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Pour réaliser ceci, 96 électrodesélectrodes, chacune plus petite qu'un cheveu humain, sont rattachées au cortex moteurcortex moteur du singe. Le professeur Andrew Schwartz de l'université de Pittsburgh explique que la zone du cerveaucerveau rattachée n'a pas besoin d'être déterminée de manière extrêmement précise du fait de la plasticitéplasticité de notre cortex, qui peut réarranger certaines de ses structures.
Ensuite un algorithme permet de détecter les signaux générés par les neuronesneurones dans cette zone et de bouger le bras en conséquence.