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BitTorrent : vendez vos vidéos sur le web !
L'auteur uploade ses travaux et définit leur prix. Les utilisateurs accèdent à ces contenus directement en les payant à l'unité, la plate-forme percevant seulement son pourcentage d'intermédiaire. La plate-forme utilise également une licence particulière qui spécifie que l'auteur souhaite que son travail soit partagé uniquement par le biais du .torrenttorrent qu'il a créé via Prodigem, pour une duréedurée qu'il fixe lui-même.
Après OurMedia ou la Participatory Culture Foundation, sur des principes assez proche, GoogleGoogle vient d'ouvrir quant à lui son espace de stockage vidéo. Ce service (gratuit pour les diffuseurs, payant pour les utilisateurs) s'adresse à la fois au marché de la vidéo personnelle et à celui de producteurs plus établis. Le modèle ressemble à celui de Prodigem, sauf que la diffusiondiffusion se fait en streaming. Google récupère 30 % de l'argentargent collecté pour l'hébergement et la diffusion - avec la possibilité de s'en arroger plus dans des cas spéciaux.
Comme le remarque Larry Larsen de Poynter, les implications sont potentiellement importantes. N'importe qui pourra désormais commercialiser un fichier vidéo au prix qu'il fixera et sans qu'il ne lui en coûte vraiment. Selon les genres, il faudra observer sur quels secteurs la vidéo amateur viendra concurrencer la vidéo professionnelle : car ne nous y trompons pas, ces services pourraient bien être rapidement et avant tout un moyen de diffusion supplémentaire pour bien des petits producteurs établis qui n'avaient pas jusqu'à ce jour accès à ce type de supports et qui vont avoir là, à leur portée, à la fois un outil simple d'utilisation et une très large visibilité, que bien des plate-formes existantes ne pourraient leur apporter.