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Le taux d'accidentaccident par temps de pluie est quatre fois supérieur à celui des accidents survenant par journées ensoleillées. Or, si les radars météorologiques détectent parfaitement les grosses massesmasses de précipitationsprécipitations, ils sont incapables de détecter les nuages de pluie situés dans la couche inférieure de la troposphèretroposphère, à moins de 2 km d'altitude, et qui donnent les petites averses. Dans ce cas, quoi de mieux que les données remontant directement du terrain pour affiner les prévisions ?
C'est dans ce cadre que Toyota a annoncé le 1er novembre un partenariat avec l'entreprise japonaise de services météométéo Weathernews, afin d'utiliser l'état de fonctionnement des essuie-glaces pour déterminer s'il pleut ou pas. Le constructeur automobileautomobile a commencé à déployer sur tous ses véhicules particuliers un DCM (Data Communication Module), un module permettant de partager les données de la voiture avec d'autres utilisateurs ou un opérateur central. L'usage des essuie-glaces permettra non seulement de détecter des nuagesnuages de pluie non décelables par les radars, mais aussi de préciser l'intensité de la pluie selon leur vitessevitesse de fonctionnement.
Au-delà de la météo, les voitures connectées devraient aussi permettre de signaler les embouteillages, une chaussée en mauvais état, les plaques de verglasverglas ou encore les accidents de la route.
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