Les hu&icirc;tres creuses, Crassostrea gigas, sont originaires du Pacifique, mais ont &eacute;t&eacute; introduites en Europe, notamment en France, dans les ann&eacute;es 1960 pour remplacer les hu&icirc;tres plates d&eacute;cim&eacute;es par une maladie. Produites dans diff&eacute;rentes zones comme Cancale, Bouzigues, elles sont r&eacute;put&eacute;es pour leur caract&egrave;re marin. Leur coquille est plus allong&eacute;e, rugueuse et bomb&eacute;e que l'hu&icirc;tre plate, avec une chair plus charnue et un go&ucirc;t iod&eacute;, parfois l&eacute;g&egrave;rement sucr&eacute;.Elles sont cultiv&eacute;es principalement sur des parcs en mer ou dans des claires (des bassins d'affinage peu profonds), o&ugrave; elles b&eacute;n&eacute;ficient d'une croissance rapide en 2 &agrave; 3 ans leur donnant une saveur d&eacute;licate et une teinte verte due &agrave; une microalgue sp&eacute;cifique, la navicule bleue. Les hu&icirc;tres de Marennes-Ol&eacute;ron b&eacute;n&eacute;ficient du Label Rouge depuis 1989, en raison de leur qualit&eacute; sup&eacute;rieure.Ce label garantit un produit raffin&eacute;, reconnu pour sa finesse et ses caract&eacute;ristiques distinctives. Il existe &eacute;galement des hu&icirc;tres creuses en Normandie qui sont r&eacute;put&eacute;es pour leur go&ucirc;t iod&eacute; puissant, d&ucirc; &agrave; leur &eacute;levage dans les eaux froides et riches en [popupdefinition id=3831]plancton[/popupdefinition] de la Manche. Elles se d&eacute;veloppent rapidement et offrent une chair ferme, avec des notes marines prononc&eacute;es.&copy; Guido, Wikimedia Commons, CC 2.0&nbsp;&nbsp;

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Huîtres creuses : Crassostrea gigas –  originaire du Pacifique

Du grec ancien plagtós (« errant »), le terme plancton désigne l’ensemble des espèces aquatiques (en eau douce ou dans l’océan) qui sont entraînées par le courant. Il est générique : on dit « le plancton » ou « un organisme planctonique » mais jamais « un plancton » ni « des planctons ». Cette définition ne fait intervenir ni principe taxonomique ni taille. Ainsi, il existe des organismes planctoniques animaux et végétaux et le plancton comporte aussi des bactéries et des virus. De même, les grandes méduses, comme Nemopilema nomurai, atteignant deux mètres de diamètre, font partie du plancton car elles ne peuvent se mouvoir que dans le plan vertical. Les organismes nageurs, par opposition, font partie du necton.
On distingue, notamment, le phyloplancton, végétal, et le zooplancton, animal. Le phytoplancton se compose d’algues microscopiques. Ce sont, principalement, en nombre et en masse, des diatomées et des dinoflagellés. Les premières, également appelées bacillariophytes, sont des algues unicellulaires protégées dans une structure vitreuse en silice (la frustule). Les dinoflagellés sont des organismes unicellulaires, dont la cellule est protégée par une plaque de cellulose. Le groupe est très diversifié et en quelque sorte posé entre les animaux et les végétaux puisque la moitié des espèces ne sont pas photosynthétiques et se nourrissent d’autres organismes planctoniques. Les espèces des genres Dinophysis et Alexandrium, comme certaines diatomées, sont responsables, en cas de proliférations locales, de la production de toxines qui peuvent s’accumuler dans les grands animaux.
Plancton bioluminescent à Krabi, en Thaïlande. © Ilya Sviridenko, fotolia
Le plancton, un écosystème mondial et essentiel
Le zooplancton est diversifié. Certaines espèces ne sont planctoniques que lors de leur vie larvaire, comme les grands crustacés (crabes, crevettes benthiques, homards, langoustes...), les mollusques (poulpes, seiches, calmars, coquillages, gastéropodes) et les échinodermes (oursins, étoiles et holothuries). Cette phase planctonique est donc aussi pélagique (elle se déroule dans l’eau libre, loin du fond) et sert à la dissémination des populations benthiques (liées au fond). Le zooplancton est aussi constitué d’organismes de petite taille voire unicellulaires (les protozoaires). En masse, l’essentiel du zooplancton (environ 80 %) est constitué de copépodes, des petits crustacés.
Par la production d’oxygène du phytoplancton marin (les deux tiers du total émis par tous les végétaux du monde), le plancton est un rouage essentiel de tous les écosystèmes terrestres. Il constitue aussi une source de nourriture pour de nombreuses espèces animales marines ou d’eau douce, formant le début de la chaîne alimentaire. Sa densité varie beaucoup avec la température, l’ensoleillement et l’apport de nutriments, donc avec les saisons et les courants. Ces fluctuations peuvent conduire, par exemple, à des « blooms phytoplanctoniques », lesquels enclenchent une prolifération d’animaux comme les petits poissons (sardines et anchois notamment) ou les méduses. Le phénomène El Niño, qui se manifeste notamment par un réchauffement des eaux côtières le long des côtes péruviennes, fait chuter la production phytoplanctonique par affaiblissement des remontées d’eau profonde riche en nutriments.

Plancton

17424_huitres-creuses-:-crassostrea-gigas----originaire-du-pacifique

Les hu&icirc;tres plates, aussi appel&eacute;es Ostrea edulis, sont originaires de l'Europe et se trouvent principalement en France, en Bretagne, notamment dans la rivi&egrave;re Belon. Elles sont reconnaissables &agrave; leur forme ronde et plate une coquille lisse et brune. Leur chair est d&eacute;licate, souvent plus ferme et iod&eacute;e que celle des hu&icirc;tres creuses, avec des saveurs marines subtiles et un arri&egrave;re-go&ucirc;t de [popupdefinition id=19563]noisette[/popupdefinition].La Belon est un exemple embl&eacute;matique d'hu&icirc;tre plate, pris&eacute;e pour son go&ucirc;t raffin&eacute;. La culture des hu&icirc;tres plates est d&eacute;licate et n&eacute;cessite des eaux riches en [popupdefinition id=793]nutriments[/popupdefinition], un environnement sain et plusieurs ann&eacute;es de croissance. En raison de leur sensibilit&eacute; aux maladies, leur &eacute;levage en parc pendant 3 &agrave; 5 ans pour atteindre leur pleine maturit&eacute; et acqu&eacute;rir leur saveur raffin&eacute;e est n&eacute;cessaire et plus complexe que celui des hu&icirc;tres creuses. Ce type d'hu&icirc;tre est rare et plus difficile &agrave; &eacute;lever, ce qui en fait un produit haut de gamme.&copy; Myrabella, Wikimedia Commons, CC 3.0&nbsp;&nbsp;

Huîtres plates : Ostrea edulis – comme la Belon

Un nutriment est une substance fournie par l’alimentation et utilisée par l’organisme pour sa construction et son fonctionnement. Les nutriments lui fournissent l’énergie et le matériel dont il a besoin pour couvrir les dépenses et assurer le renouvellement cellulaire. Les principaux nutriments se trouvent dans la nourriture sous forme de macromolécules qui sont ensuite fragmentées par le système digestif pour être assimilées. L’eau est le premier des nutriments : elle représente 60 % de notre apport global. 
Les macronutriments englobent les protéines, les glucides ou hydrates de carbone simples et complexes, ainsi que les graisses, les acides gras et les fibres. Ils assurent 98 % de notre alimentation.Les micronutriments (vitamines, minéraux et oligo-éléments) sont consommés en quantité plus modeste mais jouent un rôle important dans le fonctionnement du corps.
Nutriment essentiel et non essentiel
Certains nutriments sont dits essentiels car le corps ne sait pas les fabriquer lui-même ; ils doivent donc impérativement être apportés par la nourriture. Il s’agit par exemple de certains acides gras (oméga 6 et oméga 3), d’acides aminés (isoleucine, lysine, méthionine…), de vitamines (A, B1, B2, B12, C, E…) ou de minéraux (sodium, potassium, phosphore…). Les nutriments non essentiels comme les acides gras saturés (AGS) ou les sucres simples sont aussi utilisés mais le corps est capable de s’en passer.
Utilisation des nutriments
Lors d’un apport de nutriment, les besoins immédiats sont couverts par l’oxydation du glucose ingéré. Les nutriments non oxydés (en excès) sont stockés sous forme de glycogène dans le foie et les muscles, de triglycérides dans le tissu adipeux ou de protéines dans les muscles. Les besoins nutritionnels doivent couvrir la dépense énergétique et dépendent donc de la corpulence, de l’activité physique, des conditions extérieures ou de la génétique de chacun.

Nutriment

Le noisetier, arbre de culture facile produit des noisettes. Ce fruit à coque oléagineux, avec les amandes et les noix, fait partie des fruits secs les plus consommés. Le croquant et le parfum des noisettes sont appréciés des grands comme des petits ! De calibrage plus ou moins gros, avec une coque plus ou moins épaisse, ronde ou allongée, le choix de noisettes est vaste.Saison de la noisetteLe noisetier (Corylus avellana) appartient à la famille des Bétulacées (Betulaceae). On récolte les noisettes principalement en Turquie et en Italie, avec une partie en Corse et dans les Pyrénées-Orientales à partir de la fin du mois d’août jusqu’à octobre, en fonction des variétés et des régions. C’est à ce moment que vous pourrez les consommer fraîches avec leur enveloppe verte.L’arbre, pouvant atteindre plusieurs mètres, se plaît dans un sol aéré. Il fleurit en février-mars pour ensuite produire des noisettes de la fin d’été à l’automne. Pour la récolte, soit vous ramassez les groupes de noisettes sur l’arbre, soit vous attendez qu’ils tombent.Qualités nutritionnelles de la noisetteLa noisette représente une source de minéraux importante, de fibres et d’acides gras mono-insaturés. Elle est consommée pour sa richesse en antioxydants : 100 g de noisette représentent 683 calories.Groupe de noisettes sur le noisetier. © Vassil, Domaine PublicVariétés de noisettesContrairement aux croyances, le nombre de variétés de noisettes est vaste. Vous cultiverez des noisettes de taille et de qualité différentes suivant les variétés choisies. Parmi les plus connues :‘Aveline de Provence’ : de forme ronde, à récolter fin août ;‘Corabel’ : coque bien ronde, noisette à la qualité gustative excellente ;‘Longue d’Espagne’ : de forme allongée, à récolter fin août-début septembre ;‘Fertile de Coutard’ : variété à gros fruit rond très productive, à récolter en septembre ;‘Merveille de Bollwiller’ : de forme ronde avec une amande généreuse, à récolter mi-septembre ;‘Coxford’ : fruit allongé, à récolter fin septembre.Bloc "Le saviez-vous ?"Conserver les noisettesLes noisettes fraîches se mangent rapidement ou bien se sèchent pour se conserver quelques mois jusqu’à la saison prochaine, simplement dans un panier à l’air libre dans une pièce sèche. Comment choisir une bonne noisette fraîche ? On ne doit pas entendre de bruit lorsqu’elle est secouée, signe qu’elle est bien remplie. Et lorsque la coque est sèche, veillez à ce qu’elle soit bien brillante et marron. Dans le commerce, on les trouve entières ou en poudre, avec ou sans coque, salées ou grillées.Une fois décortiquées avec un casse-noisettes, conservez-les dans une boîte hermétique. Vous pourrez en parsemer dans une salade composée, accompagner un plateau de fromages, les faire griller pour un apéritif salé, les ajouter dans des desserts gourmands. Vous la trouverez aussi dans des huiles parfumées. 

Noisette

17426_huitres-plates-:-ostrea-edulis---comme-la-belon

Les hu&icirc;tres de Sydney (Saccostrea glomerata), &eacute;galement connues sous le nom d'hu&icirc;tres rocheuses de Sydney, sont originaires des c&ocirc;tes de l'Australie et de la Nouvelle-Z&eacute;lande. Elles sont tr&egrave;s populaires en Australie, notamment dans la baie de Sydney et les zones estuariennes. Elles sont &eacute;lev&eacute;es dans des eaux [popupdefinition id=6598]saum&acirc;tres[/popupdefinition] peu profondes, souvent dans des [popupdefinition id=3828]estuaires[/popupdefinition] et des zones c&ocirc;ti&egrave;res. L'ostr&eacute;iculture des hu&icirc;tres de Sydney suit des m&eacute;thodes comme l'&eacute;levage en suspension ou sur des racks.Elles se d&eacute;veloppent plus lentement que d'autres [popupdefinition id=2261]esp&egrave;ces[/popupdefinition], n&eacute;cessitant environ 3 &agrave; 4 ans avant d'atteindre leur taille optimale. Leur culture d&eacute;pend beaucoup des conditions environnementales, notamment de la qualit&eacute; de l'eau et des temp&eacute;ratures sp&eacute;cifiques. Elles sont adapt&eacute;es aux conditions tropicales et subtropicales, et sont tr&egrave;s r&eacute;sistantes aux variations de temp&eacute;rature et de [popupdefinition id=4406]salinit&eacute;[/popupdefinition]. Cependant, elles peuvent &ecirc;tre vuln&eacute;rables &agrave; certaines maladies comme la QX, qui affecte leur production dans certaines r&eacute;gionsComme les autres hu&icirc;tres, elles sont riches en [popupdefinition id=794]nutriments essentiels[/popupdefinition] tels que les [popupdefinition id=6551]om&eacute;ga-3[/popupdefinition], le [popupdefinition id=14800]zinc[/popupdefinition], le [popupdefinition id=721]fer[/popupdefinition] et les <a href="/sante/comparatifs/meilleure-vitamine-b12-comparatif/" title="Comparatif vitamine b12" class="link-type-comparo">vitamines B12</a> et D. Elles contribuent &agrave; la sant&eacute; cardiovasculaire, au renforcement du [popupdefinition id=2722]syst&egrave;me immunitaire[/popupdefinition] et &agrave; la r&eacute;g&eacute;n&eacute;ration cellulaire. Les hu&icirc;tres de Sydney participent &eacute;galement &agrave; la [popupdefinition id=3380]filtration[/popupdefinition] des eaux o&ugrave; elles vivent, contribuant &agrave; l'&eacute;quilibre de l'[popupdefinition id=135]&eacute;cosyst&egrave;me[/popupdefinition] marin.Ces hu&icirc;tres sont appr&eacute;ci&eacute;es pour leur saveur distinctive, qui est moins iod&eacute;e que d'autres esp&egrave;ces, avec un go&ucirc;t plus cr&eacute;meux et doux. Elles ont souvent des notes subtiles de [popupdefinition id=19563]noisette[/popupdefinition] et une [popupdefinition id=1636]texture[/popupdefinition] &agrave; la fois tendre et l&eacute;g&egrave;rement ferme. Leur profil [popupdefinition id=3447]gustatif[/popupdefinition] est influenc&eacute; par le terroir marin o&ugrave; elles sont &eacute;lev&eacute;es, ce qui peut donner des variations de salinit&eacute; et de douceur selon les r&eacute;gions d'&eacute;levage.&copy; Olyjo, Adobe stock &nbsp;ok

Huîtres de Sydney : Saccostrea glomerata – Australie

Un écosystème caractérise un milieu dans lequel les conditions physicochimiques sont relativement homogènes et permettent le développement d’un ensemble d’organismes vivants. Dans un milieu, les conditions climatiques (comme la température, le rayonnement solaire, l’humidité), géologiques (caractéristiques du sol) et hydrologiques (eaux souterraines par exemple) définissent un biotope, un lieu de vie qui permet le développement de certaines espèces végétales, animales et fongiques.Différents écosystèmes pour différentes échelles géographiquesDans ce biotope donc, des êtres vivants coexistent et forment une biocénose. L’écosystème définit l’ensemble du biotope et de cette biocénose induite, dépendante du milieu. Le système est formé naturellement, et tend à être stable. Les espèces vivantes interagissent et exploitent les apports du biotope.Au sens large, on définit ainsi les écosystèmes aquatiques (marins par exemple) et les écosystèmes terrestres, mais un écosystème peut aussi être de plus petite échelle. La forêt tropicale et les êtres vivants associés sont un écosystème, la grande barrière de corail en est un autre, etc…Quels sont les 4 grands types d'écosystèmes ?
Les écosystèmes terrestres : ces écosystèmes se trouvent sur la terre ferme et comprennent des habitats tels que les forêts, les prairies, les déserts, les montagnes et les toundras. Chaque type d'écosystème terrestre abrite une diversité unique d'espèces végétales et animales, adaptées aux conditions spécifiques de leur environnement.
Les écosystèmes aquatiques dulçaquicoles : il s'agit des écosystèmes d'eau douce, comme les lacs, les rivières, les marais et les zones humides. Ces habitats soutiennent une variété impressionnante de vie aquatique, y compris des poissons, des plantes aquatiques, des invertébrés et des oiseaux aquatiques.
Les écosystèmes aquatiques marins : les écosystèmes marins comprennent les océans, les mers et les estuaires. Ils abritent une grande biodiversité, allant des petits organismes planctoniques aux grands mammifères marins, en passant par une multitude de poissons, de crustacés et de coraux.
Les écosystèmes aériens : bien que moins souvent considérés, les écosystèmes aériens comprennent l'atmosphère terrestre et sont essentiels à la vie sur Terre. Ils soutiennent la vie des oiseaux, des insectes volants, des plantes aériennes et des micro-organismes aéroportés.
Quel est le rôle des écosystèmes ?Les écosystèmes fournissent une gamme de services écosystémiques essentiels qui soutiennent la vie sur Terre. Parmi ces services, on peut citer la production alimentaire, la régulation du climat, la purification de l'eau, la pollinisation des cultures, la protection contre les catastrophes naturelles, et la fourniture de matériaux de construction et de médicaments.En outre, les écosystèmes jouent un rôle crucial dans le maintien de la biodiversité, en abritant une variété d'espèces végétales et animales et en préservant les équilibres écologiques. Ils contribuent également au bien-être humain en offrant des espaces récréatifs et des opportunités de tourisme et de loisirs.Quel écosystème contient le plus de biodiversité ?Les écosystèmes tropicaux, tels que les forêts tropicales humides, sont généralement reconnus comme les plus riches en biodiversité. Ces écosystèmes abritent une variété extraordinaire d'espèces végétales et animales, dont de nombreuses sont endémiques à ces régions. Cependant, il convient de noter que la biodiversité peut également être élevée dans d'autres types d'écosystèmes, tels que les récifs coralliens et les zones humides, qui offrent des habitats uniques pour une grande diversité d'espèces.

Écosystème

Troisième métal de tran­si­tion le plus élaboré par l’Homme (après le fer et le cuivre), le zinc est surtout connu pour sa bonne tenue à la corrosion, des aciers industriels aux toitures.Généralités
Symbole : Zn
Numéro atomique : 30
Électrons par niveau d’énergie : 2, 8, 18, 2
Masse atomique : 65,409 u
Isotopes les plus stables : 64Zn, avec une demi-vie supérieure à 4,3 milliards de milliards d'années (48,2 %), 66Zn stable avec 36 neutrons (28 %), 68Zn stable avec 38 neutrons (19 %), 67Zn stable avec 37 neutrons (4,1 %), 70Zn avec une demi-vie supérieure à 13 millions de milliards d'années (0,6 %)
Série : non-métaux
Groupe, période, bloc : 12, 4, d
Densité : 7,13
Point de fusion : 419,527 °C
Point d’ébullition : 907 °C
Historique du zincLe zinc est connu depuis l'Antiquité, bien qu'il n'ait alors pas été utilisé à l'état pur. L'isolation de ce métal est à mettre au crédit d'Anton von Swab en 1742, ainsi que d'Andreas Marggraf, qui l'a réussie de son côté quatre ans plus tard.Propriétés du zincLe zinc pur se présente sous la forme d'un métal bleu-gris. Il est capable de se combiner avec l'oxygène et autres non-métaux. L'action des acides dilués sur le zinc dégage du dihydrogène. Son état d'oxydation est +2. Avec différents éléments ambiants, la surface du zinc réagit et forme une patine qui ternit son éclat mais qui est adhérente et protectrice.Utilisation du zincL'une des principales applications du zinc est en dépôt sur les aciers pour les protéger de la corrosion : c'est la galvanisation, dont les produits sont exploités dans l'automobile, l'électroménager ou encore les équipements industriels. Le laiton est préparé avec du cuivre et du zinc. Certains bronzes contiennent également du zinc.Certaines pièces de monnaie sont frappées en zinc : ce fut le cas pendant la Seconde guerre mondiale. Les toitures sont parfois recouvertes de zinc. Ce métal possède aussi des propriétés cicatrisantes et anti-inflammatoires.Effets du zinc sur la santéLe zinc est un élément nécessaire à la santé humaine. La carence en zinc provoque une perte d'appétit, une diminution des sensations de goût et d'odeur et un ralentissement de la cicatrisation des blessures. L’excès de zinc peut être à l'origine de crampes d'estomac, de vomissements ou encore d'anémie. À très haute dose, le pancréas peut être endommagé. De même, le métabolisme des protéines est altéré.

Zinc

Une eau saumâtre est une eau légèrement à moyennement salée. Sa teneur en sel est comprise entre 1 et 10 g/l, contre 35 g/l en moyenne pour l'eau de mer. Il s'agit donc d'eaux oligohalines à mésohalines.

Formation et sources de l'eau saumâtre
L'eau saumâtre peut apparaître à la suite de la rencontre de masses d'eau douce et salée. Elle peut être observée dans l'estuaire d'un fleuve, lors de la fonte de la banquise en Arctique ou par la dissolution de roches sédimentaires riches en sels.
Elle peut aussi prendre vie avec des activités humaines, comme le salage des routes en hiver.

Importance écologique des eaux saumâtres
Les eaux saumâtres jouent un rôle crucial dans les écosystèmes côtiers. Elles servent de zones tampons, réduisant l'impact des marées et des inondations. De plus, elles sont souvent des habitats de reproduction et de nurserie pour de nombreuses espèces de poissons et d'oiseaux migrateurs.

Adaptations des organismes
Les espèces vivant dans des environnements saumâtres ont développé des adaptations fascinantes pour réguler la salinité interne. Par exemple, beaucoup de poissons de ces habitats sont capables de modifier leur osmorégulation selon les fluctuations de salinité. Cette capacité les aide à survivre dans des conditions qui seraient autrement létales pour d'autres espèces.

Défis environnementaux et gestion de l'eau saumâtre
Les zones d'eau saumâtre sont souvent vulnérables aux activités humaines. L'urbanisation et la pollution peuvent altérer significativement ces écosystèmes. La gestion durable des eaux saumâtres est donc essentielle pour maintenir la biodiversité et les services écosystémiques qu'elles fournissent.

Surveillance de la qualité de l'eau
Restauration des habitats naturels
Education et sensibilisation du public


Impacts du changement climatique sur les eaux saumâtres
Le changement climatique pose également des défis majeurs pour les écosystèmes d'eau saumâtre. L'élévation du niveau de la mer, l'augmentation de la température de l'eau et les changements dans les précipitations peuvent tous influencer la salinité et la qualité de ces habitats. Ces modifications ont le potentiel de perturber les espèces qui dépendent de ces environnements.

Applications pratiques et économiques de l'eau saumâtre
Outre son importance écologique, l'eau saumâtre a également des applications pratiques. Dans certaines régions, elle est utilisée pour l'aquaculture, offrant un milieu adapté pour l'élevage de certaines espèces de poissons et de crustacés qui préfèrent ou tolèrent des salinités intermédiaires. De plus, des initiatives de dessalement de l'eau saumâtre sont en cours pour contribuer à répondre aux besoins en eau douce. 

L'eau saumâtre n'est pas seulement un phénomène naturel intéressant, mais elle est aussi vitale pour de nombreux écosystèmes et a des implications significatives pour les activités humaines. Sa gestion et sa préservation exigent une attention considérable pour maintenir la santé écologique et la durabilité des ressources naturelles associées.

Eau saumâtre

En radiologie, le terme filtration fait référence à tout matériau, généralement des métaux, qui empêche le passage des radiations.

Filtration

Masse de sels contenue dans 1 kg d'eau de mer. On l'évalue maintenant en mesurant la conductivité et on l'exprime en ups : unité pratique de salinité, qui équivaut approximativement à 1mg/g de sels. La salinité de l'eau de mer est en moyenne de 35 ups, soit 35 g/kg.
La salinité est l’une des caractéristiques physico-chimiques de l’eau. 
La salinité mesure la concentration d’une eau en sels dissous (chlorure de sodium, chlorure de magnésium, sulfate de magnésium, etc.) au travers de la conductivité électrique de cette eau. 
 Cette salinité est sans unité, mais elle est encore souvent exprimée en gramme de sel par kilogramme d’eau (g/kg), en gramme de sel par litre d’eau (g/l), en pour mille ou encore en practical salinity unit (psu). 
Techniquement, la salinité est défini comme la masse (en grammes) des substances dissoutes dans un kilogramme d’eau de mer, lorsque les ions bromures et iodures sont remplacés par leur équivalent chlorure, les carbonates sont convertis en oxydes et l’ensemble de la matière organique est oxydée. 
Comme cette valeur est difficile à obtenir, les scientifiques s’appuient sur le fait que la proportionnalité des différents sels est constante pour définir d’autres grandeurs en lien avec la salinité : la chlorinité et la chlorosité. 
A titre de comparaison, l’eau douce a une salinité de 0 à 0,5 et l’eau de mer (eau euhaline) a une salinité moyenne de 35.

Salinité

Désigne les relations spatiales perceptibles à l'œil nu entre les minéraux constitutifs d'une roche ou d'un minerai (forme, taille et positions relatives).Importance de la texture dans la classification des rochesLa texture d'une roche est un critère fondamental en géologie pour la classification des roches. Elle apporte des indices essentiels sur l'environnement de formation et les processus géologiques à l'origine de la roche. Les textures peuvent être classées en plusieurs types, tels que grenue, vitreuse, porphyrique, ou encore lamellaire, chacune reflétant des conditions physiques et chimiques distinctes lors de la cristallisation ou de la solidification du matériau.Texture grenue et ses implicationsUne texture grenue, caractéristique des roches ignées telles que le granite, se compose de cristaux interconnectés de taille semblable, généralement facilement visibles à l'œil nu. Cette texture indique un refroidissement lent du magma, permettant la croissance de cristaux substantiels. Elle peut renseigner sur la profondeur et le taux de refroidissement du magma au sein de la croûte terrestre.Texture vitreuse et son origineEn revanche, une texture vitreuse, observée dans des roches comme l'obsidienne, témoigne d'un refroidissement extrêmement rapide qui ne laisse pas le temps aux cristaux de se former. Ce type de texture est souvent associé à des éruptions volcaniques explosives et peut être analysé pour comprendre la dynamique du volcanisme et l'interaction entre le magma et l'eau ou l'atmosphère terrestre.Impact de la texture sur les propriétés physiques et mécaniques des rochesLa texture d'une roche ne détermine pas seulement son type et son origine; elle influence également ses propriétés physiques et mécaniques. Des textures différentes peuvent affecter la porosité, la perméabilité, la résistance mécanique et l'érosion des roches. Par exemple, les roches à texture grenue sont généralement plus résistantes et moins poreuses que celles à texture vitreuse ou lamellaire.
 
Porosité et perméabilité : Les textures plus lâches, comme les textures sédimentaires stratifiées, tendent à présenter une porosité plus élevée, ce qui influence leur capacité à stocker et à filtrer l'eau et d'autres fluides.
 
Résistance et durabilité : Les textures compactes, telles que la texture grenue des roches ignées, confèrent une plus grande résistance aux forces mécaniques et une meilleure durabilité face aux processus d'érosion naturelle.
La texture en pétrographie et son rôle en exploration géologiqueEn pétrographie, l'étude de la texture des roches est cruciale non seulement pour déterminer l'histoire géologique d'une région, mais aussi pour l'exploration des ressources naturelles comme les minéraux, le pétrole, ou le gaz. Les variations de texture peuvent indiquer la présence de gisements ou la perméabilité des formations rocheuses, éléments clés pour les opérations de forage et d'exploitation des ressources souterraines.De plus, la capacité de reconnaître et d'analyser les textures est indispensable pour les géologues lors de la cartographie des terrains et l'évaluation des risques géologiques, tels que les failles ou les glissements de terrain. Ceci est particulièrement pertinent dans les zones où l'extraction de ressources est intensive ou prévue.La texture est un aspect de la science géologique qui, tout en apportant des détails esthétiques visibles à l'œil, détient des implications profondes en termes de mécanismes internes de la Terre, d'évaluation des ressources naturelles et de prévision des phénomènes géologiques.

Texture

Le système immunitaire correspond à l'ensemble des mécanismes de défenses de l'organisme. Il en existe deux types : innée et acquise. On appelle réponse immunitaire le déclenchement du système immunitaire face à une maladie.La réponse innée ou non spécifiqueLa réponse non spécifique, qui constitue l’immunité innée, agit en ne tenant pas compte du type de maladie qu’elle combat. Elle constitue la première ligne de défense face à une infection. Plusieurs types de mécanismes interviennent au cours de cette réponse :les barrières physiques telles que la peau et les muqueuses ;l’inflammation ;les cellules de l’immunité innée : ces cellules réalisent la phagocytose, c’est-à-dire qu’elles détruisent les corps étrangers de manière non spécifique. Les cellules de l’immunité innée comprennent entre autres les macrophages et les neutrophiles ;le complément : il s’agit d’un groupe de protéines qui joue un rôle dans l’immunité.Les globules blancs ou leucocytes sont les cellules de l'immunité. Certaines ont une action non spécifique (comme les macrophages), et d'autres une action spécifique, comme les lymphocytes. © Anne Weston, Wellcome Images, Flickr, cc by nc nd 2.0La réponse acquise ou spécifiqueCette réponse fait intervenir des cellules spécialisées appelées lymphocytes. Il en existe deux classes :les lymphocytes B : ils sont responsables de la production d’anticorps. Lorsqu’ils rencontrent un agent infectieux, ils produisent des anticorps spécifiques dirigés contre celui-ci. Ces anticorps sont des protéines capables de se fixer sur les protéines étrangères et de détruire le pathogène. On les appelle également immunoglobulines ;les lymphocytes T : ils peuvent détruire directement les particules étrangères. Ils sont produits dans le thymus.Il existe des lymphocytes T et B dits à mémoire. Ces derniers gardent le souvenir d'un agent pathogène. Si cet agent infecte une nouvelle fois l'organisme, la réponse engendrée sera beaucoup plus rapide. C'est sur cette propriété du système immunitaire que sont basés les vaccins.Champ lexical : immunité innée | immunité acquise | réponse immunitaire

Système immunitaire

Nutriment d'origine alimentaire qui ne peut être synthétisé en quantité suffisante dans l'organisme, mais qui est essentiel à la croissance et à la survie de l'organisme.

Nutriment essentiel

L’estuaire est l’endroit où un fleuve se jette dans la mer et qui constitue la transition entre le domaine continental et le domaine marin. Selon les critères, est considéré comme un estuaire la zone où les eaux marines salées et l’eau douce marine se mélangent, ou encore la zone où le cours inférieur du fleuve est remonté par la marée. Selon l’importance de la marée, l’estuaire est ainsi plus ou moins profond (c’est-dire qu’il remonte loin dans le fleuve). Par opposition, les fleuves débouchant sur des mers sans marée se terminent en delta (même s’il existe des exceptions).Hydrodynamique de l’estuaireL’estuaire se caractérise par la présence d’un bouchon vaseux, formé par l’interaction entre les courants de surface et les frottements induits par les courants de fond, qui charrient des sédiments. Cette zone de turbidité maximale, qui monte ou descend au cours des marées, contient jusqu’à 300 g de sédiments par litre, ce qui donne souvent un aspect trouble à l’eau.Les estuaires sont fréquemment aménagés, avec des zones portuaires, des espaces récréatifs, des canaux, des structure d’endiguement ou des industries. Ces aménagements modifient substantiellement le comportement hydrodynamique de l’estuaire, et amènent des polluants dans le bouchon vaseux, où ils restent bloqués. C’est le cas par exemple dans l’estuaire de la Loire, ou l’accumulation de matière organique issue du lessivage des sols en amont entraîne une eutrophisation du fleuve.Le plus grand estuaire du monde est celui du golfe de Saint-Laurent, au Canada, qui couvre 200.000 km2. La France possède trois grands estuaires : la Gironde (625 km2), la Loire (60 km2) et la Seine (50 km2).

Estuaire

On ne compte plus les expressions qui font la part belle au fer (santé de fer, volonté de fer, etc.). Qu’en est-il des propriétés de l’élément majoritaire de l’acier ? C'est le métal de base des aciers et des fontes. Il se trouve sous différentes formes de minerais dans la nature. Son abondance et ses propriétés remarquables font du fer l'un des éléments les plus utilisés dans l'industrie.
Généralités
Symbole : FeNuméro atomique : 26Électrons par niveau d’énergie : 2, 8, 14, 2Masse atomique : 55,845 uIsotopes les plus stables : 56Fe stable avec 30 neutrons (91,72 %), 54Fe avec une demi-vie de 3,1 x 1022 années (5,845 %), 57Fe stable avec 31 neutrons (2,2 %), 58Fe stable avec 32 neutrons (0,28 %)Série : métaux de transitionGroupe, période, bloc : 8, 4, dDensité : 7,874Point de fusion : 1.538 °CPoint d’ébullition : 2.861 °C
Historique du fer
Le fer est connu depuis plusieurs millénaires. L'âge du fer commence vers le XIIe siècle avant J.-C. Jusqu'au Moyen Âge, le fer était raffiné dans des bas fourneaux, donc sans production de fonte. Le haut fourneau fait cependant son apparition au Ve siècle avant J.-C.
Propriétés du fer
Métal gris, le fer possède plusieurs formes allotropiques selon la pression et la température (cubique centrée, cubique à faces centrées, hexagonale compacte). Ce métal ferromagnétique possède une dureté entre 4 et 5 selon l'échelle de Mohs. On lui connaît trois oxydes : l'oxyde de fer(II) FeO (oxyde ferreux), l'oxyde de fer(III) Fe2O3 (oxyde ferrique) et l'oxyde de fer(II,III) Fe3O4.
Utilisation du fer
Le fer n'est utilisé pur que pour des soudures sur acier inoxydable par exemple. Le fer est le principal ingrédient de l'acier et de la fonte. Celle-ci contient de 2,1 % à 6,67 % de carbone. L'acier, lui, contient de 0,025 % à 2,1 % de carbone. Quand on se situe à moins de 0,025 % de carbone, les produits entrent dans la catégorie des fers industriels.
On a longtemps employé le fer métallique et ses oxydes dans les supports d'enregistrement de données, comme les disquettes ou les bandes magnétiques.
Effets du fer sur la santé
Le fer entre dans la composition de l'hémoglobine, l'agent qui transporte l'oxygène dans le corps humain. Le contact du fer peut provoquer des problèmes oculaires s'il demeure dans les tissus. En outre, l'inhalation excessive de vapeurs d'oxyde de fer est un facteur de risque du cancer du poumon.
Une carence en fer provoque une anémie et peut entraver le développement cognitif et socio-émotionnel du cerveau de l'enfant. On sait en outre que la carence en fer peut renforcer les effets de certaines intoxications comme le saturnisme.

Gustatif se dit de ce qui a rapport au goût.

Gustatif

Chez les espèces eucaryotes : Groupe d'êtres vivants pouvant se reproduire entre eux (interfécondité) et dont la descendance est fertile.L'espèce est l'entité fondamentale des classifications, qui réunit les êtres vivants présentant un ensemble de caractéristiques morphologiques, anatomiques, physiologiques, biochimiques et génétiques, communes.Espèce, un ensemble d'individusLes espèces sont regroupées en genres et divisées en sous-ensembles dénommés variétés, races, souches ou populations. Le recensement des espèces et de leur biodiversité relève de la systématique, leur nomenclature de la taxinomie.Chez les procaryotes, il n'y a pas de notion d'inter fécondité, et l'espèce n'est pas définie de cette manière mais à partir de critères d'identité ou de proximité des génomes ou de certaines séquences d'ADN.

Espèce

Les oméga-3 sont une sorte d'acides gras polyinsaturés, dont la première double-liaison C=C implique le troisième carbone (en partant du côté opposé au groupe acide).Le précurseur des oméga-3 est l'acide α-linolénique, c'est-à-dire qu'à partir de cet acide gras, d'autres oméga-3 peuvent être synthétisés.L'acide α-linolénique est essentiel à notre alimentation puisque le corps ne peut pas le produire. On retrouve cet oméga-3 dans des poissons gras, des algues, et dans des huiles végétales, comme l'huile de noix, de lin ou de colza.Sous forme de complément alimentaire, il est recommandé d'opter pour des formes naturelles de triglycérides comme ici, généralement issues d'huile purifiée et de petits poissons (sardines, anchois, maquereaux) pour une propreté optimale. Les gros poissons en haut de la chaine alimentaire ayant tendance à accumuler de plus hauts taux de métaux lourds.Les oméga-3 sont nécessaires au bon fonctionnement cérébral, puisqu'ils participent à la formation des cellules. Ils seraient aussi impliqués dans la diminution des risques d'accidents cardiovasculaires.Notre corps a besoin d'environ 1 à 2 grammes d'oméga-3 par jour. En revanche, une consommation excessive est aussi délétère : augmentation du mauvais cholestérol, diminution de la glycémie et fluidification du sang.Selon les recommandations de l'Afssa, la consommation d'oméga-3 devrait être égale à 1/5 de notre consommation d'oméga-6, mais en général, le ratio est bien plus faible.

Oméga-3

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L'hu&icirc;tre olympique (Ostrea lurida), &eacute;galement connue sous le nom d'hu&icirc;tre du Pacifique ou hu&icirc;tre native de la c&ocirc;te ouest, est originaire des c&ocirc;tes du Pacifique Nord-Ouest, particuli&egrave;rement de la r&eacute;gion de Puget Sound aux &Eacute;tats-Unis et au Canada. C'est la seule hu&icirc;tre [popupdefinition id=2304]indig&egrave;ne[/popupdefinition] de cette r&eacute;gion, autrefois menac&eacute;e d'extinction, mais qui a connu un regain gr&acirc;ce &agrave; des efforts de conservation et d'ostr&eacute;iculture. Elles sont cultiv&eacute;es dans des [popupdefinition id=3828]estuaires[/popupdefinition] peu profonds, o&ugrave; l'eau de mer rencontre l'[popupdefinition id=6619]eau douce[/popupdefinition], cr&eacute;ant un environnement id&eacute;al pour leur d&eacute;veloppement. Elles grandissent lentement, n&eacute;cessitant de 3 &agrave; 4 ans pour atteindre leur maturit&eacute;.Les m&eacute;thodes d'&eacute;levage incluent l'utilisation de casiers, de sacs en suspension ou d'&eacute;levage au sol. Leur faible tol&eacute;rance &agrave; la pollution et &agrave; certaines maladies n&eacute;cessite une surveillance rigoureuse des conditions d'eau pour assurer une bonne production. L'hu&icirc;tre olympique est l'une des plus petites [popupdefinition id=2261]esp&egrave;ces[/popupdefinition] d'hu&icirc;tres comestibles, avec une taille moyenne de 5 &agrave; 7 cm. Sa r&eacute;colte avait fortement diminu&eacute; &agrave; cause de la [popupdefinition id=13457]surp&ecirc;che[/popupdefinition] et de la d&eacute;gradation des habitats, mais elle a r&eacute;cemment fait l'objet d'importants efforts de restauration &eacute;cologiqueSa richesse en&nbsp;[popupdefinition id=6551]om&eacute;ga-3[/popupdefinition], en [popupdefinition id=14800]zinc[/popupdefinition], en [popupdefinition id=721]fer[/popupdefinition] et en <a href="/sante/comparatifs/meilleure-vitamine-b12-comparatif/" title="Comparatif vitamine b12" class="link-type-comparo">vitamines B12</a>, soutenant la sant&eacute; cardiaque, immunitaire et cognitive, en fait une hu&icirc;tre&nbsp;recherch&eacute;e. Elle&nbsp;participe&nbsp;&eacute;galement &agrave; la purification de leur environnement en filtrant de grandes quantit&eacute;s d'eau chaque jour, ce qui aide &agrave; maintenir des [popupdefinition id=135]&eacute;cosyst&egrave;mes[/popupdefinition] aquatiques sains.Les hu&icirc;tres olympiques sont tr&egrave;s pris&eacute;es pour leur go&ucirc;t intense et complexe. Elles offrent une saveur unique, m&eacute;langeant des notes min&eacute;rales, salines et m&eacute;talliques, avec une douce amertume en fin de bouche. Leur petit format concentre ces ar&ocirc;mes, et elles sont souvent d&eacute;crites comme ayant des notes l&eacute;g&egrave;rement fum&eacute;es ou terreuses, ce qui en fait une exp&eacute;rience gustative diff&eacute;rente des autres hu&icirc;tres plus douces ou cr&eacute;meuses.&copy; VIUDeepBay, Wikimedia Commons, CC 2.0&nbsp; &nbsp;

Huîtres Olympiques : Ostrea lurida – États-Unis

Du point de vue de la salinité, une eau douce est une eau dont la salinité est inférieure à 0,5.
Du point de vue de la dureté, une eau douce est une eau dont le titre hydrotimétrique (TH) est inférieur à 15°f. C'est donc une eau pauvre en calcium et magnésium.

Importance de l'eau douce dans les écosystèmes
L'eau douce est essentielle à la vie sur Terre. Présente principalement dans les lacs, les rivières, les étangs, les marais et les aquifères, elle constitue seulement environ 2,5% de toute l'eau sur Terre, dont une grande partie est stockée sous forme de glaciers ou de neiges perpétuelles. Les écosystèmes d'eau douce jouent un rôle crucial dans la biodiversité, offrant habitat, nourriture et eau pour une multitude d'espèces animales et végétales.

Cycle hydrologique et régénération de l'eau douce
L'eau douce est également une partie intégrante du cycle hydrologique, où elle s'évapore des surfaces aquatiques, se condense dans l'atmosphère, puis retombe sur terre sous forme de précipitations. Ce processus naturel de circulation et de renouvellement de l'eau est vital pour maintenir non seulement les habitats naturels, mais aussi pour les ressources en eau des populations humaines.

L'utilisation de l'eau douce par les humains
Les applications de l'eau douce sont multiples et essentielles à divers secteurs. Principalement, l'agriculture, l'industrie, et le secteur résidentiel dépendent énormément de cette ressource limitée.

 Agriculture: L'irrigation consume la majorité de l'eau douce utilisée mondialement, permettant la culture de nourriture même dans les régions arides.
 Industrie: L'eau est utilisée comme refroidisseur, solvant et agent de nettoyage dans plusieurs processus industriels.
 Usage domestique: De la cuisine à la toilette, l'eau douce est une composante quotidienne indispensable au bien-être humain.


Défis environnementaux et conservation
Malgré son importance vitale, l'eau douce est une ressource sous pression due à la croissance démographique et économique. La pollution, le surpompage des aquifères, la déforestation, et les changements climatiques menacent sa qualité et sa disponibilité. Face à ces défis, la conservation de l'eau douce et la gestion durable s'imposent comme des impératifs urgents.
Des mesures telles que la mise en œuvre de technologies plus économes en eau, la réutilisation traitée de l'eau, la protection des zones humides qui rechargent les aquifères, et l'éducation des populations sur l'importance de cette ressource sont vitales pour sa préservation.

L'impact des changements climatiques sur les ressources en eau douce
Les changements climatiques représentent une menace significative pour les ressources en eau douce. La modification des régimes de précipitations et l'augmentation des températures globales affectent la disponibilité de l'eau, provoquant sécheresses et pénuries dans de nombreuses régions du monde. L'élévation des températures peut également affecter la qualité de l'eau, en augmentant les risques de prolifération d'algues toxiques et en diminuant l'oxygène disponible, nuisible à la vie aquatique.

Alors que le monde avance, il est crucial que les politiques de gestion de l'eau douce et les technologies de conservation évoluent pour répondre aux défis présents et futurs. Sensibiliser au rôle irremplaçable de l'eau douce dans notre écosystème et auprès des besoins humains, est un pas de plus vers un avenir durable pour tous.

Eau douce

La surpêche qualifie l’activité de pêche lorsque celle-ci menace le renouvellement des ressources marines. Si l’Homme attrape plus de poissons ou tout autre organisme marin qu’il ne le doit, l’écosystème est affecté et ne peut se régénérer. Souvent, la surpêche entraîne la prise de bébés poissons qui n’ont pas eu le temps de grandir suffisamment pour se reproduire, et conduit donc à long terme à la pénurie d’une espèce.
La surpêche a déjà entraîné l’effondrement de plusieurs espèces, comme le cabillaud et la morue au Canada. Et d’après la FAO, l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture, sept des dix plus importantes espèces de poissons sont au bord du dépeuplement total.

Surpêche

Les premiers êtres, animaux ou végétaux aborigènes d'un pays ou d'une région.

Indigène

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Les hu&icirc;tres Kumamoto (Crassostrea sikamea) sont originaires du Japon dans la baie de Yatsushiro, pr&eacute;fecture de Kumamoto mais sont aujourd'hui principalement cultiv&eacute;es sur la c&ocirc;te ouest des &Eacute;tats-Unis. Introduites dans les ann&eacute;es 1940, elles sont pris&eacute;es pour leur petite taille, leur coquille profonde, leur chair est douce et cr&eacute;meuse, avec des notes de [popupdefinition id=19563]noisette[/popupdefinition], l&eacute;g&egrave;rement sucr&eacute;es et un arri&egrave;re-go&ucirc;t de [popupdefinition id=7575]melon[/popupdefinition]. L'hu&icirc;tre Kumamoto a une longueur maximale de six centim&egrave;tres. Elle a une croissance lente, prenant trois ans pour atteindre la taille commerciale. La [popupdefinition id=3153]cicatrice[/popupdefinition] du [popupdefinition id=15004]muscle adducteur[/popupdefinition] est de [popupdefinition id=4126]couleur[/popupdefinition] violet fonc&eacute;. Les hu&icirc;tres Kumamoto sont disponibles toute l'ann&eacute;e, mais leur qualit&eacute; est g&eacute;n&eacute;ralement meilleure durant les mois froids. Elles n&eacute;cessitent des conditions sp&eacute;cifiques pour l'&eacute;levage, ce qui en fait une vari&eacute;t&eacute; plus rare et souvent plus co&ucirc;teuse. &nbsp; &copy; Emojibb.Family, Adobe Stock&nbsp;&nbsp;

Huîtres Kumamoto : Crassostrea sikamea – Japon - Photos Futura

La couleur, c'est ce qui permet de différencier deux objets de formes et de structures identiques, par exemple le drapeau italien du drapeau français. C'est aussi ce qui n'est ni blanc, ni gris, ni no...

Couleur

Le noisetier, arbre de culture facile produit des noisettes. Ce fruit à coque oléagineux, avec les amandes et les noix, fait partie des fruits secs les plus consommés. Le croquant et le parfum des noi...

Le melon est une plante originaire d'Afrique, appartenant à la famille des cucurbitacées
Description du melon
Le melon est une plante herbacée annuelle à tiges rampantes assez longues munies de vril...

Melon

Un muscle adducteur est un muscle du corps qui produit un mouvement d'adduction, c'est-à-dire permettant de rapprocher un membre du plan médian du corps. L'inverse de l'adduction est l'abduction, réal...

Adducteur

Une cicatrice est une marque laissée par une lésion des tissus après sa guérison.

Types et caractéristiques des cicatrices
Les cicatrices peuvent varier considérablement en fonction du type de blessu...

Cicatrice

Huîtres Kumamoto : Crassostrea sikamea – Japon

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L'hu&icirc;tre portugaise, connue sous le nom scientifique Crassostrea angulata, est une [popupdefinition id=2261]esp&egrave;ce[/popupdefinition] d'hu&icirc;tre originaire des c&ocirc;tes de l'Atlantique, notamment de l'Atlantique nord-est, et de la r&eacute;gion m&eacute;diterran&eacute;enne. Voici un aper&ccedil;u de sa culture, de son go&ucirc;t, de ses sp&eacute;cificit&eacute;s et de sa [popupdefinition id=4126]couleur[/popupdefinition]. Elles pr&eacute;f&egrave;rent les milieux c&ocirc;tiers, g&eacute;n&eacute;ralement dans des eaux sal&eacute;es ou [popupdefinition id=6598]saum&acirc;tres[/popupdefinition] et se d&eacute;veloppent sur des fonds sableux ou vaseux, o&ugrave; elles peuvent s'ancrer solidement.La culture de l'hu&icirc;tre portugaise peut se faire par plusieurs m&eacute;thodes : en pleine mer, suspendues dans des cages ou des fili&egrave;res, permettant un acc&egrave;s optimal &agrave; l'eau et aux [popupdefinition id=793]nutriments[/popupdefinition],&nbsp;ou &laquo; en claire &raquo;, dans des bassins peu profonds o&ugrave; les hu&icirc;tres se d&eacute;veloppent en milieu naturel, profitant des variations de [popupdefinition id=4406]salinit&eacute;[/popupdefinition] et de temp&eacute;rature.L'hu&icirc;tre portugaise est appr&eacute;ci&eacute;e pour son go&ucirc;t d&eacute;licat et iod&eacute;, souvent d&eacute;crit comme l&eacute;g&egrave;rement sucr&eacute; avec une touche de salinit&eacute;. Son go&ucirc;t peut varier en fonction de son habitat et de son alimentation. Sa chair est ferme et juteuse, offrant une sensation agr&eacute;able en bouche. Elles ont g&eacute;n&eacute;ralement une coquille plus allong&eacute;e et anguleuse que d'autres esp&egrave;ces d'hu&icirc;tres, ce qui leur donne un aspect distinctif. La chair de l'hu&icirc;tre est habituellement de couleur cr&egrave;me &agrave; gris&acirc;tre, mais peut &eacute;galement afficher des teintes plus fonc&eacute;es en fonction de l'environnement et de l'alimentation.L'hu&icirc;tre portugaise est non seulement un produit de la mer tr&egrave;s pris&eacute;, mais elle repr&eacute;sente &eacute;galement un &eacute;l&eacute;ment vital de l'[popupdefinition id=135]&eacute;cosyst&egrave;me[/popupdefinition] c&ocirc;tier. Sa culture durable et ses caract&eacute;ristiques uniques font d'elle une d&eacute;licatesse recherch&eacute;e par les amateurs de fruits de mer dans le monde entier.&copy; Jan Johan ter Poorten, Wikimedia Commons, CC 3.0

Huîtres portugaises : Crassostrea angulata – Portugal

La couleur, c'est ce qui permet de différencier deux objets de formes et de structures identiques, par exemple le drapeau italien du drapeau français. C'est aussi ce qui n'est ni blanc, ni gris, ni noir. Le blanc et le noir étant les bornes de la gamme des gris neutres.
Quelquefois, la couleur est utilisée pour désigner un objet, comme dans le cas d’un tube de rouge pour parler du rouge à lèvres, par exemple. La couleur est aussi parfois confondue avec la tonalité. Par exemple dans un ton vert, il y a plusieurs couleurs vertes, plus ou moins claires ou foncées. Une couleur est unique.
Il existe deux systèmes trichromatiques (trois couleurs primaires) :
par synthèse additive, dont les couleurs primaires sont rouge, vert et bleu (RVB) ;et par synthèse soustractive, dont les couleurs primaires sont cyan, magenta et jaune (CMJ).
La couleur du physicien
La couleur, c’est aussi la sensation produite par un rayonnement physiquement défini appelé stimulus. Celui-ci pénètre dans l'œil et est capté par des millions de cônes répartis dans la rétine mais surtout concentrés dans sa partie centrale, la fovéa, siège de la vision la plus distincte.
Pour le physicien, le terme de couleur renvoie donc à la couleur spectrale, c’est-à-dire à la perception sensorielle de l’œil humain en fonction de la longueur d’onde de la lumière qu’il reçoit. Ainsi, une lumière de longueur d’onde 550 nm est perçue comme étant de couleur verte. Le spectre visible est composé des sept couleurs de l’arc-en-ciel, soit rouge, orange, jaune, vert, bleu, indigo et violet. Le vert étant la couleur à laquelle l’œil humain est le plus sensible.
 L’œil humain peut différencier près de huit millions de nuances de couleurs. Pourtant, cet organe si avancé ne donne que peu d’informations à notre cortex pour créer une image. Alors que se passe-t-il exactement lorsque nous voyons ? Unisciel et l’université de Lille 1 nous expliquent, avec le programme Kézako, le fonctionnement de ce surprenant organe. © Unisciel
La production des couleurs
C’est en interagissant (absorption, diffusion, réfraction, interférences ou diffraction) avec la matière que la lumière produit des couleurs. La couleur bleue du ciel est ainsi le résultat d'une combinaison de plusieurs de ces phénomènes.
L’absorption de lumière est l’un des principaux mécanismes qui entrent dans le jeu des couleurs dans la vie courante. En effet, la plupart des matériaux ont pour particularité d’absorber certaines longueurs d’ondes de la lumière. Si, par exemple, les carottes nous apparaissent orange, c’est qu’elles contiennent du bêtacarotène qui absorbe les longueurs d’ondes comprises entre le violet et le vert et réfléchit la partie du spectre allant du rouge au vert.
La couleur du physicien des particules
Le physicien des particules utilise le terme « couleur » pour désigner un nombre quantique attribué aux quarks et aux gluons. Ainsi, les quarks existent en trois couleurs : rouge, bleu et vert. Les hadrons, quant à eux, sont de couleur neutre, c’est-à-dire blancs. Cependant, aucun rapport ici avec une perception visuelle que nous pourrions en avoir.
La notion de charge de couleur a été introduite pour expliquer la coexistence des quarks au sein des hadrons, tout en satisfaisant le principe d’exclusion de Pauli. Aujourd’hui, la chromodynamique quantique joue un rôle important dans le modèle standard de la physique des particules.

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L'hu&icirc;tre de l'Atlantique (Crassostrea virginica), &eacute;galement appel&eacute;e hu&icirc;tre am&eacute;ricaine ou Virginica, est une [popupdefinition id=2261]esp&egrave;ce[/popupdefinition] native des c&ocirc;tes est de l'Am&eacute;rique du Nord, notamment des &Eacute;tats-Unis et du Canada. Elle est cultiv&eacute;e principalement dans des zones comme la baie de Chesapeake, le golfe du Mexique, et le long des c&ocirc;tes de l'Atlantique. L'&eacute;levage se fait avec des m&eacute;thodes d'ostr&eacute;iculture telles que la suspension ou les parcs ostr&eacute;icoles sur fond marin. Elles sont robustes et s'adaptent bien &agrave; diff&eacute;rentes conditions environnementales, ce qui facilite leur culture. Les ostr&eacute;iculteurs les r&eacute;coltent g&eacute;n&eacute;ralement apr&egrave;s deux &agrave; trois ans de croissance. Ces hu&icirc;tres sont riches en [popupdefinition id=793]nutriments[/popupdefinition] : elles fournissent des [popupdefinition id=237]prot&eacute;ines[/popupdefinition] de haute qualit&eacute;, des [popupdefinition id=6551]om&eacute;ga-3[/popupdefinition], du [popupdefinition id=14800]zinc[/popupdefinition], du [popupdefinition id=721]fer[/popupdefinition], ainsi que des <a href="/sante/comparatifs/meilleure-vitamine-b12-comparatif/" title="Comparatif vitamine b12" class="link-type-comparo">vitamines B12</a> et D. Elles aident &agrave; soutenir le [popupdefinition id=2722]syst&egrave;me immunitaire[/popupdefinition], &agrave; am&eacute;liorer la sant&eacute; cardiaque et &agrave; favoriser une bonne r&eacute;g&eacute;n&eacute;ration cellulaire gr&acirc;ce &agrave; leur contenu en [popupdefinition id=1659]antioxydants[/popupdefinition].Les hu&icirc;tres de l'Atlantique sont r&eacute;put&eacute;es pour leur capacit&eacute; &agrave; filtrer de grandes quantit&eacute;s d'eau, contribuant ainsi &agrave; la purification des [popupdefinition id=135]&eacute;cosyst&egrave;mes[/popupdefinition] aquatiques. Chaque hu&icirc;tre peut filtrer jusqu'&agrave; 190 litres d'eau par jour, ce qui en fait une esp&egrave;ce &eacute;cologique importante dans les zones c&ocirc;ti&egrave;res.Leur go&ucirc;t varie selon la r&eacute;gion d'&eacute;levage, mais elles sont g&eacute;n&eacute;ralement appr&eacute;ci&eacute;es pour leur saveur saline, l&eacute;g&egrave;rement m&eacute;tallique et plus charnue que d'autres esp&egrave;ces. Elles offrent souvent un m&eacute;lange de douceur, d'amertume et d'une finale l&eacute;g&egrave;rement sucr&eacute;e, avec des notes min&eacute;rales et une [popupdefinition id=1636]texture[/popupdefinition] ferme et tendre. &copy; Yannick Dheilly, Wikimedia Commons, CC 3.0

Huîtres de l'Atlantique : Crassostrea virginica – Canada

Le système immunitaire correspond à l'ensemble des mécanismes de défenses de l'organisme. Il en existe deux types : innée et acquise. On appelle réponse immunitaire le déclenchement du système immunitaire face à une maladie.La réponse innée ou non spécifiqueLa réponse non spécifique, qui constitue l’immunité innée, agit en ne tenant pas compte du type de maladie qu’elle combat. Elle constitue la première ligne de défense face à une infection. Plusieurs types de mécanismes interviennent au cours de cette réponse :les barrières physiques telles que la peau et les muqueuses ;l’inflammation ;les cellules de l’immunité innée : ces cellules réalisent la phagocytose, c’est-à-dire qu’elles détruisent les corps étrangers de manière non spécifique. Les cellules de l’immunité innée comprennent entre autres les macrophages et les neutrophiles ;le complément : il s’agit d’un groupe de protéines qui joue un rôle dans l’immunité.Les globules blancs ou leucocytes sont les cellules de l'immunité. Certaines ont une action non spécifique (comme les macrophages), et d'autres une action spécifique, comme les lymphocytes. © Anne Weston, Wellcome Images, Flickr, cc by nc nd 2.0La réponse acquise ou spécifiqueCette réponse fait intervenir des cellules spécialisées appelées lymphocytes. Il en existe deux classes :les lymphocytes B : ils sont responsables de la production d’anticorps. Lorsqu’ils rencontrent un agent infectieux, ils produisent des anticorps spécifiques dirigés contre celui-ci. Ces anticorps sont des protéines capables de se fixer sur les protéines étrangères et de détruire le pathogène. On les appelle également immunoglobulines ;les lymphocytes T : ils peuvent détruire directement les particules étrangères. Ils sont produits dans le thymus.Il existe des lymphocytes T et B dits à mémoire. Ces derniers gardent le souvenir d'un agent pathogène. Si cet agent infecte une nouvelle fois l'organisme, la réponse engendrée sera beaucoup plus rapide. C'est sur cette propriété du système immunitaire que sont basés les vaccins.Champ lexical : immunité innée | immunité acquise | réponse immunitaireChamp lexical : immunité innée | immunité acquise | réponse immunitaire

Molécules ou ensemble de molécules capables de neutraliser des radicaux libres ayant ainsi un rôle de défense au sein de la membranes ou de la cellule.Les principales sont :- des vitamines : E, C, A, bêta-carotène- des minéraux : sélénium, zinc- des molécules complexes d'origine végétale : polyphénols, flavonoïdes, anthocyanosides, OPC, caroténoïdes…- des enzymes : glutathion peroxidase, superoxyde dismutase.Les antioxydants coopèrent souvent ensemble dans la cellule : ainsi la vitamine C régénère la vitamine E, la glutathion peroxidase ne peut agir sans la vitamine E et le sélénium…

Antioxydants

Les protéines sont des molécules biologiques dont les activités peuvent être très variées.Rôles des protéinesLes protéines peuvent assurer des fonctions très diverses au sein de la cellule ou de l’organisme. Elles peuvent avoir :un rôle structural (comme l’actine ou la tubuline qui participent à l’architecture de la cellule, la kératine qui constitue les cheveux) ;un rôle enzymatique (comme l’ADN polymérase qui recopie l’ADN) ;un rôle hormonal (comme l’insuline qui régule la glycémie) ;un rôle moteur (comme la myosine qui transporte des molécules dans la cellule)…Fabrication des protéinesLes protéines sont codées par les gènes et synthétisées par le ribosome au cours du processus de traduction de l’ARN. Elles sont ainsi créées par l’incorporation successive d’acides aminés, maintenus entre eux grâce à la formation de liaisons peptidiques, selon l’ordre indiqué par la succession des codons sur l’ARN.Structure des protéinesSuivant l’ordre des acides aminés et leurs interactions entre eux, les protéines prennent des conformations particulières, qui sont essentielles pour leur fonctionnalité. Il existe des structures rencontrées très fréquemment :les hélices alpha, où les acides aminés forment une hélice grâce à des liaisons hydrogènes entre eux ;les feuillets beta, où les liaisons hydrogènes entre les acides aminés favorisent la formation de couches superposées.Des modifications chimiques post-traductionnelles peuvent aussi participer à leur fonction (des acétylations, des phosphorylations, des ponts disulfures...).Quels sont les aliments les plus riches en protéines ?Il est important de savoir quels sont les aliments possédant le plus de protéines car elles sont essentielles pour notre organisme. Leur rôle est également primordial dans la métabolisation et la circulation des éléments dans notre sang (fer, calcium, magnésium). Voici une liste non exhaustive d'aliments très riches en protéines :viande séchée (51 g pour 100 g) ;œufs (13 g pour 100 g) ;saumon fumé (23 g pour 100 g) ;fromage blanc allégé (10,6 g pour 100 g) ;farine de soja (45 g pour 100 g).

Protéine

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Les hu&icirc;tres du Cap (Striostrea margaritacea) sont originaires des c&ocirc;tes sud-africaines, en particulier dans les eaux froides et riches en [popupdefinition id=793]nutriments[/popupdefinition] de l'oc&eacute;an Atlantique et de l'oc&eacute;an Indien. Elles sont les principales hu&icirc;tres consomm&eacute;es en Afrique du Sud et se distinguent par leur adaptation aux conditions marines locales. Elles sont principalement cultiv&eacute;es dans des eaux c&ocirc;ti&egrave;res froides et propres, qui favorisent une croissance lente qui am&eacute;liore leur qualit&eacute;.L'ostr&eacute;iculture pour cette [popupdefinition id=2261]esp&egrave;ce[/popupdefinition] se fait g&eacute;n&eacute;ralement en utilisant des m&eacute;thodes comme les racks en suspension ou l'&eacute;levage au sol, selon la profondeur et la nature des fonds marins. En raison de leur habitat sauvage, leur culture d&eacute;pend fortement des conditions naturelles, ce qui peut rendre la production impr&eacute;visible par moment. Elles offrent une abondance de [popupdefinition id=794]nutriments essentiels[/popupdefinition], notamment des [popupdefinition id=237]prot&eacute;ines[/popupdefinition], des [popupdefinition id=6551]om&eacute;ga-3[/popupdefinition], du [popupdefinition id=14800]zinc[/popupdefinition], du [popupdefinition id=721]fer[/popupdefinition] et des <a href="/sante/comparatifs/meilleure-vitamine-b12-comparatif/" title="Comparatif vitamine b12" class="link-type-comparo">vitamines B12</a>.Comme toutes les hu&icirc;tres, elles contribuent &agrave; une bonne sant&eacute; cardiovasculaire, soutiennent le [popupdefinition id=2722]syst&egrave;me immunitaire[/popupdefinition] et fournissent des [popupdefinition id=1659]antioxydants[/popupdefinition] b&eacute;n&eacute;fiques pour la r&eacute;g&eacute;n&eacute;ration cellulaire. Leur capacit&eacute; &agrave; filtrer et purifier l'eau environnante en fait &eacute;galement une esp&egrave;ce importante pour l'[popupdefinition id=135]&eacute;cosyst&egrave;me[/popupdefinition] marin.Les hu&icirc;tres du Cap sont robustes et bien adapt&eacute;es aux eaux froides et agit&eacute;es du sud de l'Afrique. Elles peuvent supporter de larges fluctuations de temp&eacute;rature et de [popupdefinition id=4406]salinit&eacute;[/popupdefinition], ce qui les rend r&eacute;sistantes &agrave; des conditions marines difficiles. Leur coquille est g&eacute;n&eacute;ralement &eacute;paisse et stri&eacute;e, ce qui les prot&egrave;ge dans leur environnement souvent tumultueux. Ces hu&icirc;tres sont appr&eacute;ci&eacute;es pour leur saveur forte et riche, avec des notes marines prononc&eacute;es. Elles offrent un go&ucirc;t salin marqu&eacute;, avec une [popupdefinition id=1636]texture[/popupdefinition] charnue et ferme, et une note finale subtilement douce et l&eacute;g&egrave;rement m&eacute;tallique. Leur saveur est influenc&eacute;e par les eaux froides et riches en nutriments dans lesquelles elles sont &eacute;lev&eacute;es, ce qui leur donne un caract&egrave;re robuste et unique par rapport &agrave; d'autres esp&egrave;ces d'hu&icirc;tres plus douces.&copy; Huang Yikai, Unplash&nbsp;

Huîtres du Cap : Striostrea margaritacea – Afrique du Sud

Le système immunitaire correspond à l'ensemble des mécanismes de défenses de l'organisme. Il en existe deux types : innée et acquise. On appelle réponse immunitaire le déclenchement du système immunitaire face à une maladie.La réponse innée ou non spécifiqueLa réponse non spécifique, qui constitue l’immunité innée, agit en ne tenant pas compte du type de maladie qu’elle combat. Elle constitue la première ligne de défense face à une infection. Plusieurs types de mécanismes interviennent au cours de cette réponse :les barrières physiques telles que la peau et les muqueuses ;l’inflammation ;les cellules de l’immunité innée : ces cellules réalisent la phagocytose, c’est-à-dire qu’elles détruisent les corps étrangers de manière non spécifique. Les cellules de l’immunité innée comprennent entre autres les macrophages et les neutrophiles ;le complément : il s’agit d’un groupe de protéines qui joue un rôle dans l’immunité.Les globules blancs ou leucocytes sont les cellules de l'immunité. Certaines ont une action non spécifique (comme les macrophages), et d'autres une action spécifique, comme les lymphocytes. © Anne Weston, Wellcome Images, Flickr, cc by nc nd 2.0La réponse acquise ou spécifiqueCette réponse fait intervenir des cellules spécialisées appelées lymphocytes. Il en existe deux classes :les lymphocytes B : ils sont responsables de la production d’anticorps. Lorsqu’ils rencontrent un agent infectieux, ils produisent des anticorps spécifiques dirigés contre celui-ci. Ces anticorps sont des protéines capables de se fixer sur les protéines étrangères et de détruire le pathogène. On les appelle également immunoglobulines ;les lymphocytes T : ils peuvent détruire directement les particules étrangères. Ils sont produits dans le thymus.Il existe des lymphocytes T et B dits à mémoire. Ces derniers gardent le souvenir d'un agent pathogène. Si cet agent infecte une nouvelle fois l'organisme, la réponse engendrée sera beaucoup plus rapide. C'est sur cette propriété du système immunitaire que sont basés les vaccins.Champ lexical : immunité innée | immunité acquise | réponse immunitaireChamp lexical : immunité innée | immunité acquise | réponse immunitaireChamp lexical : immunité innée | immunité acquise | réponse immunitaire

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Les hu&icirc;tres triplo&iuml;des, [popupdefinition id=2331]mollusques[/popupdefinition] [popupdefinition id=13679]bivalves[/popupdefinition], poss&egrave;dent trois ensembles de [popupdefinition id=116]chromosomes[/popupdefinition] (au lieu de deux pour les hu&icirc;tres [popupdefinition id=132]diplo&iuml;des[/popupdefinition]), ce qui leur conf&egrave;re certaines caract&eacute;ristiques avantageuses. Cette particularit&eacute; [popupdefinition id=152]g&eacute;n&eacute;tique[/popupdefinition] leur permet de cro&icirc;tre plus rapidement et de maintenir une chair plus consistante pendant les p&eacute;riodes de reproduction, une option de choix pour les [popupmetier id=64]aquaculteurs[/popupmetier] et les consommateurs. Leur culture s'inscrit dans un cadre de [popupdefinition id=2075]durabilit&eacute;[/popupdefinition] et d'innovation, permettant de r&eacute;pondre &agrave; la demande croissante des march&eacute;s pour des fruits de mer de qualit&eacute;.Les hu&icirc;tres triplo&iuml;des sont g&eacute;n&eacute;ralement st&eacute;riles, ce qui signifie qu'elles ne d&eacute;pensent pas d'[popupdefinition id=15884]&eacute;nergie[/popupdefinition] dans la reproduction et peuvent ainsi se concentrer sur leur croissance. Cela leur permet d'avoir une chair plus charnue et plus d&eacute;licieuse. Contrairement aux hu&icirc;tres diplo&iuml;des qui peuvent se reproduire et avoir une chair moins consistante pendant la [popupdefinition id=17774]saison[/popupdefinition] de reproduction (souvent au printemps), les triplo&iuml;des offrent une qualit&eacute; de chair stable tout au long de l'ann&eacute;e. Elles ont un go&ucirc;t similaire &agrave; celui des hu&icirc;tres diplo&iuml;des, souvent d&eacute;crit comme doux et iod&eacute;, mais leur [popupdefinition id=1636]texture[/popupdefinition] est habituellement plus ferme et leur chair plus abondante.La France est l'un des plus grands producteurs d'hu&icirc;tres, &eacute;galement tr&egrave;s populaires dans les zones comme le bassin d'Arcachon et la baie de Cancale. Des r&eacute;gions&nbsp;comme la c&ocirc;te est (en particulier la Nouvelle-Angleterre) et la c&ocirc;te ouest (Californie) cultivent aussi des hu&icirc;tres triplo&iuml;des. La Colombie-Britannique est une r&eacute;gion cl&eacute; pour la culture d'hu&icirc;tres triplo&iuml;des.Les hu&icirc;tres triplo&iuml;des sont une option de choix pour les aquaculteurs et les consommateurs, en raison de leur croissance rapide, de leur chair abondante et de leur qualit&eacute; constante. Leur culture s'inscrit dans un cadre de durabilit&eacute; et d'innovation, permettant de r&eacute;pondre &agrave; la demande croissante des march&eacute;s pour des fruits de mer de qualit&eacute;.&copy; Laurencesoulez, Adobe stock &nbsp;

Huîtres triploïdes, mollusques bivalves

Les physiciens emploient le terme d'énergie pour désigner une capacité à modifier un état ou à produire un travail entraînant un mouvement ou générant un rayonnement électromagnétique – de la lumière, par exemple – ou de la chaleur. Le mot vient d’ailleurs du grec et signifie « force en action ».
Dans le système international, l’énergie s’exprime en joules, mais dans le langage courant, elle s’exprime plus souvent en kilowatt-heure (kWh). Quant à la tonne d’équivalent pétrole (tep), elle permet généralement de comparer les différentes sources d’énergie entre elles.
Il est à noter que, selon le premier principe de la thermodynamique, l’énergie d’un système fermé se conserve.
Pas une mais des énergies
Il existe en fait de nombreuses formes d’énergie. Ainsi, l’énergie cinétique, par exemple, est une forme d’énergie liée au mouvement d’un corps. Elle est proportionnelle au carré de sa vitesse. La combustion, quant à elle, permet de récupérer l’énergie potentielle chimique contenue dans un combustible. Les panneaux solaires captent l’énergie lumineuse pour la transformer en énergie électrique.
Les sources d’énergie
Les énergies sont également parfois classées en fonction de leur source. On peut parler des énergies fossiles – tirées du charbon ou du pétrole, par exemple –, de l’énergie nucléaire – qui provient de réactions nucléaires –, ou encore des énergies renouvelables, qui sont naturellement régénérées comme l’énergie solaire ou l’énergie éolienne.
Énergie primaire, secondaire, finale ou utile
Une autre classification vient du fait que les énergies qui nous sont utiles dans la vie de tous les jours ne sont pas forcément disponibles, prêtes à l’emploi dans la nature. On parle ainsi :
d’énergie primaire quand elle est directement exploitable (le rayonnement solaire, par exemple) ;d’énergie secondaire pour celle obtenue après transformation (l’électricité, par exemple) ;d’énergie finale pour l’ensemble des énergies prêtes à l’emploi, délivrées au consommateur (l’essence disponible à la pompe, etc.) ;d’énergie utile pour celle qui rend réellement service à l’utilisateur (la lumière issue d’une lampe, etc.).

Énergie

Définit la période d'utilisation d'une structure. Pour les matrices on parle plutôt de durée de vie ou de vie en pot. La durabilité minimum d'une structure ou d'une pièce est en général imposée par le maître d'œuvre. Il convient de sélectionner des produits qui ont une durée de vie minimum au moins supérieure à celle imposée.
La durabilité d'une structure composite dépendra de l'environnement dans lequel, elle se trouve, des évolutions de son niveau de chargement, de la façon dont elle a été réalisée et des matériaux utilisés. Dans des environnements classiques, une structure composite peut raisonnablement avoir une durabilité supérieure à 10 ans.

Durabilité

La génétique est la science de l'hérédité. Elle étudie les caractères héréditaires des individus, leur transmission au fil des générations et leurs variations (mutations). C'est l'étude de cette transmission héréditaire qui a permis l'établissement des lois de Mendel. La mise en évidence de l’ADN, qui est le support de l’information génétique, a permis le développement de la génétique moléculaire.La génétique s’intéresse à tous les êtres vivants, procaryotes ou eucaryotes. Les virus possèdent également un patrimoine génétique sous forme d’ADN ou d’ARN.Chez l’Homme, le noyau cellulaire contient 23 paires de chromosomes ; chaque individu possède un lot de chromosomes provenant de son père et un lot provenant de sa mère. Chez les eucaryotes, tout le génome n'est pas dans le noyau : mitochondries et chloroplastes contiennent aussi de l'ADN. De la transmission de caractères à la génétique moléculaireLe génome contient de nombreux gènes ; un gène contient l’information nécessaire pour produire un polypeptide. Dans la cellule, pour produire un polypeptide à partir d’un gène, l’ADN est d’abord transcrit en ARN qui ensuite est traduit par des ribosomes en polypeptide. Au laboratoire, de nombreuses techniques de biologie moléculaire permettent de manipuler et d’analyser les gènes : utilisation d’enzymes de restriction, clonage de gènes dans un plasmide, production d’ADN par PCR, séquençage de l’ADN…Le génie génétique a permis le séquençage du génome humain, de diagnostiquer des maladies génétiques ou d’imaginer des techniques de thérapie génique. Les manipulations du génome permettent de créer des organismes génétiquement modifiés (OGM). Aujourd’hui, les manipulations génétiques sont facilitées chez les animaux et les végétaux grâce au développement de la technique d’édition génomique CRISPR-Cas9.

Génétique

Une cellule diploïde est une cellule qui comporte deux paires de chromosomes homologues (notés 2n), inversement à une cellule haploïde qui n’en comporte qu’un (n). La plupart des animaux et des végétaux ont un cycle de vie diploïde, où la phase haploïde est limitée à la reproduction. Chez l’Homme par exemple, les spermatozoïdes et les ovules sont haploïdes et ne contiennent que 23 chromosomes qui donnent un œuf fécondé à 46 chromosomes lors de leur fusion.Cycle de vie d’un organisme diploïdeReproduction sexuée (méiose) : les gamètes sont générées lors de la méiose. Les cellules diploïdes dupliquent d’abord leur ADN pour obtenir deux cellules de 2n chromosomes à deux chromatides. Puis, chaque cellule est à nouveau divisée en deux cellules filles haploïdes contenant chacune n chromosomes à une chromatide, soit 4 cellules filles en tout. La fécondation entre les deux gamètes donnera une nouvelle cellule diploïde.Pour une reproduction asexuée (mitose) : la cellule mère duplique simplement son ADN et se divise en deux cellules filles diploïdes (il n’y a pas de phase haploïde).Avantage de la diploïdieLa diploïdie a l’avantage de masquer les mutations délétères qui peuvent intervenir lors de la réplication de l’ADN : si un gène mute, il reste une copie fonctionnelle sur le chromosome homologue et le gène muté, généralement récessif, ne s’exprime pas. Mais à l'inverse, ces mutations défavorables à court terme pourront s’avérer bénéfiques sur le long terme et favoriser l’adaptation à de nouvelles conditions.À noter qu’il existe des organismes polyploïdes possédant 3, 4, voire 16 chromosomes homologues dans une cellule, notamment chez les plantes cultivées. En effet, une cellule polyploïde est plus grande avec un pourcentage en eau plus élevé qu’une cellule diploïde. Le blé sauvage est ainsi naturellement diploïde, mais le blé tendre, qui sert notamment à fabriquer le pain, est hexaploïde. 

Diploïde

L’aquaculteur est un spécialiste des espèces animales et végétales se situant en milieu immergé. Eleveur de poissons, de crustacés, de fruits de mer ou encore d’algues marines, l’aquaculteur gère toutes les étapes de sa filière, de la sélection des espèces à leur commercialisation finale. Selon sa spécialité, l’aquaculteur sera amené à travailler en eau de mer ou en eau douce, le long des côtes ou au milieu d’un lac ou d’un étang.Parmi les missions de l’aquaculteur, la sélection et l’élevage des espèces. Il recueille des alevins ou des naissains (ensemble de larves ou d’embryons) et a pour but d’assurer leur développement en surveillant leur bonne santé et en favorisant leur reproduction. Pour cela, il va se charger d’assurer une bonne qualité de l’eau, de fournir une alimentation adaptée, de trier et calibrer les espèces tout en respectant la réglementation en vigueur. L’aquaculteur sera ensuite tenu de commercialiser sa production, que ce soit via son propre réseau de distribution ou en la proposant à des professionnels de la restauration ou à des poissonniers. Les principales compétences et qualités à avoirL’aquaculteur doit avoir des compétences aussi bien techniques que biologiques :connaître la réglementation en vigueur en matière de production agricole ;maîtriser les règles d’hygiène et de sécurité ;être bricoleur en cas de réparation à faire sur les filets ou les bassins ;être bon gestionnaire ;avoir un réel attrait pour l’eau et les poissons ;être en bonne condition physique ;faire preuve de rigueur et de patience ;connaître les circuits de distribution.Parmi les spécialisations possible de l’aquaculteur, l’ostréiculture, c’est-à-dire, l’élevage des huîtres. © auremar, Fotolia.Les conditions de travailL’aquaculteur travaille essentiellement en extérieur. Que ce soit pour de l’élevage en eau de mer ou en eau douce, l’aquaculteur exerce son métier dehors, dans l’eau ou sur l’eau et ce quel que soit le temps. Ses horaires de travail peuvent également être irréguliers à cause notamment des aléas climatiques ou des horaires des marées, et il peut exercer tous les jours de la semaine, weekend et jours fériés inclus.Comment devenir aquaculteur ?Le métier d’aquaculteur est accessible via différentes formations :CAP Conchyliculture ;BEPA Productions aquacoles ;BEP Maritime de Cultures marines ;Brevet professionnel Responsable d’exploitation agricole ;Bac Pro Cultures marines ;Bac Pro Productions aquacoles ;BTSA Aquaculture ;DEUST Technicien de la mer et du littoral ;Licence pro Aquaculture durable et gestion de la qualité ;Licence pro Aquaculture continentale et aquariologie ;Master Sciences halieutiques et aquacoles.Le salaire d’un aquaculteurA ses débuts, un aquaculteur touche généralement entre 1300 et 1500 euros bruts par mois. Son salaire progressera avec l’expérience, en fonction de sa spécialisation et de la taille de son exploitation. En tant qu’employé dans une entreprise productrice de poissons, son salaire va dépendre de son niveau d’études mais aussi de la qualification de son poste.Les perspectives d’évolution d’un aquaculteurUn aquaculteur peut évoluer en changeant de spécialité ou bien en devenant entrepreneur à son compte. Elevage de moules (mytiliculture), d'huîtres (ostréiculture), de saumons ou truites (salmoniculture) sont des spécialisations possibles en vue de reconversion.Entreprises qui emploient des aquaculteursIFREMER ;entreprise aquacole.

Aquaculteur

Un chromosome est une structure constituée d'ADN et de protéines. Chez les bactéries, la grande molécule d’ADN circulaire qui baigne dans le cytoplasme est appelée chromosome bactérien. La bactérie possède aussi souvent de petits ADN circulaires dans son cytoplasmique : les plasmides. 
Dans les cellules eucaryotes, les chromosomes se trouvent dans le noyau ; leur nombre varie en fonction des espèces. En dehors des moments où la cellule se divise, les chromosomes ne peuvent pas être visualisés individuellement. Lorsque la division cellulaire se prépare, ils se condensent et deviennent distincts. Au moment de la division cellulaire (mitose), les chromosomes, formés de deux chromatides identiques reliées au niveau du centromère, se coupent en deux : chaque chromatide part dans une cellule-fille. Une phase de synthèse d'ADN permettra ensuite de doubler l'ADN de la cellule-fille.
Les chromosomes humains
Une cellule humaine contient 23 paires de chromosomes (2n = 46 chromosomes), dont 22 sont communes aux deux sexes : les paires d'autosomes. Les deux chromosomes restants sont les chromosomes sexuels. Chez la femme, ce sont deux chromosomes X. Chez l'homme, ils sont différents, l'un est un chromosome X et l'autre, beaucoup plus court est appelé chromosome Y. Dans les gamètes comme le spermatozoïde, seuls 23 chromosomes sont présents (n). En effet, au cours de la méiose, une division cellulaire indispensable à la formation des gamètes, les deux chromosomes d’une même paire se séparent.
Certaines maladies génétiques sont liées à des aberrations chromosomiques. Par exemple, la trisomie 21 est due à la présence d’un chromosome 21 surnuméraire. De même, le syndrome de Klinefelter touche des garçons qui possèdent trois chromosomes sexuels : XXY. Les femmes atteintes du syndrome de Turner n’ont qu’un chromosome X.

Chromosome

Les mollusques constituent un des grands embranchements du règne animal. Ces animaux sont à corps mou, mais peuvent être pourvus d'une coquille.
Le corps d’un mollusque se subdivise en trois parties : la tête, le pied et la masse viscérale. La tête concentre les organes sensoriels. Le pied permet la locomotion, il est très peu développé chez les mollusques vermiformes, mais constitue une arme de chasse chez d’autres. Les pieuvres, par exemple, sont des mollusques à huit pieds (leurs tentacules), les rendant bonnes chasseuses. La masse viscérale est contenue dans le manteau du mollusque.
Pour la plupart, les mollusques ont un sexe défini. Il existe toutefois des exceptions, comme les huîtres ou les escargots, qui sont hermaphrodites. Tous les mollusques vivent dans l’eau ou en milieu humide, si bien qu’on les trouve partout dans le monde.

Mollusque

Au niveau astronomique, une saison est un quart d’année délimité par un solstice et un équinoxe. Le rayonnement solaire en un point du globe est maximal au solstice d’été et minimal au solstice d’hiver. La durée relative du jour et de la nuit sur Terre varie en fonction des saisons, sauf au niveau de l’équateur où la durée du jour est de 12 heures. La durée du jour est maximale le jour du solstice d’été et minimale le jour du solstice d’hiver. Le jour de l’équinoxe, la durée du jour égale celle de la nuit. L’existence des saisons est liée à l’inclinaison de l’axe de rotation de la Terre ou axe des pôles. Cet axe est incliné de 23° par rapport au plan de l’écliptique, c’est-à-dire le plan de rotation de la Terre.Les saisons de l’hémisphère nord sont inversées par rapport à celles de l’hémisphère sud. Chaque saison suit le solstice ou l’équinoxe qui lui a donné son nom :l’hiver commence au solstice d’hiver, vers le 21 décembre pour l’hémisphère nord,le printemps commence à l’équinoxe de printemps, vers le 21 mars au nord,l’été démarre avec le solstice d’été, vers le 21 juin au nord,l’automne débute à l’équinoxe d’automne, vers le 21 septembre au nord.Les saisons météorologiquesAu niveau météorologique, la conception des saisons diffère des saisons astronomiques, ou calendaires. En effet, l’été est associé à une période chaude et l’hiver à une période froide. En raison de l’inertie de l’atmosphère, la période la plus chaude de l’année ne se situe pas au moment du solstice d’été mais trois semaines plus tard environ.D’après Météo France, « en météorologie, l'été commence début juin et s'achève fin août. » Avec le même raisonnement concernant l’hiver, « le pic de l'hiver se situe plutôt mi-janvier. Ainsi l'hiver météorologique commence début décembre et s'achève fin février. »Saisons et santéLes saisons influencent la santé. Ainsi, en hiver, certaines personnes souffrent de dépression saisonnière. Certaines maladies connaissent un pic en hiver en Europe, comme la grippe saisonnière mais aussi les maladies cardiaques. Le printemps est la période des rhumes des foins.

Saison

Les bivalves, ou lamellibranches, sont des mollusques dont le corps est protégé par une coquille composée de deux valves articulées. Ce groupe rassemble entre autres les moules, les huîtres, les palourdes et les bénitiers.
Les bivalves ont conquis le monde entier
Près de 12.000 espèces dulçaquicoles ou marines ont déjà été recensées. Leur taille varie entre 0,2 et 150 cm de long. Certaines espèces de bénitiers peuvent atteindre un poids de 250 kg.
Il s’agit d’organismes filtreurs, qui peuvent être fixés (les huîtres et les moules) ou fouisseurs (les couteaux et les palourdes). Certains, comme la datte de mer, sont capables de perforer des substrats durs (bois, pierre, corail, etc.) à l’aide de l’acide qu’ils sécrètent. Ils vivent alors dans les trous ainsi forés.
Les bivalves marins ont colonisé toutes les mers du globe, y compris polaires. De même, des lamellibranches peuvent être trouvés dans tous les cours d’eau de la planète. Voilà au moins 530 millions d’années qu’ils existent, puisque c’est l’âge affiché par le plus vieux fossile mis au jour.

Bivalve

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Pinctada margaritifera, commun&eacute;ment connue sous le nom d'hu&icirc;tre perli&egrave;re, est une [popupdefinition id=2261]esp&egrave;ce[/popupdefinition] de [popupdefinition id=2331]mollusque[/popupdefinition] [popupdefinition id=13679]bivalve[/popupdefinition] tr&egrave;s pris&eacute;e pour sa capacit&eacute; &agrave; produire des perles. C'est une hu&icirc;tre de grande taille, pouvant atteindre jusqu'&agrave; 30 centim&egrave;tres. Sa coquille est g&eacute;n&eacute;ralement grise &agrave; noire avec des reflets m&eacute;talliques et un int&eacute;rieur nacr&eacute; brillant. Elle vit principalement dans les eaux chaudes des oc&eacute;ans tropicaux et subtropicaux, souvent &agrave; des profondeurs de 10 &agrave; 50 m&egrave;tres.Elle peut &ecirc;tre cultiv&eacute;e en pleine mer, dans des parcs &agrave; hu&icirc;tres suspendues &agrave; des lignes flottantes ou plac&eacute;es dans des cages. Elles se nourrissent de [popupdefinition id=3833]phytoplancton[/popupdefinition] et n&eacute;cessitent des eaux propres et bien oxyg&eacute;n&eacute;es pour cro&icirc;tre de mani&egrave;re optimale. La&nbsp;Polyn&eacute;sie fran&ccedil;aise est une r&eacute;gion tr&egrave;s pris&eacute;e pour la qualit&eacute; de ses perles, mais on peut &eacute;galement en cultiver au Japon, en Australie.Pour produire des perles, un petit morceau de nacre ou un irritant est introduit dans l'hu&icirc;tre, celle-ci s&eacute;cr&egrave;te alors de la nacre autour de cet irritant, formant ainsi une perle. La production peut prendre entre 1 et 4 ans, selon les conditions de culture et la taille d&eacute;sir&eacute;e des perles.Pinctada margaritifera produit principalement des perles noires, mais des teintes vari&eacute;es allant du gris clair au noir profond, ainsi que des nuances de vert, bleu et dor&eacute; peuvent aussi &ecirc;tre trouv&eacute;es. Les perles noires de Pinctada margaritifera sont parmi les plus pr&eacute;cieuses sur le march&eacute; en raison de leur raret&eacute; et de leur beaut&eacute;.Pinctada margaritifera joue un r&ocirc;le essentiel dans l'industrie de la bijouterie gr&acirc;ce &agrave; sa capacit&eacute; &agrave; produire des perles de grande qualit&eacute;. Son &eacute;levage n&eacute;cessite des conditions environnementales sp&eacute;cifiques et une expertise, faisant de la culture de perles un art autant qu'une science. La beaut&eacute; et la valeur des perles noires issues de cette hu&icirc;tre en font un produit pris&eacute; dans le monde entier.&copy; MHNT, Wikimedia Commons, CC 4.0

Huîtres perlières : Pinctada Margaritifer – Polynésie française

Le phytoplancton est constitué de l’ensemble des organismes unicellulaires présents dans les eaux de surface dans l’océan. Il est composé de cyanobactéries, des bactéries douées de photosynthèse et de microalgues, principalement les diatomées, que l’on retrouve dans les eaux froides, et les dinoflagellés, abondants dans les mers chaudes. Le développement du phytoplancton dépend en grande partie de la quantité de nutriments présents dans l’eau (phosphate, azote, fer, calcium…) mais il est aussi influencé par la salinité, la luminosité, la profondeur, de l’eau ou le vent et les saisons.Le phytoplancton, maillon de base de la chaîne alimentaire marineLe phytoplancton est appelé producteur primaire car il a la capacité de transformer la matière inorganique (CO2, sels minéraux, eau, lumière…) en matière organique (biomasse) utilisable par les autres organismes vivants. Il sert de nourriture à de très nombreux animaux marins, depuis les minuscules animaux du zooplancton jusqu’aux énormes baleines.Cette carte montre la concentration en chlorophylle de l’eau, signalant la présence en phytoplancton. Cette répartition varie fortement en fonction des saisons (ici, en octobre 2019) © Nasa, Modis AquaLe phytoplancton, poumon de la PlanèteLe phytoplancton représente à peine 1 % de la masse des organismes photosynthétiques de la Planète mais produit à lui seul la moitié de l’oxygène sur Terre. C’est d’ailleurs l’apparition de ces premiers organismes photosynthétiques qui a majoritairement contribué aux flux d’oxygène vers l’atmosphère lors de la Grande Oxydation il y a 2,8 milliards d’années et contribué à l’émergence de la vie multicellulaire aérobie.Ces milliards de micro-organismes absorbent également 37 milliards de tonnes de CO2 annuellement, soit 40 % du CO2 produit. Une « pompe à carbone » équivalente à 1.700 milliard d’arbres, soit quatre fois la forêt amazonienne. Lorsque le phytoplancton meurt ou est avalé par des animaux, il est décomposé et relâche le carbone dans l’atmosphère, mais une partie est également envoyée au fond de l’océan pour y être stockée. On estime ainsi que 11 gigatonnes de carbone par an sont transférées au fond de l’océan.On observe aujourd’hui un déclin du phytoplancton dû notamment à la hausse des températures et à la modification de la circulation des courants océaniques qui contribuent au brassage des nutriments. 