Appartenant au fascinant bestiaire des &Eacute;gyptiens, cette &eacute;nigmatique t&ecirc;te de [popupdefinition id=16708]f&eacute;lin[/popupdefinition] a &eacute;t&eacute; trouv&eacute;e dans la tombe du roi. Cet objet, dor&eacute; &agrave; l'or, a la forme d'une t&ecirc;te de [popupdefinition id=8023]l&eacute;opard[/popupdefinition]. Il [popupdefinition id=10855]porte[/popupdefinition] sur son front le cartouche de Tout&acirc;nkhamon. Plusieurs autres exemplaires, tels que celui-ci, ont &eacute;t&eacute; trouv&eacute;s dans la tombe, ils servaient d'attache de fixation &agrave; la peau de b&ecirc;te que portait le pharaon lors des c&eacute;r&eacute;monies religieuses dans le cadre de son minist&egrave;re sacerdotal.&nbsp;Cette t&ecirc;te de f&eacute;lin pourrait &ecirc;tre associ&eacute;e &agrave; la puissante d&eacute;esse guerri&egrave;re [popupdefinition id=4200]Sekhmet[/popupdefinition], guide et conseill&egrave;re des pharaons lors de leurs combats, elle est aussi la d&eacute;esse de la [popupdefinition id=2707]gu&eacute;rison[/popupdefinition] et du [popupdefinition id=1015]foyer[/popupdefinition].&nbsp;&copy; ddenisen, CC by-sa 2.0

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Une tête de félin sacré

Une porte est une ouverture pratiquée dans un mur, une clôture quelconque, permettant d'entrer dans un lieu fermé ou d'en sortir. Elle peut aussi servir à circuler dans les pièces, c'est pourquoi on parle de portes intérieures et de portes extérieures. Autrefois, le nom de porte était donné à l'ouverture aménagée dans l'enceinte d'une ville pour en permettre le passage. On parle parfois de porte bâtarde quand elle est d'une taille intermédiaire. Une porte permet l'accès à un lieu fermé. Ici une porte ancienne en bois. © Sven Dirks, Wikipedia Commons, CC BY-SA 3.0Les différents types de portes d'une maisonIl existe des portes de toutes tailles, s'adaptant en général à la façade dans laquelle la porte est intégrée. On peut trouver une porte coulissante, une porte battante ou encore une porte pliante, en fonction de l'élément d'huisserie qui lui est associé. Il existe également la porte extensible, elle est fabriquée selon le principe de l'accordéon, on peut donc en ajuster l'ouverture. Une porte peut être pleine ou non, vitrée ou en bois, en PVC, en fibre de verre, en acier ou encore en aluminium.Porte pleine ou porte vitrée ?Que ce soit pour la porte d’entrée ou pour séparer cuisine et salon par exemple, la porte peut être pleine ou vitrée. Il est possible de choisir une porte d’entrée avec une partie vitrée, le plus souvent opaque pour préserver l’intimité tout en profitant de la lumière du jour. Côté sécurité, le vitrage est aujourd’hui renforcé pour résister aux impacts et la porte d'entrée pleine ou vitrée est le plus souvent blindée avec serrure multipoint pour résister aux effractions. Certaines portes d'entrée d'une maison peuvent aussi être ornementées d’un vitrage en partie haute qui s’ouvre, une option pour offrir un puits de lumière et favoriser la circulation de l’air de votre intérieur.

Porte

Foyer d'une lentille : Le foyer est un point fixe par lequel passent tous les rayons lumineux venant de l'infini.
Dans une ellipse, point particulier du demi grand axe : la somme (resp. la différence) des distances d'un point quelconque d'une ellipse (resp. d'une hyperbole) aux foyers est constante. Le Soleil occupe un foyer des ellipses décrites par les planètes autour de lui (1ere loi de Kepler).

Foyer

Sekhmet signifie "les puissants". C'est une déesse-lionne avec un corps de femme, assise sur un trône. Sa tête de lionne est couronnée d'un arc de soleil. C'est une divinité du soleil. Dans sa main gauche, elle tient le symbole d'Ankh, le symbole de la vie éternelle avec laquelle elle sauve et assure la vie. Cette déesse, symbolisant la guerre et la vengeance, représentait également la puissance du Soleil. Les égyptiens lui conféraient la faculté de faire proliférer les maladies, et lui octroyaient également le pouvoir de guérison.

Sekhmet

Disparition des symptômes d'une maladie et retour à la santé.Guérison du cancerDans le domaine du cancer, la guérison est définie de deux façons (et il s'agit là de définitions basées sur des considérations statistiques) : Rémission stable pendant un temps donné Temps après lequel le malade n'est plus exposé à un risque de cancer supérieur à la moyenne, en général cinq ans après la fin du traitement, selon le type de cancer.

Guérison

Un félin ou félidé est un mammifère carnivore digitigrade (qui marche sur ses doigts) et carnivore. Les félins sont des chasseurs qui se nourrissent de chair animale. La dentition des félins est adaptée à leur régime alimentaire : ils possèdent des dents carnassières, qui sont des molaires ou prémolaires volumineuses et puissantes. Les canines ou crocs servent à attraper et déchirer la viande.
Le plus grand des félins est le tigre.
Les membres de la famille des félins
La famille des félins comprend :
les chats comme le chat domestique, mais aussi les chats sauvages de l’espèce Felis silvestris et sur le continent américain le puma ou cougar (Felis concolor). Les chats domestiques descendraient de chats sauvages présents au Proche-Orient au Néolithique. La domestication du chat a permis à l’Homme de mieux lutter contre des animaux nuisibles (rongeurs). Il y aurait 13 millions de chats domestiques en France ;le lynx, reconnaissable au pinceau de poil caractéristique qui termine ses oreilles : le lynx roux en Amérique du nord, le caracal dans les déserts africains et asiatiques, et le lynx européen ;les « panthères », du genre Panthera, qui sont les plus grands félins avec le léopard (Panthera pardus), le jaguar (Panthera onca), le tigre (Panthera tigris) et le lion (Panthera leo). Ces animaux possèdent un os hyoïde au-dessus du larynx qui leur permet de rugir. Leurs pupilles sont rondes ;le chat serval (Leptailurus serval) ayant un corps élancé, de longues pattes et de grandes oreilles.

Félin

Léopard d’Afrique (Schlegel 1857) - Panthera pardus
Ordre : CarnivoraFamille : FelidaeGenre : PantheraTaille : 1,00 à 1,90 m (hauteur au garrot 0,50 à 0,80 m et longueur de la queue 1,00 m)Poids : 30 à 90 kgLongévité : 20 ans
Statut de conservation UICN : NT quasi menacé 
Description du léopard d'Afrique
Le léopard d’Afrique est la plus grande des sous-espèces de léopards. Son corps est long, son crâne large et ses pattes assez courtes. Le pelage un peu identique à celui du jaguar présente des rosettes sombres plus petites et plus nombreuses, donc plus denses. La couleur, la forme et la taille des rosettes varient selon la sous-espèce. La fourrure sera également plus pâle dans les populations des zones désertiques, davantage grisâtre pour celles des régions froides, et jaune orangée pour les individus des régions tropicales. Le pelage de la partie inférieure du corps est généralement plus clair. 
Léopard. © Patrick Straub
Habitat du léopard d'Afrique
Le léopard a la distribution géographique la plus large car on le retrouve également en Asie et en Indonésie sous le terme de panthère. Mais le léopard d’Afrique est principalement subsaharien. Les populations d’Afrique du Nord sont présumées éteintes. Il fréquente tous les types de milieu depuis la savane (Tanzanie, Kenya), en passant par les forêts primaires (République démocratique du Congo, Gabon, Cameroun…), la montagne (Afrique du Sud, Zimbabwe), les zones désertiques (Kalahari) et les marécages tels celui de l’Okavango (Botswana) ou du Bangweulu (Zambie). 
Léopard. © Marcel Burkhard, Creative Commons Attribution-Share Alike 2.0 Germany license
Comportement du leopard d'Afrique
Bien qu’il soit de plus petite taille que les autres grands Félins, le léopard est puissant et s’attaque occasionnellement à des proies de trois fois sa taille qu’il est capable de hisser au faîte d’un arbre. C’est un grimpeur émérite que l’on observe fréquemment au repos sur les grosses branches pendant la journée. Il est en mesure d’en descendre la tête en bas. Dans les milieux de savane, c’est un animal qui chasse au crépuscule ou à l’aube. Mais son comportement est susceptible de varier selon l’environnement. Il mène une vie solitaire hors des périodes d’accouplement. Sur le continent africain, le léopard doit cohabiter avec d’autres prédateurs tels que le lion, les lycaons et l’hyène. 
Reproduction du léopard d'Afrique
Dans les régions au climat équatorial, les accouplements peuvent avoir lieu toute l’année. L’œstrus dure environ 46 jours mais la femelle n’est en chaleur que pendant 6 à 7 jours. La gestation est d’environ trois mois, période au terme de laquelle la femelle met au monde de trois à quatre petit. Mais le taux de survie n’excède pas 50 %. Les jeunes naissent aveugles dans une tanière aménagée par la mère et ouvrent les yeux au bout de quatre à neuf jours. Ils commencent à accompagner leur mère à la chasse au bout de trois mois et sont capables de se débrouiller seuls au bout d’un an. Mais en règle générale, ils restent avec leur mère pendant deux ans. Ils atteignent la maturité sexuelle au bout de trois ans.
Léopard. © Marie-Lan Nguyen, domaine public
Régime alimentaire du léopard d'Afrique
Le léopard se nourrit principalement d’Ongulés (gazelles, antilopes) et de singes, mais il peut rajouter Reptiles, Poissons et Amphibiens au menu. C’est un chasseur opportuniste et polyvalent. Dans les régions où l’élevage exerce une forte pression sur son environnement, le félin peut s’en prendre au bétail.
Menaces sur le léopard d'Afrique
La principale menace qui pèse sur le léopard africain est la destruction de son habitat et la chasse au trophée qui est encore pratiquée dans certains pays. L’animal a été classé comme Quasi Menacé par l’UICN en 2008 car les populations sont en régression. Le félin est de plus en plus rare en dehors des espaces protégés.
Le saviez-vous ?
Le léopard est habituellement un animal farouche qui évite soigneusement les hommes. Il y a pourtant des cas extrêmes d’agressions survenus en Inde. Deux fauves qui avaient été blessés par des braconniers et qui étaient dans l’incapacité de chasser leurs proies habituelles, s’en sont pris à des villageois. Le 26 mai 1926, à Rudraprayag dans l’État de Uttarakhand, Jim Corbett abattit un léopard qui avait dévoré 125 personnes… Toujours dans le même État de l’Uttarakhand, en 1942, le même Jim Corbett tua un léopard qui sévissait à Panar dans le district de Kumaon. Il aurait tué près de 400 personnes…

Léopard

13185_une-tete-de-felin-sacre

Ces statuettes sont des figurines fun&eacute;raires. Ces chaouabtis, ou oushebtis,&nbsp;litt&eacute;ralement&nbsp;&laquo; celui qui r&eacute;pond &raquo;, se retrouvent dans la plupart des tombes &eacute;gyptiennes. Selon le statut social du d&eacute;funt, elles sont de [popupdefinition id=4126]couleurs[/popupdefinition] et de [popupdefinition id=15841]mati&egrave;res[/popupdefinition] diff&eacute;rentes, en&nbsp;[popupdefinition id=10678]fa&iuml;ence[/popupdefinition], en&nbsp;[popupdefinition id=1422]calcaire[/popupdefinition], en&nbsp;alb&acirc;tre ou en&nbsp;[popupdefinition id=4042]bois[/popupdefinition], de&nbsp;terre cuite ou en&nbsp;[popupdefinition id=3870]graphite[/popupdefinition] noir.Ces objets fun&eacute;raires accompagnent le d&eacute;funt qui emporte dans l'au-del&agrave; sa [popupdefinition id=15863]cohorte[/popupdefinition] de serviteurs, munis de&nbsp;leurs outils pour les semences ou la moisson : ils se tiennent&nbsp;pr&ecirc;ts &agrave; r&eacute;pondre &agrave; l'appel d'Osiris pour les travaux des champs. Car, m&ecirc;me dans l'autre monde, nul ne pouvait se soustraire aux corv&eacute;es et aux ordres des dieux... De son vivant, le pharaon Tout&acirc;nkhamon&nbsp;en poss&eacute;dait 416, retrouv&eacute;s dans sa tombe, dispos&eacute;s parfaitement par ordre hi&eacute;rarchique : 365 ouvriers, 36 contrema&icirc;tres et 12 surintendants pour chaque&nbsp;mois de l'ann&eacute;e.&nbsp;&copy; Dave Nakayama, CC by-sa 2.0

Les serviteurs du pharaon dans l'au-delà

Une cohorte est un groupe de personnes engagées dans une étude épidémiologique. À l’origine, une cohorte définissait un dixième d’une légion romaine.
Historiquement, une légion romaine comptait dix cohortes numérotées de I à X. © Peter Bernik, Shutterstock
Étude de cohorte
Une étude de cohorte consiste à observer au fil du temps l’apparition de certains évènements chez les participants. En général, une étude de cohorte est prospective ; cela signifie que l’observation commence avant l’arrivée de l’évènement (crise cardiaque, cancer, décès…). Une étude de cohorte permet d’analyser la fréquence de certaines pathologies dans des populations exposées ou non à un facteur de risque. 
La cohorte, un outil en épidémiologie
La cohorte vise donc à savoir s’il existe un lien entre une pathologie et un facteur donné : par exemple, elle peut permettre de déterminer si le tabagisme et le risque de cancer sont liés. 
Souvent, les cohortes sont ciblées sur un champ particulier de la médecine. Par exemple, la cohorte 3C (étude des Trois cités) porte sur le lien entre maladies cardiovasculaires et démences, la cohorte PAQUID s’intéresse au vieillissement et SUVIMAX étudie la supplémentation en vitamines et minéraux antioxydants.

Cohorte

La couleur, c'est ce qui permet de différencier deux objets de formes et de structures identiques, par exemple le drapeau italien du drapeau français. C'est aussi ce qui n'est ni blanc, ni gris, ni noir. Le blanc et le noir étant les bornes de la gamme des gris neutres.
Quelquefois, la couleur est utilisée pour désigner un objet, comme dans le cas d’un tube de rouge pour parler du rouge à lèvres, par exemple. La couleur est aussi parfois confondue avec la tonalité. Par exemple dans un ton vert, il y a plusieurs couleurs vertes, plus ou moins claires ou foncées. Une couleur est unique.
Il existe deux systèmes trichromatiques (trois couleurs primaires) :
par synthèse additive, dont les couleurs primaires sont rouge, vert et bleu (RVB) ;et par synthèse soustractive, dont les couleurs primaires sont cyan, magenta et jaune (CMJ).
La couleur du physicien
La couleur, c’est aussi la sensation produite par un rayonnement physiquement défini appelé stimulus. Celui-ci pénètre dans l'œil et est capté par des millions de cônes répartis dans la rétine mais surtout concentrés dans sa partie centrale, la fovéa, siège de la vision la plus distincte.
Pour le physicien, le terme de couleur renvoie donc à la couleur spectrale, c’est-à-dire à la perception sensorielle de l’œil humain en fonction de la longueur d’onde de la lumière qu’il reçoit. Ainsi, une lumière de longueur d’onde 550 nm est perçue comme étant de couleur verte. Le spectre visible est composé des sept couleurs de l’arc-en-ciel, soit rouge, orange, jaune, vert, bleu, indigo et violet. Le vert étant la couleur à laquelle l’œil humain est le plus sensible.
 L’œil humain peut différencier près de huit millions de nuances de couleurs. Pourtant, cet organe si avancé ne donne que peu d’informations à notre cortex pour créer une image. Alors que se passe-t-il exactement lorsque nous voyons ? Unisciel et l’université de Lille 1 nous expliquent, avec le programme Kézako, le fonctionnement de ce surprenant organe. © Unisciel
La production des couleurs
C’est en interagissant (absorption, diffusion, réfraction, interférences ou diffraction) avec la matière que la lumière produit des couleurs. La couleur bleue du ciel est ainsi le résultat d'une combinaison de plusieurs de ces phénomènes.
L’absorption de lumière est l’un des principaux mécanismes qui entrent dans le jeu des couleurs dans la vie courante. En effet, la plupart des matériaux ont pour particularité d’absorber certaines longueurs d’ondes de la lumière. Si, par exemple, les carottes nous apparaissent orange, c’est qu’elles contiennent du bêtacarotène qui absorbe les longueurs d’ondes comprises entre le violet et le vert et réfléchit la partie du spectre allant du rouge au vert.
La couleur du physicien des particules
Le physicien des particules utilise le terme « couleur » pour désigner un nombre quantique attribué aux quarks et aux gluons. Ainsi, les quarks existent en trois couleurs : rouge, bleu et vert. Les hadrons, quant à eux, sont de couleur neutre, c’est-à-dire blancs. Cependant, aucun rapport ici avec une perception visuelle que nous pourrions en avoir.
La notion de charge de couleur a été introduite pour expliquer la coexistence des quarks au sein des hadrons, tout en satisfaisant le principe d’exclusion de Pauli. Aujourd’hui, la chromodynamique quantique joue un rôle important dans le modèle standard de la physique des particules.

Couleur

On désigne par le terme de matière tout ce qui compose les corps qui nous entourent, tout ce qui a une masse et un volume. Cette définition englobe une variété de composants et de caractéristiques, donnant naissance à des catégories spécifiques qui enrichissent notre compréhension de la matière dans son ensemble.Matière organique, matière azotée, etc.Il existe différentes familles de matière, chacune apportant sa propre contribution à la diversité de notre univers physique :
La matière organique, présente dans les êtres vivants (animaux ou végétaux) ou sous forme décomposée, joue un rôle crucial dans les cycles biogéochimiques et la régulation de la vie sur Terre. Son étude est essentielle pour comprendre les processus biologiques et écologiques.
La matière azotée, issue des transformations de l'azote, constitue un élément fondamental dans la composition de nombreux composés chimiques. Son importance s'étend aux domaines de l'agriculture, de la chimie et de la biologie, où l'azote participe à des réactions vitales pour la croissance des plantes et la synthèse de molécules complexes.
Les états de la matièreDans la vie de tous les jours, nous avons affaire à trois états de la matière, chacun caractérisé par des propriétés distinctes :
L'état solide, où les particules sont étroitement liées et organisées, conférant une structure rigide à la matière.
L'état liquide, où les particules sont mobiles mais conservent une cohésion suffisante pour maintenir le volume de la substance.
L'état gazeux, où les particules sont dispersées et se déplacent librement, occupant tout l'espace disponible.
La chimie, en tant que science, explore ces états ainsi que la composition et les transformations de la matière, nous permettant de comprendre les bases moléculaires du monde qui nous entoure.Matière baryonique et non baryonique : la matière sombreAu-delà de la matière ordinaire que nous connaissons, il existe une classification fascinante :
La matière baryonique, constituée de baryons tels que le proton et le neutron, forme la matière ordinaire que nous côtoyons au quotidien. Elle compose les atomes qui forment la structure de notre réalité tangible.
La matière non baryonique, comme la mystérieuse matière sombre, suscite l'intérêt de la cosmologie. Supposée être composée de particules exotiques ne faisant pas partie de notre compréhension conventionnelle, la matière sombre joue un rôle crucial dans la formation et la structure de l'Univers.
Antimatière et antiparticulesUn aspect intrigant de la matière est l'existence de son opposé :L'antimatière, rare en quantité, est constituée d'antiparticules présentant des charges opposées à celles des particules ordinaires. Si les antiparticules entrent en contact avec des particules de matière, elles peuvent s'annihiler mutuellement. Cette dualité entre matière et antimatière soulève des questions fondamentales sur la nature symétrique de l'univers et les mystères de l'origine cosmique.

Matière

La faïence est un matériau à base d'argile et de terre cuite, servant à réaliser des objets et des décors travaillés.Le plus souvent de couleur ocre, la faïence est une céramique fragile qui n'est désignée par ce terme qu'une fois recouverte d'une glaçure à base d'étain qui lui donne son aspect lisse et brillant. Une fois la glaçure fixée, on peut y apposer des couleurs grâce à la peinture, cette dernière restant fixée sur le vernis. La faïence nécessite deux cuissons : l'une pour la terre, puis une seconde, à une température inférieure, pour la glaçure. Ce n'est qu'ainsi que la pièce devient brillante, mais cela a pour effet de la fragiliser. Le décor permet au potier de se faire peintre, mais aujourd'hui, à l'état industriel, la faïence est le plus souvent imprimée grâce à un système de décalcomanie. Cela permet à la pièce de conserver son éclat plus longtemps, et d'être plus résistante aux coups ou aux rayures.Processus de fabricationLa réalisation de la faïence est un art qui combine à la fois tradition et innovation. Le processus commence par le choix de l’argile, qui est ensuite purifiée et malaxée pour en obtenir une pâte homogène. Après la mise en forme de l’objet, celui-ci subit une première cuisson, appelée "biscuit". C'est à ce stade que l'objet prend sa forme définitive mais reste encore poreux et fragile.La seconde étape consiste à appliquer la glaçure. Mélange complexe à base de silice, d’alcali et d’oxyde métallique, ce revêtement non seulement protège l'objet mais lui confère également son aspect brillant après cuisson à basse température. La glaçure agit comme un verre liquide qui, en fusionnant à la surface, crée la finition lisse et vitrifiée caractéristique de la faïence.Applications et utilisationsLa faïence, de par sa beauté et sa diversité, trouve sa place dans de nombreux contextes. Originellement utilisée pour la fabrication de vaisselle et d’autres objets domestiques, la faïence se distingue aujourd’hui dans le domaine de la décoration d'intérieur.
 Carrelage mural : En raison de sa surface lisse et de sa vaste gamme de designs, la faïence est souvent choisie comme revêtement mural dans les cuisines et les salles de bain.
 Art de la table : Les plats, vases, et autres éléments décoratifs en faïence apportent une touche d’élégance et de couleur aux intérieurs modernes.
 Pièces d’art : La technique traditionnelle de la faïence est toujours très prisée par les artistes contemporains, qui explorent ses potentialités esthétiques dans l’art moderne.
Ces utilisations montrent non seulement la flexibilité de la faïence comme matériau mais aussi son adaptation continue à l’esthétique contemporaine et aux besoins fonctionnels actuels. Chaque pièce de faïence, qu'elle soit utilitaire ou décorative, porte en elle un morceau d'histoire et une part de l'artisanat humain.

Faïence

Le calcaire est une roche sédimentaire carbonatée, composée d'au moins 50 % de calcite CaCO3 (ou carbonate de calcium) et pouvant contenir de la dolomite, de l'aragonite. Les calcaires se forment soit par accumulation de fragments de squelettes ou de coquilles calcaires (coraux, bivalves, foraminifères...), soit par précipitation chimique ou biochimique de carbonates de calcium. 
Les roches calcaires sont classées en fonction :
des fossiles contenus : calcaire coquiller, calcaire à ammonites…de la structure de la roche : par exemple, les calcaires oolithiques sont formés de petites sphères,de leur grain : le calcaire lithographique utilisé en imprimerie possède un grain très fin, la craie est elle aussi un calcaire au grain très fin,des impuretés présentes : les calcaires purs contiennent une proportion élevée de calcite, tandis que les calcaires siliceux contiennent plus de silice et les calcaires dolomitiques plus de dolomite ; la marne est un mélange de calcaire et d’argile,de leur lieu de dépôt : calcaire marin, lacustre ou récifal.
Roches calcaires et reliefs karstiques
La calcite du calcaire est attaquée par des molécules acides présentes dans l’eau. L’érosion du calcaire conduit à la formation de roches et de structures caractéristiques :
dans les calcaires siliceux se forment des meulières, des roches très résistantes utilisées dans les meules à grain. Le dépôt de silice dans des roches calcaires peut conduire à la formation de silex ; ces roches ont été utilisées par les hommes préhistoriques pour la fabrication d’outils comme les bifaces,dans les calcaires purs et résistants se forment des structures typiques du milieu karstique. Par exemple, la doline est une dépression circulaire à fond plat que l’on trouve dans les Causses ; un aven est un entonnoir caractéristique d’un gouffre ; un canyon décrit une vallée très encaissée ; une vallée sèche a été construite par un cours d’eau disparu,le relief karstique présente aussi souvent des structures souterraines : siphons, galeries, grottes, stalactites, stalagmites, rivières et lacs souterrains…

Calcaire

Nom masculin : tissu complexe formé de cellules disposées longitudinalement (cellules conductrices, fibres) et transversalement (rayons). Le bois constitue la plus grande partie du tronc des plantes ligneuses.

Bois

Le graphite est un minéral noir friable utilisé depuis des siècles pour l'écriture (encre de Chine, crayon à mine).

La structure du graphite est constituée d'un empilement de plans, chacun étant constitué d'un pavage régulier d'hexagones en nid d'abeilles.

Chaque atome de carbone est relié dans le plan des hexagones à trois atomes voisins par des liaisons faisant entre elles des angles de 120°. Ces liaisons planes sont fortes et caractérisées par une distance entre atomes de 0,142 nm.

Les atomes sont au contraire faiblement reliés aux atomes des plans voisins, et la distance entre plans d'hexagones est de 0,34 nm.

Cette structure a une densité d'un tiers plus faible que celle du diamant et définit le graphite comme un solide très anisotrope, quasi-bidimensionnel car les plans faiblement reliés glissent facilement les uns par rapport aux autres.

Propriétés et utilisations du graphite
Le graphite est un conducteur de l'électricité, ce qui en fait un matériau de choix pour des applications comme les batteries au lithium-ion et les électrodes. Sa structure particulière permet également une excellente lubrification en raison du faible frottement entre les couches de carbone. Cela le rend idéal pour les applications nécessitant des propriétés de lubrification comme dans les moteurs ou les machines.

Applications technologiques et industrielles
En plus de son utilisation traditionnelle dans les crayons, le graphite est crucial dans la production d'acier comme un agent de carburisation pour renforcer le métal. Il joue également un rôle vital dans les freins à disque pour avions, où il améliore la résistance à la chaleur. Avec l'avènement de la technologie moderne, le graphite est également utilisé dans les écrans tactiles, les panneaux solaires et comme un substrat pour la croissance de semiconducteurs.

Le graphite dans la recherche avancée
La recherche scientifique profite également des propriétés uniques du graphite. Par exemple, il est utilisé dans les expériences de physique pour étudier les propriétés des électrons dans des structures bi-dimensionnelles. Sa capacité à former des composés intercalaires, où des molécules ou atomes sont insérés entre les plans de carbone, ouvre de nouvelles voies pour la création de matériaux avec des propriétés électriques, thermiques ou chimiques modifiées.

Impact environnemental
Le graphite est considéré comme relativement respectueux de l'environnement car il est naturel, abondant, non-toxique, et recyclable. Toutefois, son extraction peut être associée à des problèmes environnementaux significatifs tels que la dégradation des habitats, la pollution de l'air et de l'eau. Des efforts sont donc nécessaires pour réduire les impacts de l'extraction du graphite et promouvoir des pratiques minières plus durables.

Pour plus d'informations sur les propriétés physiques et chimiques du graphite, des études récentes sont disponibles sur des plateformes comme arXiv.org, où les chercheurs partagent leurs dernières découvertes.

Sources scientifiques pour approfondir vos recherches sur le graphite :

 Recherche sur les propriétés électroniques du graphite
 Exploration des matériaux à base de graphite

Graphite

13187_les-serviteurs-du-pharaon-dans-l-au-dela

Taill&eacute; d'un seul boc de tr&egrave;s pur alb&acirc;tre, ce coffre abrite les vases &agrave; canopes. Il se divise en quatre compartiments surmont&eacute;s de couvercles &agrave; l'effigie royale, &eacute;galement en alb&acirc;tre. Les personnages portent le n&eacute;m&egrave;s surmont&eacute; du cobra Ur&aelig;us, et du faucon Nekhbet. Les traits des visages sont soulign&eacute;s de noir et les l&egrave;vres sont teint&eacute;es de rouge. &Agrave; l'int&eacute;rieur des vases &agrave; canopes, quatre petits sarcophages momiformes en or massif conservent les visc&egrave;res du pharaon Tout&acirc;nkhamon&nbsp;([popupdefinition id=6966]foie[/popupdefinition], [popupdefinition id=7024]poumons[/popupdefinition], [popupdefinition id=6857]estomac[/popupdefinition], intestins). Ces compartiments sont dispos&eacute;s selon un ordonnancement pr&eacute;cis : &agrave; chaque un organe correspond un point cardinal, un dieu protecteur et une d&eacute;esse pleureuse : Isis, Nephthyts, Neith, Selkys.Aux angles du coffre, les d&eacute;esses &eacute;tendent les bras pour prot&eacute;ger les visc&egrave;res royaux. Plus tard, les &Eacute;gyptiens pr&eacute;f&egrave;reront utiliser quatre vases canopes aux figures des quatre fils d'Horus : Amset l'homme, H&acirc;pi le babouin, Douamoutef le [popupdefinition id=12694]chacal[/popupdefinition], Qebehsenouf le faucon.&nbsp;Le [popupdefinition id=3125]cerveau[/popupdefinition], quant &agrave; lui, &eacute;tait extrait par les [popupdefinition id=14733]narines[/popupdefinition] et le cou. Il n'&eacute;tait pas conserv&eacute;.&nbsp;&copy; Claude Valette, CC by-nc 2.0

Le vase à canopes

L’estomac fait partie du système digestif.Fonction de l'estomacL’estomac a pour fonction de digérer les aliments mastiqués dans la bouche et apportés par l’œsophage. La digestion dans l’estomac dure entre 3 et 7 heures grâce à la présence d’enzymes digestives (des protéases comme la pepsine) et de l’acide chlorhydrique contenus dans les sucs gastriques. La diminution du pH facilite l’action des enzymes (pH entre 1,5 la nuit et jusqu’à 5 avant la digestion). La nourriture est malaxée grâce aux mouvements musculaires assurés par les parois de l’estomac. Les aliments forment progressivement une pâte appelée chyme qui se déverse dans le duodénum, le prochain organe du tube digestif.Anatomie : où est localisé l'estomac ?L'estomac est un organe situé dans la cavité abdominale, dans la partie supérieure de l'abdomen, juste sous le diaphragme. Il se trouve du côté gauche de l'abdomen, légèrement vers le centre. Cet organe en forme de poche a la fonction de recevoir les aliments provenant de l'œsophage, où ils sont ensuite partiellement digérés par les sucs gastriques. L'estomac joue un rôle crucial dans le processus de digestion en décomposant les aliments et en les transformant en une substance semi-liquide appelée chyme, qui est ensuite libérée dans l'intestin grêle pour une digestion plus poussée.Structure de l'estomacL’estomac prend une forme de J, situé entre l’œsophage et le duodénum. Il forme une poche de 25 centimètres de long, d’une contenance de 0,5 litres à vide, mais qui peut contenir jusqu’à 4 litres. L’estomac peut être divisé en trois régions, le fundus, le corps et l’antre.Il possède une sorte de sphincter fonctionnel (le repli du cardia) à son côté supérieur qui empêche les reflux acides vers l’œsophage et un sphincter du pylore du côté inférieur.La paroi est constituée de trois couches de puissants muscles : circulaires, obliques et longitudinaux. L’intérieur de l’estomac est tapissé d’un épais mucus de 1,5 millimètre d’épaisseur qui le protège contre une autodigestion. La muqueuse interne est plissée et contient des glandes sécrétrices, les puits gastriques. Ce sont eux qui sécrètent du pepsinogène qui sera converti en pepsine par l’action de l’acide chlorhydrique également sécrété. 

Estomac

Le terme « narine » désigne chacun des deux orifices extérieurs du nez, bordés par les ailes du nez. Chez les vertébrés, les narines sont généralement des organes pairs situés au-dessus de la bouche. Elles sont impliquées dans les systèmes respiratoire et olfactif.
Fonctionnement des narines
L’air entre dans la cavité nasale en passant par les narines. Grâce à la présence de poils et de mucus, les narines permettent une filtration de l’air inspiré pour le débarrasser des particules étrangères. Les narines jouent aussi un rôle d’échangeur thermique : l'air inspiré est réchauffé et, en même temps, la fraîcheur de l'air peut être récupérée par le circuit sanguin pour rafraîchir le cerveau.
Les narines chez les mammifères
Chez le cheval, les narines sont appelées naseaux. Chez l'éléphant, le nez et la lèvre supérieure forment la trompe. L'animal peut dresser sa trompe en l'air afin de détecter des odeurs. Chez les cétacés, la narine forme l’évent, simple ou double, qui s'ouvre généralement au sommet de la tête.

Narine

Le cerveau appartient au système nerveux central.
Fonction du cerveau
Situé dans la boîte crânienne, le cerveau est le siège des fonctions supérieures (fonctions cognitives, sens, réponses nerveuses) et végétatives. C’est donc un organe essentiel qui assure la régulation de toutes les fonctions vitales. Le cerveau reçoit des informations provenant de l’ensemble du corps humain via des nerfs afférents, les intègre et les analyse puis répond en émettant de nouveaux signaux qui redescendent vers les parties du corps concernées par les nerfs efférents.
Le cerveau est ainsi responsable du rythme cardiaque et respiratoire, des fonctions qui pour nous sont inconscientes. Mais il est aussi impliqué dans la prise de décision, dans la motricité du corps, le comportement, la mémoire, la conscience…
Le cerveau a été cartographié et certaines zones semblent associées à des fonctions précises (aire de la parole…), alors que les fonctions plus complexes (la mémoire, la conscience) semblent être beaucoup plus réparties.
De quoi est composé notre cerveau ? Quel est le rôle de la matière grise, encore appelée "cortex" ? De quoi est-elle constituée ? Comment les neurones gèrent-ils et traitent-ils les informations ? Qu’est-ce que la matière blanche ? Toutes les explications en vidéo. Une animation coréalisée avec L’Esprit Sorcier. © CEA Recherche
Structure du cerveau
Le cerveau humain comporte environ 100 milliards de neurones et possède un poids moyen de 1.300 à 1.400 grammes. Il contient également des cellules gliales et des astrocytes. Il baigne dans le liquide céphalo-rachidien.
Le cerveau est composé de deux hémisphères, droit et gauche, connectés entre eux par le corps calleux composé de substance blanche (axones gainés de myéline). Divisés en lobes, les hémisphères sont les parties les plus développées chez les mammifères.
Le cerveau est divisé en plusieurs parties, en fonction de leur origine embryonnaire :
le télencéphale, la partie supérieure, composé du cortex cérébral et du striatum ;le diencéphale qui contient le thalamus et l’hypothalamus (glandes endocrines) ;le mésencéphale ;le cervelet (coordination motrice et apprentissage des mouvements routiniers) ;le pont de Varole ;le bulbe rachidien (contrôle des mouvements réflexes et végétatifs : respiration, modération du rythme cardiaque, régulation des muscles lisses artériels) qui communique avec la moelle épinière.
Le cortex cérébral constitue la couche externe du cerveau et comporte la majorité des neurones (substance grise). Les méninges sont des enveloppes protectrices (dure-mère, arachnoïde et pie-mère) entre le cortex et l’os du crâne. Le cortex cérébral est subdivisé en cinq lobes cérébraux en fonction de leur position : 
le lobe frontal (motricité, mémoire, raisonnement) ;le lobe pariétal (toucher) ;le lobe temporal (ouïe, odorât) ;le lobe occipital (vision) ;le lobe limbique.
Pour tout savoir sur le cerveau, consultez notre dossier « Voyage dans le cerveau ».

Cerveau

Le foie est un organe qui fait partie du système digestif. Il possède trois principales fonctions : 
stockage ;épuration ;synthèse.
Fonctions du foie
Stockage. Le foie reçoit une grande partie du sang provenant directement du système digestif. Il est capable de stocker les nutriments apportés par la digestion et de les transformer en molécules plus complexes. Il participe au métabolisme des glucides et des lipides. Il peut donc transformer les glucides en glycogène et le stocker, pour finalement libérer progressivement du glucose dans le sang, en fonction des besoins de l’organisme. Il est le seul organe à la fois hypoglycémiant et hyperglycémiant. Les acides gras aussi sont transformés en molécules lipidiques complexes (triglycérides) afin de les stocker dans les adipocytes (cellules graisseuses). Il synthétise ou dégrade le cholestérol qui est un précurseur d’hormone et participe à la construction des membranes des cellules. Le foie est aussi capable de stocker des vitamines liposolubles.Épuration. Le foie est également l’usine de recyclage de l’organisme : il est en charge de détoxifier le corps, en métabolisant l’alcool, les drogues, les médicaments…Synthèse. Le foie synthétise la bile. Celle-ci est transportée via des canaux biliaires vers la vésicule biliaire, où elle est stockée. La couleur jaune de la bile provient de la bilirubine, produit de dégradation des globules rouges. C’est son relargage dans les selles qui leur donne leur couleur. Le foie synthétise aussi de nombreuses protéines impliquées notamment dans la coagulation du sang (fibrinogène).
Structure du foie
Il pèse en moyenne 1,5 kilogramme et constitue 2 % de la masse corporelle, il représente l’organe le plus grand du corps humain. Il est constitué de deux parties, le lobe gauche (1/3 du volume) et le lobe droit (2/3 du volume), séparés par le ligament falciforme.
Le foie est très vascularisé, principalement par l’artère hépatique (apport d’oxygène) et par la veine porte (apport de nutriments de l’intestin). Le retour veineux est assuré par les veines hépatiques.
Le foie est constitué à 80 % d’hépatocytes, mais d’autres types cellulaires sont également présents (cellules des canaux biliaires, endothéliales, cellules immunitaires…). Les cellules hépatiques sont regroupées en lobules hépatiques, eux-mêmes assemblés grâce à du tissu conjonctif.

Foie

Le chacal est le nom vernaculaire donné à différentes espèces de petits canidés que l'on rencontre principalement en Afrique et en Asie. S'il lui arrive de chasser en meute, il est généralement solitaire et opportuniste. Il allie la rapidité du chien à l'agilité du chat. Le chacal se nourrit de charognes, de fruits et de petites proies tels que des rongeurs, des insectes, des lézards... Il peut se déplacer plusieurs jours sans boire ni se nourrir.
Chacal rodant dans le cratère du Ngorongoro. © Vincenzo Gianferrari Pini, CC BY-SA 2.5
C'est un animal pour qui la communication orale est très importante, et plus ou moins variée selon les espèces. Le chacal glapit, hurle, renifle ou aboie même.
 Chacal disputant sa proie aux vautours. © kibuyu, CC BY-NC-SA 2.0
La taille moyenne du chacal avoisine les 80 cm, pour 40 à 50 cm de hauteur au garrot. La queue n'est pas très longue et frôle les 25cm. Le poids moyen oscille entre 7 et 14 kg selon que ce soit une femelle ou un mâle. C'est un animal rapide à la course qui peut atteindre 45km/h. La femelle met au monde des portées de 4 petits au terme d'une gestation d'environ 2 mois. 
 Chacal dans le parc national Pench en Inde. © Tarique Sani, CC BY-NC-SA 2.0
Il existe différentes espèces de chacals et de nombreuses sous-espèces. Les principales sont :

Canis aureus (chacal doré) que l'on trouve dans le nord de l'Afrique mais il est apparu également dans le sud de l'Europe (en Hongrie et même en Suisse où il aurait été aperçu à l'automne 2011), en Birmanie et en Inde. Il en existe 13 sous-espèces :
 Canis aureus algirensis, Canis aureus anthus, Canis aureus aureus, Canis aureus bea, Canis aureus cruesemanni, Canis aureus ecsendensis, Canis aureus indicus, Canis aureus lupaster, Canis aureus moreotica, Canis aureus naria, Canis aureus riparius, Canis aureus soudanicus, Canis aureus syriacus.
Canis adustus (chacal à flancs rayés) qui vit en Afrique centrale et méridionale, et dont il existe 6 sous-espèces :
 Canis adustus adustus, Canis adustus bweha, Canis adustus grayi, Canis adustus kaffensis, Canis adustus lateralis, Canis adustus notatus. 
Canis mesomelas (chacal à chabraque) qui hante les rrégions désertiques de l'est et du sud de l'Afrique,Canis simensis (chacal de Simiens ou loup d'Abyssinie) dont il existe moins de 500 individus en Ethiopie,Canis thous (chacal crabier) d’Afrique centraleCanis latéralis (chacal strié) que l'on aperçoit dans le sud de l'Afrique;Canis anthus (chacal du Sénégal) que l'on observe en Afrique de l'ouest 
A découvrir sur Futura-Sciences :
Chacal à chabraque,Chacal doré.

Chacal

Les poumons appartiennent au système respiratoire.
Fonctions du poumon
Les deux poumons ont pour rôle de réaliser les échanges gazeux entre le corps humain et l’air ambiant. Ces échanges ont lieu au niveau des alvéoles, où le sang est alors enrichi en oxygène et appauvri en dioxyde de carbone. C’est la différence de pression de CO2 et d’O2 entre l’alvéole et le capillaire qui induit l’échange, réalisé en 0,75 seconde.
Le sang riche en dioxyde de carbone est apporté par l’artère pulmonaire directement depuis le ventricule droit du cœur. Pour assurer l’oxygénation des tissus pulmonaires, des artères bronchiques apportent du sang riche en oxygène.
L’inspiration est assurée par les muscles intercostaux et le diaphragme. La dépression en résultant produit un appel d’air qui rempli les poumons. L’expiration est un phénomène passif, consécutif au relâchement musculaire, même s’il est possible de forcer l’expiration grâce aux muscles abdominaux et intercostaux.
La régulation du rythme de la respiration est un phénomène inconscient, assuré par le système nerveux en fonction de la concentration en CO2 mesurée par des chémorécepteurs. Alors qu’au repos, environ 4 litres d’air et 5 litres de sang sont traités par minute, ces chiffres peuvent monter jusqu’à 160 litres d’air et 30 litres de sang lors d’un effort intense.
Les voies aériennes supérieures (larynx, pharynx) jouent à la fois le rôle de chauffage (pour amener de l’air à 37°C au niveau des poumons) et de filtre pour éliminer bactéries et poussières, car les poumons sont stériles.
Les poumons participent aussi à la régulation du métabolisme acido-basique et à la filtration du sang pour éliminer de petits caillots.
Structure du poumon
Chez l’homme, les poumons sont au nombre de deux, un gauche et un droit, reliés aux voies aériennes supérieures par la trachée. Le poumon droit est séparé en trois lobes (supérieur, moyen et inférieur), alors que le poumon gauche ne possède que deux lobes (supérieur et inférieur). Il est aussi plus petit, laissant de la place au cœur.
La trachée se sépare en deux bronches, chacune se dirigeant vers un poumon. Les bronches se divisent successivement et de nombreuses fois, formant des bronchioles et finalement des conduits alvéolaires jusqu’aux alvéoles. Les alvéoles sont constituées de pneumocytes et de macrophages, pour une épaisseur de 0,2 micromètres. La surface totale des échanges gazeux est de 130 mètres carrés.

Poumon

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En [popupdefinition id=4042]bois[/popupdefinition], recouvert de feuilles d'or de trois millim&egrave;tres et incrust&eacute; de [popupdefinition id=1578]pierres pr&eacute;cieuses[/popupdefinition], de p&acirc;tes de verre et de [popupdefinition id=10678]fa&iuml;ence[/popupdefinition], le tr&ocirc;ne est soutenu par des pieds en forme de pattes de [popupdefinition id=8017]lion[/popupdefinition] se prolongeant par une t&ecirc;te de [popupdefinition id=16708]f&eacute;lin[/popupdefinition]. Chacun des deux accoudoirs est form&eacute; par une aile d&eacute;ploy&eacute;e de faucon termin&eacute;e par une t&ecirc;te de cobra, l'un portant la couronne de Haute-&Eacute;gypte, et l'autre, celle de Basse-&Eacute;gypte. Des feuilles d'[popupdefinition id=14862]argent[/popupdefinition] ont &eacute;t&eacute; appliqu&eacute;es sur les habits des souverains. Les deux personnages ne portent qu'une sandale chacun&nbsp;; un surprenant d&eacute;tail, sujet &agrave; des multiples interpr&eacute;tations. Au-dessus du couple royal, le disque solaire attribu&eacute; au dieu Aton, propage ses rayons termin&eacute;s par de petites mains.Le dossier du si&egrave;ge montre une sc&egrave;ne intimiste de la vie quotidienne&nbsp;du jeune roi et de son &eacute;pouse. Ankh&eacute;senamon [popupdefinition id=10855]porte[/popupdefinition] une coiffe &agrave; plumes et couvre d'onguent le bras de son &eacute;poux coiff&eacute; de la perruque nubienne.Le d&eacute;cor est propre &agrave; l'esth&eacute;tique du [popupdefinition id=14968]style[/popupdefinition] amarnien, caract&eacute;ris&eacute; par la pr&eacute;sence de fleurs, d'animaux, d'oiseaux et des personnages &agrave; la bouche charnue et des formes allong&eacute;es. Cette sc&egrave;ne centrale fait clairement r&eacute;f&eacute;rence au culte monoth&eacute;iste du dieu Aton (rayons du [popupdefinition id=3727]soleil[/popupdefinition]), que le p&egrave;re, Akhenaton, avait instaur&eacute;. C'est donc ici le si&egrave;ge de l'enfant-roi. Cependant, en acc&eacute;dant au tr&ocirc;ne, Tout&acirc;nkhamon, initialement baptis&eacute; Toutankh-aton, restaure le polyth&eacute;isme du culte d'Amon. Il semblerait qu'il ne manquait aucune occasion d'honorer les divinit&eacute;s&nbsp;; sur la porte de sa tombe, les &eacute;critures ont r&eacute;v&eacute;l&eacute; que le roi &laquo;&nbsp;a pass&eacute; sa vie &agrave; fa&ccedil;onner des images des dieux&nbsp;&raquo;.&nbsp;&copy; Claude Valette CC by-nc 2.0

Le trône du pharaon enfant

Etoile centrale du système solaire. 
Le Soleil est l'étoile la plus proche de la Terre, dont elle est distante d'environ 150 millions de kilomètres. Le Soleil est situé à 8,5 kparsecs du centre de la Voie lactée. Dans la classification des étoiles, le soleil est une étoile de type G2.
La masse du Soleil représente la majeure partie de la masse du système solaire. Elle est utilisée comme unité de masse pour les étoiles. L'énergie solaire, d'une importance capitale pour la Terre et notamment pour la vie, est produite par les réactions nucléaires qui se déroulent au coeur du Soleil. Agé d'environ 5 milliards d'années, le Soleil continuera à briller, avec une luminosité augmentant lentement, pendant une durée équivalente, avant d'évoluer en géante rouge et finalement de mourir.
Le mouvement apparent du Soleil par rapport à la Terre donne lieu aux saisons, dues à l'inclinaison du plan de l'écliptique par rapport à celui de l'équateur terrestre. 
La rotation de 27 jours du Soleil autour de lui-même a été découverte par Galilée en 1611. 
On distingue dans le Soleil diverses couches parmi lesquelles le noyau ou coeur, la zone radiative, la zone de convection, la photosphère (qui émet la majeure partie de la lumière solaire), la chromosphère et sa partie extérieure, la couronne. La densité décroît avec l'altitude, du noyau vers l'atmosphère. La température régnant dans le noyau est de l'ordre de 15 millions de kelvins. Elle décroît dans les zones radiatives et convectives. Dans la photosphère, qui constitue la surface visible du Soleil, elle est de l'ordre de 5800 K en moyenne. Dans les plus basses couches de la chromosphère, la température décroît avec l'altitude jusqu'à environ 4500 K, avant de croître à nouveau, surtout dans la zone de transition, où cette croissance est très forte sur une épaisseur réduite. La température de la couronne atteint des températures de l'ordre de 106 K. Cette température extrêmement élevée n'est pas encore totalement expliquée. 
L'atmosphère solaire est un milieu complexe constitué de plasma soumis à un champ magnétique intense, siège d'éruptions solaires et qui émet le vent solaire. Les taches solaires, qui apparaissent sombres à cause de leur température plus basse sont, comme la couronne, des radiosources. L'activité solaire liée à ces phénomènes varie de manière cyclique.
Récemment, l'héliosismologie a permis de mieux appréhender la structure interne du Soleil. La couche convective interne n'est connue que par les ondes étudiées dans cette discipline et par l'étude des neutrinos solaires, produits au cours des réactions nucléaires se déroulant dans le coeur. Le déficit des neutrinos solaires observés par rapport à ceux attendus est l'une des interrogations de l'astrophysique solaire. 
L'observation du spectre solaire s'effectue grâce à des spectrohéliographes. Ce spectre comprend des raies, connues depuis Fraunhofer (1814), qui signalent la présence d'hydrogène et d'hélium principalement et d'une soixantaine d'autres éléments. Il comprend également des bandes qui trahissent la présence de molécules dans l'atmosphère solaire.

Soleil

Lion d’Afrique (Linnaeus 1758) - Panthera leo
Ordre : CarnivoraFamille : FelidaeSous famille : PantherinaeGenre : PantheraTaille : 1,40 à 2 ,10 m (hauteur au garrot 1,10 à 1,50m et longueur de la queue 0,90 m)Poids : 120 à 250 kgLongévité : 7 à 12 ans (pour le mâle) – 14 à 20 ans (pour la femelle)
Statut de conservation UICN : VU vulnérable
Description du lion d'Afrique
Le lion est probablement l’un des Félins les plus connus avec le tigre. Le mâle se distingue par son abondante crinière qui lui valu d’être appelé le « roi des animaux ». Le corps de l’animal est long et trapu, et repose sur des pattes épaisses et puissantes. Le pelage assez court, est ordinairement couleur sable, chamoisé, jaunâtre ou ocre. Le dessous est plus clair, presque blanc chez la femelle. La tête, large, est ornée d’oreilles rondes au revers noir. Chez les mâles la crinière est d’une teinte plus soutenue : brun foncé, fauve ou noire. Une crinière longue et foncée est signe de bonne santé et de puissance au combat. Il semblerait que la taille de la crinière dépende étroitement de la nutrition et du statut hormonal du félin. La queue se termine par un long pinceau noir. Comme chez les tigres, certains spécimens atteints de leucistisme arborent un pelage blanchâtre. 
Couple de lions. © Robek, Creative Commons Attribution 2.5 Generic license
Habitat du lion d'Afrique
Dans les temps historiques, le lion a évolué sur le plus vaste territoire jamais donné pour un Félin. Il vivait sur la presque totalité du continent africain depuis le massif de l’Atlas jusqu’à la Province du Cap, de l’Europe du Sud, du Proche et du Moyen Orient, jusqu’à l’Inde. De nos jours, on ne le trouve plus qu’en Afrique subsaharienne et dans la réserve de Gir, dans l’état du Gujarat en Inde. Le félin fréquente principalement les savanes (Kenya, Tanzanie…), mais occupe également les forêts sèches et les zones semi-arides. On pensait qu’il ne pouvait survivre dans les déserts, mais il existe une population dans celui du Namib. Il est totalement absent des zones de forêts tropicales.
Comportement du lion d'Afrique
À l’inverse des autres fauves qui sont solitaires hors des périodes de reproduction, le lion vit en groupes constituant des unités sociales permanentes. Ces bandes sont constituées d’un mâle dominant, de plusieurs femelles apparentées entre elles et de jeunes mâles. Les fauves communiquent entre eux à l’aide de sons qui vont du ronronnement au rugissement et à l’aide d’attitudes corporelles qui déterminent l’humeur, de l’affection à la colère. 
Le lion consacre le plus clair de son temps à l’inactivité et ne chasse qu’à l’obscurité ou aux heures fraîches du matin. La grande majorité des prises sont assurées par les lionnes. En effet, les mâles étant plus lourds et moins rapides, s’avèrent moins efficaces. Les traques se pratiquent à l’affût lorsqu’un félin chasse seul, et par encerclement quand elles agissent en groupe. Le mâle ne participe que pour les proies les plus imposantes : buffles, éléphants pré-adultes… Habituellement leur rôle est d’assurer la protection de la troupe des autres lions. La puissance musculaire des fauves est impressionnante. Pour rattraper sa proie, une lionne est capable de faire des bonds de près de 12 mètres de longueur et 4 mètres en hauteur.
Une lionne. © S Taheri, GNU Free Documentation License, Version1.2
Reproduction du lion d'Afrique
Il n’y a pas de saison de reproduction à proprement parler. Le mâle s’assure de la fécondité d’une femelle en utilisant son organe voméro-nasal placé sur le palais, sous la surface inférieure du nez qui lui permet de repérer les phéromones. Pour cela il relève les lèvres supérieures et ouvre la gueule. Ce comportement est appelé flehmen. L’œstrus de la femelle ne durant que quatre jours, les animaux s’accouplent parfois jusqu’à cinquante fois par jour. Seul le mâle dominant peut se reproduire. Après une gestation d’environ quatre mois, la lionne met bas de un à quatre lionceaux qui naissent aveugles. 
Pendant les six premières semaines ils sont allaités par leur mère qui les garde à l’abri dans une cache, à l’écart des autres membres du groupe. Le danger est constant car les petits peuvent être exposés aux attaques d’hyènes lorsque la mère s’absente pour chasser. Un peu plus tard, la lionne amène ses petits au sein du groupe qui, généralement les accepte sans difficultés. À partir de ce moment là, les lionceaux ne tètent plus seulement leur propre mère, mais également les autres femelles. Leur éducation incombe de ce fait à l’ensemble du groupe. Les jeunes sont sevrés au bout de six mois et restent auprès de leur mère pendant encore deux ans. Les animaux atteignent leur maturité sexuelle entre trois et quatre ans.
Lionne et lionceau. © David Dennis, Creative Commons Attribution-Share Alike2.0 Generic license
Régime alimentaire du lion d'Afrique
Le régime du lion est essentiellement carné. Ses proies principales sont les Bovidés de grande taille (élands, cobe, gnous, bubales, koudous…), mais il chasse également les buffles, les zèbres, les girafes, les phacochères et occasionnellement les éléphants et les hippopotames pré-adultes et même les crocodiles. Pendant les migrations saisonnières des grands Mammifères, lorsque les proies habituelles viennent à manquer, le félin se rabat sur des herbivores plus petits et plus difficiles à capturer : impalas, damalisques, gazelles et autres antilopes naines. Sur son territoire, le lion est en compétition avec d’autres prédateurs tels que l’hyène tachetée. Leurs relations sont uniques par leur complexité et leur intensité. Mais la concurrence existe aussi avec le guépard (à qui il dispute les proies et sur qui il exerce une forte prédation en tuant les petits), le léopard et même le crocodile du Nil.
Lion et sa proie. © Luca Galuzzi, Creative Commons Attribution-Share Alike 2.5 Generic license 
Menaces sur le lion d'Afrique
Les principales causes du déclin des lions sont la chasse qui a été menée contre lui depuis l’Antiquité, la réduction de son habitat traditionnel transformé en cultures et la raréfaction du gibier. La dispersion des zones où les lions évoluent entraîne également une perte de la diversité génétique. Au cours des vingt dernières années, l’effectif a chuté de 30 à 50 %. Il ne resterait que 30.000 individus encore en liberté et en Afrique, le félin a disparu sur plus de 80 % de son ancien territoire (Afrique, Europe du Sud, Proche et Moyen Orient). Il n’est classé qu’en Annexe II de la CITES qui réglemente le commerce international des animaux sauvages.
Le saviez-vous ?
Le lion a toujours été considéré comme un animal fort et courageux, auquel de nombreux hommes ont associé leur nom (Richard Cœur de Lion, le général Massoud surnommé Lion du Panshir, l’empereur Hailé Sélassié appelé le Lion Conquérant de la Tribu de Juda…), et a joué un rôle important en mythologie et en héraldique. Bien qu’il ne fût présent que dans la péninsule indienne, il est représenté en Chine et une danse traditionnelle lui est dédiée pour le Nouvel An chinois afin de faire fuir les démons et porter chance. Mais cette image idyllique est parfois ternie par des comportements déviants. 
À la fin du XIXe siècle, deux lions mâles qui se distinguaient par l’absence de crinière, semèrent la terreur sur le chantier de la Compagnie britannique impériale d’Afrique de l’Est qui faisait construire un pont destiné à enjamber la rivière Tsavo dans l’actuel Kenya, en tuant et dévorant de nombreux ouvriers. Le lieutenant colonel John Henry Patterson fut chargé de la protection du chantier et parvînt après de nombreuses vicissitudes, à éliminer les mangeurs d’hommes. Le nombre des victimes n’est pas connu avec précision car les cahiers de la compagnie des chemins de fer ne mentionnent que la mort de 28 ouvriers et ne tiennent pas compte des autochtones. Les rumeurs font état de près de 140 personnes tuées en l’espace de quelques semaines. Ce chiffre est très probablement surestimé, et de récentes recherches menées à ce propos, estimeraient le nombre des victimes à 35. Les cadavres des deux lions mangeurs d’hommes sont exposés au Muséum Field de Chicago.Champ lexical : panthera leo | lion

Lion d'Afrique

De l’Antiquité à la Renaissance, l’argent a été l’un des sept métaux reconnus comme tels. Il a longtemps servi de monnaie d’échange.
Généralités
Symbole : AgNuméro atomique : 47Électrons par niveau d’énergie : 2, 8, 18, 18, 1Masse atomique : 107,87Isotopes les plus stables : 107Ag stable avec 60 neutrons (51,839 %), 109Ag stable avec 62 neutrons (48,161 %)Série : métaux de transitionGroupe, période, bloc : 11, 5, dDensité : 10,50 (20 °C), 9,35 (liquide, 961,9 °C), 9,05 (liquide, 1.250 °C)Point de fusion : 2.162 °CPoint d’ébullition : 2.212 °C
Historique de l’argent
L’argent est connu depuis l’Antiquité. On estime que son extraction a commencé aux environs de 3000 avant J.-C. en Anatolie, dans la Turquie actuelle.
Propriétés de l’argent
Métal blanc brillant, l’argent est très ductile et malléable, un peu plus dur que l’or. Il possède la conductivité électrique la plus élevée parmi les métaux, meilleure encore que celle du cuivre. De plus, il reste conducteur même sous forme oxydée. C’est aussi le métal avec la plus importante conductivité thermique.
Utilisation de l’argent
Les applications de l’argent sont très diverses. En orfèvrerie et en joaillerie, il sert de métal de recouvrement. C’est aussi un métal employé dans certaines pièces de monnaie. Sa conductivité électrique le prédestine au secteur électronique. La photosensibilité des sels d’argent était employée en photographie argentique. Dans le domaine musical, l’argent permet de fabriquer des instruments et les membranes des haut-parleurs. Les nanotechnologies emploient aussi l’argent, notamment pour les textiles.
Effets de l’argent sur la santé
Des sels d’argent solubles comme AgNO3 peuvent devenir mortels à hauteur de quelques grammes dans l’organisme. Chez l’Homme, la surexposition chronique à l’argent provoque des anomalies cardiaques ou encore des problèmes cérébraux et nerveux.

Argent

On appelle « gnomon », ou « style », la tige, verticale ou non, qui projette son ombre sur un cadran solaire. Le terme vient du grec signifiant : « celui qui sait ».
Gnomon : du simple bâton au cadran solaire
Dans l’Antiquité, le gnomon était en général un simple bâton de bois planté à même le sol. Il servait à déterminer la hauteur du Soleil dans le ciel, en fonction de la longueur de l’ombre projetée.
Le gnomon de Saint-Sulpice 
Le gnomon de l’église Saint-Sulpice, à Paris, érigé au XVIIIe siècle, rendu célèbre par le Da Vinci Code de Dan Brown, est un peu plus sophistiqué. Il a été élevé là au départ pour déterminer la date de la fête de Pâques. Celle-ci est en effet célébrée le dimanche qui suit la première pleine Lune après l’équinoxe de printemps.
On retrouve ainsi dans le transept de l’église, un obélisque de plus de 10 mètres de haut, au pied duquel part une méridienne. Lorsque les rayons du Soleil traversent la lentille placée à l’aplomb, ils forment sur le sol un rond de lumière qui croise la méridienne à midi. Selon les saisons, le croisement se fait à des hauteurs différentes et l’équinoxe de printemps, par exemple, est symbolisé par une plaque de cuivre ovale située à quelque 24 mètres de la base de l’obélisque.

Gnomon

En France, jusqu’à la parution du décret n° 2002-65 le 14 janvier 2002, le terme pierre précieuse était employé pour désigner des pierres rares, de grande qualité et dont les couleurs et la brillance magnifiaient la beauté. Le tout sans lien avec une quelconque définition scientifique. En revanche, l’appellation pierre précieuse ne donnait pas nécessairement d’indication de valeur sur le marché. Certaines pierres fines sont en effet plus rares, plus demandées et/ou plus difficiles à extraire et de fait, plus coûteuses.
Dans la Grèce Antique déjà, il existait une distinction entre pierre fine et pierre précieuse. Mais aujourd’hui, les deux types de pierres se retrouvent donc groupés sous le terme de pierre gemme. Même si rien n’interdit d’utiliser encore le terme pierre précieuse. Uniquement toutefois lorsqu’il s’agit de parler de diamant, de saphir, d’émeraude ou de rubis.
Le saphir — ici en photo – tout comme le diamant, l’émeraude ou le rubis peuvent sortir de la liste des pierres précieuses pour devenir des pierres fines si leur qualité est jugée insuffisante. © Alexander Potapov, Fotolia
Diamant, saphir, émeraude et rubis
Rappelons que le diamant est composé de carbone cristallisé à haute pression dans un système cubique. Il est l’un des matériaux naturels les plus durs au monde. Mais attention, le diamant synthétique ne peut pas être appelé pierre précieuse. Car le terme est exclusivement réservé aux minéraux naturels. En sont donc également exclues les pierres d’imitation, les pierres composites ou les pierres reconstituées. Avec le saphir — une variété du corindon, une espèce minérale composée d’alumine anhydre cristallisé —, le diamant est la seule pierre précieuse à présenter différentes couleurs naturelles. Et c’est la présence de traces d’impuretés qui donne sa couleur au saphir : le bleu pour le titane et le fer, le rose pour le chrome.
Même s’il peut aller du rouge violacé au rouge jaunâtre, le rubis, quant à lui — issu de la famille du corindon également —, est toujours rouge. Et avec le diamant, il est la pierre précieuse dont la valeur peut exploser. L’émeraude quant à elle affiche toujours une couleur verte. Une couleur qu’elle doit à des traces de chrome, de vanadium et de fer. L’émeraude correspond à une variété de béryl, une espèce minérale du groupe des silicates.

Pierres précieuses

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Le [popupdefinition id=13332]tombeau[/popupdefinition] est abrit&eacute; sous quatre chapelles, sortes d'immenses coffres sans [popupdefinition id=10840]plancher[/popupdefinition]. Sur les faces externes des [popupdefinition id=10786]murs[/popupdefinition] lat&eacute;raux de la troisi&egrave;me chapelle, figurent les repr&eacute;sentations des dieux protecteurs,&nbsp;&nbsp;ici, le dieu Thot &agrave; la t&ecirc;te d'ibis, surnomm&eacute; le dieu du temps. Dans la mythologie &eacute;gyptienne, il est celui qui capte la [popupdefinition id=326]lumi&egrave;re[/popupdefinition] de la nuit et r&eacute;git les [popupdefinition id=15961]cycles lunaires[/popupdefinition]. Lorsqu'il est repr&eacute;sent&eacute; sous forme d'un babouin, il [popupdefinition id=10855]porte[/popupdefinition] alors sur la t&ecirc;te le croissant lunaire.On lui attribue de nombreuses fonctions&nbsp;: dieu de la connaissance, il est l'incarnation de l'[popupdefinition id=13498]intelligence[/popupdefinition] et du savoir, de la parole et de l'&eacute;criture. D&eacute;chiffrant les formules magiques, il exerce aussi la charge de vizir, de secr&eacute;taire messager et de greffier aupr&egrave;s des divinit&eacute;s. Il assiste Anubis lors la pr&eacute;sentation du d&eacute;funt devant le tribunal des &acirc;mes.&nbsp;&copy; Claude Valette, CC by-nc 2.0

La Maison d’éternité du pharaon

Il est difficile de déterminer avec précision quand le premier mur a été construit, car les premières constructions humaines remontent à la préhistoire. Cependant, on sait que les premiers Hommes utilisaient déjà des murs depuis au moins 10 000 ans pour se protéger des animaux sauvages et des intempéries. Les premières constructions en dur remontent à la période néolithique. Les Hommes de cette époque construisaient des maisons en utilisant des matériaux locaux, comme la pierre, la terre et le bois. Ils érigeaient des murs pour délimiter leur espace de vie et se protéger des éléments extérieurs. Un des premiers exemples de mur construit par l'Homme est le mur de Jéricho, qui date d'environ 8 000 av. J.-C. Ce mur, qui entourait la ville de Jéricho, était fait de pierres et de boue séchée. Il mesurait environ 3,6 mètres de haut et 1,8 mètre d'épaisseur.Fonctions du murUn mur est une structure solide qui définit un espace, le sépare ou le protège. Les fonctions d'un mur peuvent être structurelles : le mur peut servir de support à une structure (comme un toit par exemple) et doit donc être suffisamment solide pour résister aux charges. Il peut aussi séparer deux espaces distincts, comme deux pièces dans une maison. Le mur peut avoir également vocation à protéger contre les intempéries, le bruit, le froid ou la chaleur. Il peut aussi assurer une fonction de sécurité, comme un mur d'enceinte, ou dans une forteresse. Enfin, il peut avoir une fonction décorative, esthétique pour embellir un espace.Les différents types de mursIl existe de nombreux types de murs qui portent chacun un nom différent en fonction de leurs propriétés. Parmi eux :
Mur aveugle : il s'agit d'un mur dépourvu d'ouvertures (fenêtres ou portes). Sa fonction principale est de renforcer la structure du bâtiment et de fournir une isolation thermique et acoustique. Il peut également servir de support pour des éléments de décoration extérieure.
Mur banché : ce type de mur est construit pour retenir la terre, généralement dans des zones de forte pente ou de dénivelé. Il permet de prévenir les glissements de terrain et de stabiliser le sol.
Mur de pignon : il s'agit du mur situé à l'extrémité d'un bâtiment, perpendiculairement aux façades. Il a pour fonction de supporter la charpente et la couverture du bâtiment, et peut également servir de support pour des éléments de décoration.
Mur de façade : situé à l'extérieur du bâtiment, il a pour fonction principale de protéger l'intérieur du bâtiment contre les intempéries et les variations de température. Il contribue également à l'esthétique du bâtiment.
Mur de refend : il s'agit d'un mur intérieur qui sépare les pièces d'un bâtiment. Sa fonction principale est de renforcer la structure du bâtiment, mais il peut également servir à améliorer l'isolation acoustique entre les pièces.
Mur de soutènement : comme le mur banché, il est construit pour retenir la terre et prévenir les glissements de terrain. Il est souvent utilisé dans la construction de routes, de ponts ou de jardins en pente.
Mur mitoyen : il s'agit d'un mur qui sépare deux bâtiments contigus et appartient aux deux propriétaires. Sa fonction principale est de séparer les deux bâtiments et de fournir une isolation acoustique et thermique.
Mur porteur : c'est un mur qui supporte le poids de la structure du bâtiment (planchers, charpente, etc.). Sa fonction principale est donc structurelle.
La muraille d'Ávila est une enceinte militaire romane qui entoure le noyau ancien de la cité d'Ávila, en Espagne .© Pélayo2, CC BY-SA 3.0, Wikimedia CommonsLes matériaux utilisés pour la construction des murs sont variés :

brique : matériau traditionnel, solide et isolant ;

béton : résistant et durable, il est souvent utilisé pour les murs porteurs ;
bois : matériau naturel et isolant, il est souvent utilisé dans la construction écologique ;
pierre : matériau naturel et durable, il est souvent utilisé pour les murs de clôture et les façades ;

plâtre : utilisé pour les cloisons intérieures, il est facile à travailler mais moins résistant ;
parpaing : bloc de béton creux, il est souvent utilisé pour les murs porteurs et les murs de refend.
Quelques murs historiques célèbres Certains murs sont des témoins de l'histoire et de la culture des peuples qui les ont construits. Ils sont souvent associés à des événements historiques importants et ont une grande valeur symbolique. Il existe de nombreux murs historiques célèbres dans le monde, voici quelques exemples :La Grande Muraille de ChineLa Grande muraille de Chine est l'un des monuments les plus célèbres au monde. Construite pour protéger la Chine des invasions, elle s'étend sur plus de 21 000 kilomètres. Le mur de BerlinSymbole de la Guerre froide, le mur de Berlin a séparé Berlin-Est et Berlin-Ouest de 1961 à 1989. Aujourd'hui, il ne reste que quelques sections, comme la East Side Gallery, qui est devenue une galerie d'art en plein air.Le mur des LamentationsSitué à Jérusalem, le mur des Lamentations est un mur de soutènement de l'esplanade du Temple, lieu saint pour les juifs. Il est également connu sous le nom de Kotel.Le mur d'HadrienConstruit par les Romains au IIe siècle, le mur d'Hadrien marquait la limite nord de l'Empire romain en Bretagne (actuelle Grande-Bretagne).Le mur de l'AtlantiqueConstruit par les Allemands pendant la Seconde Guerre mondiale, le mur de l'Atlantique s'étendait le long des côtes de la Norvège à la frontière espagnole et était destiné à empêcher une invasion alliée.Le mur de séparation israélienConstruit par Israël, le mur de séparation israélien sépare Israël et une partie de la Cisjordanie. Sa construction a commencé en 2002, pendant la Seconde Intifada. 

L’intelligence désigne communément le potentiel des capacités mentales et cognitives d’un individu, animal ou humain, lui permettant de résoudre un problème ou de s’adapter à son environnement. Elle se résume souvent au cerveau. On peut la subdiviser en différentes composantes : on parle d’intelligence pratique, collective, émotionnelle ou des affaires par exemple. Par extension, elle a été adaptée aux machines : on parle alors d’intelligence artificielle.
Le concept d’intelligence est cependant extrêmement complexe et fait l’objet de débats. Le terme est défini différemment selon le domaine dans lequel on le traite.
L’intelligence en philosophie
Faisant l’objet d’études et de controverses depuis longtemps, l’intelligence en philosophie est souvent associée à la capacité de raisonnement et de réflexion d’une personne. Historiquement, dans sa manifestation, elle s’oppose à l’instinct, qui correspondrait davantage à un réflexe qu’à une pensée élaborée. Sa notion a évolué avec le temps, au gré des découvertes, des époques et des penseurs.
L’intelligence en psychologie
En 1905, le gouvernement français a demandé au psychologue Alfred Binet d’établir un outil de mesure de l’intelligence humaine. Ainsi est née l’échelle métrique de l’intelligence, à l’origine du célèbre test de quotient intellectuel (QI) ou de ses dérivés.
Ces tests, bien que contestables, sont censés permettre des comparaisons entre personnes des performances intellectuelles dans des exercices divers et variés, touchant un maximum de domaines, comme la logique, le raisonnement, la mémoire ou l’émotion. L’individu est jugé par rapport à une moyenne de personnes représentatives.
L’intelligence animale
L’intelligence animale sert à désigner les capacités cognitives d’un animal. Elle fait l’objet d’études afin de mieux analyser les facultés mentales des animaux, mais également afin de mieux comprendre certains fondements de notre propre intelligence. C’est l’un des champs d’études de l’éthologie.
Bien que déconsidérée à l’origine, Descartes décrivant l’animal telle une machine, répondant instinctivement à un stimulus par un comportement, l’analyse approfondie révèle un potentiel intellectuel énorme chez de nombreuses espèces, qui se manifeste de diverses manières. Un certain nombre d’espèces (grands singes, éléphants, cétacés, porcs et corvidés au moins) savent reconnaître leur image dans un miroir, stade que franchissent les enfants humains dans leur deuxième année. La capacité de raisonnement de certains animaux, leur faculté à façonner des outils, leur rapport à la mort (surtout mesuré chez l’éléphant), à présenter des troubles mentaux proches (voire identiques) de ceux que l’on développe, leur langage complexe (caractéristique des dauphins), leur propension à constituer des colonies complexes et organisées ou la faculté à entrer en communication avec l’Homme révèlent l’extraordinaire plasticité intellectuelle dont ils font preuve.
Certains spécialistes parlent même d’intelligence des plantes, certaines d’entre elles étant capable de communication ou de distinguer le soi du non-soi.
L’intelligence artificielle
Depuis l’émergence de la robotique et de l’informatique, les chercheurs essaient d’injecter des notions de l’intelligence humaine dans des machines. Étant conçue et fabriquée par l’Homme, on qualifie cette forme d’intelligence sous l’appellation intelligence artificielle.

Intelligence

Un cycle lunaire correspond à une succession de phases lunaires. Pendant ce cycle, un observateur terrestre voit varier la surface éclairée de la Lune ; cela est lié à la révolution du satellite autour de la Terre.Phases de la LuneLes différentes phases de la Lune sont les suivantes :
la nouvelle Lune : la surface lunaire éclairée par le Soleil n'est pas visible de la Terre ;
le premier croissant puis le premier quartier (Lune en demi-cercle) ;
la Lune gibbeuse croissante ;
la pleine Lune (deux semaines après la nouvelle Lune) ;
la Lune gibbeuse décroissante ;
le dernier quartier ;
le dernier croissant.
Explication des phases lunairesLe cycle lunaire est dû à l'orbite de la Lune autour de la Terre, qui fait varier l'angle sous lequel la lumière du Soleil frappe la Lune et par conséquent, la partie visible éclairée depuis la Terre. Ce processus cyclique, qui se produit environ tous les 29,5 jours, est fondamental pour comprendre tant l'astronomie que d'autres domaines scientifiques.Influence du cycle lunaire sur les marées terrestresL'interaction gravitationnelle entre la Terre et la Lune influence profondément les marées océaniques. En fait, la force gravitationnelle de la Lune tire sur les océans de la Terre, provoquant les marées montantes et descendantes. Ce phénomène est crucial pour la navigation, la biologie marine et la météorologie.Voir aussi Pourquoi la Lune a-t-elle des phases ? et noter que la masse de la Lune exerce une force d'attraction sur la Terre qui explique le phénomène des marées.Influence du cycle lunaire sur la santéDes études récentes ont montré que la phase de la Lune pouvait perturber le sommeil : il serait plus difficile de s'endormir et le sommeil serait moins réparateur en période de pleine Lune.Le cycle lunaire est associé, dans les croyances populaires, à d'autres phénomènes sur la santé : pousse des cheveux, accouchement... mais les preuves scientifiques manquent.Recherches scientifiques sur l'influence lunaireDes recherches supplémentaires sur l'effet du cycle lunaire sur la santé humaine sont toujours en cours. Certaines études ont effectivement identifié des corrélations entre la phase lunaire et la qualité du sommeil. D'autres cherchent à établir des relations entre le cycle lunaire et les comportements biologiques chez les animaux, voire chez les humains.Applications pratiques des connaissances sur la LuneLa compréhension des phases de la Lune et de son cycle a des applications pratiques dans l'agriculture, la pêche et la gestion des ressources naturelles. Par exemple, les agriculteurs peuvent planifier la plantation de certaines cultures en fonction des phases de la Lune pour optimiser la croissance des plantes.

Cycle lunaire

Le plancher est une technique de charpenterie qui a pour but de créer une plateforme parfaitement lisse sur laquelle on pose généralement un revêtement de décoration, carrelage ou encore moquette.

Le plancher est la plupart du temps monté en bois, en fer ou en béton. Ce dernier doit être particulièrement lisse afin de n'avoir aucun défaut lors de la pose du revêtement supplémentaire. Il existe quelques variantes du plancher, comme le plancher cloué formé de planches en bois clouées les unes aux autres, ainsi que le plancher technique, qui est un faux plancher.

Différents types de plancher
Parmi les différents types de plancher, on trouve le plancher sandwich (très isolant) et le plancher chauffant (un système de chauffage par le sol). Lorsqu'il est au rez-de-chaussée, le plancher est une plateforme, mais il sert également de séparation entre les différents étages d'un bâtiment. Dans ce dernier cas, le dessous du plancher posé est plus communément appelé le plafond d'une pièce.

Isolation, confort et impact environnemental
En termes d'isolation thermique et acoustique, les planchers offrent des performances significatives, notamment grâce à des innovations comme le plancher chauffant ou le plancher flottant. Les matériaux utilisés, tels que le bois ou le béton, peuvent considérablement augmenter l'efficacité énergétique d'un bâtiment, contribuant ainsi à réduire les coûts de chauffage et à améliorer le confort global. Choisir des matériaux durables pour la construction de planchers peut réduire significativement l'impact environnemental d'une habitation. Des choix comme le bois certifié durable ou des options de recyclage des matériaux contribuent à un habitat plus écologique.

Installation et entretien des planchers
L'installation d'un plancher requiert une expertise spécifique, surtout pour les types plus complexes tels que le plancher chauffant. Un entretien régulier est également nécessaire pour assurer la longévité et l'efficacité du plancher. Cela peut inclure des traitements spécifiques pour les matériaux utilisés, comme le vernissage du bois ou le scellement du béton.

Innovations et implications architecturales
Les secteurs de la construction et de la rénovation ne cessent de progresser, intégrant des technologies avancées comme les planchers intelligents, capables de collecter des données sur des paramètres comme le poids, la température ou même la présence de personnes grâce à des capteurs intégrés. Cette innovation ouvre la porte à de nouvelles possibilités en matière de maison intelligente et de bâtiments connectés. Le choix du type de plancher est crucial non seulement pour l'esthétique et le confort, mais aussi pour des considerations structurelles et architecturales. Pour instance, des planchers en béton sont souvent utilisés pour ajouter de la solidité à des structures, tandis que les planchers en bois peuvent ajouter chaleur et élégance à un espace.

Plancher

On désigne par le terme de « lumière visible » le spectre du rayonnement électromagnétique perceptible par l’œil humain.
La lumière blanche
Les longueurs d’ondes de la lumière visible s’échelonnent d’environ 380 nm (violet) à 780 nm (rouge). Le spectre visible est obtenu par décomposition de la lumière blanche par un prisme. Les caractéristiques et les propriétés de la lumière sont étudiées dans le cadre de l'optique.
Vitesse de la lumière
La lumière se propage dans le vide ainsi que dans la matière ; sa vitesse de propagation dépendant du milieu dans lequel elle se déplace. Dans le vide, la lumière se propage à la vitesse c de 3.108 m.s-1., c'est-à-dire 300.000.000 mètres par seconde, ou encore 300.000 kilomètres par seconde. La vitesse de la lumière dans le vide est l’une des constantes fondamentales de la physique.
Lumière, longueur d'onde et couleur
Autre caractéristique importante : sa longueur d’onde. Dans un milieu dispersif, celle-ci peut d’ailleurs influer sur la vitesse de propagation de la lumière. La longueur d’onde influe aussi sur la perception sensorielle de l’œil et donne ainsi à la lumière sa couleur.
Ondes électromagnétiques et photons : la dualité onde-corpuscule
D’un point de vue théorique, la lumière peut être représentée soit par des ondes électromagnétiques, soit par des photons. C’est ce que les physiciens appellent la dualité onde-corpuscule. Ainsi, certains phénomènes optiques (rayonnement du corps noir et loi de Planck, etc.) s’expliquent bien à l’aide de la théorie ondulatoire qui suppose que la lumière est une onde électromagnétique. Pour d’autres (effet photoélectrique, effet Compton, etc.), il faut supposer que la lumière est composée de corpuscules d’énergie nommés « photons ».
Physique : optique quantique et photons intriqués
La théorie quantique a formalisé cette surprenante dualité. Les photons possèdent à la fois les propriétés de particules – on peut les compter, par exemple – et celles d’ondes : ils peuvent interférer.
Les physiciens sont capables de manipuler des photons uniques ou des paires de photons dits intriqués. Ils étudient les phénomènes qui en découlent dans le cadre de l’optique quantique. Les applications potentielles sont prometteuses : cryptographie inviolable, calculs basés sur le qubit, etc.

Lumière

Une sépulture est le lieu où l’on dépose le corps d’un mort. Par exemple, les pyramides d’Égypte étaient destinées à l’inhumation des pharaons.
Le mot sépulture vient du latin sepultura, qui désigne les derniers devoirs comme la sépulture. La sépulture caractérise aussi l’inhumation d’un corps dans un tombeau.Champ lexical : caveau | tombeau

Sépulture

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Le [popupdefinition id=13332]tombeau[/popupdefinition] de Tout&acirc;nkhamon&nbsp;a &eacute;t&eacute; trouv&eacute; dans une pi&egrave;ce, appel&eacute;e&nbsp;chambre fun&eacute;raire. &Agrave; l'int&eacute;rieur, la &laquo; Maison d'&eacute;ternit&eacute; du pharaon&nbsp;&raquo; se compose de quatre coffres-chapelles. Sur les faces externes des [popupdefinition id=10786]murs[/popupdefinition] lat&eacute;raux de la troisi&egrave;me figurent les repr&eacute;sentations des dieux protecteurs&nbsp;; ici, sur cette photo, Anubis. Au nombre de quatre dans la chambre mortuaire, ces sanctuaires gigognes s'embo&icirc;taient l'un&nbsp;sur l'autre et recouvraient le premier cercueil, en pierre, du pharaon. En [popupdefinition id=4042]bois[/popupdefinition] de c&egrave;dre et recouvertes de feuilles d'or (et d'incrustations de [popupdefinition id=10678]fa&iuml;ence[/popupdefinition] bleue pour la premi&egrave;re), elles n'avaient pas de [popupdefinition id=10840]plancher[/popupdefinition].Repr&eacute;sent&eacute; ici sous une forme [popupdefinition id=2300]hybride[/popupdefinition] mi-homme, mi-animal, Anubis pr&eacute;side aux c&eacute;r&eacute;monies fun&eacute;raires et aux rituels de momification consid&eacute;r&eacute;s comme processus de revitalisation. Dieu [popupdefinition id=10874]purificateur[/popupdefinition], il est celui qui accompagne les morts dans l'au-del&agrave; pour les pr&eacute;senter devant le tribunal d'Osiris o&ugrave; s'effectue la pes&eacute;e de l'&acirc;me. Ayant des fonctions de protecteur des b&ecirc;tes &agrave; cornes, il endosse aussi les traits du sacrificateur, garantissant ainsi les offrandes alimentaires en l'honneur du d&eacute;funt.&copy; Claude Valette, CC by-nc 2.0

Anubis, le dieu funéraire

Le purificateur est un dispositif d'évacuation des poussières de l'air ambiant, en filtrant l'air il élimine la pollution, qu'elle soit domestique ou industrielle, il élimine également toutes les mauvaises odeurs. Muni d'un système d'aspiration d'air et de filtres, il capture les contaminants lors du passage de l'air dans l'appareil. En assainissant l'air, le purificateur réduit la surexposition des personnes aux allergènes et aux résidus de pollution et prévient ainsi d'éventuelles maladies telles que les allergies, les cancers ou encore les problèmes respiratoires. 
Les différents types de purificateurs d'air
Les trois grands types de purificateurs d'air utilisés dans les milieux domestiques et industriels sont les purificateurs d'air par combustion, les purificateurs d'air par photocatalyse et enfin les purificateurs d'air par filtration. Les purificateurs peuvent être des appareils fixes ou portatifs.

Purificateur

Le terme hybride a plusieurs significations en fonction du contexte dans lequel il est employé : zoologie, botanique ou automobile.
Hybride en zoologie
En zoologie, un hybride désigne un animal issu d’un croisement entre deux espèces différentes. Cette descendance est presque toujours stérile.
L’accouplement d’une tigresse avec un lion mâle donne par exemple naissance à un ligre. 
Hybride en botanique
La signification d’hybride en botanique est plus vaste. Ce mot qualifie le ou les descendants d’un croisement entre différentes variétés d’une même plante (croisement intraspécifique) ou entre différentes espèces (croisement interspécifique). 
Lors de ses expériences avec les petits poids, Mendel a provoqué l’apparition de nombreux hybrides. 
Hybride en automobile
Une voiture est dite hybride si elle possède deux motorisations indépendantes (thermique, électrique, etc.).

Hybride

Une sépulture est le lieu où l’on dépose le corps d’un mort. Par exemple, les pyramides d’Égypte étaient destinées à l’inhumation des pharaons.
Le mot sépulture vient du latin sepultura, qui désigne les derniers devoirs comme la sépulture. La sépulture caractérise aussi l’inhumation d’un corps dans un tombeau.Champ lexical : caveau | tombeauChamp lexical : caveau | tombeau

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Voici le d&eacute;tail de l'un des quatre bouchons du coffre &agrave; canopes en alb&acirc;tre&nbsp;o&ugrave; sont conserv&eacute;es les visc&egrave;res de Tout&acirc;nkhamon. La figurine est coiff&eacute;e du nem&egrave;s surmont&eacute; des deux animaux protecteurs et puissants, le faucon et le cobra dress&eacute;, figurant respectivement les d&eacute;esses Ouadjet et Nekhbet, symboles d'unification des Haute et Basse-&Eacute;gypte. Les [popupdefinition id=14131]yeux[/popupdefinition] sont soulign&eacute;s de noir et la bouche est rehauss&eacute;e de rouge pour attirer la renaissance.Comme tous les objets et statuettes fun&eacute;raires, ils sont cens&eacute;s &ecirc;tre &agrave; l'effigie du d&eacute;funt, comme le veut le rituel. Mais l'on reste perplexe devant le visage eff&eacute;min&eacute; du pharaon. L'explication la plus probable est que le roi-enfant meurt &agrave; l'&acirc;ge de 18 ou 19 ans sans avoir eu le temps de construire sa &laquo;&nbsp;demeure d'&eacute;ternit&eacute;&nbsp;&raquo; qui, contrairement &agrave; la coutume &eacute;gyptienne de cette &eacute;poque, est un [popupdefinition id=4501]hypog&eacute;e[/popupdefinition], c'est-&agrave;-dire&nbsp;une [popupdefinition id=13332]s&eacute;pulture[/popupdefinition] enterr&eacute;e.C'est peut-&ecirc;tre aussi la raison pour laquelle ces repr&eacute;sentations du pharaon sont aussi peu conformes &agrave; sa [popupdefinition id=2333]morphologie[/popupdefinition] r&eacute;v&eacute;l&eacute;e par les scanners&nbsp;: l'hypoth&egrave;se la plus probable avanc&eacute;e par les scientifiques serait que les masques et tous les objets fun&eacute;raires auraient &eacute;t&eacute; initialement pr&eacute;vus pour une personnalit&eacute; f&eacute;minine, membre de la famille royale.&nbsp;&copy; Dave Nakayama, CC by-sa 2.0

Est-ce vraiment le visage de Toutânkhamon ?

Une sépulture est le lieu où l’on dépose le corps d’un mort. Par exemple, les pyramides d’Égypte étaient destinées à l’inhumation des pharaons.
Le mot sépulture vient du latin sepultura, qui désigne les derniers devoirs comme la sépulture. La sépulture caractérise aussi l’inhumation d’un corps dans un tombeau.Champ lexical : caveau | tombeauChamp lexical : caveau | tombeauChamp lexical : caveau | tombeau

L'œil, également appelé globe oculaire, correspond à l’organe de la vue, captant le signal lumineux avant que l’information ne soit réinterprétée par le cerveau et transformée en formes et en couleurs. Il se compose de différentes régions lui permettant d’assurer sa fonction, de la cornée jusqu’à la rétine. Il est inséré dans une orbite, et on en retrouve une ou plusieurs paires chez bon nombre d’espèces animales, aussi bien chez les arthropodes, les mollusques ou les vertébrés.
Anatomie de l’œil humain
L’œil humain correspond grossièrement à une petite boule de 2,5 cm de diamètre, pesant sept à huit grammes. Comme chez beaucoup de mammifères, le globe oculaire se compose de différentes couches. La plus externe correspond à la sclère, membrane résistante qui donne sa couleur blanche à l’œil en le recouvrant à 80 %, sur laquelle s’insèrent les muscles oculomoteurs. Au centre se trouve la cornée, qui permet de capter les premiers rayons de lumière et de commencer la réfraction.
Sous la sclère, on trouve la choroïde, couche fine irriguée de vaisseaux sanguins et assurant la nutrition de la rétine et de l’iris.
La rétine, située dans le fond du globe oculaire, au contact de la choroïde, correspond à la région directement sensible à la lumière, polarisée principalement par la cornée et le cristallin. Elle est composée de cellules en cônes et en bâtonnets, sensibles aux détails de l’environnement et à la luminosité. C’est à ce niveau que le signal lumineux va être traduit en message nerveux, et être envoyé au cerveau par le nerf optique.
Au centre de l’œil, derrière la cornée, on trouve l’iris, région qui confère sa couleur particulière au globe oculaire. En son centre, on trouve la pupille, région sombre qui, sous l’action de muscles, se contracte ou se dilate pour laisser passer plus ou moins de lumière, à l’instar d’un diaphragme sur un appareil photo.
L’essentiel du volume de l’œil (90 %) est dû à l’humeur vitrée, liquide gélatineux situé en arrière du cristallin, qui donne au globe oculaire sa consistance. Il contribue également à la réfraction de la lumière.
Les yeux composés
Si l’Homme, les autres vertébrés et d’autres groupes possèdent deux yeux simples, ce n’est pas le cas chez tous les animaux. Ainsi, de nombreux arthropodes, comme les mouches, les libellules ou les crabes possèdent des yeux composés, c’est-à-dire un ensemble de photorécepteurs appelés ommatidies. Certains de ces animaux peuvent posséder jusqu’à cinq yeux composés.Champ lexical : yeux | globe oculaire

Œil

La loi de la forme ou de la structure indépendante de la fonction.

La morphologie, dans le contexte biologique, se réfère à l'étude de la forme et de la structure des organismes vivants et de leurs parties. Cette discipline est cruciale pour comprendre comment les organismes sont construits, comment ils évoluent et comment leur structure influence leur fonction dans l'écosystème.

Principes de base de la morphologie
La morphologie examine les caractéristiques visibles comme la taille, la forme, la structure des différents organes et tissus. Elle prend en compte tant les structures externes que les structures internes des organismes. En zoologie, par exemple, elle étudie des structures allant des systèmes squelettiques et musculaires à la configuration des organes internes. En botanique, elle examine des aspects tels que la forme des feuilles, la structure des fleurs et l'arrangement des racines.

Relation entre forme et fonction
Dans de nombreux cas en biologie, la forme d'un organisme ou d'une structure biologique est directement liée à sa fonction. Par exemple, les ailes d'un oiseau ou la forme hydrodynamique d'un poisson sont des adaptations morphologiques qui facilitent le vol et la nage, respectivement. Cependant, la loi de la forme ou de la structure indépendante de la fonction suggère qu'il existe aussi des cas où la forme est déterminée par des facteurs génétiques, développementaux ou évolutionnaires qui ne sont pas directement liés à la fonction actuelle de l'organisme ou de la structure.

Ce concept est important en évolution car il met en lumière le fait que certaines caractéristiques morphologiques peuvent être héritées de lointains ancêtres et avoir conservé une forme spécifique qui n'est plus nécessairement optimale pour leur fonction actuelle. Ces caractéristiques peuvent persister tant qu'elles n'entraînent pas un désavantage significatif pour la survie de l'organisme.

Applications en recherche et technologie
L'étude de la morphologie est fondamentale dans de nombreux domaines scientifiques et appliqués. En paléontologie, elle permet de reconstituer les formes de vie éteintes et de comprendre l'histoire évolutive des espèces. En médecine, une compréhension approfondie de la morphologie humaine est essentielle pour la chirurgie, l'anatomie et la biomédecine.

Par ailleurs, la bio-inspiration tirée de la morphologie des organismes a conduit à des avancées significatives en ingénierie et design. Par exemple, les structures des nageoires de certains poissons ont inspiré la conception de turbines hydroélectriques plus efficaces. De même, l'étude de la structure des ailes de papillon a influencé le développement de matériaux photovoltaïques avancés.

Malgré les avancées dans la compréhension de la relation entre la forme et la fonction, de nombreux défis demeurent. L'un des principaux est lié à la complexité des systèmes biologiques. Chaque organisme est le résultat de millions d'années d'évolution, et décrypter précisément pourquoi certaines formes se sont développées reste parfois un mystère.

Avec le développement de technologies avancées comme l'imagerie en haute résolution et la modélisation 3D, les scientifiques sont maintenant mieux équipés pour étudier la morphologie en détail. Ces outils permettent de visualiser les structures internes sans endommager les spécimens, offrant ainsi de nouvelles perspectives sur le lien complexe entre forme, fonction et évolution.

La morphologie reste un champ d'étude vital et expansif qui continue de poser des questions fondamentales sur la biologie, la médecine et l'ingénierie. En étudiant comment la forme influence la fonction — et vice versa — les scientifiques peuvent continuer à découvrir des secrets de la nature qui ont non seulement une valeur académique, mais aussi un potentiel d'applications pratiques significatives.

Morphologie

En archéologie, on désigne sous le nom d'hypogée (du grec hupo, « sous », et gê, « terre ») une construction souterraine et plus spécifiquement une tombe creusée dans le sol.Les hypogées les plus connuesLes hypogées les plus célèbres sont sans doute celle étudiés en égyptologie comme ceux trouvés dans la vallée des Rois (On dit un hypogée). De fait tout le monde connait le tombeau de Toutânkhamon (KV62), un hypogée découvert le 4 novembre 1922 dans la vallée des Rois sur la rive ouest du Nil face à Louxor.À l’époque de la découverte de son tombeau, Toutânkhamon est inconnu du grand public. C’est la richesse de sa sépulture et les mystères qui entourent aussi bien sa vie que sa mort qui lui ont permis d’accéder à la postérité. © Kounosu, Wikipedia, CC by-sa 3.0

Hypogée

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Le bassin d'alb&acirc;tre est une surprenante et magnifique composition mesurant 70 centim&egrave;tres de long supportant&nbsp;un &icirc;lot central sur lequel repose une barque emmenant un sarcophage surmont&eacute; d'un dais. Il est &agrave; supposer qu'une&nbsp;fois remplie de [popupdefinition id=11194]p&eacute;tales[/popupdefinition] de fleurs et d'eau parfum&eacute;e, cette pi&egrave;ce-mont&eacute;e donne l'illusion d'une chaloupe flottant. Les colonnes centrales sont d&eacute;cor&eacute;es de lotus et de [popupdefinition id=17999]papyrus[/popupdefinition], des pierres&nbsp;pr&eacute;cieuses&nbsp;et des feuilles d'or sont incrust&eacute;es dans l'alb&acirc;tre,&nbsp;ainsi que sur sa partie basse. Nue et par&eacute;e de bijoux, une jeune fille se tient &agrave; l'avant, coiff&eacute;e de la perruque nubienne&nbsp;et&nbsp;portant &agrave; son c&oelig;ur une fleur de lotus&nbsp;; &agrave; l'arri&egrave;re, se tient sa &laquo; naine &raquo; dont le [popupdefinition id=316]mouvement[/popupdefinition] laisse supposer qu'elle tenait une perche pour man&oelig;uvrer la barque. &Agrave; la proue et &agrave; la poupe, les [popupdefinition id=17888]antilopes[/popupdefinition] ont d'authentiques cornes d'ibex ([popupdefinition id=8686]bouquetins[/popupdefinition]) qui, par leur [popupdefinition id=5604]r&eacute;g&eacute;n&eacute;ration naturelle[/popupdefinition], symbolisent la renaissance ou la [popupdefinition id=6134]f&eacute;condit&eacute;[/popupdefinition].&Eacute;galement surnomm&eacute;e &laquo; la naine et le bouquetin &raquo;, cette &oelig;uvre all&eacute;gorique demeure une &eacute;nigme d'une complexit&eacute; sans fond pour les &eacute;gyptologues qui en cherchent le [popupdefinition id=7459]cha&icirc;non manquant[/popupdefinition] pour la comprendre, et&nbsp;ne cessent d'en donner diverses interpr&eacute;tations.&copy; &#1604;&#1575; &#1585;&#1608;&#1587;&#1575;, CC by-sa 4.0

La mystérieuse barque d’albâtre

Capacité d'un milieu, le plus souvent forestier, à se reconstituer sans intervention extérieure suite à une perturbation (catastrophe naturelle, exploitation forestière...).
En sylviculture, c'est une technique de gestion forestière à la fois économique et écologique. Elle constitue des massifs forestiers plus riches en biodiversité qu'une sylviculture monospécifique.

Régénération naturelle

Le papyrus est un support d’écriture fabriqué à partir des tiges florifères de Cyperus papyrus L. Cette plante de la famille des cypéracées est caractérisée par une inflorescence en ombrelle et peut atteindre cinq mètres de haut. Elle poussait en abondance dans la vallée et le delta du Nil, ce qui explique pourquoi les Égyptiens l’ont beaucoup utilisée dans l’Antiquité pour fabriquer des cordes, des voiles, des paniers, des nattes ou des bateaux. Son usage le plus connu reste celui de support d’écriture, le mot papyrus – transcription du mot égyptien per-peraâ – ayant lui-même donné le mot papier.Le papyrus, autrefois abondant en Égypte, est aujourd’hui surtout présent en Afrique de l'Est. © niadahoam.de, Foter.comOrigine et usages du papyrusLes plus anciens papyrus conservés datent du IIIe millénaire et sont contemporains de l’édification des grandes pyramides de Gizeh. Mais étant donné leur fragilité, notamment à l’humidité et à la lumière, il est probable qu’il en existe des plus anciens qui n’ont pas été préservés. Tandis que les pierres dures ou les tablettes d’argile étaient utilisées pour les inscriptions royales ou religieuses, le papyrus servait plutôt à fixer les textes administratifs, les œuvres savantes et littéraires ou encore la correspondance. Outre les Égyptiens, le papyrus a été largement utilisé dans tout le Proche-Orient jusqu’au IIIe siècle avant J.-C.Fabrication du papyrusLes tiges de papyrus parvenues à maturité étaient découpées « pelures », juxtaposées verticalement puis recouvertes par une seconde couche horizontalement pour constituer une trame. Cette trame était alors écrasée fortement au moyen d’un martelage et d’une presse, afin d’en extraire le suc qui jouait ainsi le rôle de colle naturelle. Après séchage, on obtenait une feuille plus ou moins fine de couleur ivoire, aussi appelée kolléma (morceau à coller). On pouvait alors les assembler en rouleaux à l’instar du papyrus Harris qui mesure 41 mètres de long.Le papyrus Rhind est l’une des sources les plus importantes concernant les mathématiques dans l'Égypte antique. © British MuseumLe papyrus aujourd’huiLe Cyperus papyrus L. va peu à peu disparaître du paysage égyptien, victime de son succès. Son usage sera progressivement abandonné vers le IIe siècle au profit du parchemin, moins friable et plus largement disponible. Aujourd’hui le papyrus pousse encore à l'état sauvage dans quelques rares régions d'Égypte, en Afrique (vallée du Nil blanc au Soudan, Éthiopie, Kenya, Niger) et en Sicile. Il est à noter qu’on trouve aussi en jardinerie une variété de papyrus nommée Cyperus alternifolius, plus petite et originaire de Madagascar.Champ lexical : cyperus papyrus | cyperus alternifolius

Papyrus

Le chaînon manquant est un concept qui désigne une forme intermédiaire, fossile ou non, entre deux espèces. Ce chaînon manquant, appelé aussi « forme de transition », possède en théorie un mélange de caractères des deux espèces, l’une étant qualifiée de primitive et l’autre d’évoluée.
Principe du chaînon manquant
Le concept du chaînon manquant s’est développé alors que les évolutionnistes pensaient que l’évolution d’une espèce était essentiellement linéaire, une espèce primitive donnant progressivement naissance à l’espèce évoluée présente de nos jours. Le chaînon manquant désignait alors l’ancêtre qui rattachait cette lignée à l’espèce primitive dont elle s’était séparée. 
Dans cette logique, l’archéoptéryx constituait l’exemple typique du chaînon entre les dinosaures et les oiseaux. 
On sait désormais que l’évolution se fait par buissonnement de multiples espèces dont seules quelques-unes ont eu une descendance qui subsiste aujourd’hui. Les formes fossiles foisonnent donc aussi, sans toutefois faire partie, le plus souvent, d’une lignée linéaire entre une espèce actuelle et son ancêtre primitif.

Chaînon manquant

La fécondité désigne la capacité de reproduction d’un individu, d’un couple, d’un groupe ou d’une population. Ce terme s’applique aux humains, aux animaux mais aussi par extension à l’agriculture. La fécondité ne doit pas être confondue avec la fertilité qui, elle, mesure la possibilité d’avoir des enfants et non la descendance effective. Une femme peut ainsi être fertile mais non féconde (tant qu’elle n’a pas eu d’enfants), de même elle peut être féconde sans être fertile si elle a eu des enfants par le passé.La fécondité est en baisse en France ces dernières années, notamment en raison du recul de l’âge moyen de procréation. © Freepik, Céline Deluzarche, Futura.Taux de fécondité, taux de natalité et indicateur conjoncturel de féconditéEn démographie, le taux de fécondité se calcule en divisant le nombre de naissances par le nombre moyen de femmes d’une classe d’âge pour une année donnée. Par extension, il désigne le rapport entre le nombre de naissances sur une année et l’ensemble de la population féminine en âge de procréer (nombre moyen des femmes de 15 à 50 ans sur cette année). À ne pas confondre avec le taux de natalité qui s’obtient, lui, en divisant le nombre de naissances par la population totale. L’indicateur conjoncturel de fécondité (ICF) additionne les taux de fécondité pour une année et se mesure donc en nombre d’enfants par femmes. En France, l’ICF est de 1,88 enfant par femme en 2017, contre plus de deux dans les années 2000.On considère que le seuil de fécondité nécessaire pour assurer le renouvellement des générations est de 2,05 enfants par femme mais la population peut tout de même continuer à augmenter en raison des flux migratoires et du vieillissement. Dans le monde, l’indice de fécondité varie de 1,17 enfant par femme en Corée du Sud à 7,24 enfants par femme au Niger.Champ lexical : taux de fécondité | indicateur conjoncturel de fécondité

Fécondité

Bouquetin (Linnaeus 1753) - Capra ibex
Ordre : ArtiodactylaFamille : BovidaeSous-famille : CaprinaeGenre : CapraTaille : 1,40 à 1,60 m (hauteur au garrot 0,75 à 0,90 m – longueur des cornes 0,30 à 1,00 m)Poids : 65 à 100 kgLongévité : 20 à 25 ans 
Statut de conservation UICN : LC préoccupation mineure
Description du bouquetin
Le bouquetin mâle est plus massif que la femelle (également appelée étagne) qui ressemble à une chèvre. Il s’en distingue également par la longueur de ses cornes. Il possède des pattes courtes et trapues et un cou large. La coloration du poil varie selon les saisons. En été il est court et d’une teinte brun clair alors que la partie ventrale est blanchâtre. Il porte une touffe de poils plus longs sous le menton qui fait penser à une barbiche. À l’automne, le poil estival est remplacé par le poil d’hiver plus long et plus épais, de couleur brun foncé. La robe de la femelle est plus claire. Les sabots sont larges et renflés au niveau des talons lesquels sont renforcés par des ergots qui augmentent la surface d’adhérence au sol. Au contraire du chamois, le bouquetin se déplace lourdement dans la neige et plutôt au pas.
Bouquetin mâle. © Tim Verfaillie - domaine public
Habitat du bouquetin
Le bouquetin est un animal de haute montagne qui vit dans les zones rocheuses escarpées. On le trouve principalement dans le massif alpin entre 500 et 3.000 mètres. D’autres espèces évoluent dans les Pyrénées, dans le Caucase, dans la péninsule arabique et dans certaines régions montagneuses du nord de l’Afrique.
Femelle bouquetin. © Christian Mehlführer - CCA 2.5 Generic license
Comportement du bouquetin
Diurne, le bouquetin est un animal grégaire qui vit en groupe pouvant regrouper jusqu’à une centaine d’individus. C’est davantage un animal de rochers que de montagne. Grâce à ses sabots larges et ses soles souples qui « accrochent » admirablement les roches, il est à l’aise sur les parois abruptes exposées au sud, riches en couloirs, surplombs et vires. Son territoire s’étend sur une vingtaine de kilomètres carrés, et comprend trois zones qu’il occupe à des saisons différentes en fonction des disponibilités en nourriture. Elles sont reliés par des corridors de circulation. 
Jeune mâle. © Liné 1 - GNU FDL Version 1.2
La communication peut être olfactive, visuelle ou sonore, et tient un rôle important dans la vie sociale de l’ibex. Les attitudes ou les comportements ritualisés tels que les simulacres de combats qu’effectuent les jeunes, définissent la position sociale des individus au sein du groupe. Même dérangé, le bouquetin ne fuit pas à toute allure. Au contraire, il s’éloigne sans précipitation. Certainement pour ne pas effectuer de faux pas et ne pas chuter.
Affrontements rituels. © Twice25 - CCA-S A 2.5 Generic license
Reproduction du bouquetin
La période du rut s’étend de fin novembre à la mi-janvier. Dans les secteurs où les bouquetins sont nombreux et implantés depuis longtemps, la femelle ne met bas que tous les deux ans. La gestation dure entre 165 et 170 jours et la femelle met bas un chevreau, rarement deux. Le petit est capable de suivre sa mère dès le troisième jour. Il tète pendant deux ou trois mois mais l’allaitement peut perdurer jusqu’à l’hiver. Il atteint la maturité sexuelle au bout d’un an et demi, mais dans les vieilles colonies, elle intervient au bout de trois ans. Ce qui laisse supposer que le bouquetin peut maîtriser sa fécondité.
Juvénile. © Liné 1 - GNU FDL Version 1.2
Régime alimentaire du bouquetin
Le bouquetin se nourrit de graminées, de rameaux de genévriers, de rhododendrons et de trèfle et, bien qu’il ait des difficultés à les digérer, il mange également de la mousse et du lichen. Il apprécie les pousses tendres, les bourgeons et les chatons au printemps ainsi que le sel qu’il va chaparder sur les blocs de sel mis à disposition des troupeaux lorsqu’il ne le trouve pas dans les salines naturelles.
Menaces sur le bouquetin
Le bouquetin se porte bien dans la plupart des territoires où il vit et n’est pas sous statut de menace. Quelques sous-espèces sont cependant en danger, dont le bouquetin d’Espagne car deux d’entre elles se sont déjà éteintes. La disparition la plus récente concerne celle de Cabra pyrenaica pyrenaica date de l’année 2000. Capra pyrenaica lusitanica s’est éteint au cours du XIXe siècle. La survie de la sous-espèce Capra pyrenaica hispanica dépend de sa protection, tandis que Capra pyrenaica victoriae est considérée comme vulnérable.

Bouquetin

Le terme antilope est utilisé pour désigner différents bovidés sauvages vivant dans la savane ou la steppe. Les antilopes sont des mammifères herbivores et vivent souvent en groupe. De couleur brune, elles possèdent des cornes creuses, effilées et légères.Au sens strict, les antilopes font partie du groupe des antilopinés, des animaux qui vivent en Afrique ou en Asie. Les antilopinés possèdent un corps svelte, de longues pattes, et leur croupe est blanche ; les mâles sont plus gros que les femelles. Parmi les antilopinés, se trouvent différentes espèces telles que :Les espèces du genre Gazella comme Gazella gazella, aussi appelée gazelle des montagnes ou gazelle Edmi.La Gazelle dama, ou Nanger dama, une espèce en danger critique d’extinction d’après la Liste rouge des espèces menacées établie par l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).L’unique espèce du genre antilope : l’antilope cervicapre, originaire d’Inde. Cette antilope indienne a disparu de certaines régions et est protégée dans des réserves indiennes. Elle a aussi été introduite comme gibier en Amérique.Antidorca marsupialis, le springbok, que l’on trouve notamment en Namibie. Le terme marsupialis fait référence à la présence d’une poche sur son dos. Cette antilope a pour particularité de sauter d’où le nom de springbok, où spring signifie saut en Afrikaner.D’autres espèces souvent qualifiées d’antilopesMais d’autres espèces sont parfois qualifiées d’antilopes, bien qu’elles n’appartiennent pas aux antilopinés. C’est par exemple le cas des animaux suivants :L’impala Aepyceros melampus, dont le mâle possède des cornes annelées en forme de lyre.Le koudou, avec le grand koudou (Tragelaphus strepsiceros) et le petit koudou (Tragelaphus imberbis).L’oryx, un genre comprenant plusieurs espèces : l’oryx d’Arabie, l’oryx gazelle…Le dik-dik, qui doit son nom à son cri, et qui ne mesure que 35 cm pour un poids de 4 kg.La saïga (Saiga tatarica) qui vit en Eurasie (Mongolie, Kazakhstan).L’éland du Cap, une espèce qui mesure 1,8 m et pèse 900 kg.Le gnou…

Antilope

On qualifie de mouvement, la variation de la position d'un point, d'un solide ou d'un système, étudié dans un référentiel donné, en fonction du temps. Un mouvement est décrit grâce à une vitesse et à une trajectoire. Cette dernière donne l’ensemble des positions que prend le point au cours du temps. Notez que selon le référentiel choisi, le mouvement n’est pas le même. Un point en mouvement dans un référentiel peut même se retrouver au repos dans un autre. C’est le cas, par exemple d’un avion que l’on ravitaille en vol. Ce dernier est immobile dans le référentiel du ravitailleur, mais en mouvement dans celui du sol.Ainsi le référentiel terrestre – rattaché au sol – permet d’étudier le mouvement d’objets se déplaçant à la surface de la Terre. Le référentiel géocentrique – centré sur la Terre et dirigé selon des étoiles fixes - est utilisé pour décrire des objets en mouvement autour de la Terre. Et le référentiel héliocentrique – centré sur le Soleil et dirigé selon des étoiles fixes – sert à décrire les mouvements d’objets se déplaçant autour du Soleil.Lorsque la trajectoire est courbe sans être circulaire – comme celle d’un ballon qui rebondit -, on parle de mouvement curviligne. © sharpshutter22, FotoliaDifférents types de mouvementsEn fonction de la vitesse et de la trajectoire, il existe plusieurs types de mouvement. On parle par exemple de mouvement rectiligne uniforme accéléré lorsque la trajectoire correspond à une droite et que la vitesse augmente au fil du temps. Le mouvement est circulaire ralenti – ou encore décéléré – lorsque la trajectoire est représentée par un cercle et que la vitesse diminue avec le temps. Le mouvement est par ailleurs qualifié d’uniforme lorsque la vitesse reste constante.On distingue aussi les mouvements de rotation des mouvements rectilignes. En effet, un corps est dit en rotation si la trajectoire de chacun de ses points est un cercle centré sur un axe de rotation. Ainsi un mouvement hélicoïdal correspond-il à la combinaison d’un mouvement rectiligne et d’un mouvement de rotation.Enfin, il existe des mouvements plus aléatoires, comme le mouvement brownien. C’est ainsi que l’on nomme le mouvement adopté par une grosse particule au milieu de petites particules avec lesquelles elle entre en collision dans un fluide.

Mouvement

Les pétales correspondent à l’ensemble des pièces composant la corolle d’une fleur. Ils se situent au-dessus des sépales.
Les pétales sont généralement colorés pour attirer les organismes pollinisateurs. Les plantes dicotylédones en possèdent généralement 4 à 5. Les monocotylédones en ont quant à elles 3 ou un multiple de 3.

Pétale

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Situ&eacute;e dans la chambre fun&eacute;raire, la &laquo;&nbsp;maison d'&eacute;ternit&eacute; du pharaon&nbsp;&raquo; se compose de quatre coffres-chapelles. Sur les faces externes des [popupdefinition id=10786]murs[/popupdefinition] lat&eacute;raux de la troisi&egrave;me sont figur&eacute;es les repr&eacute;sentations des dieux protecteurs. Ici, Douamoutef, &agrave; t&ecirc;te de [popupdefinition id=12694]chacal[/popupdefinition]. Cette divinit&eacute; fait partie des quatre g&eacute;nies fun&eacute;raires, appel&eacute;s les &laquo; fils d'Horus &raquo;. Douamoutef, le chacal, prot&egrave;ge l'[popupdefinition id=6857]estomac[/popupdefinition]&nbsp;et assure que les ennemis seront vaincus ; Amset, l'homme,&nbsp;prot&egrave;ge&nbsp;le [popupdefinition id=6966]foie[/popupdefinition] ;&nbsp;H&acirc;pi, le babouin, d&eacute;fend&nbsp;les [popupdefinition id=7024]poumons[/popupdefinition]&nbsp;; et K&eacute;behs&eacute;nouf, le faucon, prot&egrave;ge l'intestin. Pour que leurs missions soient accomplies, ils sont chacun associ&eacute;s &agrave; un point cardinal et&nbsp;&agrave; une d&eacute;esse,&nbsp;pleureuse divine. Elles sont repr&eacute;sent&eacute;es sur le coffre en alb&acirc;tre qui contient les vases canopes renfermant les visc&egrave;res.Les vignettes et inscriptions d&eacute;couvertes sur les chapelles, notamment sur les deuxi&egrave;me et troisi&egrave;me chapelles, sont extraites des textes sacr&eacute;s d'&Eacute;gypte, dont l'Amdouat repr&eacute;sentant &laquo;&nbsp;ce qu'il y a dans le monde inf&eacute;rieur&nbsp;&raquo;. Ce texte du &laquo;&nbsp;Voyage du [popupdefinition id=3727]soleil[/popupdefinition] durant les douze heures de la nuit&nbsp;&raquo; pr&eacute;pare le pharaon &agrave; effectuer&nbsp;cette m&ecirc;me travers&eacute;e pour rena&icirc;tre &agrave; l'immortalit&eacute;.&nbsp;&copy; Claude Valette, CC by-nc 2.0

Les gardiens de Toutânkhamon

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Toujours sur les [popupdefinition id=10786]murs[/popupdefinition] externes de la troisi&egrave;me chapelle, voici le faucon, Horus, &laquo;&nbsp;le lointain&nbsp;&raquo;, &laquo;&nbsp;celui qui est au-dessus&nbsp;&raquo;. Il est le dieu solaire, ses yeux repr&eacute;sentent le [popupdefinition id=3727]soleil[/popupdefinition] et la [popupdefinition id=2550]lune[/popupdefinition], souvent coiff&eacute; de la double couronne des pharaons. Il est &agrave; la fois le protecteur du pharaon et son incarnation terrestre. Par son anciennet&eacute; dans la mythologie &eacute;gyptienne et sa complexit&eacute;, il existe plusieurs repr&eacute;sentations d'Horus.Lors d'un combat avec son oncle, Seth (dieu de la confusion et du d&eacute;sordre), Horus&nbsp;perd&icirc;t un [popupdefinition id=14131]&oelig;il[/popupdefinition] et le r&eacute;cup&eacute;ra&nbsp;gr&acirc;ce &agrave; Thot. Depuis, cet &oelig;il, appel&eacute; &laquo;&nbsp;oudjat&nbsp;&raquo;, repr&eacute;sente la victoire de l'ordre sur le chaos et &eacute;loigne la malchance. Il ornait la proue des bateaux pour se prot&eacute;ger des hippopotames lors de la [popupdefinition id=7357]p&ecirc;che[/popupdefinition] ou de la travers&eacute;e du Nil. Symbole de vaillance, de loyaut&eacute; et de fid&eacute;lit&eacute; familiale, il est le&nbsp;garant de l'harmonie universelle.&nbsp;Horus est le dieu de la royaut&eacute;, du soleil &agrave; son [popupdefinition id=964]z&eacute;nith[/popupdefinition].&nbsp;&copy; Claude Valette, CC by-nc 2.0

Horus, le faucon, le dieu solaire - Photos Futura

Il est difficile de déterminer avec précision quand le premier mur a été construit, car les premières constructions humaines remontent à la préhistoire. Cependant, on sait que les premiers Hommes util...

Etoile centrale du système solaire. 
Le Soleil est l'étoile la plus proche de la Terre, dont elle est distante d'environ 150 millions de kilomètres. Le Soleil est situé à 8,5 kparsecs du centre de la ...

Une lune
Une lune avec un « L » minuscule est le satellite d'une planète. Par exemple Phobos et Deimos sont les deux lunes de la planète Mars.
La Lune
La Lune avec un « L » majuscule est l'unique sate...

Lune

L'œil, également appelé globe oculaire, correspond à l’organe de la vue, captant le signal lumineux avant que l’information ne soit réinterprétée par le cerveau et transformée en formes et en couleurs...

Le mot pêche peut désigner le fruit ou l'activité consistant à prélever des espèces aquatiques (poissons, crustacés...) dans les mers et océans afin d'en faire du commerce alimentaire. Ci-dessous, la ...

Pêche

En astronomie, le zénith désigne le point à la verticale (90°) de l’observateur sur la sphère céleste imaginaire où circule l’astre. Autrement dit, c’est le point juste au-dessus de notre tête. Le poi...

Zénith

Horus, le faucon, le dieu solaire

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Pos&eacute; sur le couvercle du naos dor&eacute; contenant le vase &agrave; canopes, Anubis est pr&eacute;sent&eacute; sous la forme d'un [popupdefinition id=12831]canid&eacute;[/popupdefinition] en alerte et couch&eacute; sur le ventre. Il est en [popupdefinition id=4042]bois[/popupdefinition] bitum&eacute;, les [popupdefinition id=14131]yeux[/popupdefinition] sont rouges, en [popupdefinition id=1056]calcite[/popupdefinition] et en obsidienne tandis que leur contour et les [popupdefinition id=2406]sourcils[/popupdefinition] sont en or, les griffes en [popupdefinition id=14862]argent[/popupdefinition]. Faisant face &agrave; la chambre fun&eacute;raire de Tout&acirc;nkhamon, la pi&egrave;ce o&ugrave; se trouvent les coffres-chapelles,&nbsp;<a href="https://www.futura-sciences.com/sciences/questions-reponses/antiquite-egypte-ancienne-sont-principaux-dieux-5614/" title="&Eacute;gypte ancienne : qui sont les principaux dieux ?">Anubis</a> &eacute;tait ainsi positionn&eacute; &agrave; l'entr&eacute;e de la salle du Tr&eacute;sor quand il fut d&eacute;couvert. Tel le gardien des [popupdefinition id=13332]s&eacute;pultures[/popupdefinition], il veillait sur le Naos. Il&nbsp;contenait&nbsp;le vase &agrave; canopes &agrave; l'int&eacute;rieur duquel se trouvaient&nbsp;les sarcophages &agrave; visc&egrave;res ;&nbsp;les bijoux pectoraux et amulettes, des bols en alb&acirc;tre utilis&eacute;s pour les rites fun&eacute;raires y &eacute;taient aussi plac&eacute;s. L'ensemble reposait sur des brancards afin de pouvoir &ecirc;tre sorti lors des processions. Il est encore difficile, aujourd'hui, de d&eacute;terminer si cette divinit&eacute; repr&eacute;sente un [popupdefinition id=12694]chacal[/popupdefinition], un [popupdefinition id=15744]chien[/popupdefinition], un loup ou un renard&nbsp;efflanqu&eacute;. &copy; Claude Valette, CC by-nc 2.0

Anubis sur le naos de Toutânkhamon

Matière minérale constituant les concrétions. La structure cristalline de la calcite est de forme rhoboédrique, c'est à dire en forme de solide à 6 faces en forme de losanges.

Calcite

Une sépulture est le lieu où l’on dépose le corps d’un mort. Par exemple, les pyramides d’Égypte étaient destinées à l’inhumation des pharaons.
Le mot sépulture vient du latin sepultura, qui désigne les derniers devoirs comme la sépulture. La sépulture caractérise aussi l’inhumation d’un corps dans un tombeau.Champ lexical : caveau | tombeauChamp lexical : caveau | tombeauChamp lexical : caveau | tombeauChamp lexical : caveau | tombeau

Le chien est un mammifère carnivore de la famille des canidés, issu du loup, le Canis lupus. Son nom scientifique est d’ailleurs Canis lupus familiaris. Familiaris parce qu’il a été domestiqué par l’Homme il y a plus de 30.000 ans. Il a été sélectionné grâce à des hybridations entre races. Et le chien est aujourd’hui — avec le chat — l’un des animaux de compagnie préférés dans le monde. Il en existe plus de 300 races.
Si du chihuahua — le chien le plus petit du monde — à l’Irish wolfhound — le chien le plus grand du monde — ces races présentent des morphologies externes parfois bien différentes — d’une variété sans autre égale dans le règne animal —, leur anatomie interne reste semblable. Ainsi le squelette du chien compte quelque 300 os. Et il est à remarquer que ses pattes ne reposent au sol que par leur troisième phalange. Ainsi les chiens sont dits digitigrades.
Il est à noter aussi que l’espérance de vie des chiens varie en fonction de la race notamment. Les plus petits chiens vivent généralement plus vieux — entre 15 et 20 ans — que les plus grands — de 6 à 8 ans seulement.
Certains chiens sont désormais entraînés à détecter des appareils électroniques susceptibles de contenir des preuves (smartphones, clé USB, etc.) © Monika Wisniewska, Fotolia
Des sens plutôt aiguisés
Côté sens, l’odorat et l’ouïe sont les deux plus développés chez le chien. En effet, les chiens sont capables d’entendre aussi bien les ultrasons que les infrasons qui échappent à notre oreille humaine. Et proportionnellement à leur corps, leurs oreilles sont plus grandes que les nôtres. Avec une forme permettant d’amplifier les sons aussi. Sans parler du fait qu’elles sont également bien plus mobiles que nos oreilles. Les chiens comptent par ailleurs quelque dix fois plus de cellules olfactives que les humains et quarante fois plus de neurones dédiés à l’odorat. Ainsi, ils sont capables de discerner plus de 500.000 molécules odorantes. En revanche, on peut dire que le chien ne voit pas le monde aussi bien que nous. Sa vision n’est pas capable de distinguer les détails, mais il perçoit très bien les mouvements.
Chien de chasse, chien de garde et chien de berger
Toutes ces caractéristiques font du chien un animal de compagnie très apprécié. Mais il est aussi utilisé par l’Homme dans d’autres missions. Il peut être chien de berger pour surveiller les troupeaux ou chien de chasse au service des chasseurs. Il peut aider au sauvetage de personnes en détresse ou faire office de chien de garde.
Chien truffier, chien guide, chien de traîneau et chien policier
En raison de son flair très développé, le chien peut être employé à trouver des truffes (les chiens truffiers). Grâce à un dressage particulier, le chien peut aussi assister des personnes malvoyantes ou handicapées (chien guide) ou bien devenir chien de traîneau.
Les chiens policiers présents dans les services de police, de gendarmerie ou de l’armée, servent à détecter des explosifs, des stupéfiants, ou à reconnaître des suspects dans le cadre d’enquêtes.
On n’adopte pas un chien comme on offre un jouet. L’acte doit être mûrement réfléchi, car il engage sur plusieurs années. © andrewicus, Pixabay, CC0 Creative Commons
Races de chiens
Voici une liste non exhaustive de quelques races de chiens célèbres : 
berger allemand ;labrador ;golden retriever ;dalmatien ;sharpeï ;caniche ;yorkshire-terrier ;coton de Tuléar ;berger australien.
L’Homme, meilleur ami du chien ?
On dit souvent que le chien est le meilleur ami de l’Homme. Mais l’inverse est-il vrai ? Le chien est fidèle à son maître. Et pour être qualifié de meilleur ami du chien, l’Homme devrait aussi lui montrer fidélité. Prendre un chien est en effet un engagement sur du long terme et la décision doit être prise de manière réfléchie.
Vacances, sorties, dressage autant de points qu’il faut anticiper avant d’intégrer Medor dans votre quotidien. À ne pas négliger non plus, le coût des soins qui peut être vite très élevé. Car en plus de son identification et de ses vaccinations obligatoires, un chien peut tomber malade ou se blesser. Heureusement, il est aujourd’hui possible de souscrire à une assurance chien pour se faire rembourser une partie au moins des frais vétérinaires engagés dans ces cas.

Chien

L'œil, également appelé globe oculaire, correspond à l’organe de la vue, captant le signal lumineux avant que l’information ne soit réinterprétée par le cerveau et transformée en formes et en couleurs. Il se compose de différentes régions lui permettant d’assurer sa fonction, de la cornée jusqu’à la rétine. Il est inséré dans une orbite, et on en retrouve une ou plusieurs paires chez bon nombre d’espèces animales, aussi bien chez les arthropodes, les mollusques ou les vertébrés.
Anatomie de l’œil humain
L’œil humain correspond grossièrement à une petite boule de 2,5 cm de diamètre, pesant sept à huit grammes. Comme chez beaucoup de mammifères, le globe oculaire se compose de différentes couches. La plus externe correspond à la sclère, membrane résistante qui donne sa couleur blanche à l’œil en le recouvrant à 80 %, sur laquelle s’insèrent les muscles oculomoteurs. Au centre se trouve la cornée, qui permet de capter les premiers rayons de lumière et de commencer la réfraction.
Sous la sclère, on trouve la choroïde, couche fine irriguée de vaisseaux sanguins et assurant la nutrition de la rétine et de l’iris.
La rétine, située dans le fond du globe oculaire, au contact de la choroïde, correspond à la région directement sensible à la lumière, polarisée principalement par la cornée et le cristallin. Elle est composée de cellules en cônes et en bâtonnets, sensibles aux détails de l’environnement et à la luminosité. C’est à ce niveau que le signal lumineux va être traduit en message nerveux, et être envoyé au cerveau par le nerf optique.
Au centre de l’œil, derrière la cornée, on trouve l’iris, région qui confère sa couleur particulière au globe oculaire. En son centre, on trouve la pupille, région sombre qui, sous l’action de muscles, se contracte ou se dilate pour laisser passer plus ou moins de lumière, à l’instar d’un diaphragme sur un appareil photo.
L’essentiel du volume de l’œil (90 %) est dû à l’humeur vitrée, liquide gélatineux situé en arrière du cristallin, qui donne au globe oculaire sa consistance. Il contribue également à la réfraction de la lumière.
Les yeux composés
Si l’Homme, les autres vertébrés et d’autres groupes possèdent deux yeux simples, ce n’est pas le cas chez tous les animaux. Ainsi, de nombreux arthropodes, comme les mouches, les libellules ou les crabes possèdent des yeux composés, c’est-à-dire un ensemble de photorécepteurs appelés ommatidies. Certains de ces animaux peuvent posséder jusqu’à cinq yeux composés.Champ lexical : yeux | globe oculaireChamp lexical : yeux | globe oculaireChamp lexical : yeux | globe oculaire

Les sourcils sont une tâches brillantes au dessus des yeux de certaines espèces ayant une fonction d'attirance sexuelle et de reconnaissance.

Anatomie et fonction des sourcils chez l'homme
Les sourcils sont des éléments anatomiques essentiels chez l'humain, composés principalement de poils courts et épais situés au dessus de la cavité orbitale. Leurs rôles vont bien au-delà de la simple attraction sexuelle ou reconnaissance, jouant un rôle crucial dans la protection, l'expression faciale et non verbale.

Protection contre les éléments
Les sourcils empêchent la sueur, l'eau, et d'autres débris de pénétrer dans les yeux. Cette fonction protectrice est essentielle pour maintenir une vision claire et protéger l'œil des irritations et infections.

Communication et expressions faciales
Les sourcils jouent un rôle significatif dans la communication non verbale. Ils aident à exprimer des émotions comme la surprise, la colère ou la tristesse. Le mouvement des sourcils peut modifier profondément l'expression du visage et influer sur les interactions sociales.

La composition et la croissance des sourcils
Les poils des sourcils, comme tous les poils du corps, sont composés de kératine, une protéine fibreuse qui confère résistance et structure. La croissance des sourcils est cyclique et se compose de trois phases : anagène (croissance active), catagène (transition), et télogène (repos).

Impact des sourcils sur l'esthétique et la mode
Au fil des siècles, l'apparence des sourcils a largement été influencée par les tendances esthétiques et culturelles. Dans de nombreuses cultures, des sourcils bien définis sont considérés comme un signe de beauté et sont souvent modifiés par des techniques telles que l'épilation, le maquillage ou même le tatouage.

Influence des sourcils sur la perception du visage
Des études psychologiques ont montré que la forme, la taille et la couleur des sourcils peuvent affecter la façon dont les gens perçoivent l'âge, le genre et l'émotion du visage d'une personne. Par exemple, des sourcils plus fournis sont souvent associés à la jeunesse.

Troubles et soins des sourcils
Plusieurs troubles peuvent affecter les sourcils, incluant l'alopécie (perte de poils), la dermatite (inflammation de la peau sous les sourcils) et les infections. Un soin approprié des sourcils, comprenant un nettoyage régulier et l'utilisation de produits adaptés, est crucial pour maintenir leur santé et leur apparence. 

Techniques modernes de soin et d'embellissement des sourcils
Avec l'avancement des techniques cosmétiques, diverses méthodes pour soigner et embellir les sourcils sont devenues populaires. Des méthodes telles que le microblading, une forme de tatouage semi-permanent, permettent de redéfinir les sourcils et de combler les zones inégales pour une apparence plus pleine et symétrique.

En somme, les sourcils ne sont pas seulement des caractéristiques esthétiques du visage, mais jouent également des rôles cruciaux dans la protection, la communication non verbale, et l'expression des émotions. Leur entretien est essentiel pour la santé oculaire et la beauté, soulignant leur importance dans les routines de soins personnels.

Sourcil

Les canidés forment une famille de mammifères carnassiers aux griffes non rétractiles. Ils se répartissent en 12 genres, en 23 espèces et en 4 sous-espèces pour le genre Canis. Ils possèdent tous un museau pointu et de longues canines. On les trouve sur l’ensemble des continents de la planète à l’exception de l’Antarctique, dans les milieux les plus divers depuis le Grand Nord jusque dans les zones arides, et à diverses altitudes. Ils font preuve d’une grande faculté d’adaptation.
Loup mexicain. © Wikipédia, Jim Clark, USFWS, domaine public
Les canidés possèdent une ouïe et un odorat extrêmement développés, ce qui leur permet de chasser de jour et de nuit. Ils peuvent même repérer les grattements des proies sous quelques dizaines de centimètres sous terre. Certaines espèces chassent en groupes, tandis que d’autres pratiquent la traque en solitaire comme le renard. Les animaux chassant à plusieurs se rabattent sur les grands mammifères : cervidés et bovidés (famille à laquelle appartiennent aussi bien les buffles que les gazelles) afin de pourvoir à la nourriture de la meute, tandis que les solitaires se contentent de petits rongeurs : lièvres, mulots, campagnols, lemmings, lézards ou insectes. 
Loup gris scandinave. © Wikipédia, Malene Thyssen, GNU FDL Version 1.2
Les canidés possèdent une gamme étendue de vocalisations qui vont du jappement à l’aboiement, au grognement ou au hurlement, et de gestuelles qui régulent la vie sociale du groupe. Au contraire des animaux solitaires, les bandes sont menées par un couple nommé alpha qui a priorité pour se nourrir et qui est le seul à pouvoir se reproduire. Ils marquent leur territoire à l’aide de signaux olfactifs.
Dans certaines régions, même s’ils sont encore chassés ou empoisonnés parce qu’ils pratiquent des déprédations sur le bétail, ils sont malgré tout utiles car ils régulent la prolifération de certaines espèces nuisibles aux cultures. 
Dingo dans le Territoire du nord en Australie. © Wikipédia, kwm00re, CC BY-SA 2.0 
La famille des canidés se subdivise de la façon suivante en 3 sous familles de Caninae.
Tribu Canini ou chiens véritables 
Genre Canis
Canis lupus (loup gris) qui compte de nombreuses sous-espèces :
Canis lupus lupus (loup eurasien) que l’on trouve depuis l’Europe jusqu’à la Chine. Il existe toujours une incertitude sur la distinction génétique des sous-espèces des loups ibériques et italiens ;Canis lupus dingo que l’on ne peut observer qu’en Australie ;Canis lupus albus (loup de la toundra) qui hante l’extrême nord de la Scandinavie, de la Russie et du Kamtchatka ; Canis lupus arabs (loup arabe) qui vit dans la péninsule arabique, au Yémen, en Jordanie et dans le sud d’Israël ;Canis lupus arctos (loup arctique) est une espèce qui se cantonne dans l’Arctique canadien, en Alaska et dans le nord du Groenland ;Canis lupus baileyi (loup mexicain) est typique des paysages arides du sud-est des États-Unis comme le Texas, l’Arizona et du nord du Mexique ;Canis lupus campestris (loup des steppes) se délimite dans le nord de l’Ukraine, le sud du Kazakhstan et le Caucase ;Canis lupus chanco (loup tibétain) que l’on trouve dans toute la chaîne du Pamir et de l’Himalya ;Canis lupus crassodon (loup de l’île de Vancouver) dont l’habitat se réduit à cette île de Colombie britannique ;Canis lupus familiaris (chien domestique) que l’on trouve partout dans le monde sous diverses morphologies ;Canis lupus hudsonicus (loup de la baie d’Hudson) que l’on voit dans le Manitoba et les Territoires de l’Ouest ;Canis lupus irremotus (loup des Montagnes Rocheuses) qui vit dans le nord de la chaîne des Rocheuses ;Canis lupus labradorius (loup du Labrador) que l’on observe dans le Labrador, le nord du Québec et même sur Terre-Neuve ;Canis lupus ligoni (loup de l’archipel Alexandre) qui vit uniquement sur les îles composant cet archipel ;Canis lupus lupaster (loup d’Afrique) redécouvert au Sénégal en 2008 et dont les populations s'étendent jusqu’en Éthiopie ;Canis lupus lycaon (loup de l’Est) qui occupe principalement le parc Algonquin en Ontario ;Canis lupus mackenzii (loup de Mackenzie) inféodé aux Territoires du Nord-Ouest ;Canis lupus manningi (loup de l’île de Baffin) qui se limite à cette île ;Canis lupus nubilus (loup des bisons) que l’on observe dans la région des grands lacs aux États-Unis ;Canis lupus occidentalis (loup de la vallée du Mackenzie) qui hante l’ouest du Canada ;Canis lupus orion (loup du Groenland) au sujet duquel il existe une controverse. En effet, les cinq spécimens capturés étant plus petits que le loup arctique, il est probable qu’il s’agisse de spécimens dénutris. Mais le cas n’est pas tranché ;Canis lupus pallipes (loup indien) qui s’est approprié les territoires de l’ouest indien, du Pakistan jusqu’en Arabie saoudite et au sud d’Israël ou il côtoie le loup arabe ;Canis lupus pambasileus (loup du Yukon) qui vit en Alaska et au Yukon ;Canis lupus rufus (loup rouge) qui ne se trouve plus que dans l’est de la Caroline du Nord aux États-Unis ;Canis lupus tundrarum (loup de la toundra alaskienne) que l’on ne trouve qu’en Alaska ;Canis latrans (coyote ou loup des prairies) que l’on observe sur l’ensemble du territoire nord-américain ;Canis simensis (loup d’Éthiopie) qui se raréfie dans ce pays. On le trouve sur les hauts-plateaux vers 3.000 mètres d’altitude. Il ne reste plus que 500 spécimens en liberté. Aucun en captivité… Il se nourrit principalement du rat-taupe géant ;Canis aureus (chacal doré) qui se diviserait en 13 sous-espèces, se déplace en Afrique du Nord et de l’Est, mais également dans le sud de l’Asie et le sud-est de l’Europe. Il serait réapparu en Hongrie et a été observé en Suisse à l’automne 2011 ;Canis adustus (chacal à flancs rayés) dont il existe 6 sous-espèces hante l’Afrique centrale et méridionale ;Canis mesomelas (chacal à chabraque ou à dos noir) vit dans les zones désertiques de l’ouest et du sud de l’Afrique. On l’observe régulièrement sur les plages namibiennes, à roder autour des otaries à fourrures du Cap dans l’espoir de voler un jeune.
Chacals à chabraque sur une plage namibienne. © Wikipédia, Harald Stüpfle, CC BY-SA 2.5
Genre Cuon
Cuon alpinus (dhôle) que l’on trouve surtout sur le sous-continent indien mais également en Russie, en Corée et même au Japon…
Dhole. © Flickr, rore, CC BY-SA 2.0
Genre Lycaon
Lycaon pictus (lycaon ou chien peint) dont il existe 5 sous-espèces se trouve dans les savanes et les zones faiblement boisées de l’ensemble du continent africain. Il chasse en meute.
Lycaons affamés. © Wikipédia, Brian Gratwicke, CC BY 2.0
Genre Atelocynus
Atelocynus microtis (chien des buissons aux oreilles courtes) que l’on ne trouve que dans les forêts tropicales d’Amérique du Sud : Brésil, Pérou, Équateur, Colombie… Ses mœurs sont nocturnes.
Genre Cerdocyon
Cerdocyon thous (renard crabier) qui vit en Amérique du Sud : Venezuela, Uruguay, Paraguay, Argentine… et occupe tous les milieux à l’exception des milieux ouverts qui sont occupés par le renard des pampas. C’est la seule espèce de Cerdocyon encore vivante. 
Genre Lycalopex
Lycalopex culpaeus (culpeo ou renard des Andes) qui se cantonne à la cordillère du même nom en Amérique du Sud ;Lycalopex fulvipes (renard de Darwin) en voie de disparition ne vit que sur l’île de Chiloe et dans le parc national de Nahuelbuta au Chili ;Lycalopex griseus (renard gris) que l’on trouve des deux côtés de la cordillère des Andes en Argentine et au Chili ;Lycalopex gymnocercus (renard des pampas) dont on dénombre 5 sous-espèces, qui occupe les habitats ouverts du nord et du centre de l’Argentine, de l’Uruguy, du Paraguay, de Bolivie et du sud du Brésil ;Lycalopex sechurae (renard du désert péruvien) qu’on ne trouve que dans le désert de Sechura, dans les forêts sèches et sur les plages dans le sud-ouest de l’équateur et le nord-ouest du Pérou ;Lycalopex vetulus (renard cendré) qui fréquente les forêts claires et les savanes du centre du Brésil. 
Renard des Andes ou de Magellan. © Wikipédia, Christian Mehlführer, CC BY-SA 3.0
Genre Chrysocyon
Chrysocyon brachyurus (loup à crinière) qui occupe les prairies buissonneuses du centre ouest et du sud-est du Brésil, du nord de l’Argentine et de la Bolivie.
Genre Speothos
Speothos venaticus (chien des buissons) dont on reconnaît 3 sous-espèces, que l’on trouve dans les savanes humides ou dans les forêts tropicales d’Amérique du Sud.
Chien des buissons. © Patrick Straub
Tribu Vulpini ou renards vrais
Genre Vulpes
Vulpes lagopus (renard arctique), dont il existe 4 sous-espèces, fréquente la toundra arctique américaine et eurasienne ; Vulpes vulpes (renard roux) réparti en 45 sous-espèces, qui vit essentiellement dans l’hémisphère nord des continents eurasiens et nord américain, aussi bien en plaine qu’en montagne ;Vulpes velox (renard véloce) que l’on observe plus généralement dans les prairies à herbes courtes du centre des États-Unis et dans une partie des montagnes Rocheuses ;Vulpes macrotis (renard nain) qui occupe le sud-ouest des États-Unis et le Mexique. Bien qu’il existe quelques populations distinctes (renard nain de San Joaquin, renard nain du désert du Mojave et renard nain du sud de la Californie), celles-ci ne sont pas officiellement reconnues comme étant des sous-espèces ;Vulpes corsac (renard corsac ou des steppes) possède 3 sous-espèces reconnues, qui vit dans les steppes d’Asie centrale depuis le Kazakhstan jusqu’en Chine ;Vulpes chama (renard du Cap) qui est répandu au Zimbabwe, au Botswana, au Lesotho et en Afrique du Sud ;Vulpes pallida (renard pâle) qui évolue dans le Sahel africain depuis le Sénégal jusqu’au Soudan. Il en existe 5 sous-espèces ;Vulpes bengalensis (renard du Bengale) qui est endémique du sous-continent indien, se trouve depuis le Pakistan, aux contreforts du Népal, jusqu’au Bengladesh ;Vulpes ferrilata (renard de sable tibétain) vit sur les hauts plateaux himalayens en Chine, au Népal, au Sikkim et au Bhoutan jusqu’à une altitude de plus de 5.000 mètres ;Vulpes cana (renard de Blanford) qui habite dans les régions semi arides du Moyen-Orient au Turkestan, en Iran et au Pakistan ;Vulpes ruepelli (renard de Rüppel) dont on relève 5 sous-espèces, qui s’observe en Afrique du nord depuis le Maroc, jusqu’au Moyen-Orient et en Afghanistan ;Vulpes zerda (fennec) que l’on rencontre dans les zones désertiques africaines depuis le Maroc jusqu’en Égypte. Il est présent assez bas dans le sud, jusqu’au Niger, ainsi que dans la péninsule du Sinaï et au Koweit. 
Renard roux. © Wikipédia, Malene Thyssen, GNU FDL Version 1.2
Genre Urocyon
Urocyon cinereoargenteus (renard gris) dont on dénombre 16 sous-espèces se trouve depuis le sud du Canada sur l’ensemble de l’Amérique du Nord et centrale ;Urocyon littoralis (renard des îles) que l’on ne peut observer que sur 6 des 8 îles situées au large de la Californie aux États-Unis ;Urocyon sp. (renard de Cozumel) qui est une espèce non décrite probablement éteint que l’on ne pouvait voir que sur l’île du même nom au Mexique. Le dernier rapport d’observation date de 2001.
Renard gris. © Flickr, Bill Bouton, CC BY-NC-ND 2.0
Caninae basale ou renard et chien primitif
Genre Otocyon
Otocyon megalotis (renard aux oreilles de chauve-souris) qui occupe le sud africain depuis la Zambie jusqu’en Afrique du Sud. Une seconde population vit dans le sud Soudan et en Éthiopie.
Un gremlin sud-africain. © Flickr, berniedup, CC BY-NC-SA 2.0
Genre Nyctereutes
Nyctereutes procyonoides (chien viverrin) dont il existe 5 sous-espèces se rencontre dans tout l’hémisphère nord eurasien depuis la Scandinavie jusqu’en Chine.
Chien viverrin. © Wikipédia, Pkuczynski, GNU FDL Version 1.2
À découvrir sur Futura-Sciences :
loup rouge ;loup ibérique ;loup gris ;loup de l’est ;loup à crinière ;loup du Mexique ;chacal doré ;chacal à chabraque ;dingo ;dhole ;coyote ;lycaon ;renard roux ;renard polaire ;chien viverrin ;chien des buissons ;fennec.

Canidé


13205_anubis-sur-le-naos-de-toutankhamon

Ce sont des figurines rituelles du pharaon Tout&acirc;nkhamon. Elles montrent le jeune roi dans ses activit&eacute;s quotidiennes, des&nbsp;sc&egrave;nes rituelles de chasse &agrave; l'hippopotame et de [popupdefinition id=7357]p&ecirc;che[/popupdefinition] au harpon. Le souverain est tant&ocirc;t coiff&eacute; d'une sorte de mitre blanche, oblongue (statuette au centre), le Hedjet qui est la couronne de la Haute-&Eacute;gypte ; tant&ocirc;t coiff&eacute; du Decheret, couronne rouge, celle de la Basse-&Eacute;gypte (statuettes &agrave; gauche et &agrave; droite). Parfois, il [popupdefinition id=10855]porte[/popupdefinition] les deux embo&icirc;t&eacute;es l'une sur l'autre en signe de souverainet&eacute; unifi&eacute;e, la double couronne s'appelle alors le Pschent. Le pharaon est v&ecirc;tu du pagne pliss&eacute;.Le [popupdefinition id=14968]style[/popupdefinition] amarnien transpara&icirc;t ici&nbsp;: il se distingue par un art d&eacute;licat et des personnages &agrave; la bouche charnue, un ventre renfl&eacute;, un cou tendu et des formes allong&eacute;es&nbsp;; c'est une esth&eacute;tique propre au r&egrave;gne de son p&egrave;re Akhenaton. Lorsqu'elles ont &eacute;t&eacute; d&eacute;couvertes, ces figurines &eacute;taient toutes d&eacute;licatement v&ecirc;tues de toile de [popupdefinition id=10293]lin[/popupdefinition].&nbsp;&copy; Claude Valette, CC by-nc 2.0

Toutânkhamon, chassant au harpon

Le lin est une plante herbacée annuelle répandue dans toute l’Europe. Pouvant atteindre un mètre de hauteur, sa tige frêle porte des feuilles très étroites. Ses fleurs isolées atteignent 3 cm de diamètre et portent cinq pétales d’un bleu pâle caractéristique. Les fruits sont des capsules globuleuses d’un brun clair, divisées à l’intérieur en une dizaine de petites « loges » dont chacune contient une graine unique. 
Le lin est notamment recommandé pour lutter contre la constipation chronique. La récolte du lin s’effectue de manière industrielle en été, à maturité des fruits. Ces derniers sont ensuite écrasés pour libérer les graines dont on extrait une huile abondante. Une fois cette opération réalisée, l’enveloppe restante est broyée pour donner la farine de lin. En phytothérapie, les graines sont parfois utilisées entières.
 Le lin, riche en huile
Les graines sont composées de 35 % à 45 % d’huile riche en acides gras insaturés. Elles possèdent également des propriétés laxatives. C’est pourquoi elles sont recommandées contre la constipation chronique. Sous quelle forme ? Laissez macérer 15 à 20 graines dans un litre d’au froide toute une nuit. Buvez ensuite cette préparation tout au long de la journée. Il est également possible d’avaler quelques graines entières avec un grand verre d’eau. 
 La graine de lin soulage également les inflammations de la muqueuse gastrique et intestinale. En applications externes, elle est employée contre les inflammations articulaires, les dermatoses, les prurits, les contusions… Pour cela, procurez-vous de la farine de lin : mélangée à un peu d’eau, vous l’utiliserez pour confectionner un cataplasme. Après l’avoir fait tiédir, remplissez une compresse. Il ne vous reste plus qu’à l’appliquer sur la zone concernée, une à trois fois par jour.
 Sources : 
Phytothérapie, la santé par les plantes, Vidal éditeur ;Plantes médicinales, Ed. Gründ

Le mot pêche peut désigner le fruit ou l'activité consistant à prélever des espèces aquatiques (poissons, crustacés...) dans les mers et océans afin d'en faire du commerce alimentaire. Ci-dessous, la pêche (fruit) plus en détail.
Les pêches, rafraîchissantes et sucrées, sont à déguster tout au long de l'été.
Saison des pêches
Elles se succèdent au fil de la saison estivale, de juin à la fin septembre. Jaunes ou blanches, les pêches ont toujours une cote de popularité au plus haut niveau pendant l'été. Véritables stars sur les étals, ces fruits sont aussi des aliments bons pour la santé, riches en vitamine C et rafraîchissants quand il fait chaud.
Qualités nutritives des pêches
Pendant les vacances, outre les cocktails, les pêches peuvent aussi très bien faire l'affaire pour assouvir la soif. Ce sont des fruits très rafraîchissants qui réhydratent sans apporter de sucres. Cent grammes de pêche n'équivaut qu'à 40 calories. La pêche est par ailleurs un fruit intéressant en matière de vitamine. Pendant la saison, elle s'intègre idéalement au petit-déjeuner. Aussi, les adeptes du bronzage longue durée préféreront opter pour la pêche jaune, riche en provitamine A, qui favorise le teint hâlé.
Variétés de pêches
En France, plus de 300 variétés de pêches sont cultivées et sont produites en fonction des terroirs et du temps de maturation. Seules les couleurs blanches ou jaunes permettent aux consommateurs peu avisés de les reconnaître. 40 % de variétés à chair blanche et 60 % de variétés à chair jaune sont produites dans l'Hexagone. Il va de soi que les pêches sont produites par les pêchers. Mais contrairement aux idées reçues, les nectarines, blanches comme jaunes, et les brugnons poussent également sur cet arbre fruitier.
Cuisiner les pêches
À l'instar des abricots, autres stars de l'été, les pêches savent aussi bien se marier aux entrées qu'aux desserts. Pour se faire, rien de tel qu'un peu de mesclun avec du fromage de chèvre. Les pêches sont aussi parfaites pour être passées dans un blender pour des smoothies. Les cuisinières aimeront aussi l'accommoder en gratin.

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L'[popupdefinition id=4501]hypog&eacute;e[/popupdefinition] du pharaon comprend quatre salles reli&eacute;es par des couloirs.&nbsp;La chambre fun&eacute;raire abrite le [popupdefinition id=13332]tombeau[/popupdefinition] sous quatre chapelles, sortes d'immenses coffres sans [popupdefinition id=10840]plancher[/popupdefinition]. Le sarcophage en pierre ([popupdefinition id=1600]quartzite[/popupdefinition]) contenait lui-m&ecirc;me trois cercueils momiformes embo&icirc;t&eacute;s, telles des poup&eacute;es russes. Les deux premiers sarcophages ext&eacute;rieurs sont plaqu&eacute;s de feuilles d'or, martel&eacute;es et cisel&eacute;es&nbsp;; le dernier est en or pur et p&egrave;se 110,4 [popupdefinition id=354]kilogrammes[/popupdefinition]. C'est dans ce dernier que se trouve le corps momifi&eacute; du pharaon. Compos&eacute;s d'une cuve et d'un couvercle assembl&eacute;s par des tenons et des mortaises, les trois sont incrust&eacute;s, selon la technique du&nbsp;cloisonn&eacute; d'or, de p&acirc;te de verre, de pierres semi-pr&eacute;cieuses (cornaline rouge, turquoise bleu clair et lapis-lazuli bleu fonc&eacute;) et de roches (obsidienne noire, [popupdefinition id=1056]calcite[/popupdefinition] blanche). Sur les trois cercueils, le pharaon est repr&eacute;sent&eacute; coiff&eacute; du n&eacute;m&egrave;s, le plus embl&eacute;matique couvre-chef des pharaons, qui est un assemblage complexe de tissu, surmont&eacute; des animaux protecteurs, le faucon et le cobra. Sur un visage imberbe, il [popupdefinition id=10855]porte[/popupdefinition] la barbe postiche, tress&eacute;e, symbole de royaut&eacute; ; elle est&nbsp;recourb&eacute;e car le pharaon&nbsp;est ici dans sa repr&eacute;sentation mortuaire et donc, associ&eacute; &agrave; une divinit&eacute;.Sur ses bras crois&eacute;s, la crosse et le flagellum, deux des attributs &agrave; connotation pastorale. La crosse (ou H&eacute;qa) et le fl&eacute;au (ou Nekhekh) symbolisent les fonctions du berger, l'un par son crochet con&ccedil;u pour attraper les pattes du b&eacute;tail, l'autre, pour conduire le troupeau. Ils repr&eacute;sentent la puissance f&eacute;conde du souverain guidant, nourrissant et prot&eacute;geant son peuple. Quant au c&eacute;l&egrave;bre masque fun&eacute;raire, il recouvrait la t&ecirc;te et les &eacute;paules de la momie. Ce v&eacute;ritable chef-d'&oelig;uvre d'orf&egrave;vrerie est en or massif et p&egrave;se 11 kilogrammes.Bagues, bracelets, pendentifs, pectoraux, gorgerins...&nbsp;Plus de cent quarante-trois bijoux d'or &eacute;taient r&eacute;partis dans les bandelettes entourant le corps du pharaon.&nbsp;&copy; Tarekheikal, CC by-sa 4.0

Les sarcophages, ultimes demeures de Toutânkhamon

Le kilogramme est l’unité légale de masse, son unité SI – comprenez, celle du Système international d’unités. Son symbole : kg.La définition du kilogramme la plus récente est celle proposée par la 26e Conférence générale des poids et mesures. Elle repose sur la constante de Planck (h) dont la valeur est universelle et immuable.Les physiciens ont choisi cette constante comme base de la définition du kilogramme, car elle s’exprime en kg.m2.s-1. Or le mètre et la seconde sont précisément définis. Connaissant la valeur de la constante de Planck, h = 6,62607015 x 10-34 Js ou kg.m2.s-1, il devient donc possible de définir aussi précisément le kilogramme. À l’aide d’une balance de Kibble — appelée aussi balance du watt —, par exemple, qui permet de faire le lien entre la masse d’un objet et des propriétés électriques qui font intervenir la constante de Planck.Ici, une balance de Kibble, encore appelée balance du watt. Un instrument qui permet de mesurer de manière très précise la masse d’un objet. © Richard Steiner, Wikipedia, CC by-SA 3.0Une ancienne définition pas assez préciseRappelons que jusqu’en mai 2019, le kilogramme correspondait à la masse du prototype international en platine iridié de 1889 déposé au pavillon des Poids et Mesures (à Sèvres, Hauts-de-Seine), sous le contrôle du Bureau international des poids et mesures (BIPM), dont le représentant français est le LNE (Laboratoire national d’essai et de métrologie). D’autres prototypes, nationaux, existent dans le monde. L’étalon international détenu en France porte le numéro 35.Après la mesure effectuée en 1889, deux autres ont été effectuées pour comparer le prototype international à des prototypes nationaux d’autres pays et à des témoins, en 1946 et en 1989. Ces mesures ont mis en évidence une modification de la masse d’environ 30 microgrammes, avec une dispersion des résultats de la mesure de l’ordre de 100 microgrammes.Considérant que la précision de l’ordre de 5x10-8 de la définition du kilogramme était mauvaise, les chercheurs ont choisi de proposer une nouvelle définition, indépendante de tout objet physique.

Kilogramme

Qu'est-ce que le quartzite?
Roche sédimentaire constituée de grains de quartz détritiques cimentés par du quartz néoformé, ce qui lui confère une très grande dureté. En domaine métamorphique, les quartzites peuvent résulter de la recristallisation d'un grès ou de roches siliceuses initialement constituées de silice amorphe et de calcédoine.

Formation de quartzite
La formation du quartzite intervient majoritairement dans deux contextes géologiques. Le premier est un processus sédimentaire où les grains de quartz issus de la décomposition d'autres roches se déposent et s'accumulent dans des environnements comme les plages, les déserts ou les fonds marins. Par la suite, grâce à des processus diagenétiques, ces grains sont cimentés par de nouvelles formations de quartz créant ainsi une structure solide. Le second contexte est métamorphique, dans lequel un grès ou toute autre roche siliceuse préexistante subit une transformation sous l'effet de hautes températures et pressions entraînant une recristallisation du matériau original.

Caractéristiques et propriétés du quartzite
Le quartzite est reconnu pour sa forte résistance à l'abrasion et sa dureté qui peuvent rivaliser avec celle du granite. Cela rend la roche particulièrement prisée pour des applications variées, allant du revêtement de sols à l'utilisation en tant que matériau de construction. Sa capacité à résister aux variations climatiques ainsi qu'à la plupart des acides en fait un choix idéal pour des applications extérieures. La diversité des couleurs er textures du quartzite, dues aux impuretés minérales présentes lors de sa formation, lui attribue également une grande valeur décorative.

Utilisations du quartzite
En raison de son esthétique et de ses propriétés physiques robustes, le quartzite est largement utilisé dans l'architecture et la construction. Il est couramment choisi pour les comptoirs, les pavés, les appuis de fenêtre, et même dans la sculpture. Les industries extractives exploitent cette roche pour son allure haut de gamme et sa durabilité. En outre, le quartzite est aussi parfois utilisé dans l'industrie ferroviaire pour les ballasts, ces couches de roche concassée servant à stabiliser les traverses de chemin de fer.

Aspects environnementaux et durabilité du quartzite
En tant que matériau naturel, le quartzite possède un faible impact environnemental comparé aux alternatives manufacturées. Cependant, son extraction doit être gérée de manière responsable pour minimiser les impacts sur l'écosystème environnant. Des pratiques telles que la réduction des déchets de roche, la réhabilitation des sites miniers, et la protection de la biodiversité locale sont essentielles pour assurer une exploitation durable du quartzite.

Cette roche, par ses nombreux aspects positifs, continue d'être un pilier dans l'industrie de la construction et de la décoration. Elle véhicule une image de durabilité et de naturel qui est en alignement avec les tendances de consommation actuelles qui privilégient la durabilité et le minimalisme.

Quartzite

Une sépulture est le lieu où l’on dépose le corps d’un mort. Par exemple, les pyramides d’Égypte étaient destinées à l’inhumation des pharaons.
Le mot sépulture vient du latin sepultura, qui désigne les derniers devoirs comme la sépulture. La sépulture caractérise aussi l’inhumation d’un corps dans un tombeau.Champ lexical : caveau | tombeauChamp lexical : caveau | tombeauChamp lexical : caveau | tombeauChamp lexical : caveau | tombeauChamp lexical : caveau | tombeau

13209_les-sarcophages--ultimes-demeures-de-toutankhamon

Retrouv&eacute; intact, cet &eacute;ventail de c&eacute;r&eacute;monie est une plaque demi-circulaire en [popupdefinition id=4042]bois[/popupdefinition] dor&eacute; et en p&acirc;te de verre multicolore. Cette partie de l'ombrelle est plac&eacute;e au bout d'un long manche&nbsp;; sur sa tranche perc&eacute;e de trous&nbsp;&eacute;taient dispos&eacute;es de grandes plumes d'autruche. Les &eacute;l&eacute;ments centraux du d&eacute;cor montrent deux faucons symbolisant la d&eacute;esse, Nekhbet. Ils encadrent les deux cartouches au nom de Tout&acirc;nkhamon. Ils se font face en d&eacute;ployant leurs ailes et tiennent les deux symboles de pouvoir. L'un [popupdefinition id=10855]porte[/popupdefinition] la couronne de la Haute-&Eacute;gypte,&nbsp;l'autre, celle de la Basse-&Eacute;gypte, signifiant la solidit&eacute; de la r&eacute;unification des deux territoires. Cette ombrelle servait &agrave; prot&eacute;ger le roi du [popupdefinition id=3727]soleil[/popupdefinition] et &agrave; lui procurer de l'[popupdefinition id=4452]air[/popupdefinition]. La charge de &laquo;&nbsp;porteur d'&eacute;ventail&nbsp;du pharaon &raquo; &eacute;tait tr&egrave;s convoit&eacute;e.&copy; ddenisen, CC by-sa 2.0

De l’air pour le pharaon !

Le terme « air » désigne le fluide gazeux parfait, incolore, inodore et invisible qui constitue l’atmosphère terrestre. On l'associe plus généralement à la troposphère, la couche de l’atmosphère de la Terre la plus proche de la surface du globe. En contact direct avec cette dernière, l’air est donc sensible à l’évaporation des océans, à la photosynthèse ou encore aux activités humaines.
Composition de l'air
L’air est un mélange de différents corps purs dans leur état gazeux. La composition de l'air sec est la suivante :
78 % de diazote ;21 % de dioxygène ;environ 1 % d’argon ;des traces de néon, de krypton, de xénon et d’hélium.
Ces proportions — même si la concentration de l’air diminue avec l’altitude — sont identiques quel que soit le lieu et jusqu’à une altitude de 100 kilomètres. Au-delà, il n’y a pas quasiment plus d’air.
L’air contient également de la vapeur d’eau dans des concentrations qui peuvent beaucoup varier, aussi bien dans le temps que dans l’espace. Ainsi, dans un air froid, le volume de vapeur d’eau dans l’air ne dépasse pas les 0,6 %. En revanche, dans un air chaud, il peut monter jusqu’à plus de 4 %.
Certaines activités humaines affectent la composition de l’atmosphère. En France, la qualité de l’air est désormais surveillée. En fonction des prévisions météo, des pics de pollution peuvent être prévus sur des zones assez précises. © SD-Pictures, Pixabay, DP
Pollution de l’air
La pollution atmosphérique est susceptible de modifier la composition de l’air et d’y ajouter ou d’y supprimer de l’ozone, du méthane ou encore du dioxyde de carbone, par exemple. Les proportions de ces gaz aussi peuvent varier avec l’altitude. Ainsi, l’ozone se concentre entre 20 et 40 kilomètres d’altitude, dans la couche d’ozone.
L’air véhicule aussi des aérosols, des particules solides ou liquides formées par des phénomènes naturels — comme les éruptions volcaniques ou la dispersion du pollen — ou par des activités industrielles. La concentration des aérosols est bien sûr variable.
Mouvements de l’air
L’air est aminé de mouvements incessants provoqués par des différences de température et de pression. En effet, la température de l’air, par exemple, décroît, dans la troposphère, de quelque 6 °C par kilomètre d’altitude. De quoi créer des mouvements de convection rapide. Les mouvements de l’air se ressentent notamment lorsque le vent souffle.

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Couverte d'inscriptions en colonnes verticales sur sa partie basse, cette&nbsp;chaouabti (&laquo;&nbsp;celui qui r&eacute;pond&nbsp;&raquo;) repr&eacute;sente Tout&acirc;nkhamon. Cette statuette de [popupdefinition id=4042]bois[/popupdefinition], en partie dor&eacute;e, est repr&eacute;sent&eacute;e les bras crois&eacute;s, portant le fl&eacute;au, l'insigne royal : le nekhekh est g&eacute;n&eacute;ralement constitu&eacute; d'une [popupdefinition id=17945]armature[/popupdefinition] de [popupdefinition id=16506]bronze[/popupdefinition], recouvert alternativement de cylindres d'or et de cylindres de p&acirc;te de verre bleue. Il est fait de trois brins, tress&eacute;s chacun de treize clochettes.Plusieurs interpr&eacute;tations sont donn&eacute;es &agrave; ce [popupdefinition id=1663]spectre[/popupdefinition] royal&nbsp;: certains scientifiques y voient un chasse-mouche, d'autres y voient le symbole d'Osiris, dieu inventeur de l'[popupdefinition id=11492]agriculture[/popupdefinition]. Par extension, il serait un symbole pastoral du pharaon guidant son peuple.&copy; Dave Nakayama, CC by-sa 2.0&nbsp;

Une chaouabti, statuette funéraire

Phys. Représentation de la contribution (énergétique par exemple) des composantes monochromatiques d'une onde (onde sonore, onde électromagnétique ou rayonnement), en fonction de la fréquence (ou longueur d'onde) de ses composantes.Par exemple, un spectre acoustique représente l'intensité acoustique en fonction de la fréquence ou de la longueur d'onde d'un son (onde sonore). On parle de spectre de bande (syn. de spectre continu) si la répartition en fonction de la fréquence est continue, de spectre de raies, si elle présente des composantes discrètes (spectre d'émission atomique par exemple).La forme des spectres constitue fréquemment une signature (spectrale) permettant d'identifier les objets qui en sont l'origine.L'obtention et l'étude des spectres relèvent de l'analyse spectrale.Par extension, on parle de spectre en physique des particules pour décrire les différents types de particules associées à une théorie de champ donnée. Ainsi les différents quarks de la QCD et les hadrons associés forment le 'spectre en particules' de celle-ci. Une telle dénomination est naturelle car elle traduit bien la dualité onde/corpuscule et le fait que les différentes particules sont un peu comme les différents niveaux d'énergie d'un atome possédant une signature spectrale donnée à cause des transitions entre ces niveaux sous l'influence d'une perturbation extérieure.Opt. L'obtention d'un spectre exige une dispersion, obtenue par diffraction ou réfraction. L'étude des spectres d'émission et d'absorption, de leurs fréquences ou raies caractéristiques permettent d'identifier les corps, notamment les atomes et molécules (spectroscopie).Le terme spectre renvoie à plusieurs notions différentes en physique, notamment : 
Le spectre d’absorption
Le spectre d’émission
Le spectre sonore
Le spectre électromagnétique
Les spectres de masse
Le spectre de l’hydrogène
Le spectre d’absorptionLe spectre d’absorption est obtenu lors du passage d’une onde électromagnétique (généralement la lumière) qui traverse un milieu semi-transparent ou transparent, par exemple un gaz. Le spectre est constitué de lumières colorées et comporte des lignes sombres (raies noires) qui correspondent aux longueurs d’onde absorbées. La lumière passe à travers des éléments chimiques qui absorbent certaines longueurs d’ondes. Le spectre d’absorption provient de la décomposition d’une lumière polychromatique par un milieu dit « dispersif ». Les différentes longueurs d’ondes ne se propagent pas à la même vitesse, c’est le phénomène de la dispersion.Le spectre d’émission Un spectre d’émission est le spectre de la lumière émise par une source, on distingue deux types de spectres, les spectres d’émission continus et les spectres de raies.Un spectre continu contient l’éventail de toutes les couleurs du violet au rouge, les 7 couleurs de l’arc-en-ciel. Ce spectre est obtenu par la décomposition de la lumière du Soleil et de manière générale par toute source de lumière émise par les corps à haute température et sous haute pression. La longueur d’onde est généralement plus intense par rapport aux autres spectres. Il faut savoir que plus la température est élevée, plus la longueur d’onde est faible. Les spectres continus sont d’origine thermique, la température de la source et liée à l’émission de la lumière et les rayonnements sont visibles. Ce phénomène peut être obtenu grâce à des lampes et ampoules d’usage quotidien puisque les ampoules classiques produisent de la lumière en chauffant. Il est possible de déterminer la température de la source en analysant le spectre continu. C’est de cette façon que l’on peut connaître la température de la surface d’une étoile. Les spectres de raies sont obtenus par excitation électrique de certains gaz. À température élevée, la lumière émise par un gaz à basse pression conduit à la formation d’un spectre de raies. Ce spectre s’obtient lorsque l’on décompose la lumière d’une lampe spectrale, à vapeur d’atomes. On peut observer des raies colorées sur un fond sombre. L’atome émet la lumière, c’est ce que l’on appelle l’émission de lumière par les atomes. 

Spectre

Le bronze est un alliage métallique non ferreux.Composition et histoire du bronzeAutrefois, le nom de bronze était donné à tous les alliages du cuivre. Ainsi, certains « bronzes » datant du XVIIe siècle ne sont en fait que des laitons. Aujourd’hui, l’emploi du terme bronze se restreint aux alliages de cuivre et d’étain. Mais, comme dans le cas du laiton, il serait plus exact de parler de bronzes au pluriel. En effet, les proportions de cuivre et d’étain contenus dans l’alliage peuvent varier. D’autres éléments (aluminium, plomb, béryllium, manganèse ou tungstène essentiellement) peuvent être ajoutés au mélange.Caractéristiques du bronzeLes principales caractéristiques du bronze sont :
une bonne résistance à l’usure ;
une résistance acceptable à la corrosion mais qui ne permet pas son usage dans l’industrie navale ;
une bonne conductivité électrique.
Le bronze utilisé pour la fabrication des cloches contient entre 20 et 25 % d’étain. © doryx, FotoliaBronzes, des alliages variésC’est au cours du bien nommé âge du bronze que l’alliage a été pour la première fois employé à la fabrication d’outils, d’armures, etc. pour leur résistance et leur ductilité.Aujourd’hui, on sait comment associer les constituants du bronze pour en maximiser les propriétés utiles :
Le bronze binaire ne contient que du cuivre et de l’étain (entre 3 et 20 %). Plus la teneur en étain augmente, plus la dureté du bronze s'accroît.
Les bronzes avec éléments d’addition contiennent, comme leur nom l’indique, d’autres éléments que le cuivre et l’étain : du phosphore pour en améliorer les propriétés mécaniques, du zinc pour les rendre plus malléables, du plomb pour une meilleure usinabilité ou du béryllium pour son incroyable dureté.
Avantages du bronzeEn raison de sa composition principalement constituée de cuivre et d'étain, le bronze est réputé pour sa résistance à la corrosion, ce qui le rend idéal pour les environnements extérieurs ou humides. De plus, sa malléabilité permet de le façonner facilement en différentes formes, ce qui en fait un choix populaire pour la fabrication d'objets artistiques et décoratifs. En termes de durabilité, le bronze est également apprécié pour sa robustesse et sa longévité, ce qui en fait un matériau de choix pour les pièces mécaniques et les instruments de musique. Le bronze offre également une conductivité électrique et thermique élevée, ce qui le rend utile dans diverses applications industrielles.Le bronze est-il magnétique ?Du point de vue de ses propriétés magnétiques, le bronze est généralement considéré comme non magnétique, ce qui signifie qu'il n'est pas attiré par les aimants et qu'il ne peut pas être aimanté de manière permanente. Cette caractéristique est due à la structure cristalline de l'alliage, qui ne permet pas l'alignement des spins électroniques nécessaire à la création d'un champ magnétique significatif.

Bronze

L'agriculture est le travail de la terre (ager signifie champ en latin). Son histoire est principalement façonnée par les progrès techniques, l'économie et l'environnement.
Origine de l’agriculture
Les premières traces de culture de plantes et de domestication d’animaux à des fins alimentaires remontent au Néolithique, il y a 10.000 ans au moins (soit 8.000 ans avant J.-C.). Cette période, appelée révolution néolithique, est la première révolution agricole.
Ces premières traces sont originaires du Moyen-Orient. C’est près de la ville d'Er Riha (maintenant Jericho, en Palestine) que les premières preuves ont été retrouvées. La même transition a eu lieu plus tard en Afrique subsaharienne.
L’arrivée de l’agriculture représente également un important changement social puisque d’un mode de vie nomade reposant sur la chasse et la cueillette, les Hommes ont adopté une vie davantage sédentarisée.
La révolution agricole
L’agriculture moderne, fondée sur un principe de rendement, a émergé en même temps que le machinisme agricole. Le début de cette révolution est encore sujet à débat. Certains chercheurs estiment qu’elle a commencé très tôt (dès le Moyen Âge), tandis que d’autres suggèrent qu’elle est contemporaine à la révolution industrielle de la fin du XIXe siècle, et qu’elle ne serait toujours pas achevée.
La révolution verte et la Pac
C’est l’arrivée de la mécanisation et plus concrètement, des tracteurs, qui marque le début de la révolution verte. Dans un contexte de fin de guerre, l’Europe – la France notamment – doit se reconstruire. Le plan Marshall de 1947, a permis cette reconstruction et s’est traduit par l’arrivée des tracteurs sur les champs.
L’agriculture est en outre fortement aidée par la Politique agricole commune (Pac) signée lors du traité de Rome en 1957 et mise en place en 1962. Cette directive, qui concerne l’ensemble de l’Union européenne, a pour objectif de permettre le développement de l’agriculture et de protéger les agriculteurs. Efficace, elle a permis de relancer ce secteur en France et de nourrir les consommateurs à des coûts raisonnables.
La Pac s’est également traduite par un profond changement du paysage français : le remembrement (suppression des haies au sein des exploitations) a été favorisé, provoquant la disparition des bocages et l’apparition des openfields qui facilitent l’agriculture mécanisée.
Prise de conscience environnementale et progrès scientifiques
La fin du XXe siècle et le début du XXIe sont marqués par une prise de conscience de mouvements écologistes qui prônent un retour vers une agriculture moins intensive et un respect des terres et de l’environnement, mais également par un progrès notable dans le domaine de la transgenèse.
Le principe de la transgenèse appliquée à l’agriculture est d’insérer un gène de résistance à un pesticide au sein d’une plante, afin de pouvoir ensuite traiter les parcelles avec ce pesticide et tuer les ravageurs sans affaiblir la plante. Ceci est compatible avec l’agriculture intensive et la monoculture. En France, la culture d’OGM est pour l’instant interdite.
Les grands mouvements agricoles dits respectueux de l’environnement sont l’agriculture raisonnée, qui consiste entre autres à tenter de limiter la lutte chimique au profit de la lutte biologique, et l’agriculture biologique pour laquelle l’utilisation d’OGM et d’engrais et pesticides de synthèse est interdite (de nombreux de produits de traitements sont cependant autorisés).

Agriculture

Le chaînage, élément crucial dans le domaine de la maçonnerie et de la construction, joue un rôle essentiel dans la sécurité et la durabilité des structures bâties. Ces armatures métalliques sont conçues pour contrer les différentes contraintes mécaniques que peut subir un bâtiment au cours de son existence.

Les chaînages horizontaux : sécuriser et stabiliser
Les chaînages horizontaux, parfois sous-estimés, ont pourtant une fonction capitale : ils agissent comme des ceintures de sécurité pour les soubassements et les élévations des bâtiments. En encerclant les murs, ils les maintiennent fermement pour éviter tout écartement ou fissuration sous l'effet des charges verticales ou des mouvements de terrain. Ces chaînages sont souvent intégrés directement dans les joints de mortier, formant ainsi une continuité solide et résiliente face aux forces de traction.

Les chaînages verticaux : consolidants et protecteurs
De leur côté, les chaînages verticaux consolident les angles du bâtiment, zones particulièrement vulnérables aux fissures. Leur présence est déterminante pour éviter le phénomène de délaminage des murs, surtout dans les constructions en zones sismiques où les secousses peuvent provoquer des mouvements significatifs des composants du bâtiment. Ils jouent également un rôle crucial dans les jonctions entre les divers éléments de structure, assurant une cohésion et une solidarité entre les différentes parties de la maçonnerie.

Les chaînages inclinés : renforts essentiels en zones exposées
Quant aux chaînages inclinés, leur importance est particulièrement remarquable dans les zones exposées à des risques parasismiques élevés. En diagonale, ces armatures s'accrochent aux points stratégiques pour offrir un soutien supplémentaire là où les forces de traction sont les plus intenses, notamment sur les pignons et les parties les plus élevées de la structure.

Normes et réglementations concernant le chaînage
La mise en place de chaînages doit respecter certaines normes et directives spécifiques qui varient selon les régions et les exigences locales. En France, par exemple, les normes parasismiques NF P 06-014 et Eurocode 8 définissent les critères de dimensionnement et d’implantation des chaînages dans les constructions neuves ou en rénovation. Ces préconisations sont cruciales pour garantir la conformité des bâtiments avec les normes de sécurité en vigueur.

Matériaux et techniques de mise en œuvre
Les matériaux utilisés pour les chaînages sont généralement des aciers à haute résistance, capables de supporter de lourdes charges et de résister à la corrosion et à l'usure au fil du temps. Le béton armé, combinant fer et béton, est souvent privilégié pour sa robustesse et sa capacité à encaisser les contraintes sans subir de dommages.

L'installation des chaînages requiert une expertise technique élevée. Elle doit être effectuée par des professionnels du bâtiment, selon des méthodes précises qui nécessitent souvent l'utilisation de coffrages et de techniques de coulage du béton spécifiques. Le positionnement des armatures métalliques doit être mesuré avec précision pour assurer l'efficacité du chaînage.

Le chaînage est donc un composant indispensable de la structure des bâtiments, garantissant leur solidité et leur durabilité. Son rôle est d'autant plus crucial dans les zones soumises à des conditions climatiques extrêmes ou à un risque sismique. Comprendre son importance et veiller à sa correcte mise en œuvre est essentiel pour tout projet de construction soucieux de sécurité et de résistance à long terme.
Champ lexical : armature | ferraillage | renfort

Chaînage

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Le terme apogée — construit à partir du préfixe apo- signifiant loin et gê, géo, la Terre — correspond au point de l’orbite elliptique d’un astre ou d’un satellite artificiel le plus éloigné de la Terre lorsque celle-ci constitue un foyer de l’ellipse. À l’opposé, on trouve le périgée. De manière plus générale, pour qualifier le point d’une orbite le plus éloigné — le plus rapproché — du foyer de cette orbite, on parle d’apoastre — de périastre.
Attention toutefois à ne pas confondre apogée et aphélie. Le terme aphélie est employé pour désigner le point de l’orbite terrestre le plus éloigné du Soleil (helios). Ainsi la Terre se trouve à son aphélie autour du 4 juillet. Mais le terme peut également s’employer pour les autres objets en orbite héliocentrique.
Sur ce schéma, l’apogée — et le périgée — d’un corps céleste en orbite autour de la Terre (Earth). © Pearson Scott Foresman, Wikipedia, Domaine public
Le cas de la Lune… et d’autres
L’orbite de la Lune nous donne un exemple concret. Celle-ci est elliptique et la distance qui la sépare de la Terre varie de manière flagrante. Notez tout d’abord que la distance moyenne entre la Terre et la Lune est de 406.000 kilomètres. À son apogée, la Lune se trouve à pas moins de 384.400 kilomètres. Cette distance confère un diamètre apparent de seulement à peine plus 29’ — contre quelque 33’ lorsque notre satellite se trouve à son périgée.
Notez que sur le plan figuré, le terme apogée renvoie par ailleurs au point le plus élevé que l’on puisse atteindre. On parle par exemple de l’apogée d’une carrière pour désigner le moment où elle atteint son le plus haut degré. Ou encore de l’apogée de l’Empire romain pour évoquer la période de son plus fort développement.

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