Le tour du monde en solitaire de [popupbiographie id=1688]Steve Fossett[/popupbiographie] &agrave; bord du GlobalFlyer d&eacute;buta le 28 f&eacute;vrier 2005 et se termina le 3 mars de la m&ecirc;me ann&eacute;e. Le pilote ne fit aucune escale et son vol dura 67 heures 2 minutes et 38 secondes. Un record.&copy; Virgin Atlantic GlobalFlyer

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Le GlobalFlyer dans les nuages

James Stephen Fossett — plus connu sous le nom de Steve Fossett — est né le 22 avril 1944 à Jackson, dans l'État du Tennessee (États-Unis) et est mort le 3 septembre 2007 dans un accident d'avion. Steve Fossett était un entrepreneur et aventurier qui a réalisé de nombreux exploits et battu plusieurs records.Dès son enfance, Steve Fossett rêve d'aventures et, sur les encouragements de son père, devient boy-scout. Bien qu'il n'ait pas la carrure physique, il se concentre sur des activités nécessitant de la persévérance et de l'endurance, telle que l'escalade. À 13 ans, il devient Eagle Scout, le grade le plus élevé chez les Boy Scouts of America. Plus tard, il deviendra ranger et passera un diplôme en économie à l'université de Washington.Du businessman à l'aventurierDurant les 15 premières années de sa carrière, Steve Fossett travaille d'abord chez IBM, puis devient consultant chez Deloitte avant d'accepter un poste chez Marshall Field's. En 1973, il rejoint Merrill Lynch et trois ans plus tard, il intègre Drexel Burnham.Devenu spécialiste de la finance, au début des années 1980, il fonde deux sociétés Marathon Securities et Lakota Trading. Il devient rapidement millionaire et peut alors se concentrer sur le financement de ses propres aventures. Il se rapprochera du britannique Richard Branson, P.-D.G. du groupe Virgin qui sponsorisera plusieurs de ses exploits.Les exploits de Steve FossettÀ la nage, en ballon, à la voile, en catamaran ou en avion, Steve Fossett a relevé plusieurs défis personnels. Voici quelques-uns de ses exploits :Dans les airsEn 1995, il survole l'océan Pacifique en montgolfière. En 2002, il devient d'ailleurs le premier Homme à faire en ballon le tour du monde en solitaire, un exploit réalisé sans escale et en 14 jours. En atteignant la vitesse de 111 km/h, Steve Fossett gagne un nouveau record en dirigeable en octobre 2004.En février 2006, à bord de son avion, le GlobalFlyer, Steve Fossett a réalisé le plus long vol sans escale en parcourant quelque 42.450 km. Cette même année, il bat le record d'altitude en planeur et s'élève à 15.447 mètres.Tour du monde en avion : retour sur le record du GlobalFlyer, de Virgin AtlanticSteve Fossett à bord du GlobalFlyer. © NASA, Kim Shiflett, DP, Wikipedia CommonsSur la merSteve Fossett est également à l'aise sur la mer. En 1985, il réalise une traversée de la Manche à la nage en 22 heures. En 2001, il marque un nouveau record de la traversée de l'Atlantique en maxi-catamaran en 4 jours, 17 heures, 28 minutes et 6 secondes. Il participe également à la Route du rhum et réalise de nouveaux exploits sur le tour de l'île de Wight et des îles britanniques.La mort de Steve FossettEn septembre 2007, Steve Fossett disparaît alors qu'il survolait le désert du Nevada. Bien que son corps n'est pas été retrouvé, il est officiellement déclaré mort cinq mois plus tard. Le 31 octobre 2008, la découverte de deux os ainsi que des tests ADN confirmeront son décès, vraisemblablement dû à un crash.

Fossett Steve

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Le GlobalFlyer &eacute;tait sponsoris&eacute; par la soci&eacute;t&eacute; Virgin Atlantic, appartenant au groupe Virgin cr&eacute;&eacute; par Richard Branson.&copy; Virgin Atlantic GlobalFlyer

Le GlobalFlyer, un avion de Virgin Atlantic

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La fabrication du GlobalFlyer d&eacute;buta en septembre 2002. L'avion fut officiellement pr&eacute;sent&eacute; &agrave; Mojave, en Californie, en janvier 2004.&copy; Virgin Atlantic GlobalFlyer

La fabrication du GlobalFlyer - Photos Futura

La fabrication du GlobalFlyer

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Le premier vol du GlobalFlyer eut lieu le 5 mars 2004 et dura une heure et demie.&copy; Virgin Atlantic GlobalFlyer

Le GlobalFlyer en vol

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Le pilote [popupbiographie id=1688]Steve Fossett[/popupbiographie] (&agrave; gauche) et le patron de Virgin, Richard Branson, (&agrave; droite) posent devant le GlobalFlyer.&copy; Virgin Atlantic GlobalFlyer

Steve Fossett et Richard Branson devant le GlobalFlyer

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Apr&egrave;s le record de 2005, le pilote [popupbiographie id=1688]Steve Fossett[/popupbiographie] d&eacute;cide de se lancer dans une autre aventure, avec le m&ecirc;me avion. Son nouveau d&eacute;fi : battre le record du monde de distance.Ainsi, le 11 f&eacute;vrier 2006, toujours &agrave; bord du GlobalFlyer, il r&eacute;alise un tour du monde et demi de plus de 41.000 km !&copy; Virgin Atlantic GlobalFlyer

Le GlobalFlyer, l'avion de tous les records

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Sur cette photo, on peut voir, de gauche &agrave; droite, [popupbiographie id=1688]Steve Fossett[/popupbiographie], Richard Branson et Burt Rutan devant le GlobalFlyer.&copy; Virgin Atlantic GlobalFlyer

Steve Fossett, Richard Branson et Burt Rutan devant le GlobalFlyer

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Le GlobalFlyer a &eacute;t&eacute; construit par la Scaled Composites, de Burt Rutan. La soci&eacute;t&eacute; est &agrave; l'origine de quelques-uns des engins a&eacute;ronautiques les plus novateurs comme le SpaceShipOne, un avion [popupdefinition id=18815]fus&eacute;e[/popupdefinition], et le White Knight, un avion porteur &agrave; r&eacute;action, justement utilis&eacute; pour lancer le SpaceShipOne.&copy; Virgin Atlantic GlobalFlyer

Le GlobalFlyer, construit par la Scaled Composites, de Burt Rutan

Vulcan est un lanceur lourd américain développé par United Launch Alliance (ULA), une coentreprise créée entre Boeing et Lockheed Martin. Il doit remplacer le lanceur Delta IV heavy d’ici à 2024, voire Atlas V à un horizon plus lointain. Il sera lancé depuis le Space Launch Complex-41 (SLC-41) à Cap Canaveral en Floride et le SLC-3E à la Vandenberg Air Force Base, en Californie.Ce lanceur à deux étages utilisera également des propulseurs d’appoint. Il a pour particularité d’utiliser trois moteurs différents. L’étage principal sera propulsé par deux moteurs BE-4 de Blue Origin fonctionnant au gaz naturel liquéfié et à l'oxygène liquide tandis que l’étage supérieur sera équipé de deux moteurs RL-10CX d’Aerojet Rocketdyne fonctionnant avec un mélange d’hydrogène et d’oxygène liquide. Quant aux propulseurs d’appoint, ils seront équipés de moteurs à propergol solide GEM-63XL.Une récupération partielle étonnanteVulcan sera capable de placer une charge utile de plus de 25 tonnes en orbite basse, 15 tonnes sur une orbite de transfert géostationnaire et 7,25 tonnes sur une orbite géostationnaire. Ce futur lanceur sera partiellement réutilisable. Mais à la différence de SpaceX, qui récupère la totalité de l’étage principal de son Falcon 9, ULA ne récupérera que la partie basse du Vulcan, qui comprend le moteur, la baie de propulsion et l'avionique.Récupération du lanceur Vulcan : ULA dévoile un scénario à la James BondVulcan a été conçu pour contrer SpaceX sur les marchés américains des lancements de satellites gouvernementaux civils, scientifiques et militaires. Il devrait réaliser un premier vol de démonstration début 2021 avec le lancement à destination de la Lune de l’atterrisseur lunaire Peregrine de la société Astrobotic. Cet atterrisseur, qui transportera plusieurs charges utiles, sera le tout premier engin spatial de nature privée à alunir. Champ lexical : lanceur Vulcan | fusée

Vulcan

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L'activit&eacute; du&nbsp;groupe Virgin, de Richard Branson, est tr&egrave;s diversifi&eacute;e. Celui-ci&nbsp;op&egrave;re dans les m&eacute;dias, le divertissement... C&ocirc;t&eacute; transports, il poss&egrave;de la compagnie Virgin Atlantic, &agrave; l'origine du GlobalFlyer, mais aussi [popupdefinition id=16452]Virgin Galactic[/popupdefinition], une soci&eacute;t&eacute; pour d&eacute;velopper le [popupdefinition id=19909]tourisme spatial[/popupdefinition].&copy; Virgin Atlantic GlobalFlyer

Virgin, l'aéronautique et l'aérospatial : Virgin Atlantic et Virgin Galactic

Virgin Galactic est une société spécialisée dans le tourisme spatial appartenant au groupe Virgin, fondé et dirigé par Richard Branson.
Son ambition ? Proposer à des particuliers fortunés de vivre un vol suborbital ponctué de quelques minutes en apesanteur. Créée en 2004, l’entreprise développe un avion suborbital sur la base des travaux de la société Scaled Composites commencés par Paul Allen, cofondateur de Microsoft, et l'ingénieur Burt Rutan.
Il s’agit du SpaceShipOne transporté puis largué par un avion porteur nommé WhiteKnightOne à 16.000 m d'altitude. Grâce à deux vols suborbitaux effectués en 2004, Scaled Composites remporte l'Ansari X-Prize et les 10 millions de dollars de récompense. Suite à ce prix, Richard Branson scelle une association avec Burt Rutan et lance Virgin Galactic en vue d’exploiter une version commerciale de cet avion suborbital.
Commence alors le développement d’une évolution de l’appareil, baptisée SpaceShipTwo, dont la version finale est dévoilée en 2008. L’avion peut emporter deux pilotes et six passagers dans une cabine de 2,6 m de diamètre et de 3,6 m de long. Il s’accompagne d'un nouvel avion porteur, le WhiteKnightTwo, un quadriréacteur en carbone composite. 
L’avion porteur WhiteKnightTwo qui transporte l’avion suborbital Unity jusqu’aux limites de l’espace. © Virgin Galactic
Unity succède au SpaceShipTwo
Les vols d’essai du SpaceShipTwo commencent en 2010 suivis des premiers vols propulsés à partir de 2013. L’engin est équipé d’un moteur-fusée hybride qui utilise un carburant à base de polybutadiène hydroxytéléchélique (PBHT) et de protoxyde d'azote (N2O). Les vols d’essai s’enchaînent jusqu’à un accident fatal le 31 octobre 2014. Le SpaceShipTwo se désintègre peu après son largage, provoquant la mort de l'un des deux pilotes et blessant grièvement l’autre. L’enquête conclut à une erreur humaine, l’aile arrière mobile ayant été actionnée alors que le moteur était en pleine poussée.
Il faudra attendre décembre 2016 pour une reprise des essais en vol avec une nouvelle version du SpaceShipTwo baptisée Unity. Virgin Galactic compte toujours réaliser ses premiers vols commerciaux à la frontière de l'espace avant 2020. Depuis 2005, les réservations sont ouvertes au tarif de 200.000 dollars le vol (environ 178.000 euros). Sur le long terme, Virgin Galactic pense pouvoir abaisser le coût d’un billet à 30.000 dollars (environ 26.000 euros).

Virgin Galactic

Par simplicité, le tourisme spatial est une expression qui englobe toute une variété d’activités privée en orbite. Il est à différencier du tourisme suborbital. Alors que ce dernier se contente de franchir un bref instant, généralement quelques minutes, une des trois frontières de l’espace reconnues, le tourisme spatial consiste à s’envoler dans l’espace et se satelliser autour de la Terre pendant plusieurs jours.À première vue, on pourrait penser que le touriste spatial concerne de « simples vacanciers fortunés » qui s’offrent de courts séjours d’agrément en orbite. Mais chacun des « touristes » qui a pu séjourner à bord de la Station spatiale internationale ou de la capsule Crew Dragon de SpaceX a souhaité donner un sens à son escapade spatiale en réalisant un programme « scientifique » d’observation de la Terre, de démonstration technologique ou d’expériences. Certes, il s’agit de programmes à minima mais avec un retour scientifique indéniable.Une activité qui n'en est qu’à ses débutsCette activité a débuté en 2001 avec le séjour de Dennis Tito à bord de la Station spatiale pour un coût d’environ 20 millions de dollars. Sept autres personnes suivront, dont Charles Simonyi qui vola deux fois en 2007 et 2009, et la première femme touriste de l'espace, l'Américano-Iranienne Anousheh Ansari. Le dernier touriste de l’espace de cette époque sera le milliardaire canadien Guy Laliberté, fondateur du Cirque du Soleil, revenu sur Terre en octobre 2009 après onze jours dans l'espace. Il n'avait pas souhaité révéler le montant de son billet, estimé à 40 millions de dollars. Mais on sait que son prédécesseur, Charles Simonyi, avait payé 35 millions de dollars en 2009, après avoir déboursé 25 millions pour son premier séjour spatial.Arrivée du Japonais à bord de la Station spatiale internationale. On le voit sortir du Soyuz MS-20 qui l'a transporté, avec deux autres personnes, de la Terre jusqu'au complexe orbital. © Nasa, ESAL’arrivée de SpaceX sur le marché des vols habités privés a relancé cette activité. D’abord en libérant des places à bord du Soyouz russe, ce qui permet à Space Adventures de reprendre la commercialisation de vols habités à destination de l’ISS (à l’arrêt depuis le retrait de la navette en juin 2011). Ensuite, en commercialisant son Crew Dragon auprès de particuliers, comme Jared Issacman avec la mission Inspiration 4, puis à bord d’un Starship lors de mission Dear Moon de Yusaku Maezawa, autour de la Lune.Si les coûts avoisinent toujours plusieurs millions de dollars, on peut tout de même souligner que SpaceX permet une légère démocratisation du tourisme spatial. La Nasa a récemment fixé à 35.000 dollars le coût de la nuit à bord du complexe orbital par personne qui comprend la nourriture, l'eau, les toilettes et tout le système de support de la vie à bord. Quant à Space Adventures, après avoir relancé en fin d’année 2021 les vols à bord de l’ISS avec la mission du japonais Yusaku Maezawa, elle prépare pour 2023 un nouveau séjour touristique à bord de l’ISS mais avec une option inédite : une sortie dans l'espace depuis le complexe orbital ! Pour l'heure, aucun nom de client potentiel n'a été dévoilé.Des scènes de films de cinéma tournées à bord de l’ISS Parmi les activités « touristiques » réalisées à bord de la Station spatiale internationale, on citera les tournages de scènes pour des films de cinéma. Après le séjour en octobre 2021 de l’actrice russe Yulia Peresild et du réalisateur russe Klim Shipenko, pour tourner plusieurs scènes du film « The Challenge » dont la sortie est prévue vers la fin de l'année 2022, Tom Cruise devrait également réaliser des scènes à bord de l’ISS et du segment orbital Axiom. Avec le réalisateur Doug Liman, les deux Américains devraient rejoindre le complexe orbital dans le cadre d’une mission Axiom en 2024.

Tourisme spatial

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Jon Karkow est l'ing&eacute;nieur ayant con&ccedil;u le GlobalFlyer.&copy; Virgin Atlantic GlobalFlyer

Jon Karkow à bord du GlobalFlyer

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Le GlobalFlyer fait partie de ces <a href="http://www.futura-sciences.com/photos/diaporama/19-avions-legendaires-ont-marque-histoire-1360/" title="Diaporama - 19 avions l&eacute;gendaires qui ont marqu&eacute; l'histoire">avions l&eacute;gendaires</a> qui ont&nbsp;marqu&eacute; l'histoire.&copy; Virgin Atlantic GlobalFlyer

Le GlobalFlyer a marqué l'histoire de l'aviation

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Le pilote [popupbiographie id=1688]Steve Fossett[/popupbiographie] &eacute;tait un adepte du tour du monde. Il en a r&eacute;alis&eacute; cinq sans escale : en solitaire en [popupdefinition id=14992]ballon[/popupdefinition], en bateau en &eacute;quipage et en solitaire en avion.&copy; Virgin Atlantic GlobalFlyer

Le pilote Steve Fossett, un adepte du tour du monde

En chimie, le terme de « ballon » désigne un matériel de verrerie de laboratoire. Il s'agit d'un récipient de laboratoire de forme sphérique, à fond plat ou rond.
Chimie : un ballon pour chauffer le milieu réactionnel
Il est généralement utilisé lorsqu’il est nécessaire de chauffer le milieu réactionnel pendant une durée de plusieurs minutes. Le récipient est alors placé sur un chauffe-ballon qui en épouse la forme.
Pour résister à la chaleur, le ballon du chimiste est généralement fait de verre borosilicaté. S’il doit être inséré dans un montage complexe, le ballon peut disposer de deux ou trois ouvertures. Il est alors qualifié de « ballon bi- ou tricol ».
Bien utiliser un ballon en chimie
Pour réguler la montée en température du milieu réactionnel, il peut être utile de placer, dans le fond du ballon, des billes qui permettront une agitation magnétique de la solution.
Lorsque l’on utilise un ballon à fond rond, il est recommandé de se munir d'un valet en liège ou en matière plastique. Un tel support permettra de maintenir le ballon droit sur la paillasse.

Ballon

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Le pilote [popupbiographie id=1688]Steve Fossett[/popupbiographie], ici photographi&eacute; &agrave; bord du GlobalFlyer, disparut en 2007 lors d'un vol en avion au-dessus du [popupdefinition id=16017]d&eacute;sert[/popupdefinition] du Nevada (ouest des &Eacute;tats-Unis). L'&eacute;pave de son avion fut retrouv&eacute;e un an plus tard, confirmant sa mort.&copy; Virgin Atlantic GlobalFlyer

Mort du pilote Steve Fossett

Le mot « désert » est dérivé du latin desertum et désigne un lieu vaste et inculte, abandonné, livré à la solitude. Cela concerne autant les forêts inoccupées par l’Homme que les espaces secs. Au Moyen Âge, le terme avait une connotation religieuse, associé aux retraites, ermitages, par opposition au monde.
Au XIXe siècle, il s'est défini davantage comme un milieu caractérisé par une absence de végétation et aujourd’hui, toute région de terres émergées marquée par un régime de pluies très faibles rendant difficile voire impossible la vie est considérée comme un désert.
Déserts chauds et déserts froids
Il existe deux types de désert : les chauds et les froids. Ils peuvent être distingués en sous-groupes selon leur degré d’aridité.
Parmi les hyper-arides (moins de 50 mm de précipitations par an) — on parle de désert absolu —, il y a notamment le Sahara, le plus grand des déserts chauds, et le désert de l’Atacama. Viennent ensuite les régions arides (entre 50 mm et 250 mm de précipitations par an) et semi-arides (entre 250 mm et 500 mm de précipitations par an). Tous ces espaces représentent un tiers de la surface de la Terre.

Désert

788_mort-du-pilote-steve-fossett

Le GlobalFlyer est &agrave; pr&eacute;sent&nbsp;expos&eacute; au Steven F. Udvar-Hazy Center, une annexe du National [popupdefinition id=4452]Air[/popupdefinition] and Space Museum situ&eacute;e pr&egrave;s de l'a&eacute;roport international de Washington-Dulles, en Virginie (est des &Eacute;tats-Unis).&copy; Virgin Atlantic GlobalFlyer

Où voir le GlobalFlyer ?

Le terme « air » désigne le fluide gazeux parfait, incolore, inodore et invisible qui constitue l’atmosphère terrestre. On l'associe plus généralement à la troposphère, la couche de l’atmosphère de la Terre la plus proche de la surface du globe. En contact direct avec cette dernière, l’air est donc sensible à l’évaporation des océans, à la photosynthèse ou encore aux activités humaines.
Composition de l'air
L’air est un mélange de différents corps purs dans leur état gazeux. La composition de l'air sec est la suivante :
78 % de diazote ;21 % de dioxygène ;environ 1 % d’argon ;des traces de néon, de krypton, de xénon et d’hélium.
Ces proportions — même si la concentration de l’air diminue avec l’altitude — sont identiques quel que soit le lieu et jusqu’à une altitude de 100 kilomètres. Au-delà, il n’y a pas quasiment plus d’air.
L’air contient également de la vapeur d’eau dans des concentrations qui peuvent beaucoup varier, aussi bien dans le temps que dans l’espace. Ainsi, dans un air froid, le volume de vapeur d’eau dans l’air ne dépasse pas les 0,6 %. En revanche, dans un air chaud, il peut monter jusqu’à plus de 4 %.
Certaines activités humaines affectent la composition de l’atmosphère. En France, la qualité de l’air est désormais surveillée. En fonction des prévisions météo, des pics de pollution peuvent être prévus sur des zones assez précises. © SD-Pictures, Pixabay, DP
Pollution de l’air
La pollution atmosphérique est susceptible de modifier la composition de l’air et d’y ajouter ou d’y supprimer de l’ozone, du méthane ou encore du dioxyde de carbone, par exemple. Les proportions de ces gaz aussi peuvent varier avec l’altitude. Ainsi, l’ozone se concentre entre 20 et 40 kilomètres d’altitude, dans la couche d’ozone.
L’air véhicule aussi des aérosols, des particules solides ou liquides formées par des phénomènes naturels — comme les éruptions volcaniques ou la dispersion du pollen — ou par des activités industrielles. La concentration des aérosols est bien sûr variable.
Mouvements de l’air
L’air est aminé de mouvements incessants provoqués par des différences de température et de pression. En effet, la température de l’air, par exemple, décroît, dans la troposphère, de quelque 6 °C par kilomètre d’altitude. De quoi créer des mouvements de convection rapide. Les mouvements de l’air se ressentent notamment lorsque le vent souffle.

790_ou-voir-le-globalflyer--

Avant [popupbiographie id=1688]Steve Fossett[/popupbiographie], bien d'autres pilotes&nbsp;marqu&egrave;rent l'histoire de l'aviation. C'est notamment le cas de [popupbiographie id=394]Charles Lindbergh[/popupbiographie]. Ce pionnier am&eacute;ricain fut le premier &agrave; relier Paris &agrave; New York sans escale et en solitaire, &agrave; bord du [popupdefinition id=4034]Spirit[/popupdefinition] of Saint Louis, en 1927.Peu de temps apr&egrave;s, Amelia Earhart, alias Lady Lindy (en r&eacute;f&eacute;rence &agrave; Charles Lindbergh), &eacute;galement am&eacute;ricaine, fut la premi&egrave;re femme &agrave; traverser l'oc&eacute;an Atlantique en avion en 1928, puis la premi&egrave;re &agrave; r&eacute;aliser un tel trajet en solitaire, quatre ans plus tard.&copy; Virgin Atlantic GlobalFlyer

L'aviation et ses pilotes

Spirit est le premier Rover de la mission MER (Mars Exploration Rover) de la NASA à avoir atterri sur Mars. 
L'astromobile Spirit s'est posé le 4 Janvier 2004, vingt jours avant son frère jumeau Opportunity, dans le cratère Gusev, suspecté d'avoir accueilli un ancien lac par le passé. 
En décembre 2004, il y a détecté de la goethite, découverte sans précédent qui montrait qu'il y avait eu de l'eau sur Mars, ayant altéré les roches de Columbia Hills. Le 20 Novembre 2005, Spirit a soufflé sa première bougie sur Mars.

Spirit

Charles Lindbergh

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Le GlobalFlyer survole ici l'Atlas marocain.&copy; Virgin Atlantic GlobalFlyer

Le GlobalFlyer survolant l'Atlas marocain

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Lors de son tour du monde de 2005, le GlobalFlyer avait une [popupdefinition id=324]vitesse[/popupdefinition] moyenne d'un peu plus de&nbsp;550 km/h.&copy; Virgin Atlantic GlobalFlyer

La vitesse du GlobalFlyer

Applications pratiques de la mesure de la vitesse
La vitesse, en tant que concept physique fondamental, joue un rôle crucial dans divers domaines au-delà de la physique fondamentale. Dans le domaine du transport, par exemple, la mesure précise de la vitesse est indispensable pour assurer la sécurité et optimiser les performances des véhicules. Les systèmes de navigation modernes, tels que le GPS, calculent la vitesse pour fournir des estimations précises des temps de trajet et des itinéraires optimisés.

En aéronautique, la vitesse des avions est minutieusement contrôlée pour gérer efficacement le trafic aérien et réduire le risque de collisions. De même, en météorologie, l'analyse des vitesses du vent aide à prévoir les conditions météorologiques, y compris les tempêtes et les cyclones, pouvant avoir d'importantes implications pour la sécurité publique et la planification des réponses aux urgences.

Importance de la vitesse dans le sport
Le concept de vitesse est également central dans le monde du sport. Dans les disciplines telles que le sprint, le cyclisme ou le ski, la capacité à générer une vitesse maximale est souvent déterminante dans les performances des athlètes. La mesure et l'analyse de la vitesse sont utilisées pour améliorer les techniques d'entraînement et optimiser les performances athlétiques, un domaine d'étude qui se développe continuellement grâce aux avancées technologiques.

Technologies modernes pour mesurer la vitesse
Les technologies modernes ont révolutionné la manière dont nous mesurons et comprenons la vitesse. L'utilisation de radars, de lasers et de différents types de capteurs permet de mesurer précisément la vitesse dans divers contextes, des véhicules en mouvement sur une autoroute à la lumière voyageant dans l'espace. Cette précision est cruciale pour des applications allant de la sécurité routière à la recherche en physique fondamentale.

En astrophysique, par exemple, la mesure de la vitesse des objets cosmiques, comme les étoiles et les galaxies, aide les scientifiques à déduire des informations sur l'expansion de l'univers et la distribution de la matière à grande échelle. Les technologies de mesure de vitesse contribuent également à la navigation spatiale, permettant aux sondes et aux véhicules spatiaux d'atteindre leurs destinations prévues avec une précision exceptionnelle.

Évolution de la vitesse dans la perspective scientifique
Depuis la formalisation de la notion de vitesse par Pierre Varignon et Gottfried Wilhelm Leibniz, la compréhension de la vitesse a évolué avec les avancées scientifiques et technologiques. Les chercheurs continuent d'étudier les propriétés de la vitesse à des échelles infiniment petites dans le domaine de la mécanique quantique ainsi qu'à des échelles cosmiques en astrophysique. Ces études aident à répondre à des questions fondamentales sur la nature de l'univers et les lois qui le régissent.

La vitesse est un concept central en science, avec des applications qui s'étendent bien au-delà des limites traditionnelles de la physique. Sa mesure et son analyse précises sont cruciales dans de nombreux secteurs, influençant des domaines aussi variés que la sécurité des transports, la météorologie, l'ingénierie, l'astrophysique et le sport. Continuer à améliorer les technologies de mesure de la vitesse et à étudier ses applications permettra de pousser encore plus loin les frontières de la science et de la technologie.

Champ lexical : vélocité | rapiditéChamp lexical : vélocité | rapidité

Vitesse

793_la-vitesse-du-globalflyer

Virgin Atlantic Global Flyer

Steve Fossett

GlobalFlyer

Virgin

Tour du monde en avion

Virgin Atlantic's GlobalFlyer

Aviation

Record

Tour du monde en avion : retour sur le record du GlobalFlyer, de Virgin Atlantic

Univers

Aéronautique

Avions

Richard Branson

Guides logiciels

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Guides Télécoms

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Guides PC et tablettes

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Guides Tech

Quels sont les meilleurs vidéoprojecteurs à (ultra) courte focale en 2024 ?

Le produit phare de notre comparatif des balances de cuisine

Applications pratiques de la mesure de la vitesse
La vitesse, en tant que concept physique fondamental, joue un rôle crucial dans divers domaines au-delà de la physique fondamentale. Dans le domaine du transport, par exemple, la mesure précise de la vitesse est indispensable pour assurer la sécurité et optimiser les performances des véhicules. Les systèmes de navigation modernes, tels que le GPS, calculent la vitesse pour fournir des estimations précises des temps de trajet et des itinéraires optimisés.

En aéronautique, la vitesse des avions est minutieusement contrôlée pour gérer efficacement le trafic aérien et réduire le risque de collisions. De même, en météorologie, l'analyse des vitesses du vent aide à prévoir les conditions météorologiques, y compris les tempêtes et les cyclones, pouvant avoir d'importantes implications pour la sécurité publique et la planification des réponses aux urgences.

Importance de la vitesse dans le sport
Le concept de vitesse est également central dans le monde du sport. Dans les disciplines telles que le sprint, le cyclisme ou le ski, la capacité à générer une vitesse maximale est souvent déterminante dans les performances des athlètes. La mesure et l'analyse de la vitesse sont utilisées pour améliorer les techniques d'entraînement et optimiser les performances athlétiques, un domaine d'étude qui se développe continuellement grâce aux avancées technologiques.

Technologies modernes pour mesurer la vitesse
Les technologies modernes ont révolutionné la manière dont nous mesurons et comprenons la vitesse. L'utilisation de radars, de lasers et de différents types de capteurs permet de mesurer précisément la vitesse dans divers contextes, des véhicules en mouvement sur une autoroute à la lumière voyageant dans l'espace. Cette précision est cruciale pour des applications allant de la sécurité routière à la recherche en physique fondamentale.

En astrophysique, par exemple, la mesure de la vitesse des objets cosmiques, comme les étoiles et les galaxies, aide les scientifiques à déduire des informations sur l'expansion de l'univers et la distribution de la matière à grande échelle. Les technologies de mesure de vitesse contribuent également à la navigation spatiale, permettant aux sondes et aux véhicules spatiaux d'atteindre leurs destinations prévues avec une précision exceptionnelle.

Évolution de la vitesse dans la perspective scientifique
Depuis la formalisation de la notion de vitesse par Pierre Varignon et Gottfried Wilhelm Leibniz, la compréhension de la vitesse a évolué avec les avancées scientifiques et technologiques. Les chercheurs continuent d'étudier les propriétés de la vitesse à des échelles infiniment petites dans le domaine de la mécanique quantique ainsi qu'à des échelles cosmiques en astrophysique. Ces études aident à répondre à des questions fondamentales sur la nature de l'univers et les lois qui le régissent.

La vitesse est un concept central en science, avec des applications qui s'étendent bien au-delà des limites traditionnelles de la physique. Sa mesure et son analyse précises sont cruciales dans de nombreux secteurs, influençant des domaines aussi variés que la sécurité des transports, la météorologie, l'ingénierie, l'astrophysique et le sport. Continuer à améliorer les technologies de mesure de la vitesse et à étudier ses applications permettra de pousser encore plus loin les frontières de la science et de la technologie.

Champ lexical : vélocité | rapidité

Solar Impulse est une entreprise créée en Suisse par Bertrand Piccard, médecin psychiatre, et André Borschberg, responsable d’entreprise, avec l'objectif – atteint – de réaliser un avion mû uniquement par l’énergie solaire, puis d'effectuer un tour du monde avec escales, réalisé entre le 9 mars 2015 et le 26 juillet 2016.
Les pilotes de Solar Impulse
Bertrand Piccard est pilote d’avion et de montgolfière. Il a réalisé en 1999 un tour du monde en ballon sans escale, en compagnie de Brian Jones, à bord du Breitling Orbiter 3. Il est le fils de Jacques Piccard, océanographe, et petit-fils d’Auguste Piccard, physicien, aéronaute et concepteur du premier bathyscaphe. André Borschberg est un ancien pilote de chasse et pilote professionnel d'avion et d'hélicoptère. Il est aussi ingénieur, diplômé de l'EPFL (École Polytechnique fédérale de Lausanne), et entrepreneur.
Le prototype de l'avion solaire HB-SIA, ou SI1
Entre 2003 et 2009, l’équipe a imaginé et construit un prototype d’avion solaire monoplace, immatriculé HB-SIA (HB est l’indicatif des avions helvétiques, SI pour Solar Impulse et A pour premier du genre). Ce monoplace mesure 63,40 m d’envergure (à peu près comme l’Airbus A340), pèse 1,6 tonne (c’est très peu) et porte 11.628 cellules photovoltaïques, réparties sur les ailes (10.748) et sur le stabilisateur horizontal, à l'arrière (880). L’énergie électrique produite est stockée dans 400 kg de batteries lithium-ion et alimente quatre moteurs électriques de 10 chevaux chacun, entraînant chacun une hélice.
Les vols historiques du HB-SIA
L’avion a réalisé son premier test le 3 décembre 2009 et un premier vol d'essai le 7 avril 2010, avec les performances attendues : sous un ciel ensoleillé, l’appareil produit plus d’électricité qu’il n’en consomme. En 2010, il a effectué le premier vol de nuit, de 26 heures 15 mn, entre le 7 et 8 juillet. En 2011, le HB-SIA a réalisé des étapes internationales : Payerne (Suisse)-Bruxelles le 13 mai 2011, Bruxelles-Le Bourget le 15 juin 2011 et Le Bourget-Payerne le 4 juillet 2011. En 2012, entre le 5 juin et le 24 juillet, le HB-SIA, en plusieurs étapes, a rejoint Rabat au Maroc, piloté alternativement par André Borschberg et Bertrand Piccard. L'équipe de Solar Impulse rendait visite à la future centrale thermosolaire du projet Masen (Moroccan Agency For Solar Energy), à Ouarzazate.
En 2013, Bertrand Piccard et André Borschberg ont réalisé la traversée des États-Unis entre le 3 mai et le 16 juin, de San Francisco et Washington.
L'avion solaire du tour du monde, le SI2
En juillet 2011, Solar Impulse a commencé la réalisation du HB-SIB, l'avion de tentative de tour du monde. Le 5 juillet 2012, le longeron d'aile a rompu lors d'un essai en charge, qui a contraint à une nouvelle étude de sa structure et a repoussé le voyage autour de la Terre à 2015. C'est à la suite de ce contre-temps qu'a été organisée la traversée des États-Unis.
Le SI2 reprend les principes techniques du prototype avec des améliorations : envergure plus grande, cellules solaires plus efficaces, plus nombreuses et plus fines, moteurs plus puissants, espace intérieur plus grand (3,8 m3) et avionique améliorée.
Envergure : 72,30 mètresLongueur : 22,40 mètresHauteur : 6,37 mètresMotorisation : 4 moteurs électriques de 17,5 CV (12,9 kW) chacunBatteries : 4 x 260 Wh/kg, 633 kg au totalCellules solaires : 17.248, 135 microns d'épaisseur, 269,5 m2Vitesse de croisière : 90 km/h de jour, 60 km/h de nuitAltitude maximale de croisière : 8.500 mètres (27.900 ft)Poids : 2.300 kgVitesse de décollage : 35 km/h
Le tour du monde
 L'équipe de Solar Impulse a commencé le tour du monde le 3 mars 2015 à Abu Dhabi, dans les Émirats arabes unis. Initialement, le voyage prévoyaient douze étapes, dont deux au-dessus de l'océan Pacifique et une au-dessus de l'Atlantique, avec une distance totale d'environ 35.000 km, sur une durée de cinq mois. Certaines étapes dureront plusieurs jours, plus de cinq pour les plus longues.
Démarré le 9 mars 2015, le tour du monde a finalement comporté 17 étapes et s'est terminé seize mois plus tard, le 27 juillet 2016, après 43.041 km et 23 journées de vol. 
Abou Dhabi, Émirats arabes unis - Mascate, Sultanat d'Oman ;Mascate - Ahmedabad, Inde ;Ahmedabad - Varanasi (Bénarès), Inde ;Varanasi - Mandalay, Myanmar;Mandalay - Chongqing, Chine ;Chongqing - Nanjing, Chine ;Nanjing - Nagoya, JaponNagoya - Honolulu (Hawaï, États-Unis) ;Honolulu - San Francisco, États-Unis ;San Francisco - Phoenix (États-Unis) ;Phoenix - Tusla (États-Unis) ;Tusla - Dayton (États-Unis) ;Dayton - Leyhig Valley (États-Unis) ;Leyhig Valley - New York (États-Unis) ;New York - Séville (Espagne) ;Séville - Le Caire (Égypte) ;Le Caire - Abou Dhabi, Émirats arabes unis.
L'avion n'a subi aucun incident majeur qui aurait contraint à un atterrissage forcé ou un déroutement pour cause technique. Un déroutement a tout de même eu lieu durant le périple. Parti de Nankin, en Chine, à destination de Hawaï, André Borschberg, face à de mauvaises conditions météorologiques, a dû se dérouter sur Nagoya, au Japon.
En revanche, une température trop élevée a endommagé les batteries lors de la traversée de la première moitié du Pacifique, entre Nagoya, au Japon, et Hawaï. Le vol, de cinq jours et cinq nuits (117 heures et 52 minutes), établit un record de durée pour un pilote seul à bord d'un avion. Dégradées, les batteries ont dû être changées et, surtout, il a fallu comprendre la cause du problème et apporter une solution. La saison avançant, le tour du monde a dû être interrompu et n'a repris qu'en mars 2016.
Après la traversée de la seconde moitié du Pacifique (par Bertrand Piccard), l'avion a sillonné les États-Unis et a pu survoler la statue de la Liberté à New York. Le SI2 a ensuite traversé l'Atlantique (Bertrand Picard), ue première pour un avion électrique, et s'est posé en Espagne, à Séville. Le tour du monde a ensuite été bouclé, via Le Caire.

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