Produite depuis 1999, la Pagani Zonda est une [popupdefinition id=11105]voiture[/popupdefinition] italienne de la marque Pagani. Elle est principalement compos&eacute;e de mat&eacute;riaux &agrave; base de [popupdefinition id=16081]fibres de carbone[/popupdefinition] et existe en plusieurs versions : coup&eacute; et roadster. Zonda vient du nom d'un [popupdefinition id=14560]vent[/popupdefinition] soufflant dans la cordill&egrave;re des Andes d'o&ugrave; sont originaires Horacio Pagani, le fondateur de la marque, et Juan Manuel Fangio, un champion de Formule 1 qui a assur&eacute; une partie du d&eacute;veloppement de la voiture. En photos, une Pagani Zonda R. Ann&eacute;es de production : depuis 1999. &copy; Damiano.46, Wikimedia Commons, CC by-sa 3.0

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La Pagani Zonda R, une célèbre italienne

Une automobile est un véhicule terrestre disposant de roues et équipé d'un moteur embarqué qui le propulse.

- Inventée en 1886 par Carl Benz

Les origines de l'automobile
La toute première automobile : à vapeur
La première ébauche d'un véhicule mobile a lieu en 1796 lorsque le Français Joseph Cugnot plaça une machine à vapeur à l'arrière d'une charrette : le fardier. Plusieurs tentatives furent opérées dans les décennies suivantes, toutes se basant sur la machine à vapeur. Mais cette dernière empêchait tout véhicule de devenir réellement mobile, en raison de sa lourdeur, de sa faible vitesse et de son autonomie de quelques dizaines de minutes. Il fallut attendre le moteur à explosion en 1859 pour voir apparaître les premières automobiles.

Le développement de l'automobile moderne
L'ingénieur allemand Carl Benz est considéré comme l'inventeur de l'automobile moderne : il s'inspira du modèle de moteur mis au point par Nikolaus Otto pour créer son véhicule, équipé de trois roues et d'un moteur à explosion. Il dépose alors un brevet qui est validé le 29 janvier 1886. Carl Benz entreprend immédiatement la création d'une entreprise qui porte son nom et qui, en l'espace de 15 ans, devient leader mondial de ce secteur. À partir des années 1920, l'automobile se démocratise dans le monde entier, avec le développement des routes goudronnées et l'instauration du code de la route. Elle est composée d'un châssis roulant sur lequel est installé un groupe motopropulseur commandé par le conducteur à l'aide d'un volant et d'éventuelles pédales. Le moteur installé est un moteur à combustion interne ou un moteur électrique.

Aspects techniques et innovations
L'essor des accessoires tels que l'ABS et l'airbag lui ont permis de devenir plus sûre et de réduire le nombre de morts sur les routes. Les aspects techniques de l'automobile n'ont cessé d'évoluer, intégrant des matériaux plus légers et résistants, des technologies de connectivité avancées et des systèmes de navigation et de sécurité de plus en plus sophistiqués.

Innovations environnementales
Au fil des ans, l'impact environnemental des automobiles a de plus en plus préoccupé fabricants et consommateurs. Ceci a mené à l'introduction de voitures hybrides et électriques, qui utilisent des sources d'énergie alternatives pour réduire l'émission de polluants. Les innovations dans les batteries, telles que les batteries lithium-ion, ont également amélioré l'autonomie des véhicules électriques, les rendant plus viables pour une utilisation quotidienne.

Sécurité et réglementation
La sécurité automobile a également fait l'objet de nombreuses améliorations au cours du siècle dernier. Outre l'ABS et l'airbag, des dispositifs tels que les systèmes de contrôle de stabilité (ESC), les détecteurs de collision et les aides au stationnement sont désormais standard dans de nombreux modèles. De plus, les réglementations internationales ont imposé des normes de sécurité plus strictes pour les véhicules neufs, garantissant ainsi une protection accrue pour les conducteurs et les passagers.

Impact culturel et économique
L'automobile a également joué un rôle crucial dans la configuration des sociétés modernes. Elle a facilité la mobilité des personnes et des biens à une échelle jamais vue auparavant, contribuant ainsi à l'expansion des villes et au développement économique global. De plus, l'industrie automobile est l'un des secteurs économiques les plus significatifs au monde, créant des millions d'emplois et contribuant substantiellement aux économies nationales.

Automobile

Les fibres de carbone sont particulièrement fines — de l’ordre de 5 à 10 micromètres de diamètre — et composées presque exclusivement d’atomes de carbone — plus quelques pourcents d’atomes d’azote, d’oxygène et d’hydrogène. Elles servent notamment à renforcer certains matériaux composites.
Caractéristiques et avantages de la fibre de carbone
Les fibres de carbone ont certains avantages :
Elles conduisent bien l’électricité et la chaleur (avantages qui peuvent aussi devenir des inconvénients selon l'application).Elles sont rigides (leur module d'élasticité peut toutefois varier en fonction des paramètres de mise en œuvre).Elles résistent bien à la traction, tout comme à la compression. Elles s'avèrent, en ce sens, même aussi solides que l’acier, voire plus.Elles sont près de 70 % plus légères que l'acier.
La fibre de carbone dans l'industrie : voiture, avion…
Ces caractéristiques intéressent beaucoup l’industrie. L’industrie automobile espère, par exemple, en intégrant des fibres de carbone dans les automobiles, en alléger la masse de plusieurs centaines de kilogrammes. Quant à l'aéronautique, l’Airbus A380 bénéficie déjà largement de la légèreté des fibres de carbone.
Fabrication et inconvénients de la fibre de carbone
Les fibres de carbone sont produites à partir de précurseurs chimiques comme le polyacrylonitrile (PAN : [CH2-CH-CH]n). Les fibres de PAN sont d’abord oxydées puis on procède à une étape dite de « carbonisation ». Une étape de graphitation complète le tout lorsque l’on cherche à obtenir des fibres de carbone plus rigides.
Résultat, la fibre de carbone reste relativement chère notamment parce que sa production s’avère très énergivore. Les procédés industriels sont plus longs que ceux mis en œuvre pour produire des pièces en matériaux classiques.

Fibre de carbone

Le vent correspond au déplacement d’une masse d’air consécutif à des différences locales de température et de pression. D’une légère brise à une forte tempête, la vitesse et l’amplitude géographique des vents peuvent être très variables dans l’espace et dans le temps. Parfois destructeur, le vent participe à de nombreux processus sur Terre, comme l’oxygénation des océans et des rivières, ou l’érosion des sols et le déplacement de minéraux. L'Homme l’utilise aujourd’hui comme source d’énergie : l’éolien.
Principe de formation du vent
Deux paramètres principaux contribuent à la formation des vents à la surface de la Terre : la température et la pression. Par exemple, lorsqu’une masse d’air se réchauffe, elle s’élève en altitude au-dessus des couches plus froides, ce qui génère une diminution de la pression. Pour combler le vide, la masse d’air voisine va s’engouffrer dans l’espace laissé vacant : ce mouvement crée le vent.
Un exemple concret : celui de la brise de mer et la brise de terre. Le jour, la terre se réchauffe plus vite que la mer. L’air au-dessus de la terre s’élève et crée une dépression, compensée par l’air surplombant la mer, générant ainsi une brise qui circule de la mer vers le continent. À l’inverse, la nuit, l’eau conserve mieux sa chaleur et l’air de la terre se refroidit plus vite. Cette différence thermique génère un courant d’air de la terre vers la mer : une brise de terre.
La rotation de la Terre sur elle-même contribue également à la formation des vents, à leur localisation et à leur orientation, par la force de Coriolis. À cela, il faut également rajouter la topographie des continents qui peut favoriser les rencontres entre les masses d’air
La mesure du vent
La vitesse du vent se mesure à l’aide d’un anémomètre. Des échelles ont été établies afin d’estimer l’intensité des vents. L’échelle de Beaufort s’étale de 0 à 12. Elle repose sur la vitesse moyenne des vents sur une durée de 10 minutes, utilisée en association avec l’état de la mer qui en découle. Au niveau 0, le vent est nul, tandis qu’au niveau 12, les vents d’un ouragan soufflent à plus de 118 km/h, générant une mer déchaînée. L’échelle de Fujita se limite quant à elle à la classification des tornades, phénomène climatique générant les vents les plus violents à l’échelle de la Terre, mais sur une petite zone géographique.
L’éolien, l’énergie tirée du vent
Le vent fait également office d’énergie renouvelable et devient de plus en plus prisé afin de compenser les énergies fossiles, accusées de contribuer au réchauffement climatique, ou le nucléaire, du fait des potentiels dangers que cette source énergétique représente. En 2012 par exemple, en France, le vent a généré 14,9 térawattheures (TWh) d’électricité. En 2011, 459,9 TWh d’électricité ont été produits par l’énergie éolienne dans le monde.

Vent

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D&eacute;velopp&eacute;e par le constructeur allemand Porsche, la Porsche 911 est une [popupdefinition id=11105]voiture[/popupdefinition] sportive de prestige. Le type 997 est la sixi&egrave;me g&eacute;n&eacute;ration de Porsche 911. Avec environ 100.000 exemplaires, c'est &eacute;galement le plus vendu.Ann&eacute;es de production : 2004 &agrave; 2012.&copy; Ray [popupdefinition id=21507]T[/popupdefinition], Flickr, CC by 2.0

La Porsche 911 (997)

Le tritium est un isotope radioactif de l'hydrogène, symbolisé par ³H ou T. Contrairement à l'hydrogène ordinaire qui a un proton dans son noyau, le tritium possède un proton et deux neutrons, ce qui le rend plus lourd et instable. Il émet des radiations bêta faibles et a une demi-vie d'environ 12,32 ans. Le tritium se forme naturellement dans l'atmosphère sous l'effet des rayons cosmiques et peut également être produit artificiellement dans les réacteurs nucléaires.À quoi ça sert actuellement ?Le tritium a plusieurs applications importantes, principalement dans les domaines de l'énergie nucléaire, de la recherche scientifique, et de l'industrie. Il est utilisé dans les dispositifs d'éclairage qui ne nécessitent pas de source d'énergie externe, comme les signaux de sortie de secours, les montres-bracelets, et les viseurs d'armes à feu. La lumière est produite par la réaction du tritium avec un phosphore.Le tritium joue également un rôle crucial dans les recherches sur la fusion nucléaire, notamment comme combustible dans les réacteurs à fusion expérimentaux. Lorsqu'il est combiné avec le deutérium, il peut libérer une grande quantité d'énergie. Toujours en recherche scientifique, le tritium est utilisé comme traceur dans des études biologiques et environnementales, permettant de suivre le mouvement de l'eau ou d'autres substances dans des systèmes complexes.Le tritium, radioactif et très mobile, peut présenter un danger en raison de sa persistance dans l'environnement - jusqu'à plusieurs décennies selon les milieux. © Casimiro, Adobe StockLe tritium dans l’HistoireLe tritium a été découvert en 1934 par Ernest Rutherford, Mark Oliphant et Paul Harteck. Sa production industrielle a commencé pendant la Seconde Guerre mondiale, principalement pour les besoins de la recherche nucléaire et des armements. Il a été largement utilisé dans les armes nucléaires pour augmenter l'efficacité des explosions thermonucléaires et demeure un composant crucial des armes nucléaires modernes.Après la guerre, il a trouvé des applications dans les domaines de la recherche médicale et environnementale. Dans les années 1960 et 1970, son utilisation s'est étendue à l'industrie des panneaux de signalisation et des montres lumineuses.Est-ce que c'est dangereux ?Le tritium émet des radiations bêta faibles, qui ne peuvent pas pénétrer la peau humaine. Cependant, il peut être dangereux s'il est ingéré, inhalé, ou absorbé par la peau sous forme de vapeur d'eau tritiée ou de composés organiques tritiés.Les molécules d'eau contenant du tritium peuvent en effet être inhalées ou ingérées, entraînant une exposition interne à la radiation. Une exposition prolongée ou à des concentrations élevées de tritium peut également augmenter le risque de cancers et de dommages génétiques. Enfin, naturellement radioactif, le tritium nécessite des précautions strictes lors de sa manipulation pour minimiser l'exposition.Le tritium est encore utilisé aujourd'hui pour les montres de plongées ou à usage militaire, des contextes où une luminosité constante est essentielle. © Pavel, Adobe StockComment produit-on du tritium ? Le tritium peut être produit de plusieurs façons, mais il est plus souvent produit dans des réacteurs nucléaires par irradiation du lithium-6 avec des neutrons. Dans les réacteurs à eau lourde, le tritium se forme à partir de l'interaction des neutrons avec le deutérium dans l'eau lourde D2O. Enfin, des quantités plus petites de tritium peuvent être produites dans des accélérateurs de particules.La France produit du tritium, principalement pour ses besoins en recherche nucléaire et pour ses programmes d'armement. Il est synthétisé dans les réacteurs nucléaires, notamment ceux utilisant de l'eau lourde. Le gouvernement utilise également le tritium dans ses laboratoires de recherche pour des expériences de fusion nucléaire, comme celles menées au Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA).Le tritium est donc un isotope de l'hydrogène essentiel pour plusieurs applications industrielles, scientifiques et militaires. Bien qu'il présente des risques radiologiques, ses usages dans la fusion nucléaire, les traceurs scientifiques, et les sources lumineuses auto-alimentées le rendent indispensable. Toutefois, sa production et sa gestion nécessitent des précautions strictes pour assurer la sécurité et minimiser les risques pour la santé humaine et l'environnement.Champ lexical : ³H | t

Tritium

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Construites par Ford depuis 1964, les Ford Mustang arborent leur propre logotype de calandre : un mustang au galop &agrave; la place de celui du constructeur. Le nom &laquo; Mustang &raquo; serait tir&eacute; de l&rsquo;avion P-51 Mustang qu&rsquo;appr&eacute;ciait le concepteur du premier prototype. Ann&eacute;es de production : depuis 1964. &copy; Oxyman, Wikimedia Commons, CC by 2.0

La Ford Mustang

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Produite &agrave; la Standard Motor Company, au Royaume-Uni, la Triumph TR3 est une [popupdefinition id=11105]voiture[/popupdefinition] cabriolet de la marque Triumph. Le constructeur n'existe plus depuis 1984. Ann&eacute;es de production : 1955 &agrave; 1957. &copy; Raymondvandonk, Wikimedia Commons, CC by-sa 3.0

La Triumph TR3 de la Standard Motor Company

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Voiture sportive de prestige, l'Audi R8 est un coup&eacute; deux places. Elle tire son nom de la [popupdefinition id=11105]voiture[/popupdefinition] de course homonyme, victorieuse aux 24 Heures du Mans. Elle a suscit&eacute; un tr&egrave;s grand engouement en Europe, &agrave; tel point que le constructeur allemand Audi a d&ucirc; augmenter sa cadence de production. Il a &eacute;galement d&eacute;velopp&eacute; d'autres mod&egrave;les comme la R8 V10 (une version plus puissante), la R8 LMS (une version de course) et la version d&eacute;couvrable R8 Spyder (&eacute;quip&eacute;e d'une [popupdefinition id=5240]capote[/popupdefinition] en toile) qui est visible ici.Ann&eacute;es de production&nbsp;: depuis 2010.&copy; Audi USA, Flickr, CC&nbsp;by-nc-sa 2.0

L'Audi R8 Spyder, un coupé sportif

Le préservatif masculin (appelé également capote, condom…) est largement utilisé comme mode de contraception et également comme protection contre les infections sexuellement transmissibles et contre l’infection par le VIH. C’est une gaine très fine en latex le plus souvent, qui est mise et déroulée sur le pénis en érection et le recouvre totalement. Il existe également des préservatifs en polyuréthane utilisables notamment en cas d’allergie au latex. Différents modèles de préservatifs sont disponibles : lubrifiés ou non, avec ou sans réservoir, de texture plus ou moins fine. Ils doivent répondre aux normes européennes (CE).Le préservatif : un moyen de contraceptionL’efficacité dépend d’une utilisation correcte, conforme aux consignes d’utilisation de chacun d’entre eux. Ils doivent être utilisés lors de chaque rapport sexuel, mis en place pendant l’érection de manière à envelopper le pénis et empêcher tout contact entre le sperme et les voies génitales de la femme. Ils doivent être posés avant tout début de pénétration, et maintenus au moment du retrait. Ils sont à usage unique. Dans les conditions correctes d’utilisation et après apprentissage (il peut être utile d’essayer tout seul, au calme chez soi), leur efficacité est de 80 à 90%.En pratique ce moyen de contraception ne nécessite pas de prescription. Les préservatifs sont en vente libre dans les pharmacies, les grandes surfaces, les distributeurs publics. Ils ne sont pas remboursés. Ils sont vendus sous emballage, prêts à l’emploi. Selon les marques et les modèles, la quantité de préservatifs par boîte est variable.C’est le seul moyen contraceptif réversible qui relève de la responsabilité du partenaire masculin. Son efficacité contraceptive n’étant pas totale, il est recommandé de l’associer à d’autres moyens contraceptifs : pilule, spermicides…Le préservatif protège les deux partenaires des infections sexuellement transmissibles et de l’infection par le VIH.Champ lexical : capote | préservatif masculin | condom

Préservatif

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Fabriqu&eacute;e par le constructeur allemand BMW, la BMW s&eacute;rie 6 est une gamme de coup&eacute;s et de cabriolets. Les anciennes versions restent les seules BMW de s&eacute;rie &agrave; d&eacute;passer les 250 km/h, toutes les [popupdefinition id=11105]voitures[/popupdefinition] plus r&eacute;centes &eacute;tant brid&eacute;es &eacute;lectroniquement. La seconde g&eacute;n&eacute;ration est arriv&eacute;e en 2004, 15 ans apr&egrave;s l'arr&ecirc;t de la production de la premi&egrave;re. Ann&eacute;es de production : 1976 &agrave; 1989, puis 2004 &agrave; 2010. &copy; Georg Fischer, Wikimedia Commons, CC by 3.0

La BMW Série 6

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Construite par General Motors, la Chevrolet Camaro &eacute;tait cens&eacute;e faire concurrence &agrave; la Ford Mustang. La version Z-28 fut cr&eacute;&eacute;e pour courir le Trans-Am Series, un championnat [popupdefinition id=11105]automobile[/popupdefinition] nord-am&eacute;ricain fond&eacute; en 1966. Ann&eacute;es de production : 1967 &agrave; 1969. &copy; Rich Niewiroski Jr, Wikimedia Commons, CC by 2.5

La Chevrolet Camaro Z-28

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Le drift, qui signifie litt&eacute;ralement &laquo; glissade &raquo; en fran&ccedil;ais, est un sport [popupdefinition id=11105]automobile[/popupdefinition] qui [popupdefinition id=10855]porte[/popupdefinition] bien son nom : le v&eacute;hicule glisse d'un c&ocirc;t&eacute; &agrave; l'autre sur une piste de course. Les voitures employ&eacute;es sont g&eacute;n&eacute;ralement des propulsions compactes et des coup&eacute;s sport de moyen gabarit. Les pilotes envoient le plus de puissance possible dans les roues arri&egrave;re afin de r&eacute;duire l'adh&eacute;rence au maximum et de permettre &agrave; leur voiture de glisser vers l'avant.&copy; w3i_yu, Flickr, CC by-nc-sa 2.0

Le drift, avec des voitures qui glissent

Une porte est une ouverture pratiquée dans un mur, une clôture quelconque, permettant d'entrer dans un lieu fermé ou d'en sortir. Elle peut aussi servir à circuler dans les pièces, c'est pourquoi on parle de portes intérieures et de portes extérieures. Autrefois, le nom de porte était donné à l'ouverture aménagée dans l'enceinte d'une ville pour en permettre le passage. On parle parfois de porte bâtarde quand elle est d'une taille intermédiaire. Une porte permet l'accès à un lieu fermé. Ici une porte ancienne en bois. © Sven Dirks, Wikipedia Commons, CC BY-SA 3.0Les différents types de portes d'une maisonIl existe des portes de toutes tailles, s'adaptant en général à la façade dans laquelle la porte est intégrée. On peut trouver une porte coulissante, une porte battante ou encore une porte pliante, en fonction de l'élément d'huisserie qui lui est associé. Il existe également la porte extensible, elle est fabriquée selon le principe de l'accordéon, on peut donc en ajuster l'ouverture. Une porte peut être pleine ou non, vitrée ou en bois, en PVC, en fibre de verre, en acier ou encore en aluminium.Porte pleine ou porte vitrée ?Que ce soit pour la porte d’entrée ou pour séparer cuisine et salon par exemple, la porte peut être pleine ou vitrée. Il est possible de choisir une porte d’entrée avec une partie vitrée, le plus souvent opaque pour préserver l’intimité tout en profitant de la lumière du jour. Côté sécurité, le vitrage est aujourd’hui renforcé pour résister aux impacts et la porte d'entrée pleine ou vitrée est le plus souvent blindée avec serrure multipoint pour résister aux effractions. Certaines portes d'entrée d'une maison peuvent aussi être ornementées d’un vitrage en partie haute qui s’ouvre, une option pour offrir un puits de lumière et favoriser la circulation de l’air de votre intérieur.

Porte

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La Donkervoort est une marque [popupdefinition id=11105]automobile[/popupdefinition] n&eacute;erlandaise de voitures de sport ultral&eacute;g&egrave;res, qui sont produites en tr&egrave;s petites s&eacute;ries. Les premi&egrave;res automobiles ont &eacute;t&eacute; cr&eacute;&eacute;es en 1978 avec des moteurs de Ford mais, depuis 1998, des moteurs Audi sont utilis&eacute;s. La marque a une philosophie bien &agrave; elle, qui est &laquo; no compromise &raquo; (pas de compromis) : la performance automobile passe avant tout le reste. Ces voitures sont strictement deux places, le [popupdefinition id=10941]toit[/popupdefinition] est remplac&eacute; par une [popupdefinition id=5240]capote[/popupdefinition] en toile et elles ne poss&egrave;dent ni [popupdefinition id=19032]direction assist&eacute;e[/popupdefinition] ni [popupdefinition id=11098]ABS[/popupdefinition]. Introduite en 2007, la Donkervoort D8 GT est la premi&egrave;re Donkervoort ferm&eacute;e. Elle p&egrave;se seulement 650 [popupdefinition id=354]kg[/popupdefinition], ce qui fait d'elle la voiture grand tourisme (GT) la plus l&eacute;g&egrave;re du monde. Ann&eacute;es de production : 2007 &agrave; 2012. &copy; Arno Lingerak, Wikimedia Commons, CC by-sa 3.0

La Donkervoort D8 GT 270, la voiture GT la plus légère du monde

Le kilogramme est l’unité légale de masse, son unité SI – comprenez, celle du Système international d’unités. Son symbole : kg.La définition du kilogramme la plus récente est celle proposée par la 26e Conférence générale des poids et mesures. Elle repose sur la constante de Planck (h) dont la valeur est universelle et immuable.Les physiciens ont choisi cette constante comme base de la définition du kilogramme, car elle s’exprime en kg.m2.s-1. Or le mètre et la seconde sont précisément définis. Connaissant la valeur de la constante de Planck, h = 6,62607015 x 10-34 Js ou kg.m2.s-1, il devient donc possible de définir aussi précisément le kilogramme. À l’aide d’une balance de Kibble — appelée aussi balance du watt —, par exemple, qui permet de faire le lien entre la masse d’un objet et des propriétés électriques qui font intervenir la constante de Planck.Ici, une balance de Kibble, encore appelée balance du watt. Un instrument qui permet de mesurer de manière très précise la masse d’un objet. © Richard Steiner, Wikipedia, CC by-SA 3.0Une ancienne définition pas assez préciseRappelons que jusqu’en mai 2019, le kilogramme correspondait à la masse du prototype international en platine iridié de 1889 déposé au pavillon des Poids et Mesures (à Sèvres, Hauts-de-Seine), sous le contrôle du Bureau international des poids et mesures (BIPM), dont le représentant français est le LNE (Laboratoire national d’essai et de métrologie). D’autres prototypes, nationaux, existent dans le monde. L’étalon international détenu en France porte le numéro 35.Après la mesure effectuée en 1889, deux autres ont été effectuées pour comparer le prototype international à des prototypes nationaux d’autres pays et à des témoins, en 1946 et en 1989. Ces mesures ont mis en évidence une modification de la masse d’environ 30 microgrammes, avec une dispersion des résultats de la mesure de l’ordre de 100 microgrammes.Considérant que la précision de l’ordre de 5x10-8 de la définition du kilogramme était mauvaise, les chercheurs ont choisi de proposer une nouvelle définition, indépendante de tout objet physique.

Kilogramme

Un toit est la partie supérieure d'une construction, d'un édifice ou d'un véhicule, qui a pour but de protéger l'intérieur contre les intempéries et les agressions extérieures. Il peut être plat, en pente ou arrondi, et être constitué de divers matériaux tels que des tuiles, de l'ardoise, du métal, du bois, du béton, etc. Le choix du type de toit et du matériau dépend de plusieurs facteurs, comme le climat, les réglementations locales, le style architectural et le budget.Le toit dans l’histoireLes premiers toits remontent à la préhistoire et aux premières constructions humaines. C’étaient probablement des structures simples et temporaires, faites de branches, de feuilles, de peaux d'animaux ou de terre, qui servaient à protéger les hommes des intempéries et des animaux sauvages.Au fil du temps, les techniques de construction se sont améliorées et les toits sont devenus plus solides, plus durables et plus élaborés. Dans l'Antiquité, les Égyptiens, les Grecs et les Romains utilisaient des matériaux comme la pierre, la brique et le marbre pour construire des toits imposants et décorés. Au Moyen Âge, les toits en bois et en chaume étaient courants en Europe, tandis que les toits en tuiles ou en ardoise se sont répandus à partir de la Renaissance. Aujourd'hui, les toits peuvent être fabriqués à partir d'une grande variété de matériaux, allant des plus traditionnels aux plus modernes et écologiques, et peuvent être équipés de systèmes de ventilation, d'isolation ou de production d'énergie solaire.Aperçu des différents toits dans le mondeIl existe une grande variété de toits dans le monde, qui reflètent les traditions, les cultures, les climats et les ressources locales. Voici quelques exemples de toits caractéristiques de différentes régions :Toits de chaume : ils sont fabriqués à partir de tiges de roseaux, de joncs ou de blé, qui sont tressées et attachées ensemble pour former une couche épaisse et isolante. Les toits de chaume sont courants dans les régions rurales d'Europe, d'Asie et d'Afrique, et sont souvent associés à un style de vie rustique et traditionnel.Toits de tuiles : ils sont constitués de pièces de terre cuite, de béton ou de céramique, qui sont posées en rangées serrées pour former une surface imperméable et résistante. Les toits de tuiles sont courants en Europe, dans les régions méditerranéennes, en Amérique latine et en Asie, et peuvent être de différentes formes, couleurs et textures.Toits de bois : ils sont fabriqués à partir de planches, de bardeaux ou de rondins, qui sont assemblés et fixés sur une charpente. Les toits de bois sont courants dans les régions montagneuses, en Amérique du Nord, en Scandinavie et en Russie, et peuvent être peints, vernis ou laissés à l'état brut.Toits de métal : ils sont constitués de feuilles de métal, comme l'acier, l'aluminium, le cuivre ou le zinc, qui sont posées sur une structure porteuse. Les toits de métal sont courants dans les régions urbaines, les zones industrielles et les régions côtières, et peuvent être de différentes couleurs et finitions.Toits de béton : ils sont fabriqués à partir d'un mélange de ciment, de sable, de gravier et d'eau, qui est coulé et lissé sur une surface plane. Les toits de béton sont courants dans les régions chaudes et sèches, comme le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord, et peuvent être recouverts d'une couche d'isolation ou de peinture.Toits verts : ils sont recouverts d'une couche de végétation, comme des plantes grasses, des herbes ou des fleurs, qui poussent sur un substrat spécial. Les toits végétalisés sont courants dans les villes écologiques et durables, et peuvent contribuer à l'isolation, à la rétention d'eau et à la biodiversité.Toits végétalisés sur les îles Féroé. © Erik Christensen, Wikimedia Commmons, CC by-sa 3.0Les différentes formes de toit Il existe différentes formes de toit, qui sont choisies en fonction de l'architecture, du climat, de la tradition et de l'esthétique. Voici quelques exemples de formes de toit courantes :Toit à deux pans : c'est la forme de toit la plus répandue, qui se compose de deux surfaces inclinées qui se rejoignent au sommet, formant un angle appelé « faîtage ». Les toits à deux pans sont adaptés aux climats tempérés et pluvieux, car ils permettent une bonne évacuation des eaux de pluie.Toit à quatre pans : c'est une variante du toit à deux pans, qui se compose de quatre surfaces inclinées qui se rejoignent au sommet, formant une pyramide. Les toits à quatre pans sont adaptés aux climats venteux, car ils offrent une meilleure résistance au vent que les toits à deux pans.Toit en croupe : c'est une forme de toit qui se compose de quatre surfaces inclinées, dont deux sont plus courtes que les deux autres et se rejoignent au sommet, formant une arête appelée « croupe ». Les toits en croupe sont adaptés aux climats neigeux, car ils permettent une bonne évacuation de la neige et une meilleure isolation thermique.Toit en appentis : c'est une forme de toit qui se compose d'une seule surface inclinée, qui repose sur un mur porteur et dépasse au-delà de celui-ci. Les toits en appentis sont adaptés aux climats chauds et secs, car ils offrent une protection contre le soleil et une bonne ventilation naturelle.Toit terrasse : c'est une forme de toit plat, qui peut être accessible ou non, et qui peut être recouvert de différents matériaux, comme du béton, du bois, du carrelage ou du gazon. Les toits terrasses sont adaptés aux climats chauds et secs, car ils offrent une surface supplémentaire pour l'aménagement et la détente.Le toit en demi-croupe (ici côté pignon) est une architecture traditionnelle dans les Vosges gréseuses, ici à Châtas. © Christian Amet, Wikimedia Commons, CC by-sa 2.5Il existe bien sûr d'autres formes de toit, comme les toits en dôme, en voûte, en shed, en mansarde ou en tourelle, qui sont choisies en fonction des besoins et des préférences.Par exemple, le dôme est un type de toit, qui se caractérise par sa forme arrondie et sa structure en voûte. Les dômes sont généralement fabriqués en pierre, en brique, en métal ou en béton, et peuvent être recouverts de différents matériaux, comme du cuivre, du zinc, du plomb ou de la tuile. Les dômes sont souvent utilisés pour couvrir des édifices importants, comme des églises, des mosquées, des palais ou des musées, car ils offrent une grande surface intérieure, une bonne acoustique et une esthétique remarquable. Les dômes peuvent être de différentes tailles, formes et styles, et peuvent être ornés de décorations, de fresques, de mosaïques ou de vitraux.Les dômes sont également adaptés aux climats chauds et secs, car ils offrent une protection contre le soleil et une bonne ventilation naturelle. Cependant, ils peuvent être plus coûteux et plus difficiles à construire que les autres types de toit, en raison de leur forme complexe et de leur structure en voûte.Toits plats et dômes de la Grande Mosquée de Kairouan, en Tunisie. © Christian, Wikimedia Commons, CC by-sa 2.0Éléments de composition du toit Un toit est composé de différents éléments, qui sont choisis en fonction de la conception, de la charpente, de la couverture, de l'isolation et de la ventilation. Voici quelques exemples d'éléments de composition d'un toit :les fermes : ce sont les éléments porteurs de la charpente, qui sont généralement fabriqués en bois, en métal ou en béton. Les fermes peuvent être de différentes formes, comme des triangles, des arcs ou des poutres, et peuvent être assemblées par des clous, des vis ou des boulons ;les chevrons : ce sont les éléments secondaires de la charpente, qui sont généralement fabriqués en bois ou en métal. Les chevrons sont posés sur les fermes et sont espacés régulièrement, pour former une surface plane et stable qui supporte la couverture ;les liteaux : ce sont les éléments tertiaires de la charpente, qui sont généralement fabriqués en bois ou en métal. Les liteaux sont posés sur les chevrons et sont espacés régulièrement, pour former une surface plane et stable qui supporte la couverture et permet une bonne ventilation ;les tuiles : ce sont les éléments de base de la couverture, qui sont généralement fabriqués en terre cuite, en béton ou en céramique. Les tuiles sont posées sur les liteaux et sont emboîtées ou clouées, pour former une surface étanche et résistante aux intempéries et aux agressions extérieures ;les gouttières : ce sont les éléments de collecte et d'évacuation des eaux de pluie, qui sont généralement fabriqués en PVC, en zinc ou en cuivre. Les gouttières sont posées sur les bordures du toit et sont raccordées à des descentes, pour éviter les infiltrations et les dégâts des eaux ;les isolants : ce sont les éléments de protection thermique et acoustique du toit, qui sont généralement fabriqués en laine de verre, en laine de roche, en polystyrène ou en ouate de cellulose. Les isolants sont posés sur les chevrons ou sur les plafonds, et sont maintenus par des suspentes ou des agrafes ;les bouches et les grilles de ventilation : ce sont les éléments de renouvellement de l'air à l'intérieur du toit, qui sont généralement fabriqués en métal ou en plastique. Les bouches et les grilles de ventilation sont posées sur les bordures ou sur les surfaces du toit, et sont raccordées à des conduits.Principes de construction d'un toitLa construction d'un toit est une opération complexe, qui nécessite des compétences techniques, des connaissances en matériaux et en réglementation, et une attention particulière à la sécurité. Quelques principes de base sont à respecter lors de la construction d'un toit.La conception : avant de commencer la construction, il est important de concevoir le toit en fonction de l'architecture, du climat, de la tradition et de l'esthétique. Cette étape comprend le choix de la forme, de la pente, de l'orientation, des ouvertures et des matériaux.La charpente : c'est la structure porteuse du toit, qui est généralement fabriquée en bois, en métal ou en béton. La charpente doit être solide, stable et résistante aux charges et aux actions extérieures, comme le vent, la neige et les séismes.La couverture : c'est la partie extérieure du toit, qui est généralement fabriquée en tuiles, en ardoises, en métal, en bois ou en béton. La couverture doit être étanche, résistante aux intempéries et aux agressions extérieures, et durable dans le temps.L'isolation : c'est la partie intérieure du toit, qui est généralement fabriquée en laine de verre, en laine de roche, en polystyrène ou en ouate de cellulose. L'isolation doit être performante, c'est-à-dire qu'elle doit limiter les déperditions de chaleur en hiver et les surchauffes en été, et qu'elle doit être adaptée aux besoins et aux contraintes du bâtiment.La ventilation : c'est le système qui permet de renouveler l'air à l'intérieur du toit, et qui est généralement composé de grilles, de bouches et de conduits. La ventilation doit être efficace, c'est-à-dire qu'elle doit évacuer l'humidité, les polluants et les odeurs, et qu'elle doit être adaptée aux besoins et aux contraintes du bâtiment.Il existe bien sûr d'autres éléments et principes qui peuvent être pris en compte lors de la construction d'un toit, comme les systèmes de production d'énergie solaire, les systèmes de récupération d'eau de pluie, les systèmes de protection contre la foudre, etc.

Toit

L'ABS, abrégé d'« Antiblockiersystem », désigne un système de freinage « antiblocage » utilisé comme système de sécurité pour les véhicules comme les avions, les automobiles ou les motocyclettes.
Inventé en 1920 par Gabriel Voisin
Principe de l'ABS
Son principe repose sur un système d'assistance au freinage qui permet d'éviter le blocage des roues lors de freinages brutaux et intenses. Ce système a été développé pour apporter une aide au freinage en garantissant un meilleur équilibre du véhicule. 
Si le terme ABS est aujourd'hui une marque déposée par la société Bosch qui détient le brevet de cette invention, le dispositif voit sa naissance remonter aux années 1920 chez un spécialiste de l'aviation et de l'automobile : Gabriel Voisin.
L'ABS passe des avions aux voitures
Le constructeur français sera en effet le premier à adapter aux avions un tel système de blocage des roues par un mécanisme hydraulique, leur permettant d'atterrir sur des pistes tout en gardant une trajectoire rectiligne. En 1936, l'entreprise allemande Bosch reprendra ce système de freinage pour en poursuivre le développement. 
Bien que destiné à l'aviation avant tout, le système ABS a très vite été adapté aux automobiles. La première voiture à être équipée de ce système le sera en 1966. Douze ans plus tard, l'entreprise Bosch commercialise le premier ABS électronique. 
De plus en plus de voitures en sont désormais équipées. Depuis 2004, une loi européenne oblige même les constructeurs à en équiper leurs voitures de série destinées au marché européen. La même année, l'usine allemande Biria en équipait le premier vélo.

Le préservatif masculin (appelé également capote, condom…) est largement utilisé comme mode de contraception et également comme protection contre les infections sexuellement transmissibles et contre l’infection par le VIH. C’est une gaine très fine en latex le plus souvent, qui est mise et déroulée sur le pénis en érection et le recouvre totalement. Il existe également des préservatifs en polyuréthane utilisables notamment en cas d’allergie au latex. Différents modèles de préservatifs sont disponibles : lubrifiés ou non, avec ou sans réservoir, de texture plus ou moins fine. Ils doivent répondre aux normes européennes (CE).Le préservatif : un moyen de contraceptionL’efficacité dépend d’une utilisation correcte, conforme aux consignes d’utilisation de chacun d’entre eux. Ils doivent être utilisés lors de chaque rapport sexuel, mis en place pendant l’érection de manière à envelopper le pénis et empêcher tout contact entre le sperme et les voies génitales de la femme. Ils doivent être posés avant tout début de pénétration, et maintenus au moment du retrait. Ils sont à usage unique. Dans les conditions correctes d’utilisation et après apprentissage (il peut être utile d’essayer tout seul, au calme chez soi), leur efficacité est de 80 à 90%.En pratique ce moyen de contraception ne nécessite pas de prescription. Les préservatifs sont en vente libre dans les pharmacies, les grandes surfaces, les distributeurs publics. Ils ne sont pas remboursés. Ils sont vendus sous emballage, prêts à l’emploi. Selon les marques et les modèles, la quantité de préservatifs par boîte est variable.C’est le seul moyen contraceptif réversible qui relève de la responsabilité du partenaire masculin. Son efficacité contraceptive n’étant pas totale, il est recommandé de l’associer à d’autres moyens contraceptifs : pilule, spermicides…Le préservatif protège les deux partenaires des infections sexuellement transmissibles et de l’infection par le VIH.Champ lexical : capote | préservatif masculin | condomChamp lexical : capote | préservatif masculin | condom

La direction assistée est un élément d’aide à la conduite qui permet au conducteur de manœuvrer la direction du véhicule sans effort. Avant l’arrivée de ce système, il fallait faire preuve d’une certaine force pour réaliser cette manipulation.La direction assistée est une technologie qui est présente dans toutes les nouvelles voitures depuis de nombreuses années et nous ne constatons son absence que lors des rares occasions de conduite d’une voiture ancienne.D’où vient la Direction Assistée ?Le premier système de direction assistée remonterait à 1876, et le nom de Fitts appartient probablement au premier homme qui a installé ce système dans un véhicule. En 1926 Francis Davis a mis en pratique un système de direction assistée hydraulique, mais l’a considéré trop cher à vendre.Les guerres et la nécessité de déplacer les gros camions sans se fatiguer sur le champ de bataille ont suffisamment créé la demande pour qu’en 1951, Chrysler introduise le premier système d’assistance hydraulique à la direction dans le Chrysler Imperial, un système appelé « Hydraguide ».Comment fonctionne la Direction Assistée ?Les principaux mécanismes de direction assistée sont hydrauliques, électro-hydrauliques et électriques. Le système hydraulique fonctionne à l’aide d’une pompe, entraînée par une courroie, qui est elle-même reliée au moteur. Dans le cas de l’électro-hydraulique, la pompe entraînée par courroie est un moteur électrique, et l’avantage est qu’elle n’est pas toujours en fonctionnement. L’union de ces deux systèmes apporte en fiabilité, bien que dans les moments où aucune manœuvre n’est effectuée, la direction assistée soit suspendue. Cela évite l’usure du mécanisme.En ce qui concerne les petites voitures, la direction assistée actuelle est la direction électrique. En plus de prévenir les dommages corporels en cas de perte de contact, il s’agit d’une direction plus sensible et plus efficace qui réduit le nombre d’éléments mécaniques.

Direction Assistée

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Bien qu'elle&nbsp;poss&egrave;de une allure de [popupdefinition id=11105]voiture[/popupdefinition] de course, sans [popupdefinition id=10855]portes[/popupdefinition], [popupdefinition id=10941]toit[/popupdefinition] ni&nbsp;pare-brise, la KTM X-Bow est homologu&eacute;e pour un usage routier. Il s'agit de la premi&egrave;re voiture fabriqu&eacute;e par le constructeur autrichien de [popupdefinition id=11093]moto[/popupdefinition] KTM. Malheureusement, les ventes n'ont pas d&eacute;coll&eacute; et la production a &eacute;t&eacute; interrompue en 2009. Ann&eacute;es de production : 2007 &agrave; 2009. &copy; Adam Pigott, Wikimedia Commons, CC by 2.0

La KTM X-Bow, la première voiture de KTM - Photos Futura

Une automobile est un véhicule terrestre disposant de roues et équipé d'un moteur embarqué qui le propulse.

- Inventée en 1886 par Carl Benz

Les origines de l'automobile
La toute première automobile...

Une porte est une ouverture pratiquée dans un mur, une clôture quelconque, permettant d'entrer dans un lieu fermé ou d'en sortir. Elle peut aussi servir à circuler dans les pièces, c'est pourquoi on p...

La motocyclette est un véhicule à moteur doté de deux routes monotraces.

- Inventée en 1868-12-16 par Louis-Guillaume Perreaux

Description de la motocyclette
Assis sur une selle, à califourchon, le ...

Motocyclette

Un toit est la partie supérieure d'une construction, d'un édifice ou d'un véhicule, qui a pour but de protéger l'intérieur contre les intempéries et les agressions extérieures. Il peut être plat, en p...

La KTM X-Bow, la première voiture de KTM

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La Renault [popupdefinition id=868]&Eacute;toile filante[/popupdefinition] est un [popupdefinition id=18328]v&eacute;hicule exp&eacute;rimental[/popupdefinition] con&ccedil;u par le constructeur Renault dans les ann&eacute;es 1950. Propuls&eacute;e par une turbine d&eacute;veloppant 270 chevaux, cette [popupdefinition id=11105]voiture[/popupdefinition] a battu le record de [popupdefinition id=324]vitesse[/popupdefinition] des moins de 1.000 [popupdefinition id=354]kg[/popupdefinition] avec une vitesse de 308,85 km/h. Ann&eacute;es de production : ann&eacute;es 1950. &copy; Deep silence, Wikimedia Commons, CC by-sa 3.0

La Renault Étoile filante, un véhicule expérimental

Applications pratiques de la mesure de la vitesse
La vitesse, en tant que concept physique fondamental, joue un rôle crucial dans divers domaines au-delà de la physique fondamentale. Dans le domaine du transport, par exemple, la mesure précise de la vitesse est indispensable pour assurer la sécurité et optimiser les performances des véhicules. Les systèmes de navigation modernes, tels que le GPS, calculent la vitesse pour fournir des estimations précises des temps de trajet et des itinéraires optimisés.

En aéronautique, la vitesse des avions est minutieusement contrôlée pour gérer efficacement le trafic aérien et réduire le risque de collisions. De même, en météorologie, l'analyse des vitesses du vent aide à prévoir les conditions météorologiques, y compris les tempêtes et les cyclones, pouvant avoir d'importantes implications pour la sécurité publique et la planification des réponses aux urgences.

Importance de la vitesse dans le sport
Le concept de vitesse est également central dans le monde du sport. Dans les disciplines telles que le sprint, le cyclisme ou le ski, la capacité à générer une vitesse maximale est souvent déterminante dans les performances des athlètes. La mesure et l'analyse de la vitesse sont utilisées pour améliorer les techniques d'entraînement et optimiser les performances athlétiques, un domaine d'étude qui se développe continuellement grâce aux avancées technologiques.

Technologies modernes pour mesurer la vitesse
Les technologies modernes ont révolutionné la manière dont nous mesurons et comprenons la vitesse. L'utilisation de radars, de lasers et de différents types de capteurs permet de mesurer précisément la vitesse dans divers contextes, des véhicules en mouvement sur une autoroute à la lumière voyageant dans l'espace. Cette précision est cruciale pour des applications allant de la sécurité routière à la recherche en physique fondamentale.

En astrophysique, par exemple, la mesure de la vitesse des objets cosmiques, comme les étoiles et les galaxies, aide les scientifiques à déduire des informations sur l'expansion de l'univers et la distribution de la matière à grande échelle. Les technologies de mesure de vitesse contribuent également à la navigation spatiale, permettant aux sondes et aux véhicules spatiaux d'atteindre leurs destinations prévues avec une précision exceptionnelle.

Évolution de la vitesse dans la perspective scientifique
Depuis la formalisation de la notion de vitesse par Pierre Varignon et Gottfried Wilhelm Leibniz, la compréhension de la vitesse a évolué avec les avancées scientifiques et technologiques. Les chercheurs continuent d'étudier les propriétés de la vitesse à des échelles infiniment petites dans le domaine de la mécanique quantique ainsi qu'à des échelles cosmiques en astrophysique. Ces études aident à répondre à des questions fondamentales sur la nature de l'univers et les lois qui le régissent.

La vitesse est un concept central en science, avec des applications qui s'étendent bien au-delà des limites traditionnelles de la physique. Sa mesure et son analyse précises sont cruciales dans de nombreux secteurs, influençant des domaines aussi variés que la sécurité des transports, la météorologie, l'ingénierie, l'astrophysique et le sport. Continuer à améliorer les technologies de mesure de la vitesse et à étudier ses applications permettra de pousser encore plus loin les frontières de la science et de la technologie.

Champ lexical : vélocité | rapiditéChamp lexical : vélocité | rapidité

Vitesse

Le véhicule de test orbital X-37B est un drone spatial de l’armée de l’air des États-Unis. Il est dérivé d’un projet débuté par la Nasa en 1998 et poursuivi par l’agence du Département de la défense américaine, responsable du développement de nouvelles technologies à destination militaire (la Darpa). En 2006, il est repris par un service de l’armée de l’air américaine en charge de la mise en service sur le « terrain » de systèmes d’armes et de soutien au combat (Air Force Rapid Capabilities Office). Il est depuis classé comme un programme confidentiel, ce qui explique pourquoi le public peut avoir accès à un nombre restreint d’informations tandis que d’autres, comme la nature des opérations qu’il effectue, sont classées au niveau du secret défense.Ce véhicule, dont la forme et le design sont dérivés du X-40A, est réalisé sous la maîtrise d’œuvre de Boeing. Long de 8,9 mètres et haut de 2,9 mètres, pour une envergure de 4,5 mètres, ce véhicule a une masse au lancement de cinq tonnes (4.990 précisément) et dispose d’une soute d’environ 2 x 1 m. S’il ne peut pas atteindre de manière autonome l’espace, il est placé en orbite par un lanceur Atlas V d’ULA ou Falcon 9 de SpaceX, il peut retourner sur Terre par ses propres moyens et se poser comme un avion sur une piste d’atterrissage. Il est capable d’évoluer entre une altitude de 180 et 800 kilomètres, avec une capacité à changer d’orbite en cours de missions. Comme propulsion, il utilise vraisemblablement le moteur XR- d’Aerojet de 5 kW.Un simple véhicule de test orbital, mais très évoluéBien qu’il ait déjà effectué cinq missions dans l’espace, il est toujours présenté comme un véhicule expérimental (X). Cependant, les spécialistes s’interrogent sur sa destination et les utilisations possibles. La Secure World Foundation, une fondation privée promouvant la durabilité dans l’espace a réalisé une étude de faisabilité de différents profils de mission pour le X-37B, tout en soulignant que chacune de ces missions pourraient également être accomplies par des moyens plus conventionnels à moindre coût. Si l’on se fie aux déclarations officielles, à ce stade du programme, cet appareil n'est ni plus ni moins qu'un avion expérimental dont la seule avancée majeure semble être sa capacité à rester en orbite plusieurs mois et revenir se poser sur Terre de façon autonome. Sa mission principale est de démontrer la robustesse et la fiabilité des pièces et autres systèmes utilisés pour le construire et à usage de véhicules spatiaux réutilisables. Il est aussi utilisé pour tester tout un tas de nouveaux matériaux, de nouvelles technologies, des instruments d’observation, voire des technologies liées à la maintenance en orbite.Un X-37B en cours d'intégration dans son lanceur. Il est vu devant une des deux demi-coiffes et installé au sommet du lanceur. © U.S. Air Force, BoeingIl est aussi évident que ce véhicule n’est pas un simple banc de test et qu’il réalise des activités « militaires » d’observation, de collecte d’informations et de manœuvres à proximité de satellites (américains, bien sûr) au profit de l’armée de l’air des États-Unis. Dans un contexte de protection de l’infrastructure spatiale des États-Unis, il est légitime de penser que ce programme pourrait préfigurer un engin spatial résolument offensif, capable d’espionner, voire de mettre hors-service des satellites ennemis.Mais comme la sécurité spatiale est aussi conditionnée par une gestion de l’orbite efficiente, l’X-37B pourrait aussi préfigurer un véhicule aux capacités bien plus sympathiques comme l’enlèvement de débris, la désorbitation de satellites en fin de vie ou hors de contrôle et des manœuvres en orbite incluant du remorquage, du ravitaillement en carburant et des réparations par exemple.En conclusion, la finalité du projet est floue. Mais c'est la nature même des avions expérimentaux…Une succession de records de durée de mission en orbiteDepuis 2010, date de sa mise en service, cinq missions spatiales ont été réalisées par deux véhicules distincts :OTV-1, du 22 avril 2010 au 3 décembre 2010 (225 jours dans l’espace) ;0TV-2, du 5 mars 2011 au 16 juin 2012 (469 jours dans l’espace) ;OTV-3, du 11 décembre 2012 au 17 octobre 2014 (674 jours dans l’espace) ;OTV-4, du 20 mai 2015 au 7 mai 2017 (717 jours dans l’espace) ;OTV-5, du 7 septembre 2017 au 27 octobre 2019 (780 jours dans l’espace).Et OTV-6, d’ici la mi-2020, avec certainement un nouveau record à la clé ? 

X-37B

L’expression « étoile filante » est trompeuse. Il ne s’agit pas d’étoiles qui filent mais de grains de poussière pénétrant la haute atmosphère de la Terre à des vitesses comprises entre, environ, 30 et 70 km/s. L’échauffement provoqué par le frottement dans l'air arrache alors les électrons des atomes : c'est une ionisation. Elle se traduit par une brillante et très brève traînée de lumière qui zèbre le ciel.


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Météores, météorites, étoiles filantes : apprenez à ne plus faire la confusion entre ces différents termes. On vous explique tout dans Futura dans les Étoiles. © Futura

L’origine de ces corpuscules, dont beaucoup sont aussi gros qu’un grain de riz, est principalement cométaire. Quand notre planète, sur sa trajectoire autour du Soleil, croise les multiples filons de poussière que les comètes ont laissés dans leurs sillages, les météores pleuvent par centaines chaque heure. On parle alors d’essaim météoritique mais le terme le plus souvent utilisé est « pluie d’étoiles filantes ».

Pluies et tempêtes d’étoiles filantes

Ces pluies sont périodiques et plus ou moins importantes d’une année à l’autre, selon la densité du courant de poussière. La plus célèbre de toutes, dite des Perséides (du nom de la constellation où se situe son radiant), se produit chaque année autour du 12 août. Notez qu’il n’est pas le seul à être remarquable. D’autres, comme les Léonides en novembre, peuvent être très spectaculaires. En 1833 et 1966 par exemple, le flux de météores dépassèrent, respectivement, 150.000 et 200.000 par heure ! Dans ces cas, on parle de tempête d’étoiles filantes.

Nonobstant les essaims annuels, il est possible d’observer en moyenne, selon les statistiques, une étoile filante par heure. Bien entendu, il convient de les guetter dans un environnement où la pollution lumineuse est très faible. Les plus brillantes et longues sont des bolides. Les plus volumineux de ces météores peuvent atteindre le sol.

Étoile filante

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Fond&eacute;e par les fr&egrave;res Maserati en 1914, la marque du m&ecirc;me nom a pour symbole un trident inspir&eacute; de la fontaine de [popupdefinition id=3693]Neptune[/popupdefinition]. Ici, une Maserati Gran Sport.&copy; Prior Design NA, Flickr, CC by-nc-sa 2.0

La Maserati Gran Sport

Neptune, huitième planète du Système solaire, gravite sur une orbite quasi circulaire à environ 4,5 milliards de kilomètres du Soleil qu'elle met 165 ans à parcourir. Son plan équatorial est incliné de près de 30° par rapport au plan de son orbite. Bien que trois fois plus petit que Jupiter, Neptune est une planète géante qui est composée à 99 % d'hydrogène et d'hélium. Avec un diamètre de 49.520 kilomètres, Neptune est à peine plus petit qu'Uranus. Cependant, sa masse est légèrement supérieure, de l'ordre de 17,2 fois celle de la Terre (contre 14,5 fois pour Uranus), ce qui lui confère la masse volumique moyenne la plus élevée des planètes géantes (1,76 g/cm3). Comme Neptune est notablement moins massif que Jupiter ou Saturne, donc moins "comprimé" par la gravité, il contient une plus grande proportion d'éléments plus lourds que l'hydrogène et l'hélium. 
La découverte de Neptune eut un très grand retentissement au XIXe siècle. Elle fait date dans l'histoire des sciences car elle marque le triomphe de la mécanique céleste : le calcul permettait de découvrir un objet situé à plus de 4 milliards de kilomètres de la Terre ! Dès la fin du XVIIIe siècle, les astronomes eurent de la peine à accorder les observations d'Uranus avec ses positions calculées. Alexis Bouvard, astronome à l'Observatoire de Paris, fut un des premiers à remarquer les "irrégularités" du mouvement d'Uranus. Grâce en particulier à François Arago, l'idée qu'un corps inconnu perturbait son orbite se fit alors jour, et, indépendamment, l'Anglais John Couch Adams en 1843 et Urbain Jean Joseph Le Verrier en 1846 calculèrent la position et la masse de ce corps avec une précision suffisante pour permettre sa découverte dans la constellation du Verseau.
La prédiction d'Adams fut peu exploitée : l'université de Cambridge ne possédait pas de cartes à jour de la constellation du Verseau, et les collègues d'Adams n'aidèrent pas beaucoup ce nouveau chercheur, qu'ils considéraient comme trop jeune pour pouvoir faire une telle prédiction. En revanche, le 23 septembre 1846, le jour même de la réception d'une lettre de Le Verrier, Johann Gottfried Galle découvrait la nouvelle planète à l'observatoire de Berlin, à moins de 1 degré de la position prédite. Par un curieux hasard de l'histoire, deux cent trente-trois ans auparavant, Neptune était angulairement proche de Jupiter pendant l'hiver de 1612 à 1613, et Galilée, observant Jupiter le 28 décembre 1612 et le 22 janvier 1613, avait fait figurer Neptune sur ses croquis, pensant qu'il s'agissait d'une étoile. 
Objet de huitième magnitude, donc invisible à l'œil nu, Neptune se présente au télescope comme un disque bleu-vert d'un diamètre apparent de l'ordre de 2 secondes d'angle ; on discerne très difficilement quelques marques dans son atmosphère.
Les satellites
Avant le survol de Neptune par la sonde Voyager-2, seuls deux satellites, Triton et Néréide, étaient connus. Ils sont dits irréguliers car leurs orbites sont insolites : Triton a un mouvement rétrograde sur une orbite très inclinée par rapport au plan équatorial de Neptune, et Néréide gravite sur une orbite fortement excentrique. En 1989, les images prises par Voyager-2 ont révélé six nouveaux satellites qui forment un système régulier tournant dans le sens direct sur des orbites circulaires et peu inclinées. 
Triton a été découvert le 10 octobre 1846 par William Lassel, dix-sept jours seulement après la découverte de la planète elle-même.
La surface de Triton, vue par Voyager 2 le 25 août 1989.
Les anneaux
Comme les autres planètes géantes, Neptune possède des anneaux, mais ceux-ci sont très particuliers : ils présentent en effet des arcs de matière. La découverte de ces arcs depuis la Terre grâce à l'observation d'occultations d'étoiles en 1984 et 1985 a conduit à modifier le programme de Voyager-2 afin de mieux étudier l'environnement de Neptune. La sonde a ainsi révélé que la planète était entourée d'un système complet d'anneaux ténus sertis d'arcs brillants. 
Les astronomes se sont longtemps demandé pourquoi Saturne semblait être la seule planète entourée d'anneaux. La mise en évidence, en une décennie, d'anneaux autour de Jupiter, d'Uranus et de Neptune a montré que ce phénomène était naturel autour des planètes géantes. Cependant, ces quatre systèmes d'anneaux sont bien différents les uns des autres : qu'il s'agisse d'anneaux, de satellites ou de planètes, le système solaire présente une stupéfiante diversité d'aspects !
Les anneaux de Neptune. La planète est ici occultée afin d'éviter le halo lumineux.
L'atmosphère
L'envoi par Voyager-2 d'ondes radio à travers l'atmosphère a permis de sonder cette dernière et de compléter les observations effectuées dans le visible, l'ultraviolet et l'infrarouge. 
Comme Uranus, Neptune possède une atmosphère réductrice, riche en hydrogène (contrairement à la Terre, qui possède une atmosphère oxydante, riche en oxygène) ; elle contient environ 25 % d'hélium et au moins 1 % de méthane. La couleur bleue de cette planète est en grande partie due à l'absorption de la lumière rouge par le méthane. Dans la haute atmosphère, à une pression de l'ordre de quelques hectopascals, les molécules de méthane (CH4), dissociées par le rayonnement solaire, se recombinent pour former des hydrocarbures tels que l'éthane (C2H4) et l'acétylène (C2H2), qui ont été détectés par Voyager-2. Plus bas, à un niveau de l'ordre de 1.300 hectopascals, le méthane se condense en cristaux de glace. Encore plus bas, à 3.000 hectopascals, la présence d'une couche opaque de sulfure d'hydrogène (H2S) est suspectée. Il n'est pas impossible que de l'ammoniac (NH3) soit aussi présent à ce niveau. Les détecteurs infrarouges de Voyager-2 ont mesuré une température moyenne de - 214°C (59 K). Les régions équatoriales et polaires ont approximativement la même température ; les zones intermédiaires sont plus froides de quelques degrés. Là où l'éclairement du Soleil est maximal actuellement, c'est-à-dire à ces latitudes intermédiaires, le gaz monte et se refroidit, comme sur Uranus. Vers l'équateur et les pôles, il redescend, est compressé et réchauffé. Quand on fait le bilan de l'énergie renvoyée par Neptune dans l'espace, on constate que la planète émet 2,7 fois plus d'énergie qu'elle n'en reçoit du Soleil. L'origine de ce surplus d'énergie n'est pas encore élucidée. 
Huit jours avant le survol de Neptune, Voyager-2 a détecté à intervalles réguliers des "bouffées" d'ondes radio, premières manifestations du champ magnétique de la planète. Comme celui-ci est engendré par des courants électriques se déplaçant à grande profondeur, les scientifiques en ont déduit une période de rotation interne égale à l'intervalle entre deux bouffées (16 h 7 min). Neptune est légèrement aplati du fait de sa rotation. Mesuré à un niveau de pression de 1.000 hectopascals (la pression au niveau de la mer sur Terre), le rayon polaire est légèrement inférieur au rayon équatorial : 24.340 et 24.764 kilomètres, respectivement.
Gros plan sur Neptune par Voyager 2 le 25 août 1989.
Magnétosphère
Neptune possède une magnétosphère dont l'axe du dipôle magnétique est incliné à 47° par rapport à l'axe de rotation. Il est aussi asymétrique : la source du champ magnétique n'est pas localisée dans le noyau, mais à mi-chemin entre le centre et l'extérieur de la planète. Quand Voyager-2 a survolé Neptune, le pôle magnétique pointait à moins de 20° de la direction du Soleil, et la sonde a pénétré dans la magnétosphère de Neptune par le cornet polaire, là où les particules du vent solaire peuvent s'enfoncer profondément avant d'être repoussées. C'était la première fois, à l'exception de la Terre, qu'une telle région polaire magnétique était explorée par une sonde spatiale. Ces observations sont très importantes pour mieux connaître les magnétosphères des planètes. Celle de Neptune est la moins intense du système solaire : le long de l'équateur magnétique, là où les particules chargées sont le plus concentrées, Voyager-2 n'a trouvé que 1,4 proton ou particule plus lourde par centimètre cube, soit trois fois moins qu'autour d'Uranus et trois mille fois moins qu'autour de Jupiter. 
L'instrument ultraviolet a détecté une aurore (beaucoup plus faible que celles qui ont été observées autour des autres planètes géantes) et une légère luminescence diffuse du côté nuit de Neptune.
Caractéristiques de Neptune

Neptune

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D&eacute;velopp&eacute;e par le constructeur allemand Audi, l&rsquo;Audi A6 est une berline de luxe tricorps. Quatre g&eacute;n&eacute;rations se sont succ&eacute;d&eacute; : A6C4 (1994 &agrave; 1997), A6C5 (1997 &agrave; 2004), A6C6 (2004 &agrave; 2010) et A6C7 (depuis 2011).Ann&eacute;es de production : depuis 1994.&copy; Audi USA, Flickr, CC by-nc-sa 2.0

L'Audi A6, une berline de luxe

6542_l-audi-a6--une-berline-de-luxe

Produite par le constructeur fran&ccedil;ais Citro&euml;n, la Citro&euml;n Traction Avant est une [popupdefinition id=11105]automobile[/popupdefinition] qui dispose d'une particularit&eacute; peu r&eacute;pandue &agrave; l'&eacute;poque : ce sont les roues avant qui sont motrices. Son histoire est li&eacute;e &agrave; l'Occupation, pendant la Seconde Guerre mondiale. Ann&eacute;es de production : 1934 &agrave; 1957. &copy; J&aacute;nos Tam&aacute;s, Wikimedia Commons, CC by 2.0

La Citroën Traction Avant et ses roues avant motrices

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Connue dans le monde entier, la c&eacute;l&egrave;bre Volkswagen Coccinelle, ou Coccinelle, est la premi&egrave;re [popupdefinition id=11105]voiture[/popupdefinition] construite par le constructeur allemand Volkswagen en 1938. &Agrave; l'origine, la Coccinelle &eacute;tait d&eacute;nomm&eacute;e KdF Wagen, pour Kraft durch Freude, le nom d'une branche du Deutsche Arbeitsfront (&laquo; Front allemand du travail &raquo;), une association de travailleurs et d'employeurs soumise au NSDAP nazi. Elle a &eacute;t&eacute; con&ccedil;ue &agrave; la demande d'Adolf Hitler, comme outil de propagande. Mais ce sombre pass&eacute; n'a pas emp&ecirc;ch&eacute; la Coccinelle d'obtenir un franc succ&egrave;s aupr&egrave;s du public mondial d'apr&egrave;s-guerre. Cette voiture est m&ecirc;me devenue la vedette d'une c&eacute;l&egrave;bre s&eacute;rie de films des studios Walt Disney Pictures. Ann&eacute;es de production : 1938 &agrave; 2003. &copy; Ren&eacute;e Raymund, Wikimedia Commons, CC by-sa 3.0

La Coccinelle, la première voiture de Volkswagen

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La voiture de s&eacute;curit&eacute; sert &agrave; neutraliser le d&eacute;roulement d'une comp&eacute;tition [popupdefinition id=11105]automobile[/popupdefinition]. Elle entre en piste en cas d'[popupdefinition id=17265]accident[/popupdefinition], de d&eacute;bris sur le circuit ou de conditions m&eacute;t&eacute;orologiques trop dangereuses et se place devant le leader pour ralentir le peloton. Depuis 1997, ce v&eacute;hicule est fourni par la marque Mercedes-Benz. Ann&eacute;es de production : depuis 1973. &copy; Morio, Wikimedia Commons, CC by-sa 3.0

La voiture de sécurité de Mercedes-Benz, lors des courses automobiles

Du latin accidens, « ce qui survient ». En général, évènement inopiné cause de dommages, matériels ou corporels, d’une certaine gravité, qui fait peur. On distingue trois phases dans la survenue d’un accident :Avant l’accident : accumulation des risques (probabilité des causes), dont le dernier est dit « déclenchant », sans correspondre à une cause unique.Pendant l’accident : action nocive pouvant provoquer des dommages corporels.Après l’accident : phase de secours et de soins des dommages corporels.À ces trois phases correspondent trois préventions :Primaire, pour éviter l’accident en supprimant un ou des facteurs de risque, ce qui réduit l’accumulation des risques et retarde ou évite l’accident.Secondaire, pour éviter les dommages lorsque l’accident se produit.Tertiaire, destinée à éviter les complications, avant et pendant les soins (s’il n’y a pas eu de dommages corporels, cela se résume aux précautions pour éviter le sur-accident).Voiture autonome : qui sera responsable en cas d’accident ?Accident ou incident ?Quand les dommages sont minimes ou inexistants, l’évènement n’est pas un accident mais un incident. Si l’on a frôlé de près l’accident, c’est un incident critique.Les accidents peuvent être prévisibles ou imprévisibles, évitables (par la prévention primaire) ou inévitables (acceptation d’un risque normal).Si l’on connaît la probabilité des risques avant l’accident, par une démarche bayésienne, on peut estimer la probabilité des causes qui y ont concouru, notamment celles de nature humaine (perte de vigilance due à une incapacité subite ou subtile, etc.).Mortalité : la maison quatre fois plus dangereuse que la voitureAccident en médecineEn médecine, épisode morbide inattendu, survenant ou non au cours d’une maladie. Par exemple : accident vasculaire cérébral. L’évolution se fait toujours selon les 3 phases décrites, appelées classiquement incubation, crise et résolution (par convalescence ou par décès). S’il reste des dommages permanents, on parle de séquelles qui peuvent entraîner une incapacité physique et un handicap social.En génétique, aberration chromosomique due à une anomalie méiotique ou mitotique.

Accident

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Produite par le constructeur [popupdefinition id=11105]automobile[/popupdefinition] italien Lamborghini, la Countach est une voiture de sport dont le nom &laquo; Countach &raquo; provient d'une expression signifiant &laquo; fabuleux &raquo;. Elle contient un moteur V12 capable de d&eacute;velopper 375 chevaux. Ann&eacute;es de production : 1974 &agrave; 1990. &copy; Brian Snelson, Wikimedia Commons, CC by 2.0

La Lamborghini Countach et son moteur V12

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Le concept-car Gleagle GS a &eacute;t&eacute; pr&eacute;sent&eacute; au salon de l'[popupdefinition id=11105]automobile[/popupdefinition] qui s'est tenu &agrave; Shanghai en 2010. Son producteur, le fabricant automobile chinois Geely, ou Zhejiang Geely Holding Group, fut fond&eacute; dans les ann&eacute;es 1990. En 2009, il s'agissait du plus grand constructeur automobile chinois apr&egrave;s Great Wall. &copy; Roger Wo, Wikimedia Commons, CC by 2.0

Le concept-car Gleagle GS, de Geely

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Con&ccedil;ue par le designer Franco Scaglione de Bertone, la Abarth 1500 Biposto est un prototype de la marque Abarth. Elle fut pr&eacute;sent&eacute;e pour la premi&egrave;re fois sur le stand Fiat du salon de l'[popupdefinition id=11105]automobile[/popupdefinition] de Turin de 1952 et remporta le prix d'&eacute;l&eacute;gance 2010 du Pebble Beach Concours d'Elegance. Ann&eacute;e de production : 1952. &copy; edvvc, Wikimedia Commons, CC by 2.0

La Abarth 1500 Biposto

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&Agrave; l'occasion des 20 ans de production de la Mazda MX-5, le constructeur japonais Mazda a pr&eacute;sent&eacute; le prototype Mazda MX-5 version Superlight au salon de Francfort en 2009. Cette [popupdefinition id=11105]voiture[/popupdefinition] d&eacute;pourvue de pare-brise p&egrave;se 995 [popupdefinition id=354]kg[/popupdefinition] (contre 1.080 kg pour la Mazda MX-5), ce qui permet d'am&eacute;liorer les performances. Ann&eacute;es de production&nbsp;: 2009. &copy; Luca Mascaro, Wikimedia Commons, CC&nbsp;by-sa 2.0

La Mazda MX-5 version Superlight, une voiture japonaise

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La Rolls-Royce Phantom III (Fant&ocirc;me III) est une [popupdefinition id=11105]voiture[/popupdefinition] d'avant-guerre de la marque Rolls-Royce. Elle fut l'unique Rolls-Royce &eacute;quip&eacute;e d'un moteur V12 avant l'introduction de la Silver Seraph en 1998. Ann&eacute;es de production : 1936 &agrave; 1939. &copy; Ingrid Taylar, Wikimedia Commons, CC by 2.0

La Rolls-Royce Phantom III

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Con&ccedil;ue par le constructeur allemand Gumpert, la Gumpert [popupdefinition id=3743]Apollo[/popupdefinition] d&eacute;tient des records de [popupdefinition id=324]vitesse[/popupdefinition]. Elle a par exemple obtenu le quatri&egrave;me meilleur temps au tour sur le circuit de l'[popupdefinition id=389]&eacute;mission[/popupdefinition] britannique Top Gear. Ann&eacute;es de production&nbsp;: depuis 2006. &copy; GUMPERT Sportwagenmanufaktur GmbH, Wikimedia Commons, CC&nbsp;by-sa 3.0

La Gumpert Apollo et ses records de vitesse

Applications pratiques de la mesure de la vitesse
La vitesse, en tant que concept physique fondamental, joue un rôle crucial dans divers domaines au-delà de la physique fondamentale. Dans le domaine du transport, par exemple, la mesure précise de la vitesse est indispensable pour assurer la sécurité et optimiser les performances des véhicules. Les systèmes de navigation modernes, tels que le GPS, calculent la vitesse pour fournir des estimations précises des temps de trajet et des itinéraires optimisés.

En aéronautique, la vitesse des avions est minutieusement contrôlée pour gérer efficacement le trafic aérien et réduire le risque de collisions. De même, en météorologie, l'analyse des vitesses du vent aide à prévoir les conditions météorologiques, y compris les tempêtes et les cyclones, pouvant avoir d'importantes implications pour la sécurité publique et la planification des réponses aux urgences.

Importance de la vitesse dans le sport
Le concept de vitesse est également central dans le monde du sport. Dans les disciplines telles que le sprint, le cyclisme ou le ski, la capacité à générer une vitesse maximale est souvent déterminante dans les performances des athlètes. La mesure et l'analyse de la vitesse sont utilisées pour améliorer les techniques d'entraînement et optimiser les performances athlétiques, un domaine d'étude qui se développe continuellement grâce aux avancées technologiques.

Technologies modernes pour mesurer la vitesse
Les technologies modernes ont révolutionné la manière dont nous mesurons et comprenons la vitesse. L'utilisation de radars, de lasers et de différents types de capteurs permet de mesurer précisément la vitesse dans divers contextes, des véhicules en mouvement sur une autoroute à la lumière voyageant dans l'espace. Cette précision est cruciale pour des applications allant de la sécurité routière à la recherche en physique fondamentale.

En astrophysique, par exemple, la mesure de la vitesse des objets cosmiques, comme les étoiles et les galaxies, aide les scientifiques à déduire des informations sur l'expansion de l'univers et la distribution de la matière à grande échelle. Les technologies de mesure de vitesse contribuent également à la navigation spatiale, permettant aux sondes et aux véhicules spatiaux d'atteindre leurs destinations prévues avec une précision exceptionnelle.

Évolution de la vitesse dans la perspective scientifique
Depuis la formalisation de la notion de vitesse par Pierre Varignon et Gottfried Wilhelm Leibniz, la compréhension de la vitesse a évolué avec les avancées scientifiques et technologiques. Les chercheurs continuent d'étudier les propriétés de la vitesse à des échelles infiniment petites dans le domaine de la mécanique quantique ainsi qu'à des échelles cosmiques en astrophysique. Ces études aident à répondre à des questions fondamentales sur la nature de l'univers et les lois qui le régissent.

La vitesse est un concept central en science, avec des applications qui s'étendent bien au-delà des limites traditionnelles de la physique. Sa mesure et son analyse précises sont cruciales dans de nombreux secteurs, influençant des domaines aussi variés que la sécurité des transports, la météorologie, l'ingénierie, l'astrophysique et le sport. Continuer à améliorer les technologies de mesure de la vitesse et à étudier ses applications permettra de pousser encore plus loin les frontières de la science et de la technologie.

Champ lexical : vélocité | rapiditéChamp lexical : vélocité | rapiditéChamp lexical : vélocité | rapidité

Fait d'émettre (des particules, des radiations, une substance, etc). En particulier, dans le cas de gaz nocifs, dégagement ou rejet de contaminants.

Émission

Apollo peut désigner un ancien programme spatial américain, ainsi qu’une classe d’astéroïdes géocroiseurs.
Le programme spatial Apollo
Apollo est un programme spatial américain d'exploration humaine de la Lune décidé par le président américain John Fitzgerald Kennedy en 1961.
L'objectif de la Nasa était de faire atterrir au moins un Homme sur notre satellite avant 1970, en réponse à l'avancée du programme spatial soviétique et aux humiliations ressenties par le peuple américain devant les grandes premières réalisées par l'URSS (premier satellite artificiel, premier cosmonaute, première sonde lunaire, etc.).
Le vaisseau Apollo complet se composait de trois éléments : 
le module habitable de 6 tonnes, de forme conique, seul à revenir sur Terre après une mission ;le module de service de 23 tonnes, de forme cylindrique et fixé sous le premier, contenant les réservoirs de gaz et équipé du moteur d'injection en trajectoire translunaire et de retour vers la Terre ;le module lunaire de 15 tonnes (LEM : Lunar Excursion Module), lui-même formé de deux parties, l'étage de descente (10 tonnes) et l'étage de remontée (5 tonnes), ce dernier formant aussi l'habitacle des deux astronautes devant fouler la surface.
De juillet 1969 à décembre 1972, six missions Apollo (11 à 17) ont permis à 12 astronautes de marcher sur la Lune, totalisant 12,5 jours à la surface pour des sorties pouvant dépasser sept heures. Au total, 92,3 km ont été parcourus, à pied ou au moyen de trois « Jeeps » lunaires, et 2.196 échantillons ont été ramenés pour un poids total (terrestre) de 381,7 kg.
Seul Apollo 13 n'a pu atterrir, à cause de l'explosion d'un réservoir d'oxygène à l'intérieur du module de service, exigeant le retour de l'équipage au terme d'une mission avortée. Toutes les missions Apollo à destination de la Lune ont été lancées par la fusée Saturn V, conçue spécifiquement pour cet usage.
Apollo, une classe d’astéroïdes
On appelle aussi Apollo ou Apollon une classe d’astéroïdes géocroiseurs. Leur particularité est de présenter un périhélie inférieur à la distance qui sépare la Terre du Soleil. Au début de l’année 2013, on connaissait plus de 5.000 astéroïdes de cette classe. Un exemple célèbre d’astéroïde Apollo est la météorite de l’Oural, qui a explosé en altitude près de Tcheliabinsk, en Russie, en 2013.

Apollo

6566_la-gumpert-apollo-et-ses-records-de-vitesse

Apr&egrave;s plusieurs ann&eacute;es de production de la Porsche 911 (997), des mod&egrave;les plus puissants sont arriv&eacute;s sur le march&eacute;. La version turbo utilise un [popupdefinition id=19036]turbocompresseur[/popupdefinition] &agrave; g&eacute;om&eacute;trie variable, ce qui est in&eacute;dit pour un moteur essence de s&eacute;rie. Ces [popupdefinition id=11105]voitures[/popupdefinition] sont plus puissantes et moins gourmandes en carburant que les pr&eacute;c&eacute;dents mod&egrave;les. Ann&eacute;es de production : fin 2007. &copy; Jakob Sigur&eth;sson, Wikimedia Commons, CC by 2.0

La Porsche 997 turbo coupée

Le turbo, ou turbocompresseur est un système qui envoie de l’oxygène au moteur pour qu’il se mélange au carburant. Cette suralimentation provoque alors une augmentation de la combustion, qui donne plus de puissance au véhicule. Le turbocompresseur a deux avantages : d’une part, le conducteur dispose d’une voiture plus puissante et, d’autre part, le véhicule pollue moins. En effet, le turbo est léger et améliore l’efficacité du moteur en assurant une meilleure combustion. Quels sont les éléments qui composent le turbocompresseur ?Un turbocompresseur se compose de six éléments principaux. Tous sont indispensables et sans eux, le turbo ne fonctionnerait pas. Il s’agit de :la turbinel’axe coaxialle compresseurla soupape de déchargela soupape de sécuritél’intercooler (échangeur air-air).La turbine est la clé du fonctionnement du turbo : les gaz d’échappement la font tourner et envoient l’air au compresseur par l’axe coaxial. Cette partie a la forme d’un escargot qui se rétrécit, et l’air est introduit sous pression dans les cylindres. On trouve deux soupapes : la soupape de décharge (ou wastegate) régule les gaz qu’elles envoient vers le tuyau d’échappement. La soupape de sécurité sert à prolonger la durée de vie de la turbine.Enfin, l’échangeur air-air refroidit l’air comprimé dans la turbine, car avec l’augmentation de la température, il prend plus de volume. Quels sont les différents types de turbocompresseurs ?Il existe quatre principaux types de turbocompresseurs :Géométrie fixe : ce sont les plus basiques, les plus économiques et les plus fiables, puisqu’ils ne comportent aucune pièce mobile.Géométrie variable : ils sont plus efficaces que les précédents, car ils possèdent un mécanisme qui permet de faire varier la vitesse des gaz d’échappement à l’entrée de la turbine.Twin Scroll : ils ont deux entrées dans la zone du compresseur, qui a la forme d’un escargot.Le turbo électrique : c’est le système le plus moderne. Il est alimenté par électricité.

Turbocompresseur

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La voiture électrique présente la particularité d’être partiellement ou totalement mue par un ou plusieurs moteurs électriques. Cependant, cette définition simple en apparence cache plusieurs concepts, dont certains sont plus communs que d’autres. Les véhicules qui les exploitent émettent des quantités différentes de CO2.
Le tout électrique ou BEV
Les BEV (pour battery electric vehicle) sont des voitures mues en tout temps par la force électromotrice d’un moteur électrique. Elle embarque donc des batteries à grande capacité qui doivent être rechargées à une borne fixe. L’engin est alors immobilisé durant plusieurs heures.
Les prolongateurs d’autonomie ou EREV
La propulsion des EREV (pour extended range electric vehicle) est totalement électrique, mais un moteur thermique couplé à un alternateur est utilisé pour recharger les batteries à grande capacité en route, et ainsi augmenter l’autonomie du véhicule.
L’hybride rechargeable ou PHEV
Les PHEV (pour plug-in hybrid electric vehicle) ont recours à un moteur thermique pour les déplacements extra-urbains. En revanche, des moteurs électriques sont utilisés pour la circulation en ville. Leurs batteries sont rechargées à l’arrêt à une borne, ou grâce à un alternateur couplé au moteur thermique.
D’autres technologies sont amenées à se développer à l’avenir. Par exemple, des voitures expérimentales embarquent déjà des piles à combustible pour alimenter leurs circuits et moteurs.

Voiture électrique

Applications pratiques de la mesure de la vitesse
La vitesse, en tant que concept physique fondamental, joue un rôle crucial dans divers domaines au-delà de la physique fondamentale. Dans le domaine du transport, par exemple, la mesure précise de la vitesse est indispensable pour assurer la sécurité et optimiser les performances des véhicules. Les systèmes de navigation modernes, tels que le GPS, calculent la vitesse pour fournir des estimations précises des temps de trajet et des itinéraires optimisés.

En aéronautique, la vitesse des avions est minutieusement contrôlée pour gérer efficacement le trafic aérien et réduire le risque de collisions. De même, en météorologie, l'analyse des vitesses du vent aide à prévoir les conditions météorologiques, y compris les tempêtes et les cyclones, pouvant avoir d'importantes implications pour la sécurité publique et la planification des réponses aux urgences.

Importance de la vitesse dans le sport
Le concept de vitesse est également central dans le monde du sport. Dans les disciplines telles que le sprint, le cyclisme ou le ski, la capacité à générer une vitesse maximale est souvent déterminante dans les performances des athlètes. La mesure et l'analyse de la vitesse sont utilisées pour améliorer les techniques d'entraînement et optimiser les performances athlétiques, un domaine d'étude qui se développe continuellement grâce aux avancées technologiques.

Technologies modernes pour mesurer la vitesse
Les technologies modernes ont révolutionné la manière dont nous mesurons et comprenons la vitesse. L'utilisation de radars, de lasers et de différents types de capteurs permet de mesurer précisément la vitesse dans divers contextes, des véhicules en mouvement sur une autoroute à la lumière voyageant dans l'espace. Cette précision est cruciale pour des applications allant de la sécurité routière à la recherche en physique fondamentale.

En astrophysique, par exemple, la mesure de la vitesse des objets cosmiques, comme les étoiles et les galaxies, aide les scientifiques à déduire des informations sur l'expansion de l'univers et la distribution de la matière à grande échelle. Les technologies de mesure de vitesse contribuent également à la navigation spatiale, permettant aux sondes et aux véhicules spatiaux d'atteindre leurs destinations prévues avec une précision exceptionnelle.

Évolution de la vitesse dans la perspective scientifique
Depuis la formalisation de la notion de vitesse par Pierre Varignon et Gottfried Wilhelm Leibniz, la compréhension de la vitesse a évolué avec les avancées scientifiques et technologiques. Les chercheurs continuent d'étudier les propriétés de la vitesse à des échelles infiniment petites dans le domaine de la mécanique quantique ainsi qu'à des échelles cosmiques en astrophysique. Ces études aident à répondre à des questions fondamentales sur la nature de l'univers et les lois qui le régissent.

La vitesse est un concept central en science, avec des applications qui s'étendent bien au-delà des limites traditionnelles de la physique. Sa mesure et son analyse précises sont cruciales dans de nombreux secteurs, influençant des domaines aussi variés que la sécurité des transports, la météorologie, l'ingénierie, l'astrophysique et le sport. Continuer à améliorer les technologies de mesure de la vitesse et à étudier ses applications permettra de pousser encore plus loin les frontières de la science et de la technologie.

Champ lexical : vélocité | rapidité

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