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Le commerce en ligne connaît un essor sans précédent avec un volumevolume d'activité estimé à 1 milliard de colis par an en France, 42 millions de Français réalisent des achats en ligne pour environ une transaction par acheteur et par semaine (produits et services confondus). Le problème, c'est qu'il engendrerait 1 million de tonnes de CO2 selon une étude menée par l'AdemeAdeme et le ministère de la Transition écologique. Si elle nuance ses résultats qui « dépendent notamment du comportement du consommateur et des infrastructures mises à leur disposition », elle propose un nouvel outil de simulation, « ECEL », qui permet d'établir des scénarios d'évaluation de l'impact environnemental du e-commerce.
Améliorer le commerce en ligne et le rendre plus vert
Cette étude met aussi en avant les leviers d'amélioration afin d'agir au maximum contre les émissions de gaz à effet de serre. Parmi eux, les emballages qui contiennent en moyenne 50 % de vide et dont l'ajustement du contenant permettrait de diminuer la quantité d'emballage produite, mais aussi le volume des colis, donc le nombre de colis transportables dans un même véhicule. Côté transport, des efforts pourraient être fournis pour améliorer les taux de chargement, verdir les prestations de transport ou encore réduire les déplacements des consommateurs en voiturevoiture.
