vitamine B5 dans une grande variété d'aliments, ce qui rend les carences assez rares. Les sources riches en vitamine B5 comprennent les viandes, les abats (foie et rein), les œufs, les avocats, les légumineuses, les grains entiers, les noix et les graines.Bien que rare, une carence en vitamine B5 peut entraîner des symptômes comme la fatigue, l'irritabilité, les troubles du sommeil, et les problèmes gastro-intestinaux. La supplémentation peut être nécessaire dans certains cas, notamment chez les personnes ayant des besoins accrus ou des restrictions alimentaires spécifiques.

Vitamine B5

L’acné est une inflammation des glandes sébacées, les glandes qui produisent le sébum au niveau des follicules pilo-sébacés de la peau. Cette affection qui touche surtout les adolescents mais aussi des adultes conduit à la formation de boutons sur le visage, le dos, le cou et la partie supérieure du thorax. Normalement, le sébum est un liquide fluide mais dans l’acné il est plus épais et les pores de la peau sont bouchés par des cellules mortes.Une acné importante peut laisser des cicatrices sur la peau. Les principales manifestations de l’acné sont :• les points blancs ou comédons fermés : le sébum bouche le canal de la glande sébacée,• les points noirs, ou comédons ouverts,• les papules, des boutons rouges inflammatoires sans pus,• les pustules, des boutons rouges avec du pus, d'où la présence d'une tête blanche,• les nodules, de petites bosses qui peuvent laisser des cicatrices en se rompant,• des kystes, des bosses qui ne disparaissent pas spontanément, avec du liquide emprisonné dans une coque fibreuse.Les traitements de l’acné et les précautions à prendreL’acné est associée à la multiplication de bactéries Propionibacterium acnes qui prolifèrent dans cet environnement gras. Lors des poussées d’acné, il est conseillé de ne pas toucher les boutons, ce qui pourrait aggraver la situation. L’exposition au soleil sans protection est déconseillée. Si l’acné est importante et ne passe pas, il est possible de consulter son médecin.Le traitement local de l’acné utilise des crèmes, gels et lotions à appliquer sur la peau et contenant les molécules suivantes : peroxyde de benzoyle, rétinoïde, acide azélaïque. Attention certains traitements sont déconseillés aux femmes enceintes ou à celles qui ont des projets de grossesse. Des traitements locaux ou oraux à base d’antibiotiques sont aussi possibles, mais il faut les utiliser avec beaucoup de précautions en raison de la montée de l’antibiorésistance : un traitement antibiotique n’est jamais anodin. L’acné sévère peut aussi être traitée par de l’isotrétinoïde, mais, cette molécule étant tératogène, une contraception est obligatoire en complément pour les jeunes filles et les femmes.

Acné

15340_la-vitamine-b5--presente-dans-les-oeufs-et-le-poisson

La [popupdefinition id=21010]vitamine B6[/popupdefinition] existe sous trois formes principales : la pyridoxine, le pyridoxal, et la pyridoxamine. Sixi&egrave;me vitamine de la famille des vitamines B, elle contribue au bon fonctionnement cellulaire, notamment celui&nbsp;de la peau et du syst&egrave;me nerveux. La [popupdefinition id=674]carence[/popupdefinition]&nbsp;en vitamine B6 est&nbsp;rare&nbsp;mais elle peut survenir chez les alcooliques chroniques.Cette vitamine est pr&eacute;sente dans des aliments tels que les [popupdefinition id=10415]poissons[/popupdefinition] et les fruits de mer, les [popupdefinition id=19629]noix[/popupdefinition] et certains fruits. Les apports journaliers conseill&eacute;s sont de 1,5 &agrave; 1,8 mg pour les adultes. Le r&eacute;gime occidental les couvre largement.&copy; Futura

La vitamine B6 existe sous trois formes

Une carence provient d’un déséquilibre entre les apports alimentaires et les besoins en macronutriments (protéines, lipides, glucides) et micronutriments (vitamines et oligo-éléments). Ses causes peuvent être multiples (maladie, mauvaise alimentation, trouble du comportement alimentaire…) et elle concerne tous les âges de la vie (nouveau-nés, enfants en période de croissance, personnes âgées…).Le risque est évidemment bien plus élevé chez les sujets dénutris, cependant même des individus en surpoids peuvent être concernés si leur alimentation est déséquilibrée. Les personnes suivant un régime spécifique (végétalien par exemple) sont aussi plus exposées. Enfin, certains médicaments ou aliments entraînent une malabsorption des nutriments pouvant induire une carence. Les antibiotiques, l’alcool, le tabac ou le café à haute dose empêchent par exemple l’assimilation de vitamine B12.Quand parle-t-on de carence ?Il est difficile de déterminer un seuil absolu de carence. Les besoins varient selon l’âge et l’activité et sont différents d’une population à l’autre. Le consensus scientifique est par ailleurs susceptible de varier au cours du temps. On considère par exemple qu’un individu est en situation de carence en vitamine B12 lorsque le taux dans le sérum sanguin est inférieur à 200 pg/mol, mais certaines études récentes avancent que le seuil se trouverait plutôt entre 500 et 600 pg/mol. Selon le niveau défini, on parlera ainsi de «carence» en vitamine D pour des apports inférieurs à 10 ou 12 ng/mL, mais d’un « déficit » pour une concentration inférieure à 20 ng/mL et d’une «insuffisance» en dessous de 30 mL. Enfin, un apport inférieur à l’apport recommandé n’implique pas forcément une carence, mais seulement une probabilité de carence, probabilité d’autant plus élevée qu’on s’éloigne de l’apport recommandé. De nombreuses maladies sont associées aux carences alimentaires. © Shahin, FotoliaConséquences des carencesLes carences alimentaires ont de multiples conséquences sur la santé. Des apports insuffisants en fer s’accompagnent par exemple d’une anémie générale et d’une moindre résistance aux infections. Un manque de vitamine B12 entraîne des troubles digestifs, un fourmillement et engourdissent des membres et un essoufflement. Dans les cas graves, les carences se transforment en maladies potentiellement mortelles. Une carence en vitamine D est associée au rachitisme ou à l’ostéomalacie, une carence en vitamine C conduit au scorbut et un grave manque de vitamine A amène à la xérophtalmie entraînant une cécité. De manière générale, une carence affaiblit l’organisme et augmente aussi la probabilité de survenue d’autres maladies. Champ lexical : carence alimentaire | déficit alimentaireChamp lexical : carence alimentaire | déficit alimentaireChamp lexical : carence alimentaire | déficit alimentaire

La vitamine B6, également connue sous le nom de pyridoxine, est l'une des huit vitamines B essentielles à notre organisme. Cette vitamine hydrosoluble joue un rôle vital dans le métabolisme des acides aminés, la synthèse des neurotransmetteurs, et bien d'autres processus essentiels pour le bon fonctionnement de notre corps. Quels sont les rôles de la vitamine B6 ?La vitamine B6 est essentielle à de nombreuses fonctions biologiques. Elle intervient principalement dans le métabolisme des acides aminés, aidant ainsi à la synthèse des protéines et au maintien de la santé des tissus. De plus, la vitamine B6 participe à la formation des neurotransmetteurs, tels que la sérotonine, la dopamine et la noradrénaline, qui régulent notre humeur et notre bien-être émotionnel. En outre, elle est nécessaire à la conversion de l'homocystéine en cystéine, un processus vital pour la santé cardiovasculaire.Quels sont les bienfaits de la vitamine B6 ?La vitamine B6 apporte une multitude de bienfaits pour la santé. Elle contribue à la régulation du métabolisme, aidant ainsi à maintenir un poids corporel sain. Elle est également essentielle pour le développement cérébral, la formation des globules rouges, et le bon fonctionnement du système immunitaire. De plus, la vitamine B6 est impliquée dans la prévention de maladies neurologiques telles que la maladie d'Alzheimer. Elle joue un rôle crucial dans la réduction des symptômes du syndrome prémenstruel (SPM) chez les femmes, améliorant leur qualité de vie.Sources alimentaires de vitamine B6Pour maintenir un apport adéquat en vitamine B6, il est essentiel de consommer une alimentation équilibrée. Heureusement, de nombreuses sources alimentaires regorgent de cette précieuse vitamine. Les aliments riches en vitamine B6 comprennent les viandes maigres, les poissons, les légumineuses, les noix, les graines, les céréales complètes, les bananes, les avocats et les légumes verts à feuilles, tels que les épinards. En intégrant ces aliments dans votre alimentation quotidienne, vous pouvez garantir un apport suffisant en vitamine B6.Quels sont les symptômes d'une carence en vitamine B6 ?Une carence en vitamine B6 peut entraîner divers symptômes désagréables. Parmi les signes courants, on compte la fatigue, l'irritabilité, la dépression, des problèmes de peau, des douleurs musculaires, et une diminution de la fonction immunitaire. Les troubles neurologiques, tels que la neuropathie périphérique, peuvent également survenir en cas de carence sévère. Il est important de maintenir un équilibre adéquat en vitamine B6 pour prévenir ces symptômes et garantir une santé optimale.

Vitamine B6

La noix fait partie des fruits à coque d’automne par excellence. D’une bonne conservation, les cerneaux se mangent frais ou secs, tout au long de l’année. De taille d’environ trois centimètres, la récolte des noix se fait dès qu’elles tombent au sol.Saison de la noixLe noyer (Juglans regia) est un arbre qui appartient à la famille des Juglandacées (Juglandaceae). Il produit des noix recouvertes de brou vert qui devient noir en séchant. Ces noix contiennent des cerneaux qui se mangent frais ou secs. Les noix se ramassent à partir de la mi-septembre et jusqu’à la fin du mois d’octobre, suivant les régions et les variétés. Il faut attendre que le brou qui entoure la noix se fende en séchant et laisse s’échapper la noix qui tombe au sol, encore fraîche. Cet arbre se trouve dans des jardins de France mais les plus grosses productions sont cultivées dans plusieurs départements des régions Nouvelle-Aquitaine, Occitanie et Auvergne-Rhône-Alpes. La production française est l’une des plus importantes en Europe.Qualités nutritionnelles de la noixLes noix font partie des fruits secs à coques très énergétiques avec ses 700 Kcal pour 100 grammes. Elles sont riches en lipides, vitamines diverses comme la E, B5 ou B9. Ce fruit fait partie des oléagineux, riche en acides gras polyinsaturés et oméga 9.Brou de noix qui entoure les fruits. © Kai-Martin Knaak, Domaine PublicVariétés de noixIl est possible d’échelonner les récoltes en fonction des variétés dont voici les principales :‘Franquette’, de forme allongée et de calibre moyen à récolter de mi-septembre à mi-octobre ;‘Mayette’, fruit ovoïde de gros calibre qui se récolte de mi-septembre à mi-octobre ;‘Grandjean’, ronde et de calibre moyen à récolter en automne ;‘Fernor’, fruit oblong de gros calibre à récolter début octobre ;‘Marbot’, ronde et de gros calibre, cette variété précoce se récolte de mi-septembre à mi-octobre ;‘Parisienne’, ronde et de gros calibre à récolter en octobre ;‘Corne’, fruit oblong de calibre moyen à récolter tout le mois d’octobre.En fonction de la variété cultivée, la saveur d’une noix peut être sucrée, douce ou amère ; avoir des cerneaux plus ou moins charnus ; avoir une texture plus ou moins croquante… Les noix ne se ressemblent pas toutes ! Certaines variétés de noix font partie d’AOP (Appellation d’origine protégée) comme la noix du Périgord qui produit les variétés ‘Grandjean’, ‘Corne’, ‘Marlot’ et ‘Franquette’ ou la noix de Grenoble qui produit les variétés ‘Franquette’, ‘Mayette et ‘Parisienne’. Ces deux AOP regroupent des noyeraies situées en Isère, dans le Drôme, en Savoie, en Corrèze et en Dordogne.Bloc "Le saviez-vous ?"Conserver les noixVous pouvez conserver les noix une bonne année mais seulement si elles sont sèches. Une fois ramassés, les cerneaux se mangent frais. Placez les noix sur un plateau ou dans une cagette, en couche simple dans une pièce aérée afin qu’elles respirent et finissent par sécher. Protégés par la coque, les cerneaux se consomment toute l’année et conservent leurs qualités nutritionnelles. Préférez une pièce fraîche mais pas en plein soleil. Vous aurez ainsi plaisir à casser quelques noix en fin de repas. Seuls, en accompagnement d’un morceau de fromage, dans une pâtisserie, les cerneaux charnus de noix s’invitent toute l’année à table ! 

Noix

15341_la-vitamine-b6-existe-sous-trois-formes

La [popupdefinition id=21144]vitamine B8[/popupdefinition], qui [popupdefinition id=10855]porte[/popupdefinition] aussi le nom de [popupdefinition id=671]biotine[/popupdefinition], est une vitamine&nbsp;hydrosoluble. Impliqu&eacute;e dans le [popupdefinition id=781]m&eacute;tabolisme[/popupdefinition], elle agit comme un [popupdefinition id=691]coenzyme[/popupdefinition] dans bon nombre de r&eacute;actions du m&eacute;tabolisme des [popupdefinition id=9]acides gras[/popupdefinition], des [popupdefinition id=499]glucides[/popupdefinition] et des [popupdefinition id=8]acides amin&eacute;s[/popupdefinition]. Elle est aussi utilise pour stimuler la pousse des cheveux et des [popupdefinition id=2348]ongles[/popupdefinition].La biotine est pr&eacute;sente dans une grande vari&eacute;t&eacute; d'aliments mais en tr&egrave;s petite quantit&eacute;. Seules la [popupdefinition id=15796]gel&eacute;e royale[/popupdefinition] et la [popupdefinition id=8340]levure de bi&egrave;re[/popupdefinition] en sont riches. Du c&ocirc;t&eacute; des aliments, le [popupdefinition id=6966]foie[/popupdefinition], les [popupdefinition id=2316]l&eacute;gumineuses[/popupdefinition] ou les &oelig;ufs contiennent des quantit&eacute;s de vitamine B8 non n&eacute;gligeables. Les apports journaliers recommand&eacute;s sont de 30 &micro;g pour les adultes.&copy; Futura

La vitamine B8 participe à plusieurs voies métaboliques - Photos Futura

Le foie est un organe qui fait partie du système digestif. Il possède trois principales fonctions : 
stockage ;épuration ;synthèse.
Fonctions du foie
Stockage. Le foie reçoit une grande partie du sang...

Foie

Les acides aminés sont des molécules qui entrent dans la composition des protéines grâce à leur assemblage par des liaisons que l'on appelle peptidiques.
Structure des acides aminés
Leur nom provient ...

Acide aminé

L'ongle forme l’extrémité des doigts chez l’être humain et chez certains animaux, principalement les mammifères, notamment les ongulés pour lesquels les sabots sont indispensables à leur locomotion. L...

Ongle

Un coenzyme est une molécule organique permettant à des enzymes de catalyser une réaction : un coenzyme est un cofacteur d’enzyme. Cependant, coenzyme et cofacteur ne sont pas des termes synonymes : i...

Les légumineuses, aussi appelés légumes secs, sont des plantes dont le fruit est une gousse. Elles appartiennent à la famille des Fabacées, dans laquelle on retrouve le haricot, le lupin, le pois, la ...

Légumineuse

Saccharomyces cerevisiae (ou levure de bière, levure de boulanger) est un champignon très courant. Il est aussi un organisme modèle étudié dans les laboratoires de biologie pour étudier les eucaryotes...

Les glucides sont une famille de molécules familièrement appelées « sucres ».
Caractéristiques des glucides
Les glucides possèdent tous une fonction aldéhyde ou cétone et plusieurs groupements OH. Les...

La gelée royale est une substance blanchâtre et gélatineuse au goût à la fois sucré et acide. Elle est sécrétée par les abeilles ouvrières pour nourrir les larves et la reine. Du point de vue de la sa...

Gelée royale

Le métabolisme définit l'ensemble des réactions couplées se produisant dans les cellules de l'organisme. Il est constitué de deux mécanismes opposés : 
le catabolisme : il permet d'extraire l'énergie...

Un acide gras est une famille de molécules lipidiques, qui renferme notamment les oméga-3 et les oméga-6.
Structure des acides gras
Un acide gras est une molécule formée d'une chaîne de carbones liés ...

Vitamine hydrosoluble agissant comme coenzyme de quelques enzymes importantes dans le métabolisme des glucides, des lipides et des acides aminés, telle la pyruvate carboxylase. De nombreux aliments so...

Biotine

La vitamine B8, également appelée biotine, est un nutriment essentiel pour notre corps. Elle joue un rôle clé dans diverses fonctions corporelles. Définition et rôle de la vitamine B8La vitamine B8, o...

Vitamine B8

Une porte est une ouverture pratiquée dans un mur, une clôture quelconque, permettant d'entrer dans un lieu fermé ou d'en sortir. Elle peut aussi servir à circuler dans les pièces, c'est pourquoi on p...

Porte

La vitamine B8 participe à plusieurs voies métaboliques

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Le <a href="/sante/comparatifs/meilleure-vitamine-b12-comparatif/" title="Comparatif vitamine b12" class="link-type-comparo">vitamine B12</a>, ou cobalamine, est une vitamine hydrosoluble essentielle &agrave; plusieurs processus biologiques du [popupdefinition id=15268]syst&egrave;me nerveux central[/popupdefinition]. Elle intervient notamment dans la formation de la [popupdefinition id=204]gaine de my&eacute;line[/popupdefinition]&nbsp;qui prot&egrave;ge les [popupdefinition id=13864]nerfs[/popupdefinition]. &Agrave; l'image des autres vitamines du groupe B, elle participe aussi &agrave; des r&eacute;actions m&eacute;taboliques.Cette vitamine est essentiellement pr&eacute;sente dans des produits d'origine animale : viande, fromage et produits laitiers ainsi que&nbsp;les&nbsp;produits de la mer. Les personnes qui ne consomment pas de produits animaux trouvent la vitamine B12 dans des boissons v&eacute;g&eacute;tales enrichies. L'apport journalier recommand&eacute; est de 2,5 &micro;g pour un adulte.&copy; Futura

La vitamine B12 pour le fonctionnement du cerveau

Le nerf est un composant du système nerveux périphérique, agissant comme un réseau de communication complexe qui s'étend à partir du cerveau et de la moelle épinière vers le reste du corps humain. Anatomie du nerfLes nerfs sont des structures tubulaires composées de fibres nerveuses qui transmettent les signaux électriques entre le cerveau, la moelle épinière et le reste du corps. Chaque nerf a une fonction spécifique. Le nerf se compose d’axones de neurones regroupés en fascicules dans un tissu appelé périnèvre. Le nerf comprend plusieurs fascicules associés grâce à l’épinèvre, tissu conjonctif traversé par des vaisseaux sanguins. Les nerfs peuvent être sensitifs lorsqu’ils remontent des informations des récepteurs sensoriels (situés dans la peau, les muscles, les viscères) vers l’encéphale. Ils sont moteurs lorsque l’ordre part du cerveau et qu’ils transmettent le message vers les organes effecteurs.Fonctionnement du nerfQu’il soit afférent (des systèmes sensitifs jusqu’au système nerveux central) ou efférent (du système nerveux central vers les muscles ou les glandes), le message nerveux est transmis par un potentiel d’actions électriques circulant unilatéralement dans les neurones, et canalisé par une gaine de myéline, synthétisée par les oligodendrocytes. On estime qu'il y a des milliards de connexions nerveuses dans l'ensemble du système nerveux. Les neurones, cellules spécialisées qui transmettent l'information sous forme de signaux électriques, se composent de trois parties principales : le corps cellulaire, les dendrites et l'axone. Le nerf se compose de plusieurs structures imbriquées les unes dans les autres. À sa base se trouvent les neurones et leurs axones. © Daily Anthony, Wikipédia, CC by 3.0Classification des nerfs : les 3 types principauxOn distingue trois types de nerfs : les nerfs sensitifs (partant des organes des sens), moteurs (qui vont jusqu’aux muscles) et mixtes ou végétatifs (innervant les viscères et les glandes). Chacun de ces types remplit des fonctions spécifiques dans la transmission des signaux entre les différentes parties du corps et le système nerveux central.Les 12 nerfs crâniens et leurs fonctionsLe système nerveux comprend 12 paires de nerfs crâniens. Elles émergent directement du cerveau ou du tronc cérébral, et elles sont responsables de diverses fonctions sensorielles (vision, ouïe, odorat, sensation du visage…) et motrices dans la tête et le cou.Voici une liste des douze nerfs crâniens et leurs principales fonctions :nerf olfactif (Ier nerf crânien) : sens de l'odorat ;nerf optique (IIe nerf crânien) : vision ;nerf oculomoteur (IIIe nerf crânien) : mouvements oculaires, contraction de la pupille ;nerf trochléaire (IVe nerf crânien) : contrôle des muscles oculaires, particulièrement celui du muscle oblique supérieur ;nerf trijumeau (Ve nerf crânien) : récepteurs sensoriels, mastication ;nerf abducens (VIe nerf crânien) : contrôle des muscles permettant la rotation de l'œil ;nerf facial (VIIe nerf crânien) : mouvements faciaux, goût (sur les deux tiers antérieurs de la langue) ;nerf vestibulocochléaire (VIIIe nerf crânien) : équilibre et audition ;nerf glossopharyngien (IXe nerf crânien) : déglutition, goût (sur le tiers postérieur de la langue), sensation dans la gorge ;nerf vague (Xe nerf crânien) : contrôle des organes internes, déglutition, parole ;nerf accessoire (XIe nerf crânien) : mouvements du cou, des épaules ;nerf hypoglosse (XIIe nerf crânien) : mouvements de la langue.Les nerfs spinauxEn plus des nerfs crâniens, le système nerveux périphérique comprend 31 nerfs spinaux qui naissent de la moelle épinière et se divisent ensuite en différentes branches innervant différentes parties du corps.À chaque segment vertébral, est associée une paire de nerfs spinaux. Chaque paire de nerfs spinaux se divise en deux branches principales :nerf spinal antérieur : cette branche transmet principalement les signaux moteurs du système nerveux central vers les muscles et les glandes.nerf spinal postérieur : cette branche transporte principalement les signaux sensoriels des différentes parties du corps vers le système nerveux central.Voici les 31 paires de nerfs spinaux8 paires de nerfs cervicaux (C1 à C8) : de la région cervicale de la moelle épinière, innervant principalement le cou, les épaules, les bras, les mains et une partie de la tête.12 paires de nerfs thoraciques (T1 à T12) : de la région thoracique de la moelle épinière, innervant les muscles et la peau du thorax et de l'abdomen.5 paires de nerfs lombaires (L1 à L5) : de la région lombaire de la moelle épinière, innervant les muscles et la peau des membres inférieurs, ainsi que certaines parties de l'abdomen et du dos.5 paires de nerfs sacrés (S1 à S5) : de la région sacrée de la moelle épinière, innervant principalement les muscles et la peau de la région pelvienne, des fesses et des jambes.1 paire de nerfs coccygiens (Co) : de la région coccygienne de la moelle épinière, bien que chez de nombreuses personnes, ces nerfs fusionnent souvent pour former un nerf coccygien unique.Le nerf le plus long du corps humainLe nerf le plus long du corps humain est le nerf sciatique, mesurant jusqu'à 60 centimètres. Il s'étend à travers la région pelvienne, la fesse, le long de la cuisse, et se divise ensuite en branches qui innervent le bas de la jambe et le pied. Il contrôle les mouvements des membres inférieurs en permettant la marche, la flexion et l'extension.Des problèmes tels que la compression, l'inflammation ou l'irritation du nerf sciatique peuvent entraîner une condition connue sous le nom de sciatalgie, communément appelée sciatique. Affections nerveuses et problèmes neurologiquesLes maladies des nerfs, également connues sous le nom de neuropathies, peuvent entraîner des symptômes variés tels que des douleurs, des engourdissements et des perturbations sensorielles. Les diverses pathologies et problèmes neurologiquesl peuvent être d'origine génétiques, dégénératives, inflammatoires, traumatiques, infectieuses, ou auto-immunes. En voici quelques-unes courantes :Neuropathie périphérique : endommagement des nerfs périphériques, entraînant des symptômes tels que douleur, engourdissement, picotements, faiblesse musculaire. Sclérose en plaques (SEP) : maladie auto-immune qui affecte la gaine de myéline entourant les fibres nerveuses, provoquant des problèmes de communication entre le cerveau et le reste du corps. Maladie de Charcot-Marie-Tooth : groupe de maladies héréditaires affectant les nerfs périphériques, entraînant une faiblesse musculaire et une diminution de la sensibilité.Amyotrophie spinale (SMA) : maladie génétique caractérisée par la dégénérescence des motoneurones dans la moelle épinière, entraînant une faiblesse musculaire progressive.Maladie de Guillain-Barré : maladie auto-immune qui affecte le système nerveux périphérique, provoquant une faiblesse musculaire progressive.Névralgie du trijumeau : affection caractérisée par des douleurs intenses sur le côté du visage, souvent déclenchées par des stimuli légers.Épilepsie : trouble neurologique caractérisé par des crises épileptiques récurrentes, souvent causées par une activité électrique anormale dans le cerveau.Maladie d'Alzheimer : maladie neurodégénérative caractérisée par une perte progressive de la mémoire et des fonctions cognitives.La régénération nerveuseContrairement à de nombreuses cellules du corps humain, les nerfs peuvent parfois se régénérer. Cependant, cette capacité dépend de divers facteurs tels que la gravité de la blessure et la proximité de la lésion par rapport au corps cellulaire du neurone.

Nerf

La myéline, substance constituée essentiellement de lipides, forme une enveloppe qui entoure les fibres nerveuses. Gaine de protection, elle isole l’axone des neurones et majore la vitesse de propagation de l’influx nerveux Qu’est ce que la gaine de myéline ?Certaines cellules du tissus nerveux telles que les cellules de Schwann dans le système nerveux périphérique et les oligodendrocytes dans le système nerveux central s’aplatissent et s’enroulent autour de la fibre nerveuse telles « un roulé à la confiture ». Les couches intérieures formées de la membrane plasmique se superposent afin constituer une gaine, sorte de manchon, qui donne la couleur blanche aux fibres et à la substance blanche du cerveau et de la moelle épinière. Cette gaine joue un rôle prépondérant dans la conduction de l’influx nerveux (impulsion électrique) en isolant électriquement les fibres nerveuses et en provoquant la concentration des canaux ioniques neuronaux au niveau des nœuds de Ranvier. Cette disposition permet une augmentation de la vitesse de transmission de l’influx nerveux qui saute d’un nœud de Ranvier à l’autre.La membrane plasmique de l'oligodendrocyte s'enroule autour de l'axone d'un neurone constituant différentes couches intercalées par les noeuds de Ranvier© Andrew c. Wikipedia Commons domaine PublicDes pathologies associées à un déficit de la myélineQuand la gaine de myéline est lésée, le neurone ne peut plus fonctionner de manière satisfaisante. On retrouve ce phénomène dans les pathologies dites démyélinisantes qui peuvent entraîner de lourds handicaps. Pour exemples, la sclérose en plaques, maladie auto-immune, dans laquelle les symptômes varient selon la localisation des fibres démyélinisées (troubles de la sensation ou moteurs) ou encore la maladie de Charcot. Privées de leur gaine protectrice, les neurones dégénèrent et meurent entraînant des neuropathies.Champ lexical : gaine de myéline | gaine de Schwann

Myéline

Le système nerveux central est un lieu de traitement de l’information ; c’est du système nerveux central que partent les commandes motrices vers les effecteurs : muscles et glandes, qui permettent la réaction de l’organisme à un stimulus.
Rôle et fonction du système nerveux central
Le système nerveux central est souvent opposé au système nerveux périphérique, qui transmet l’information entre le système nerveux central et les cellules sensorielles et musculaires ou les glandes. Le système nerveux périphérique comprend les neurones sensitifs, le système nerveux somatique volontaire et le système nerveux autonome involontaire (système nerveux sympathique et système nerveux parasympathique). Le système nerveux central permet l’intégration des fonctions sensorielles et motrices du système nerveux périphérique.
Anatomie du système nerveux central
Le système nerveux central comprend :
l’encéphale : centre d’intégration de l’homéostasie, de la perception, du mouvement, de la réflexion et des émotions ;la moelle épinière, située dans la colonne vertébrale : elle reçoit des informations de la peau et des muscles et transmet les commandes motrices. 
Le système nerveux central est entouré par des enveloppes conjonctives, les méninges, au nombre de trois. Les axones du système nerveux central qui transmettent des influx nerveux sont protégés par la myéline, qui leur donne une couleur blanche, d’où les appellations de matière blanche et matière grise (contenant les corps cellulaires des neurones).

Système nerveux central

15343_la-vitamine-b12-pour-le-fonctionnement-du-cerveau

La [popupdefinition id=17742]vitamine K[/popupdefinition] est la derni&egrave;re&nbsp;vitamine liposoluble (avec les [popupdefinition id=6125]vitamines A[/popupdefinition], D, et E). Elle existe sous deux formes, la phylloquinone pr&eacute;sente dans les aliments v&eacute;g&eacute;taux et la m&eacute;naquinone, dans les aliments animaux. La vitamine K est un des &eacute;l&eacute;ments n&eacute;cessaires &agrave; la [popupdefinition id=3160]coagulation[/popupdefinition] sanguine, en activant plusieurs facteurs de coagulation.Pour les adultes, il est conseill&eacute; de consommer 45 &micro;g par jour. Les aliments sources de vitamine K sont les [popupdefinition id=6966]foies[/popupdefinition] d'animaux et les fromages. Du c&ocirc;t&eacute; des v&eacute;g&eacute;taux, les [popupdefinition id=7379]&eacute;pinards[/popupdefinition], les [popupdefinition id=7419]bettes[/popupdefinition] et les choux en contiennent aussi beaucoup.&copy; Futura

La vitamine K intervient dans la coagulation sanguine

La blette est un légume dont on consomme les feuilles et les pétioles, et qui ressemble beaucoup à la betterave.
Saison de la blette
La blette se consomme idéalement du mois d’avril au mois d’octobre.
Qualités nutritionnelles de la blette
Pauvre en calories (20 kilocalories pour 100 grammes), laxatif, diurétique et émollient, ce légume est tonique et rafraîchissant tandis qu'il est riche en minéraux, fibres et oligoéléments.
Variétés de la blette
Très proche de la betterave, la blette existe sous plusieurs formes. Il existe des blettes à feuilles (dont on consomme les feuilles, comme la blette épinard) et des blettes à cardes (dont on consomme les pétioles, comme la blette à carde rouge).
Conservation de la blette
Elle se conserve au réfrigérateur de 8 à 10 jours dans un sachet entrouvert ou perforé, le mieux étant de la consommer le plus tôt possible. Elles se congèlent bien après un léger blanchiment à la vapeur.

Blette

Le foie est un organe qui fait partie du système digestif. Il possède trois principales fonctions : 
stockage ;épuration ;synthèse.
Fonctions du foie
Stockage. Le foie reçoit une grande partie du sang provenant directement du système digestif. Il est capable de stocker les nutriments apportés par la digestion et de les transformer en molécules plus complexes. Il participe au métabolisme des glucides et des lipides. Il peut donc transformer les glucides en glycogène et le stocker, pour finalement libérer progressivement du glucose dans le sang, en fonction des besoins de l’organisme. Il est le seul organe à la fois hypoglycémiant et hyperglycémiant. Les acides gras aussi sont transformés en molécules lipidiques complexes (triglycérides) afin de les stocker dans les adipocytes (cellules graisseuses). Il synthétise ou dégrade le cholestérol qui est un précurseur d’hormone et participe à la construction des membranes des cellules. Le foie est aussi capable de stocker des vitamines liposolubles.Épuration. Le foie est également l’usine de recyclage de l’organisme : il est en charge de détoxifier le corps, en métabolisant l’alcool, les drogues, les médicaments…Synthèse. Le foie synthétise la bile. Celle-ci est transportée via des canaux biliaires vers la vésicule biliaire, où elle est stockée. La couleur jaune de la bile provient de la bilirubine, produit de dégradation des globules rouges. C’est son relargage dans les selles qui leur donne leur couleur. Le foie synthétise aussi de nombreuses protéines impliquées notamment dans la coagulation du sang (fibrinogène).
Structure du foie
Il pèse en moyenne 1,5 kilogramme et constitue 2 % de la masse corporelle, il représente l’organe le plus grand du corps humain. Il est constitué de deux parties, le lobe gauche (1/3 du volume) et le lobe droit (2/3 du volume), séparés par le ligament falciforme.
Le foie est très vascularisé, principalement par l’artère hépatique (apport d’oxygène) et par la veine porte (apport de nutriments de l’intestin). Le retour veineux est assuré par les veines hépatiques.
Le foie est constitué à 80 % d’hépatocytes, mais d’autres types cellulaires sont également présents (cellules des canaux biliaires, endothéliales, cellules immunitaires…). Les cellules hépatiques sont regroupées en lobules hépatiques, eux-mêmes assemblés grâce à du tissu conjonctif.

Les épinards sont source de vitamines pour un faible taux en calories.
Saison des épinards
La meilleure période pour consommer des épinards commence en novembre et se termine en mai. Toutefois, il est possible d'en manger toute l'année grâce aux cultures bretonnes, franciliennes, picardes et provençales. 
Qualités nutritionnelles des épinards
L'atout majeur des épinards est leur faible taux en calories : seulement 36 kilocalories pour une portion de 200 grammes. Rien de tel pour un régime puisqu'il apporte également l'énergie nécessaire au corps affaibli parfois par les privations grâce aux vitamines A, C, B9 et E. C'est sans compter également sur le fer et le magnésium.
Variétés d'épinards
Les variétés les plus connues sont le géant d’hiver et le monstrueux de Viroflay. La première résiste au froid, alors que la seconde préfère les températures douces. Elles forment toutes les deux de grandes feuilles vertes.
À savoir sur les épinards
Bien que détestés par de nombreux Français, les épinards étaient le légume préféré de Catherine de Médicis. C'est en effet elle, la mère de la Reine Margot, qui ramena en France les épinards. Au XXe siècle, c'est plutôt Popeye, le personnage de films d'animation, qui s'est érigé en meilleur promoteur des épinards.
Choisir et cuisiner l'épinard
Lors de son passage au rayon des légumes, mieux vaut choisir des feuilles bien formées, non tâchées, fermes et d'un beau vert sombre. D'ailleurs, il vaut mieux opter pour des jeunes pousses, souvent plus tendres et moins filandreuses. Seul hic : il doit être cuisiné dans la journée qui suit l'achat ou tout au plus, le conserver deux jours dans le bac à légumes du réfrigérateur.
Il convient d'abord de laver à grande eau les feuilles pour débarrasser celles-ci de la terre. Ce n'est qu'ensuite qu'il faut retirer la tige fibreuse en la cassant. Les épinards peuvent ensuite être utilisés dans des sandwiches ou en salade, accompagnés de pommes de terre, de parmesan ou de mozzarella. Pour le cuire, il faut le plonger dans de l'eau bouillante salée et préférer la cuisson à l'étuvée, à la vapeur ou dans un wok.

Épinard

La vitamine K désigne un ensemble de molécules, des naphtoquinones, qui favorisent la coagulation du sang. Le K vient du terme allemand Koagulationsvitamin. La vitamine K joue des rôles dans la croissance cellulaire et la minéralisation osseuse car elle aide le calcium à rester dans les os. Elle est aussi importante pour la santé cardiovasculaire, car elle limite la calcification des artères et favorise donc leur flexibilité.Les besoins quotidiens en vitamine K sont de 1 µg/kg chez l’adulte, soit 70 µg pour une personne pesant 70 kg. La vitamine K résiste assez bien à la chaleur et donc à la cuisson des aliments. En plus de se trouver dans l'alimentation, elle peut aussi être apportée par des compléments alimentaires. La vitamine K existe sous trois formes :la vitamine K1, aussi appelée phylloquinone ou phytoménadione : elle est présente dans les végétaux verts à feuilles comme les choux, brocolis, épinards, le persil, la salade, mais aussi dans des huiles végétales (colza…) ;la vitamine K2 ou ménaquinone, produite par des bactéries intestinales, mais également présente dans les produits laitiers, la viande, le foie. Il existe différentes vitamines K2, par exemple MK-4 (ménaquinone-4), MK-7, etc. ;la vitamine K3 ou ménadione, qui est synthétique.De la vitamine K en complément pour les nourrissons et les séniorsLa vitamine K est importante pour les nourrissons car s'ils n’ont pas suffisamment de vitamine K ils risquent la maladie hémorragique du nouveau-né. Pour l’éviter, les pédiatres prescrivent une complémentation en vitamine K notamment pour les bébés allaités, le lait maternel étant pauvre en vitamine K. Les préparations de laits pour bébés contiennent généralement de la vitamine K.Une complémentation en vitamine K peut aussi être intéressante pour limiter le risque d’ostéoporose car en dirigeant le calcium sur les os elle pourrait réduire la perte osseuse liée à l’âge. Avant de prendre un complément alimentaire, demandez conseil à votre médecin. La MK-7 est contre-indiquée avec certains médicaments.

Vitamine K

La coagulation est le terme médical utilisé pour décrire la formation d'un caillot. La coagulation du sang permet d’éviter de perdre trop de sang lors d’une blessure. Pour qu’un caillot se forme, il faut qu’une protéine présente sous forme inactive dans le sang, le fibrinogène, se transforme en forme active, la fibrine, insoluble, dont les filaments s’entremêlent et s’agglutinent pour former le caillot.Lorsqu’un vaisseau sanguin est coupé, le tissu conjonctif du vaisseau se trouve exposé au sang. Les plaquettes sanguines adhèrent au collagène du tissu conjonctif et s’agglutinent en formant un « clou plaquettaire ». Les plaquettes et des cellules endommagées libèrent des facteurs de coagulation, qui entraînent des réactions aboutissant au final à la transformation du fibrinogène en fibrine. La conversion du fibrinogène en fibrine est catalysée par une enzyme, la thrombine. La prothrombine présente dans le sang est transformée en thrombine, sa forme active, par un activateur, lors de la cascade de réactions déclenchée par les facteurs de coagulation. La vitamine K et le calcium sont nécessaires à la coagulation.Coagulation et pathologies humainesEn l’absence de lésion, des facteurs anticoagulants présents dans le sang empêchent la formation de caillots. Quand un caillot se forme spontanément, en l’absence de lésion, ce thrombus peut bloquer la circulation sanguine et entraîner des troubles cardiovasculaires (thrombose). Pour empêcher la formation de ces caillots, il existe des traitements anticoagulants.L’absence d’un facteur de coagulation conduit à des problèmes de coagulation. C’est le cas dans l’hémophilie, une maladie génétique qui conduit à des saignements excessifs. L’hémophilie A, la plus fréquente, est due à un déficit en facteur de coagulation VIII, tandis que l’hémophilie B, plus rare, est liée au déficit en facteur de coagulation IX. Les filles sont rarement touchées par l’hémophilie car les gènes en cause dans cette maladie se trouvent sur le chromosome X.

La vitamine B8 participe à plusieurs voies métaboliques

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