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Pour réaliser cette étude, les chercheurs universitaires ont analysé le comportement de 308 étudiants âgés de 17 à 24 ans, dont 231 filles et 77 garçons, tous inscrits sur Facebook. Au moment de l'étude, la moitié des participants (50,5%) avaient une relation sérieuse, un tiers étaient célibataires, et 8,3% entretenaient une liaison avec un(e) ou plusieurs partenaires.
D'après les résultats de l'étude, le temps passé à scruter l'activité de son conjoint sur FacebookFacebook augmente la jalousie et la suspicion. Le moindre indice d'infidélité (photos tagués, ex-petite amie ajoutée dans sa liste de contacts, divulgation d'informations personnelles, etc.), même s'il est infondé, peut en effet mener à une escalade de jalousie et à détériorer les relations du couple.
Cette étude canadienne a par ailleurs révélé que les participantes, qui ont passé plus de temps que les participants sur Facebook à surveiller leur partenaire, ont eu un sentiment de jalousie plus fort que les hommes.