Moment de gloire... et d'&eacute;ternit&eacute;. Aldrin, ici photographi&eacute; par Armstrong, reproduit lesm&ecirc;mes gestes qui viennent de faire l'histoire. Le vieux r&ecirc;ve de l'humanit&eacute; s'est enfinr&eacute;alis&eacute; : on a march&eacute; sur la [popupdefinition id=2550]Lune[/popupdefinition] ! ([popupdefinition id=3744]Apollo 11[/popupdefinition])"Images [popupdefinition id=2468]NASA[/popupdefinition]/JSC, Retraitements O. de Goursac, &laquo; LUNE &raquo;, Tallandier, 2008"

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Moment de gloire... et d'éternité.

Une lune
Une lune avec un « L » minuscule est le satellite d'une planète. Par exemple Phobos et Deimos sont les deux lunes de la planète Mars.
La Lune
La Lune avec un « L » majuscule est l'unique satellite naturel de la Terre ; elle résulte sans doute d'une collision il y a 4,4 milliards d'années entre notre planète naissante et un petit corps céleste appelé Théia. Les Hommes, qui l'observent depuis longtemps, ont remarqué qu'elle présentait des phases successives qui revenaient tous les 29,53 jours, un cycle appelé lunaison. En étudiant sa surface à l'œil nu puis avec des instruments ils ont découvert qu'elle comportait des zones sombres, les mers, et des zones claires. Les mers sont de grandes plaines de lave solidifiée. Ce magma très fluide est remonté des profondeurs après un intense bombardement de la Lune par des astéroïdes il y a un peu moins de 4 milliards d'années. Les épanchements successifs de lave ont cessé il y a environ 1 milliard d'années. Seules les régions les plus élevées ont échappé à ce remplissage. Ce sont les zones claires où l'on découvre au télescope de très nombreux cratères d'impacts et quelques chaînes de montagnes. Ce scénario a été corroboré par l'analyse des échantillons de roches lunaires rapportées par les différentes missions Apollo entre 1969 et 1972.
On pensait la Lune géologiquement morte et dénuée d'intérêt mais différents orbiteurs ont détecté ces dernières années des réserves d'eau au niveau des pôles lunaires. Cette eau a très certainement été amenée par des comètes et a pu se conserver dans le fond obscur et glacé des cratères.

Lune

La Nasa (National Aeronautics and Space Administration) est une agence gouvernementale américaine, chargée d’exécuter le programme spatial civil. Aujourd’hui encore, elle est considérée comme un leader dans le domaine de l’aérospatiale. À son palmarès figurent les missions Apollo qui ont permis l’envoi des premiers Hommes sur la Lune, l’exploration de Mars par Curiosity ou encore les découvertes du télescope spatial Hubble.
Fondée le 29 juillet 1958 par le président Eisenhower, la Nasa vient remplacer le Naca (National Advisory Committee for Aeronautics), opérationnel depuis 1915. Guerre froide oblige, sa mission est alors de concurrencer le programme spatial soviétique. © Nasa
De nos jours, la Nasa emploie environ 20.000 personnes réparties dans une vingtaine d’institutions, comme le Goddard Space Flight Center, le Jet Propulsion Laboratory, le Langley Research Center ou encore le Kennedy Space Center. Elle accomplit des missions d’exploration et de recherche dans le domaine spatial et aérospatial par divers moyens : sondes, satellites, missions robotisées, etc. L’agence possède également un volet sciences de la Terre, pour étudier en particulier les effets du changement climatique.
Le Kennedy Space Center, en Floride, est une base de lancement située à proximité de Cap Canaveral. © Nasa
Les missions marquantes en cours et les projets futurs
La Nasa exploite la Station spatiale internationale (ISS), en coopération avec d’autres agences gouvernementales, où sont réalisées des recherches en astronomie, en sciences des matériaux et en biologie. Depuis 1990, l’agence exploite le célèbre télescope spatial Hubble, à l’origine d’avancées importantes dans notre connaissance de l’univers. Le très attendu James Webb Space Telescope viendra lui prêter main-forte en 2019.
Pour explorer Mars, la Nasa a lancé le programme Mars Science Laboratory (MSL), connu pour son rover Curiosity parcourant depuis 2012 le sol de la planète rouge à la recherche de traces de vie ancienne. Curiosity devrait être rejoint par l’atterrisseur InSight (lancement en mai 2018), puis viendra le rover Mars 2020, prévu pour le début des années 2020.
Dans le reste du Système solaire, des missions d’exploration étudient les géantes gazeuses, telle la sonde spatiale Cassini qui a plongé dans l’atmosphère de Saturne mi-septembre 2017 et la sonde New Horizons, toujours en activité, la première à avoir survolé Pluton et poursuit son exploration de la ceinture de Kuiper.

Nasa

La première mission vers le sol lunaire fut Apollo 11. L´orbite fut calculée en utilisant les lois de la mécanique céleste. Il fallut s´échapper de l´attraction terrestre puis utiliser la gravité lunaire, bien plus faible que la gravité terrestre. C'est aussi la première à avoir conduit des humains sur la Lune. Armstrong effectua le premier pas sur la Lune le 21 juillet à 2h 56min 20s UT.
Le paysage lunaire est fait de rochers plus ou moins gros et de poussière comme cela avait été prévu par les observations terrestres. Les zones dénommées "mers" sont des plaines. Apollo 11 s´est posé dans une mer par prudence. Lors des missions suivantes, les sites furent choisis dans des régions plus tourmentées.

Apollo 11

3928_moment-de-gloire----et-d-eternite-

Photos explicatives des retraitementsAlan Bean marche pr&egrave;s du crat&egrave;re Head, derri&egrave;re lequel d&eacute;passe le haut du LM &agrave; droite([popupdefinition id=3743]Apollo[/popupdefinition] 12-EVA2)"Images [popupdefinition id=2468]NASA[/popupdefinition]/JSC, Retraitements O. de Goursac, &laquo; [popupdefinition id=2550]LUNE[/popupdefinition] &raquo;, Tallandier, 2008"

Alan Bean marche près du cratère Head

Apollo peut désigner un ancien programme spatial américain, ainsi qu’une classe d’astéroïdes géocroiseurs.
Le programme spatial Apollo
Apollo est un programme spatial américain d'exploration humaine de la Lune décidé par le président américain John Fitzgerald Kennedy en 1961.
L'objectif de la Nasa était de faire atterrir au moins un Homme sur notre satellite avant 1970, en réponse à l'avancée du programme spatial soviétique et aux humiliations ressenties par le peuple américain devant les grandes premières réalisées par l'URSS (premier satellite artificiel, premier cosmonaute, première sonde lunaire, etc.).
Le vaisseau Apollo complet se composait de trois éléments : 
le module habitable de 6 tonnes, de forme conique, seul à revenir sur Terre après une mission ;le module de service de 23 tonnes, de forme cylindrique et fixé sous le premier, contenant les réservoirs de gaz et équipé du moteur d'injection en trajectoire translunaire et de retour vers la Terre ;le module lunaire de 15 tonnes (LEM : Lunar Excursion Module), lui-même formé de deux parties, l'étage de descente (10 tonnes) et l'étage de remontée (5 tonnes), ce dernier formant aussi l'habitacle des deux astronautes devant fouler la surface.
De juillet 1969 à décembre 1972, six missions Apollo (11 à 17) ont permis à 12 astronautes de marcher sur la Lune, totalisant 12,5 jours à la surface pour des sorties pouvant dépasser sept heures. Au total, 92,3 km ont été parcourus, à pied ou au moyen de trois « Jeeps » lunaires, et 2.196 échantillons ont été ramenés pour un poids total (terrestre) de 381,7 kg.
Seul Apollo 13 n'a pu atterrir, à cause de l'explosion d'un réservoir d'oxygène à l'intérieur du module de service, exigeant le retour de l'équipage au terme d'une mission avortée. Toutes les missions Apollo à destination de la Lune ont été lancées par la fusée Saturn V, conçue spécifiquement pour cet usage.
Apollo, une classe d’astéroïdes
On appelle aussi Apollo ou Apollon une classe d’astéroïdes géocroiseurs. Leur particularité est de présenter un périhélie inférieur à la distance qui sépare la Terre du Soleil. Au début de l’année 2013, on connaissait plus de 5.000 astéroïdes de cette classe. Un exemple célèbre d’astéroïde Apollo est la météorite de l’Oural, qui a explosé en altitude près de Tcheliabinsk, en Russie, en 2013.

Apollo

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Photo explicative des retraitementsLe r&acirc;teau pos&eacute; sur une pierre ([popupdefinition id=3743]Apollo[/popupdefinition] 16-EVA3-Station 11)"Images [popupdefinition id=2468]NASA[/popupdefinition]/JSC, Retraitements O. de Goursac, &laquo; [popupdefinition id=2550]LUNE[/popupdefinition] &raquo;, Tallandier, 2008"

Le râteau posé sur une pierre (Apollo 16-EVA3-Station 11)

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Le râteau posé sur une pierre

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Le sol "orange" d&eacute;couvert par Jack Schmitt au bord du crat&egrave;re Shorty. En fait, un solcolor&eacute; par de minuscules billes de verre, r&eacute;sidu d'une ancienne activit&eacute; volcaniqueexhum&eacute; lors de l'impact cr&eacute;ant le crat&egrave;re ([popupdefinition id=3743]Apollo[/popupdefinition] 17-EVA2-Station 4)"Images [popupdefinition id=2468]NASA[/popupdefinition]/JSC, Retraitements O. de Goursac, &laquo; [popupdefinition id=2550]LUNE[/popupdefinition] &raquo;, Tallandier, 2008"

Le sol &quot;orange&quot; découvert par Jack Schmitt au bord du cratère Sho

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Jack Schmitt pr&egrave;s de la "jeep". Juste derri&egrave;re, devant le monticule, le fameux solorange. A dr., le crat&egrave;re Shorty, large de 110m et profond de 15m, situ&eacute; entre SouthMassif (&agrave; g.) et North Massif &agrave; dr. ([popupdefinition id=3743]Apollo[/popupdefinition] 17-EVA2-Station 4))"Images [popupdefinition id=2468]NASA[/popupdefinition]/JSC, Retraitements O. de Goursac, &laquo; [popupdefinition id=2550]LUNE[/popupdefinition] &raquo;, Tallandier, 2008"

A droite, le cratère Shorty,

3916_a-droite--le-cratere-shorty-

Jack Schmitt secoue son r&acirc;teau (&agrave; dr.). Une charge sismique (centre) est install&eacute;e etarm&eacute;e (drapeau rouge) : d'autres sur la "jeep" (petites bo&icirc;tes noires) attendent d'&ecirc;trepositionn&eacute;es ([popupdefinition id=3743]Apollo[/popupdefinition] 17-EVA1-Station 1)"Images [popupdefinition id=2468]NASA[/popupdefinition]/JSC, Retraitements O. de Goursac, &laquo; [popupdefinition id=2550]LUNE[/popupdefinition] &raquo;, Tallandier, 2008"

Une charge sismique (centre) est installée

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John Young aligne l'antenne de sa "jeep" vers la Terre. Il l'a gar&eacute;e au bord d'un crat&egrave;re.Au fond, Smocky Mountain ([popupdefinition id=3743]Apollo[/popupdefinition] 16-EVA2-Station 8)"Images [popupdefinition id=2468]NASA[/popupdefinition]/JSC, Retraitements O. de Goursac, &laquo; [popupdefinition id=2550]LUNE[/popupdefinition] &raquo;, Tallandier, 2008"

John Young aligne l'antenne de sa &quot;jeep&quot; vers la Terre.

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Bloc devant lequel John Young a plant&eacute; sa pelle pour indiquer &agrave; Charles Duke o&ugrave;pr&eacute;lever des &eacute;chantillons. Au fond &agrave; dr., la "jeep" lunaire ([popupdefinition id=3743]Apollo[/popupdefinition] 16-EVA2-Station 9)"Images [popupdefinition id=2468]NASA[/popupdefinition]/JSC, Retraitements O. de Goursac, &laquo; [popupdefinition id=2550]LUNE[/popupdefinition] &raquo;, Tallandier, 2008"

Emplacement où Charles Duke à prélever des échantillons

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Charlie Duke racle la surface pour r&eacute;cup&eacute;rer des petites pierres ([popupdefinition id=3743]Apollo[/popupdefinition] 16-EVA3-Station 10 Prime)"Images [popupdefinition id=2468]NASA[/popupdefinition]/JSC, Retraitements O. de Goursac, &laquo; [popupdefinition id=2550]LUNE[/popupdefinition] &raquo;, Tallandier, 2008"

Charlie Duke racle la surface

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Charles Duke regarde John Young le prendre en photo (centre dr.), puis s'&eacute;loigne (&agrave;dr.) avec Stone Mountain en arri&egrave;re-plan. Au centre, le crat&egrave;re Plum derri&egrave;re lequel estgar&eacute;e la "jeep". A g., le crat&egrave;re [popupdefinition id=1208]Flag[/popupdefinition] (Apollo16-EVA1-Station 1)"Images [popupdefinition id=2468]NASA[/popupdefinition]/JSC, Retraitements O. de Goursac, &laquo; [popupdefinition id=2550]LUNE[/popupdefinition] &raquo;, Tallandier, 2008"

Charles Duke regarde John Young le prendre en photo

Séquence particulière de bits servant à délimiter des trames. Dans la procédure HDLC, le fanion est la suite des huit bits 01111110.FDDI (fiber distributed data interface) Réseau local conçu pour la fibre optique permettant des transferts à 100 Mbit/s.

Le fanion, ou "flag" en anglais, joue un rôle crucial dans le contrôle des transmissions de données dans les réseaux informatiques. En informatique, un fanion est défini comme une séquence spécifique de bits utilisée pour marquer le début ou la fin d'un paquet de données dans plusieurs types de protocoles de communication, incluant, mais sans s'y limiter, le High-Level Data Link Control (HDLC).


Importance des fanions dans les protocoles de communication

Dans le cadre des protocoles de communication réseau, l'utilisation de fanions permet de maintenir l'intégrité des informations transmises sur un réseau. Par exemple, dans le protocole HDLC, une séquence spécifique de bits, typiquement "01111110", est utilisée pour indiquer les frontières d'un cadre ou d'une trame de données. Cette méthode garantit que les données envoyées et reçues sont organisées de manière précise et cohérente, facilitant ainsi la tâche des dispositifs de communication dans la restitution fidèle des données transmises.

Le fanion dans différents contextes réseau


 SDLC (Synchronous Data Link Control) : Utilise également les fanions pour délimiter les trames, similairement à HDLC, augmentant ainsi la comparabilité entre les deux.
 FDDI (Fiber Distributed Data Interface) : Emploie des fanions pour structurer le trafic de données à travers des réseaux de fibres optiques, consolidant des débits élevés et une fiabilité accrue.
 Protocoles de réseaux sans fil : Les fanions sont utilisés pour réguler la transmission des données dans les communications sans fil, où ils aident à séparer différentes séquences de données pour éviter les confusions et les perturbations de signal.


La capacité d'un fanion à signaler efficacement le début et la fin d'une trame aide non seulement à la synchronisation des échanges de données mais également à la prévention des erreurs de transmission et à la réduction des pertes de données, ce qui est primordial dans des environnements nécessitant des transmissions de données rapides et fiables comme les marchés financiers, les télécommunications et les infrastructures critiques.

La gestion des fanions n'est pas exempte de défis. Un problème commun est l'encodage de données contenant une séquence identique à celle du fanion, susceptible de causer des erreurs dans l'interprétation des limites de trame. Pour résoudre ce problème, des techniques comme le "bit stuffing" (ajout de bits) sont utilisées. Le bit stuffing implique l'ajout d'un bit de non-conformité au sein des données dès que la séquence du fanion est détectée, ce qui distingue les données du fanion proprement dit.

Le futur des fanions dans la gestion de données

À l'ère du big data et de l'IoT (Internet des Objets), où les volumes de données explosent et où la vitesse de transmission est cruciale, la gestion efficace des fanions continue d'être un sujet de recherche et d'innovation. Les futurs développements pourraient inclure des techniques plus avancées de détection et de correction d'erreurs, ainsi que des protocoles optimisés pour les hautes performances et la sécurité accrue des transmissions de données.

Ces séquences de bits apparemment simples, sont de véritables piliers dans la gestion des communications numériques. Leur rôle essentiel dans la délimitation des trames de données garantit non seulement l'efficacité, mais aussi la fiabilité des systèmes de transmission sur lesquels repose notre monde connecté.

Fanion

3921_charles-duke-regarde-john-young-le-prendre-en-photo

Le LM, la "jeep" lunaire, la station ALSEP. Tous les plus gros &eacute;quipements amen&eacute;sdepuis la Terre sont l&agrave; ! A gauche, Dave Scott en train de tirer pour r&eacute;cup&eacute;rer une[popupdefinition id=7429]carotte[/popupdefinition], le [popupdefinition id=1834]spectrom&egrave;tre[/popupdefinition] de [popupdefinition id=2445]vent solaire[/popupdefinition] (bo&icirc;te blanche au 1er plan) et enfin HadleyMountain ([popupdefinition id=3743]Apollo[/popupdefinition] 15-EVA2)"Images [popupdefinition id=2468]NASA[/popupdefinition]/JSC, Retraitements O. de Goursac, &laquo; [popupdefinition id=2550]LUNE[/popupdefinition] &raquo;, Tallandier, 2008"

Le LM, la &quot;jeep&quot; lunaire, la station ALSEP.

Appareil destiné à la mesure de la répartition d'un rayonnement en fonction de la longueur d'onde ou de la fréquence.

Spectromètre

Le milieu interplanétaire est balayé en permanence par un vent de particules électriquement chargées en provenance du Soleil.
Ce vent est très peu dense (10 particules par centimètre cube), mais très rapide (400 à 800 km/s). C'est un vent supersonique (il se déplace plus vite que les ondes sonores).Le vent solaire est composé principalement d'électrons, de protons et de noyaux d'Hélium. Le vent Solaire est très fluctuant.
Le vent solaire est traversé par des ondes de choc. Il est émetteur d'émissions radio.

Vent solaire

Le mot carotte peut désigner le légume (détaillé ci-dessous) ou la carotte de glace (prélèvement d'un échantillon vertical de glace).
La carotte, dont on consomme la racine, possède de bons atouts nutritionnels.
Saison de la carotte
La carotte est bonne à consommer fraîche entre les mois d’avril et d’octobre, ou toute l'année sous forme de carotte de conservation.
Qualités nutritionnelles de la carotte
La carotte est un légume peu énergétique (33 kilocalories pour 100 grammes) et présente de nombreuses vitamines dont une grande richesse en provitamine A, en minéraux (potassium) et en fibres. Ses taux en vitamines et en antioxydants auraient un rôle dans la prévention des maladies cardiovasculaires et de cancers.
Les variétés de carottes
Les variétés se succèdent au fil des saisons. Au printemps, on trouve par exemple les Grelots et les Bellots, puis viennent les Nantaises. À l’automne apparaissent les carottes longues ou demi-longues et goûteuses.
Conserver la carotte
Les carottes de conservation se gardent une semaine dans le bac à légumes tandis que les carottes primeurs, plus fragiles, ne se conservent que deux jours au même endroit.

Carotte

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Dave Scott se trouve environ 120m au-dessus de la plaine (&agrave; g.). sur les pentesd'Hadley [popupdefinition id=20380]Delta[/popupdefinition]. La pente va s'accentuer et bient&ocirc;t ils ne pourront plus monter sansmettre en p&eacute;ril la stabilit&eacute; de la "jeep" ([popupdefinition id=3743]Apollo[/popupdefinition] 15-EVA2-Station 6)"Images [popupdefinition id=2468]NASA[/popupdefinition]/JSC, Retraitements O. de Goursac, &laquo; [popupdefinition id=2550]LUNE[/popupdefinition] &raquo;, Tallandier, 2008"

Dave Scott se trouve environ 120m au-dessus de la plaine

En Sciences de la Terre, un delta est un type d’embouchure fluviale. En d’autres termes, il s’agit de la terminaison d’un cours d’eau (rivière ou fleuve), qui se jette dans un bassin (océan, mer ou lac). Tous les cours d’eau ne forment pas des deltas. L’existence d’une telle structure dépend de plusieurs paramètres, en particulier la quantité de sédiments charriés par le cours d’eau, la morphologie de la côte et la nature des influences marines.De manière générale, la charge sédimentaire est importante, ce qui entraîne la subdivision du cours d’eau en plusieurs bras (parfois très nombreux), au niveau de l’embouchure. Les bras forment souvent une structure triangulaire ressemblant à la lettre grecque Δ (delta), d’où le nom de ce type d’embouchure.La forme caractéristique du delta du Nil. © Jacques Descloitres, Modis Rapid Response Team, Nasa/sh, Wikimedia Commons, domaine publicDifférentes morphologies de deltaLes paramètres d’influence sont cependant variables et mènent à la formation de différentes morphologies deltaïques. Lorsque l’influence des marées est prédominante, l’embouche du delta est souvent très large et évasée, et s’approche d’ailleurs plus de celle d’un estuaire. Les marées ont en effet la tendance à réorganiser les sédiments déposés par le fleuve au niveau de l’embouchure en formant soit des zones de replats sédimentaires importants, soit des barres sableuses rectilignes. Le delta du Gange en est un parfait exemple.Morphologie du delta de Mahakam, entre influence fluviale et effets de marées. © RizkyJogja, Wikimedia Commons, CC by-sa 4.0 Lorsque les effets de la houle sont prédominants, cela engendre une forte dérive littorale qui va balayer les sédiments au niveau de l’embouchure. On observe alors la formation de cordons littoraux parallèles à la côte, comme au niveau du delta de Copper en Alaska. Entre la côte et ces cordons littoraux se forment ainsi une vaste zone d’étangs et de lagunes.Lorsque les effets de la dynamique fluviatile sont les plus importants, un delta se forme alors en patte d’oiseau (delta digité). Le fleuve incise les sédiments précédemment déposés au niveau de la côte, en créant des chenaux se dispersant en éventail. L’apport sédimentaire y est très important et le delta se construit littéralement sur la mer, en faisant avancer la ligne de côte. Un exemple typique est le delta du Mississippi. Dans ce cas précis, l’épaisseur de sédiments déposés peut atteindre 11 000 mètres.Il faut remarquer que la morphologie des deltas n’est cependant pas fixe et peut évoluer dans le temps en fonction des modifications des paramètres d’influence.Delta du Mississippi en fausses couleurs, vu depuis l'espace © Nasa, Wikimedia Commons, domaine publicCaractéristiques des zones deltaïquesDe l’amont vers l’aval, les deltas se décomposent en plusieurs zones qui présentent des caractéristiques bien différentes.En amont, se trouve tout d’abord une plaine deltaïque subaérienne incisée par les différents chenaux. Elle se termine au niveau de la ligne de côte. Cette zone est marquée par la présence de terrains marécageux ou de tourbières.La zone marécageuse du delta du Danube. © Denis Barthel Lizenz, Wikimedia Commons, CC by-sa 3.0Puis vient le front du delta qui correspond à une zone peu profonde et peut s’étendre sur plusieurs dizaines de kilomètres en mer en fonction de l’apport sédimentaire et de la dynamique marine. Ici, se déposent les sables et silts ainsi que les éléments plus grossiers charriés par les chenaux.Enfin, le delta se termine dans la zone plus profonde par un talus deltaïque (ou prodelta) composé de l’accumulation de sédiments, qui possède une pente de 1 à 10°. Cette pente se termine sur le plateau continental. Le prodelta est majoritairement composé d’éléments sédimentaires plus fins, comme les silts et argiles. Les argiles les plus fines, qui vont être les particules les plus faciles à transporter sur de longues distances, se retrouvent majoritairement en pied de pente.Intérêt industriel pour les deltasPar leur morphologie et les forts taux de sédimentation, les deltas présentent des milieux à fort potentiel en hydrocarbure. La formation de pétrole est en effet favorisée par les alternances d’épaisses couches de sables (roche réservoir) et d’argiles (niveau imperméable permettant la maturation des hydrocarbures). Les apports en nutriments des fleuves permettent également une forte productivité biologique au niveau des deltas, ce qui va générer d’importantes quantités de matières organiques rapidement piégées dans les sédiments. La vitesse de sédimentation va permettre leur préservation en milieu anaérobie et ainsi favoriser leur évolution en kérogène.Delta du Gange. © NasaQuelques deltas remarquablesCertains grands deltas sont particulièrement stables dans le temps et finissent par modifier drastiquement la morphologie du littoral en comblant les zones peu profondes des golfes. Grâce à son importante charge sédimentaire, le delta du Pô avance ainsi de 70 mètres par an. Le delta du Mississippi augmente son volume de 2 millions de tonnes par an. Il atteint ainsi des records concernant l'épaisseur sédimentaire (11 000 mètres par endroits). Le delta du Gange envoie quant à lui des sédiments jusqu’à une distance de plus de 1 000 km de la côte. Ces flux de sédiments sont d’ailleurs bien visibles depuis l’espace.

Delta

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Dave Scott travaille &agrave; la "jeep", gar&eacute;e au bord d'Hadley Rille, un ancien chenal de[popupdefinition id=2254]drainage[/popupdefinition] de [popupdefinition id=459]laves[/popupdefinition] tr&egrave;s [popupdefinition id=15334]liquides[/popupdefinition]. Il fait 300m de profondeur et plus d'un km de large([popupdefinition id=3743]Apollo[/popupdefinition] 15-EVA1-Station 2)"Images [popupdefinition id=2468]NASA[/popupdefinition]/JSC, Retraitements O. de Goursac, &laquo; [popupdefinition id=2550]LUNE[/popupdefinition] &raquo;, Tallandier, 2008"

Dave Scott travaille à la &quot;jeep&quot;

Avec notamment l’état solide et l’état gazeux, l’état liquide fait partie des différents états de la matière. Dans l’état liquide, ions, atomes ou molécules sont faiblement liés les uns aux autres. De quoi rendre la matière facilement déformable. Toutefois, les atomes d’un liquide restent liés et ne peuvent pas s’éloigner à volonté les uns des autres.
Différence entre état liquide et état gazeux
À l'échelle microscopique, l’état liquide possède une cohésion que ne présente pas l’état gazeux. La proximité entre les atomes de liquide fait également que, comme pour les solides, celui-ci reste difficilement compressible.
Différence entre état liquide et état solide
À l'échelle macroscopique, un liquide ne présente pas de forme propre et ne peut pas être saisi, à la différence d'un solide. C’est un fluide qui s’adapte à la forme du récipient dans lequel il est placé. Transvasé dans un autre récipient, un liquide conserve tout de même son volume. Un liquide possède donc bien un volume propre. Au repos, la surface libre d’un liquide est plane et horizontale.
La viscosité d'un liquide
La viscosité est l’une des caractéristiques essentielles d’un liquide. Elle rend compte de l’attachement des atomes entre eux. Plus sa viscosité est grande, plus un liquide résiste à un corps qui voudrait le traverser.

Liquide

La lave se forme principalement lors des éruptions volcaniques, lorsque le magma en fusion sous la Terre est expulsé à la surface. Cette roche en fusion se caractérise par une température très élevée et une viscosité variable. La formation de la lave débute dans la chambre magmatique, une poche de magma située sous un volcan. Formation de la laveLe magma est un mélange de roches fondues, de gaz dissous et de cristaux. Il se forme généralement dans le manteau terrestre, à des profondeurs considérables, en raison de la chaleur extrême et de la pression. Sous l'effet de cette pression et de la chaleur, le magma remonte vers la surface en traversant les fissures et les failles de la croûte terrestre. Lorsque la pression diminue, les gaz dissous dans le magma se libèrent, provoquant une éruption volcanique et la formation de lave.Lorsqu'une éruption se produit, le magma est expulsé de la bouche du volcan sous forme de lave. La lave peut s'écouler lentement comme une coulée de lave visqueuse ou être projetée violemment dans les airs sous forme de projections. Une fois à la surface, la lave entre en contact avec l'air plus froid, ce qui provoque son refroidissement et sa solidification. La vitesse de refroidissement influence la texture de la roche formée. Une lave refroidie rapidement peut former des roches vitreuses, tandis qu'une lave refroidie lentement peut donner naissance à des roches cristallines.Éruption du volcan près de Litli-Hrútur en Islande en 2023. © Gilles Laurent, Wikimedia Commons, CC BY 4.0 Différents types de laveSelon qu’elles soient effusives ou explosives, les éruptions volcaniques produisent différents types de lave, qui se distinguent par leur composition chimique, leur température et leurs propriétés physiques. Les éruptions effusives des volcans sont caractérisées par l'émission de lave, généralement basaltique : la lave basaltique est issue du magma basaltique, riche en fer et en magnésium. Elle est relativement fluide, d’une faible viscosité, et sa température varie entre 1 000 et 1 200 °C. Elle donne naissance à des roches volcaniques sombres, comme le basalte. Les coulées de lave peuvent parcourir plusieurs kilomètres et recouvrir de vastes zones, mais leur progression est généralement lente (quelques kilomètres par heure). Les conséquences des éruptions effusives sont principalement liées à la destruction des infrastructures et des habitations sur leur passage, ainsi qu'à la modification des paysages.Les éruptions explosives des volcans sont causées par l'expulsion rapide et violente de magma, de gaz et de cendres. Elles se produisent généralement lorsque le magma est plus visqueux comme dans le cas de la lave rhyolitique et que les gaz dissous ont du mal à s'échapper. Cette lave est issue du magma rhyolitique, pauvre en fer et en magnésium, mais riche en silice. La lave rhyolitique est très visqueuse (élevée viscosité) et sa température varie entre 650 et 800 °C. Elle donne naissance à des roches volcaniques claires, comme la rhyolite.Quant à la lave andésitique, elle provient du magma andésitique, dont la composition est intermédiaire entre le basalte et la rhyolite. La lave andésitique est plus visqueuse que la lave basaltique et sa température se situe entre 800 et 1 000 °C. Elle forme des roches volcaniques de couleur grise, comme l'andésite.Coulées de lave du volcan Etna, Sicile, Italie. © Wead, Adobe StockLa lave comme matériau de construction La lave, une fois refroidie et solidifiée, peut être utilisée comme matériau de construction. Le basalte, par exemple, est une roche volcanique très résistante et durable, qui peut être employée pour la construction de routes, de bâtiments et de monuments. La pierre ponce, une autre roche volcanique, est légère et poreuse, ce qui la rend utile pour l'isolation thermique et acoustique.La lave pour la production d'énergie géothermiqueLa chaleur dégagée par le magma et la lave peut être exploitée pour produire de l'énergie géothermique. Cette énergie renouvelable est générée en captant la chaleur du sous-sol et en la transformant en électricité ou en chaleur pour le chauffage et la climatisation. Les centrales géothermiques sont souvent situées près des zones volcaniques actives, où la chaleur du magma est plus facilement accessible.L'Islande est un excellent exemple de pays qui tire profit de la lave et de l'énergie géothermique pour répondre à ses besoins énergétiques et favoriser son développement économique et social. Grâce à sa position unique sur la dorsale médio-atlantique, l'Islande bénéficie d'une activité volcanique et géothermique importante, qui lui permet d'exploiter cette ressource naturelle de manière efficace et durable. Le pays compte plusieurs centrales géothermiques, dont certaines sont parmi les plus grandes et les plus efficaces au monde. Ces centrales utilisent la chaleur du magma et de la lave pour produire de la vapeur, qui entraîne des turbines et génère de l'électricité. En 2021, la géothermie représentait environ 25 % de la production totale d'électricité en Islande. Environ 90 % des bâtiments islandais sont chauffés grâce à l'énergie géothermique, ce qui réduit considérablement la consommation d'énergies fossiles et les émissions de gaz à effet de serre.

Lave

Le drainage en construction
Le drainage est une technique du bâtiment consistant à empêcher la stagnation de l'eau au pied des constructions. Afin de les protéger de l'humidité, il est important de poser un drain (un tuyau de plastique perforé) au fond des fondations, puis de recouvrir celui-ci ainsi que l'ensemble de la base de gravier et d'une membrane protectrice. Le concassé doit constituer une couche d'au moins 30 centimètres afin de limiter l'écoulement de l'eau dans les fondations. La membrane protectrice (généralement un feutre), quant à elle, doit permettre d'empêcher tout sédiment de s'infiltrer dans le drain. Le drainage est souvent relié au réseau d'eau pluviale ou un fossé afin d'éviter la stagnation de l'eau au sein du tuyau. L'humidité est l'un des premiers risques encourus par les bâtiments, et l'une des premières causes de dégradation prématurée. C'est pourquoi le drainage est indispensable sur les terrains sensibles.

Types de systèmes de drainage en construction
Il existe plusieurs types de systèmes de drainage qui peuvent être appliqués selon les spécificités du terrain et les besoins de la construction :

Drain français : ce type de drain est enterré autour de la fondation et aide à rediriger l'eau loin de la structure.
Drain de surface : utilisé pour éloigner l'eau de surfaces telles que les allées, les patios et les chemins.
Drainage par puits perdu : une solution pour les sites où il est difficile de connecter le système de drainage à un réseau d’eaux pluviales.


Matériaux et installation des systèmes de drainage
Les matériaux utilisés pour le drainage incluent généralement des tuyaux en PVC ou en plastique perforé, du gravier et des textiles filtrants. La pose d'un système de drainage doit être précédée par une étude de sol afin de déterminer le type de sol, sa perméabilité et le niveau d’eau existant. Cette étude est essentielle pour choisir le système de drainage le plus adapté et pour garantir son efficacité sur le long terme.

L’importance du drainage pour la durabilité des constructions
Un bon système de drainage est essentiel pour maintenir l'intégrité structurelle et la durabilité des constructions. En évitant l'accumulation d'humidité, ce système aide à prévenir les problèmes tels que les moisissures, l’érosion des fondations et les dommages dus au gel-thaw. En outre, le drainage approprié peut également contribuer à améliorer l’efficacité énergétique des bâtiments en réduisant les problèmes d’humidité et les fluctuations thermiques.

Applications du drainage en médecine
Dans le domaine médical, le drainage est l'action de collecter ou de dériver une substance (liquide, masse gazeuse) hors de l'organisme, à l'aide d'un drain.
Le drainage médical peut être réalisé dans différents contextes, comme après une chirurgie, pour traiter des abcès, ou pour gérer des accumulations fluides chroniques. Les professionnels de la santé utilisent divers types de drains, chacun étant adapté au type de fluide et à la nécessité clinique, allant des simples drains passifs aux systèmes de drainage par aspiration sous vide.

Rôle des techniques de drainage en post-opératoire
Dans un contexte post-opératoire, le drainage est crucial pour prévenir l'accumulation de fluides dans les zones opérées, réduire le risque d'infection et favoriser la guérison. Les drains sont souvent installés lors d'interventions impliquant une grande incision pour s'assurer que le fluide corporel excédent peut s'évacuer de manière contrôlée.

L'efficacité du drainage, que ce soit dans la construction ou en médecine, dépend grandement de la conception du système, des matériaux utilisés et de la précision de l'installation. Dans tous les cas, le but principal reste la préservation de la santé des structures et des organismes en évitant les complications liées à l'accumulation indésirable de liquides.

Drainage

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Ed Mitchell inspecte le paysage, sans savoir o&ugrave; se trouve leur objectif, le crat&egrave;re [popupdefinition id=4127]C&ocirc;ne[/popupdefinition].Il remarque alors (au fond &agrave; dr.) des roches blanches. Il d&eacute;cide d'aller les voir...([popupdefinition id=3743]Apollo[/popupdefinition] 14-EVA2-Station C Prime)"Images [popupdefinition id=2468]NASA[/popupdefinition]/JSC, Retraitements O. de Goursac, &laquo; [popupdefinition id=2550]LUNE[/popupdefinition] &raquo;, Tallandier, 2008"

Ed Mitchell inspecte le paysage

Le mot cône est utilisé dans de nombreux domaines : biologie, zoologie, botanique, mathématiques...
Biologie
Les cônes sont les éléments réceptifs de la rétine pour la couleur. Il en existe de trois types pour capter les rayonnements (ou stimuli) correspondants au rouge orangé, au vert et au bleu violet, les trois primaires du système additif RVB.
Zoologie
Un cône est un mollusque, un escargot marin le plus souvent du genre Conus.
Botanique
En botanique, le cône est l'organe reproducteur des gymnospermes (sapin, séquoia, pins...).
Géométrie
Un cône est un figure géométrique présentant la forme d'un cornet de glace.

Cône

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Apollo 12 sur l'Oc&eacute;an des [popupdefinition id=14551]Temp&ecirc;tes[/popupdefinition]. De g. &agrave; dr. : la sonde Surveyor III visible (pointblanc) dans l'ombre du crat&egrave;re, Alan Bean est en train de vider le LM, l'antenne"<a href="/maison/comparatifs/meilleur-parapluie-comparatif/" title="Comparatif parapluie" class="link-type-comparo">parapluie</a>" point&eacute;e vers la Terre, le drapeau US dont le support horizontal a cass&eacute;, lafeuille du collecteur de [popupdefinition id=2445]vent solaire[/popupdefinition] (au fond) et la cam&eacute;ra TV [popupdefinition id=4126]couleurs[/popupdefinition], maintenant enpanne ([popupdefinition id=3743]Apollo[/popupdefinition] 12-EVA1)"Images [popupdefinition id=2468]NASA[/popupdefinition]/JSC, Retraitements O. de Goursac, &laquo; [popupdefinition id=2550]LUNE[/popupdefinition] &raquo;, Tallandier, 2008"

Apollo 12 sur l'Océan des Tempêtes. - Photos Futura

La tempête correspond à un événement météorologique violent. Elle est caractérisée par des vents forts, souvent accompagnés de précipitations intenses. La tempête est distribuée sur une zone de plusie...

Tempête

Une lune
Une lune avec un « L » minuscule est le satellite d'une planète. Par exemple Phobos et Deimos sont les deux lunes de la planète Mars.
La Lune
La Lune avec un « L » majuscule est l'unique sate...

Apollo peut désigner un ancien programme spatial américain, ainsi qu’une classe d’astéroïdes géocroiseurs.
Le programme spatial Apollo
Apollo est un programme spatial américain d'exploration humaine d...

La Nasa (National Aeronautics and Space Administration) est une agence gouvernementale américaine, chargée d’exécuter le programme spatial civil. Aujourd’hui encore, elle est considérée comme un leade...

La couleur, c'est ce qui permet de différencier deux objets de formes et de structures identiques, par exemple le drapeau italien du drapeau français. C'est aussi ce qui n'est ni blanc, ni gris, ni no...

Couleur

Le milieu interplanétaire est balayé en permanence par un vent de particules électriquement chargées en provenance du Soleil.
Ce vent est très peu dense (10 particules par centimètre cube), mais très ...

Apollo 12 sur l'Océan des Tempêtes.

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Armstrong vient de courir pour photographier le crat&egrave;re large de 30m qu'il a d&ucirc; &eacute;viterde justesse avant d'alunir. Le LM est &agrave; 60m. Aldrin est invisible, cach&eacute; derri&egrave;re([popupdefinition id=3744]Apollo 11[/popupdefinition])"Images [popupdefinition id=2468]NASA[/popupdefinition]/JSC, Retraitements O. de Goursac, &laquo; [popupdefinition id=2550]LUNE[/popupdefinition] &raquo;, Tallandier, 2008"

Armstrong vient de courir pour photographier le cratère

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"As-tu pris la photo ?" semble dire [popupbiographie id=751]Buzz Aldrin[/popupbiographie] &agrave; [popupbiographie id=308]Neil Armstrong[/popupbiographie]. Quelques secondesauparavant, Buzz Aldrin saluait le drapeau. Maintenant, il tourne sa t&ecirc;te &agrave; l'avant ducasque pour regarder si Neil a bien pris la photo... Cette image symbolise l'ouvrage"[popupdefinition id=2550]LUNE[/popupdefinition]" &agrave; elle seule : c'est un assemblage de plusieurs photos prises par NeilArmstrong qui r&eacute;v&egrave;le pour la 1&egrave;re fois le contexte global immortalisant cet instanthistorique ([popupdefinition id=3744]Apollo 11[/popupdefinition])"Images [popupdefinition id=2468]NASA[/popupdefinition]/JSC, Retraitements O. de Goursac, &laquo; LUNE &raquo;, Tallandier, 2008"

As-tu pris la photo ? semble dire Buzz Aldrin à Neil Armstrong.

Neil Armstrong est né le 5 août 1930 dans l'Ohio (États-Unis). Il s'intéresse très tôt à l'aviation en réalisant des maquettes puis passe son brevet de pilote à 16 ans. Il entre un an plus tard à l'université Purdue puis dans l'US Navy en 1949 où il obtient sa qualification d'aviateur naval. Il effectue 78 missions aériennes pendant la guerre de Corée. En 1955 il est admis au Lewis Flight Propulsion Laboratory où il devient pilote d'essai, testant différents avions propulsés par des moteurs de fusées.Neil Armstrong : les missions historiques Gemini 8 et Apollo 11En 1962 Armstrong fait partie des pilotes sélectionnés comme astronautes et 4 ans plus tard il est le commandant de la mission Gemini 8 qui comprenait un rendez-vous en orbite terrestre avec une fusée-cible. En 1967 il rejoint l'équipe Apollo et le 23 décembre 1968 il se voit confier le poste de commandant d'Apollo 11. La mission décolle le 16 juillet 1969 ; aux côtés d'Armstrong se trouvent Edwin « Buzz » Aldrin qui pilotera le module lunaire, et Michael Collins qui restera en orbite lunaire à bord du module de commande. Neil Armstrong au pied du module lunaire Eagle le 21 juillet 1969. © NasaLe module Eagle se pose dans la mer de la Tranquillité le 21 juillet 1969 et Armstrong est le premier Homme à marcher sur la Lune, prononçant la phrase célèbre : « C'est un petit pas pour l'homme, mais un bond de géant pour l'humanité ». Après 2 heures 30 de sortie extravéhiculaire, Armstrong et Aldrin ont repris place dans le module lunaire pour rejoindre le module de commande et revenir sur Terre. Après Apollo 11 Neil Armstrong n'a pas souhaité repartir dans l'espace ; il a accepté un poste de professeur au département de génie aérospatial de l'université de Cincinnati et a participé à deux commissions d'enquêtes sur des accidents spatiaux, avec Apollo 13 en 1970 et en 1986 lors de la catastrophe de la navette Challenger. Il a passé la fin de sa vie de retraité dans sa ferme de l'Ohio. Armstrong est décédé le 25 août 2012 des suites d'une opération du cœur.L'équipage de la mission Apollo 11. De gauche à droite Armstrong, Collins et Aldrin. © Nasa

Neil Armstrong

Buzz Aldrin

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Exploration de la Lune

Couverture photographique de la Lune

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Agé de 51 ans, il a participé au centre NASA/JPL (le centre chargé des missions vers les planètes) aux missions martiennes Viking et Pathfinder. Il devient un vrai "Martien" en 1982, après y avoir séjourné dans l'équipe du programme Viking. En 1991, Taurus International et l'Ifremer, lui demandent de décliner son expérience pour cartographier avec précision l'épave du Titanic à partir de tous les films pris sur place : il réalise alors une maquette précise exposée au Centre National de la Mer "Nausicaa" (Boulogne-sur-Mer). 
En 1993, le JPL lui demande d'aider à créer le "Mars Education & Public Outreach Office" (Bureau des Relations Publiques des programmes martiens). Il en devient le Correspondant pour la France, effectue la promotion des missions martiennes auprès du grand public, et participe à toute l'organisation de la communication de l'événement Mars Pathfinder aux USA en 1997. Il effectue depuis la promotion des missions martiennes auprès du grand public.
Auteur de «Visions de MARS» (Editions La Martinière - Tallandier)" - "A la conquête de Mars» (Editions Larousse)" - "La conquête spatiale racontée aux enfants" (La Martinière-Jeunesse) - "LUNE" (Tallandier), il est aussi co-Auteur chez Encyclopaedia Universalis (le "Grand Atlas Universalis de l'Espace" et "la Science au Présent"). Il collabore en outre à quelques grands hebdos pour des articles de vulgarisation spatiale. Il est aussi Responsable des missions automatiques au sein de la section française de la Mars Society américaine. Veuf, il est père de cinq enfants.

Olivier de Goursac

La couleur, c'est ce qui permet de différencier deux objets de formes et de structures identiques, par exemple le drapeau italien du drapeau français. C'est aussi ce qui n'est ni blanc, ni gris, ni noir. Le blanc et le noir étant les bornes de la gamme des gris neutres.
Quelquefois, la couleur est utilisée pour désigner un objet, comme dans le cas d’un tube de rouge pour parler du rouge à lèvres, par exemple. La couleur est aussi parfois confondue avec la tonalité. Par exemple dans un ton vert, il y a plusieurs couleurs vertes, plus ou moins claires ou foncées. Une couleur est unique.
Il existe deux systèmes trichromatiques (trois couleurs primaires) :
par synthèse additive, dont les couleurs primaires sont rouge, vert et bleu (RVB) ;et par synthèse soustractive, dont les couleurs primaires sont cyan, magenta et jaune (CMJ).
La couleur du physicien
La couleur, c’est aussi la sensation produite par un rayonnement physiquement défini appelé stimulus. Celui-ci pénètre dans l'œil et est capté par des millions de cônes répartis dans la rétine mais surtout concentrés dans sa partie centrale, la fovéa, siège de la vision la plus distincte.
Pour le physicien, le terme de couleur renvoie donc à la couleur spectrale, c’est-à-dire à la perception sensorielle de l’œil humain en fonction de la longueur d’onde de la lumière qu’il reçoit. Ainsi, une lumière de longueur d’onde 550 nm est perçue comme étant de couleur verte. Le spectre visible est composé des sept couleurs de l’arc-en-ciel, soit rouge, orange, jaune, vert, bleu, indigo et violet. Le vert étant la couleur à laquelle l’œil humain est le plus sensible.
 L’œil humain peut différencier près de huit millions de nuances de couleurs. Pourtant, cet organe si avancé ne donne que peu d’informations à notre cortex pour créer une image. Alors que se passe-t-il exactement lorsque nous voyons ? Unisciel et l’université de Lille 1 nous expliquent, avec le programme Kézako, le fonctionnement de ce surprenant organe. © Unisciel
La production des couleurs
C’est en interagissant (absorption, diffusion, réfraction, interférences ou diffraction) avec la matière que la lumière produit des couleurs. La couleur bleue du ciel est ainsi le résultat d'une combinaison de plusieurs de ces phénomènes.
L’absorption de lumière est l’un des principaux mécanismes qui entrent dans le jeu des couleurs dans la vie courante. En effet, la plupart des matériaux ont pour particularité d’absorber certaines longueurs d’ondes de la lumière. Si, par exemple, les carottes nous apparaissent orange, c’est qu’elles contiennent du bêtacarotène qui absorbe les longueurs d’ondes comprises entre le violet et le vert et réfléchit la partie du spectre allant du rouge au vert.
La couleur du physicien des particules
Le physicien des particules utilise le terme « couleur » pour désigner un nombre quantique attribué aux quarks et aux gluons. Ainsi, les quarks existent en trois couleurs : rouge, bleu et vert. Les hadrons, quant à eux, sont de couleur neutre, c’est-à-dire blancs. Cependant, aucun rapport ici avec une perception visuelle que nous pourrions en avoir.
La notion de charge de couleur a été introduite pour expliquer la coexistence des quarks au sein des hadrons, tout en satisfaisant le principe d’exclusion de Pauli. Aujourd’hui, la chromodynamique quantique joue un rôle important dans le modèle standard de la physique des particules.

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