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Logo de FireFox, le navigateur de Mozilla
Le principe utilisé n'était pas nouveau, et semblait donc plausible : provoquer une saturation de la mémoire à l'aide d'un programme Javascript, ce qui plante effectivement le navigateur. Connu chez Mozilla, ce problème est en cours d'étude. Mais personne n'avait pu profiter de ce défaut pour prendre le contrôle à distance d'un ordinateur.
Quelques jours après cette annonce, Mischa Spiegelmock a publiquement avoué devant les développeurs que la prise de contrôle après le plantage ne résultait que d'un trucage, simple farce de hackers pour détendre l'atmosphèreatmosphère. « Nous avons juste voulu être drôles
» a-t-il expliqué dans un texte adressé à la fondation Mozilla, où il a présenté ses excuses.
On peut tirer plusieurs conclusions de cette mésaventure : sens de l'humour particulier ; Firefox est un bon logiciellogiciel ; il est inutile de paniquer à la moindre annonce d'une nouvelle faille ; mieux vaut attendre de lire la nouvelle dans Futura-Sciences...