au sommaire


    La Chine se préparerait-elle à un conflit frontalfrontal contre les États-Unis, au point de s'entraîner à frapper sa marine ? En tout cas, des photos satellitaires issues du désertdésert du Taklamakan, dans la province chinoise du Xinjiang, montrent des représentations à l'échelle réelle des 330 mètres du pont d'envol du porte-avions américain Gerald Ford. On distingue même les quatre catapultes et l'îlot servant de tour de contrôle dont l'emplacement décentré est caractéristique de ce modèle. Ces images ont été identifiées dès l'an dernier et elles ne sont pas les seules. D'autres représentations de navires plus petits, orientés dans le même sens que le porteporte-avions, sont également présentes.

    Une volonté de démonstration

    À quoi servent ces « maquettes » ? Tester leurs capacités de défense et améliorer la précision de leurs missilesmissiles, face à une arrivée potentielle de la Navy pour la défense de Taïwan ? Des experts considèrent que les Chinois cherchent effectivement à mettre au point un système de guidage radar et laserlaser pouvant assurer une frappe précise d'une cible malgré une couverture nuageuse. Dans tous les cas, il est difficile de masquer une telle représentation depuis l'espace et c'est certainement le message que la Chine souhaite faire passer aux États-Unis.

    Logo WhatsApp

    Suivez Futura sur WhatsApp et Google Actualités
    pour ne rien rater de l’actualité sciences & tech !

    Logo Google Actualités