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Cybertracker : des observations localisées
L'objectif de départ est de permettre aux amateurs de nature, aux touristes, aux défenseurs de l'environnement ou aux gardes des parcs naturels de stocker des observations qui pourront ensuite être exploitées par des scientifiques qui ne peuvent être tout le temps sur le terrain. Mais le dispositif a déjà d'autres usages, tels que la chasse, ou la recherche de criminels...
Rappelons qu'à l'université de printemps de la Fing, Michel Bondaz a présenté un concept voisin, dénommé "Un point c'est tout". Le projet est parti du constat qu'il n'existe pas de carte exploitable gratuitement (sans copyright). Michel Bondaz a donc voulu créer ses propres cartes,. Pour cela, il s'est doté d'un matériel GPS (200 euros), d'un ordinateur portable et d'un vélo. Il fabrique désormais ses propres cartes à partir des traces de ses périples. La carte proposée est copiable et exploitable sur n'importe quel type de document.