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Après un retour très impressionnant il y a quatre ans, Flight Simulator revient aujourd'hui avec une édition 2024 ébouriffante de réalismeréalisme. La grande nouveauté se voit. Elle repose sur un nouveau moteur graphique qui exploite la photogrammétrie. Au lieu d'une modélisationmodélisation virtuelle, de véritables images aériennes prises sous différents angles ont été traitées par IAIA pour reconstituer la géométrie exacte des lieux survolés. Au final, les texturestextures appliquées au maillage généré s'affichent en ultra haute définitionultra haute définition et le résultat est bluffant.
Il est ainsi possible de survoler des villes représentées de façon tellement fidèle que l'on s'y croirait. Pas moins de 500 villes ont été modélisées avec ce procédé.
Flight Simulator 2024 propose un mode « carrière » qui permet de simuler la formation de pilote privé et même professionnel. © Microsoft
Chaque élément de l’avion est modélisé
Les effets lumineux et leurs variations sont également criants de réalisme. Le reste se trouve dans l'appareil simulé. Pour le pilote, le moteur de simulation reproduit fidèlement le comportement de chaque partie de l'aéronefaéronef. L'intégralité des composants d'un avion a été modélisée, qu'il s'agisse des circuits électriques, des pompes mécaniques... Une panne simulée devient de fait très réelle.
Côté interaction de l'appareil avec son environnement aérien, la modélisation de l'atmosphèreatmosphère est aussi poussée très loin. Les conditions exactes relevées par le réseau mondial de stations météo sont reproduites avec fidélité avec les conséquences que cela peut avoir sur le comportement de l'avion. Futura a hâte de tester ce simulateur, vendu à partir de 79,89 euros pour PCPC et Xbox Series X/S.
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