Dans les ann&eacute;es 1900, certaines personnes avaient imagin&eacute; des engins volants de diff&eacute;rentes tailles (un peu comme le principe des [popupdefinition id=11105]voitures[/popupdefinition] berlines familiales d'aujourd'hui) largement calqu&eacute;s sur les montgolfi&egrave;res. En effet, un peu plus d'un si&egrave;cle plus t&ocirc;t, les fr&egrave;res Montgolfier (Joseph-Michel et Jacques-&Eacute;tienne) avaient fait voler le premier [popupdefinition id=14992]ballon[/popupdefinition] gonfl&eacute; d'[popupdefinition id=4452]air[/popupdefinition] chaud. Dans l'imaginaire populaire, le ballon &eacute;tait donc l'une des seules formes d'objets volants connues.&copy; Hildebrands

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La montgolfière familiale

Une automobile est un véhicule terrestre disposant de roues et équipé d'un moteur embarqué qui le propulse.

- Inventée en 1886 par Carl Benz

Les origines de l'automobile
La toute première automobile : à vapeur
La première ébauche d'un véhicule mobile a lieu en 1796 lorsque le Français Joseph Cugnot plaça une machine à vapeur à l'arrière d'une charrette : le fardier. Plusieurs tentatives furent opérées dans les décennies suivantes, toutes se basant sur la machine à vapeur. Mais cette dernière empêchait tout véhicule de devenir réellement mobile, en raison de sa lourdeur, de sa faible vitesse et de son autonomie de quelques dizaines de minutes. Il fallut attendre le moteur à explosion en 1859 pour voir apparaître les premières automobiles.

Le développement de l'automobile moderne
L'ingénieur allemand Carl Benz est considéré comme l'inventeur de l'automobile moderne : il s'inspira du modèle de moteur mis au point par Nikolaus Otto pour créer son véhicule, équipé de trois roues et d'un moteur à explosion. Il dépose alors un brevet qui est validé le 29 janvier 1886. Carl Benz entreprend immédiatement la création d'une entreprise qui porte son nom et qui, en l'espace de 15 ans, devient leader mondial de ce secteur. À partir des années 1920, l'automobile se démocratise dans le monde entier, avec le développement des routes goudronnées et l'instauration du code de la route. Elle est composée d'un châssis roulant sur lequel est installé un groupe motopropulseur commandé par le conducteur à l'aide d'un volant et d'éventuelles pédales. Le moteur installé est un moteur à combustion interne ou un moteur électrique.

Aspects techniques et innovations
L'essor des accessoires tels que l'ABS et l'airbag lui ont permis de devenir plus sûre et de réduire le nombre de morts sur les routes. Les aspects techniques de l'automobile n'ont cessé d'évoluer, intégrant des matériaux plus légers et résistants, des technologies de connectivité avancées et des systèmes de navigation et de sécurité de plus en plus sophistiqués.

Innovations environnementales
Au fil des ans, l'impact environnemental des automobiles a de plus en plus préoccupé fabricants et consommateurs. Ceci a mené à l'introduction de voitures hybrides et électriques, qui utilisent des sources d'énergie alternatives pour réduire l'émission de polluants. Les innovations dans les batteries, telles que les batteries lithium-ion, ont également amélioré l'autonomie des véhicules électriques, les rendant plus viables pour une utilisation quotidienne.

Sécurité et réglementation
La sécurité automobile a également fait l'objet de nombreuses améliorations au cours du siècle dernier. Outre l'ABS et l'airbag, des dispositifs tels que les systèmes de contrôle de stabilité (ESC), les détecteurs de collision et les aides au stationnement sont désormais standard dans de nombreux modèles. De plus, les réglementations internationales ont imposé des normes de sécurité plus strictes pour les véhicules neufs, garantissant ainsi une protection accrue pour les conducteurs et les passagers.

Impact culturel et économique
L'automobile a également joué un rôle crucial dans la configuration des sociétés modernes. Elle a facilité la mobilité des personnes et des biens à une échelle jamais vue auparavant, contribuant ainsi à l'expansion des villes et au développement économique global. De plus, l'industrie automobile est l'un des secteurs économiques les plus significatifs au monde, créant des millions d'emplois et contribuant substantiellement aux économies nationales.

Automobile

En chimie, le terme de « ballon » désigne un matériel de verrerie de laboratoire. Il s'agit d'un récipient de laboratoire de forme sphérique, à fond plat ou rond.
Chimie : un ballon pour chauffer le milieu réactionnel
Il est généralement utilisé lorsqu’il est nécessaire de chauffer le milieu réactionnel pendant une durée de plusieurs minutes. Le récipient est alors placé sur un chauffe-ballon qui en épouse la forme.
Pour résister à la chaleur, le ballon du chimiste est généralement fait de verre borosilicaté. S’il doit être inséré dans un montage complexe, le ballon peut disposer de deux ou trois ouvertures. Il est alors qualifié de « ballon bi- ou tricol ».
Bien utiliser un ballon en chimie
Pour réguler la montée en température du milieu réactionnel, il peut être utile de placer, dans le fond du ballon, des billes qui permettront une agitation magnétique de la solution.
Lorsque l’on utilise un ballon à fond rond, il est recommandé de se munir d'un valet en liège ou en matière plastique. Un tel support permettra de maintenir le ballon droit sur la paillasse.

Ballon

Le terme « air » désigne le fluide gazeux parfait, incolore, inodore et invisible qui constitue l’atmosphère terrestre. On l'associe plus généralement à la troposphère, la couche de l’atmosphère de la Terre la plus proche de la surface du globe. En contact direct avec cette dernière, l’air est donc sensible à l’évaporation des océans, à la photosynthèse ou encore aux activités humaines.
Composition de l'air
L’air est un mélange de différents corps purs dans leur état gazeux. La composition de l'air sec est la suivante :
78 % de diazote ;21 % de dioxygène ;environ 1 % d’argon ;des traces de néon, de krypton, de xénon et d’hélium.
Ces proportions — même si la concentration de l’air diminue avec l’altitude — sont identiques quel que soit le lieu et jusqu’à une altitude de 100 kilomètres. Au-delà, il n’y a pas quasiment plus d’air.
L’air contient également de la vapeur d’eau dans des concentrations qui peuvent beaucoup varier, aussi bien dans le temps que dans l’espace. Ainsi, dans un air froid, le volume de vapeur d’eau dans l’air ne dépasse pas les 0,6 %. En revanche, dans un air chaud, il peut monter jusqu’à plus de 4 %.
Certaines activités humaines affectent la composition de l’atmosphère. En France, la qualité de l’air est désormais surveillée. En fonction des prévisions météo, des pics de pollution peuvent être prévus sur des zones assez précises. © SD-Pictures, Pixabay, DP
Pollution de l’air
La pollution atmosphérique est susceptible de modifier la composition de l’air et d’y ajouter ou d’y supprimer de l’ozone, du méthane ou encore du dioxyde de carbone, par exemple. Les proportions de ces gaz aussi peuvent varier avec l’altitude. Ainsi, l’ozone se concentre entre 20 et 40 kilomètres d’altitude, dans la couche d’ozone.
L’air véhicule aussi des aérosols, des particules solides ou liquides formées par des phénomènes naturels — comme les éruptions volcaniques ou la dispersion du pollen — ou par des activités industrielles. La concentration des aérosols est bien sûr variable.
Mouvements de l’air
L’air est aminé de mouvements incessants provoqués par des différences de température et de pression. En effet, la température de l’air, par exemple, décroît, dans la troposphère, de quelque 6 °C par kilomètre d’altitude. De quoi créer des mouvements de convection rapide. Les mouvements de l’air se ressentent notamment lorsque le vent souffle.

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Dans les ann&eacute;es 1900, une c&eacute;l&egrave;bre marque de chocolat leader sur son march&eacute;, Hildebrands, agr&eacute;mentait ses <a href="/tech/comparatifs/meilleure-tablette-comparatif/" title="Comparatif tablette" class="link-type-comparo">tablettes</a> de cartes postales imaginant l'an 2000. Celle-ci illustre la croyance selon laquelle, &agrave; l'aide de [popupdefinition id=14992]ballons[/popupdefinition] gonflables, nous pourrions nous balader en marchant sur l'eau. Vous remarquerez les tr&egrave;s pratiques petites chaussures-p&eacute;niches en [popupdefinition id=4042]bois[/popupdefinition] pour &eacute;viter de mouiller ses souliers.&copy; Hildebrands

Des ballons gonflables pour marcher sur l'eau

Nom masculin : tissu complexe formé de cellules disposées longitudinalement (cellules conductrices, fibres) et transversalement (rayons). Le bois constitue la plus grande partie du tronc des plantes ligneuses.

Bois

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Hildebrands, une c&eacute;l&egrave;bre marque de chocolat allemand dans les ann&eacute;es 1900, nous imaginait chacun en possession d'une [popupdefinition id=11105]voiture[/popupdefinition] volante. Ces dessins sugg&egrave;rent diff&eacute;rents types d'appareils, allant des ailes de [popupdefinition id=18075]chauve-souris[/popupdefinition] &agrave; la [popupdefinition id=10528]baignoire[/popupdefinition] surmontant quatre ailes improbables. Ils nous font aujourd'hui sourire par leur optimisme mais sont surtout r&eacute;v&eacute;lateurs de l'&eacute;poque des pionniers de l'aviation&nbsp;qui laissait pr&eacute;sager un futur a&eacute;rien... &copy; Hildebrands

La voiture volante individuelle - Photos Futura

Une baignoire est un contenant que l'on utilise pour se laver en le remplissant d'eau chaude de préférence. La baignoire n'est pas récente : on l'utilisait déjà au Moyen Âge, ainsi que dans l'Antiquit...

Baignoire

Une automobile est un véhicule terrestre disposant de roues et équipé d'un moteur embarqué qui le propulse.

- Inventée en 1886 par Carl Benz

Les origines de l'automobile
La toute première automobile...

La chauve-souris est un mammifère volant, aussi appelé chiroptère, présent sur tous les continents. Le mot chiroptère provient du grec chiro qui signifie main, et pteros aile. Le vol est possible grâc...

Chauve-souris

La voiture volante individuelle

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Se pr&eacute;lasser &agrave; c&ocirc;t&eacute; des [popupdefinition id=7753]ours polaires[/popupdefinition] pour les vacances, un r&ecirc;ve &agrave; la port&eacute;e de tous en l'an 2000 ! Enfin, c'est ce que l'on croyait dans les ann&eacute;es 1900. Des [popupdefinition id=14992]ballons[/popupdefinition] gonflants auraient emmen&eacute; de larges paquebots flottants vers la destination glac&eacute;e. On imagine que le chauffage &eacute;tait int&eacute;gr&eacute; aux plans du navire !&copy; Hildebrands

D'immenses avions pour des vacances au pôle Nord

L’ours blanc que les Inuits nomment « nanuq », est avec l’ours kodiak, l’un des plus grands carnivores terrestres. Sa morphologie générale est identique à celle des autres espèces d’ours. Il s’en distingue cependant par un corps imposant plus longiligne et par une fourrure totalement blanche. Sa tête est élancée et rectangulaire, ses oreilles petites et arrondies, sa queue est courte et ses pattes massives. Ses yeux, son museau, ses babines et les coussinets de ses pattes sont noirs. Les poils du pelage sont translucides et creux. C’est la réfraction de la lumière visible sur la surface interne des poils creux et incolores qui les fait paraître blancs. Cette particularité lui permet de se camoufler dans son environnement de neige et de glace, afin de mieux surprendre ses proies. Les reflets jaunâtres que l’on peut parfois distinguer sur sa toison sont dus au fait que sa fourrure, constituée de poils non pigmentés, a la capacité d’absorber les rayons violets et ultraviolets du soleil. Sous le pelage, sa peau noire possède la particularité d’absorber l’énergie lumineuse et donc la chaleur. Le dimorphisme sexuel entre mâle et femelle est très important. En règle générale, le mâle est deux fois plus imposant. 
Habitat de l’ours blanc
Le plantigrade vit exclusivement dans les régions polaires du cercle arctique, sur les inlandsis (glaciers continentaux) mais aussi et plus principalement sur la banquise dont il arpente l’immensité. On le trouve dans le nord de l’Alaska, dans l’archipel arctique canadien, au Groenland, dans l’archipel du Svalbard (Spitzberg) et sur la terre François Joseph, ainsi que dans le centre nord de la Sibérie. L’étendue de son territoire est par contre limitée par la disponibilité de plaques de glace dérivant sur les mers.
Comportement de l’ours blanc
Le domaine de l’ours blanc étant la banquise, l’animal est devenu un mammifère semi-aquatique, qui parcourt de longues distances à la nage pour rejoindre les packs de glace dérivante et trouver des troupes de phoques qui constituent l’essentiel de sa nourriture. Cette aptitude est due à la couche de graisse dont il est enveloppé qui lui permet de supporter la faible température de l’eau. C’est un animal solitaire qui ne recherche la compagnie qu’à la période de reproduction. Ses méthodes de chasse sont particulières car, bien qu’il soit rapide, il ne peut lutter contre la vélocité des phoques qui plongent sous l’eau au moindre danger. Les charges sont peu fréquentes et ne s’effectuent que sur une distance d’une vingtaine de mètres après une approche prudente. Pour les capturer sans trop de difficultés, l’animal se poste à l’affût auprès d’un trou de respiration qu’utilisent les pinnipèdes, et attend patiemment que l’un d’eux remonte à la surface pour le capturer.
Avec la disparition de la banquise, les ours polaires ont de plus en plus de difficulté à chasser pour se nourrir. Un problème d'autant plus inquiétant que l'espèce a besoin de beaucoup d'énergie. © Andreas Edelmann, fotolia
Il peut également, lors des mises bas, s’approcher prudemment des trous dans lesquels les manchons (bébés phoques) se mettent à l’abri, se redresser et retomber de tout son poids sur la glace pour la briser. Il lui faut généralement plusieurs tentatives pour parvenir à ses fins. Des ours auraient déjà été observés pratiquant le « cache glace » pour approcher les phoques. Sans source vérifiable, il est difficile de porter crédit à cette méthode de chasse, mais elle vaut la peine d’être évoquée parce qu’elle est originale si elle est exacte. En effet, elle ferait appel au subterfuge suivant : l’ours utilise un bloc de glace décroché de la banquise qu’il pousse à l’aide de ses pattes avant, et derrière lequel il se cache pour s’approcher de sa proie. Arrivé à proximité de l’animal, il s’élance pour le capturer. Plus prosaïquement, lorsqu’il nage, il utilise ses pattes avant pour avancer, ses pattes arrière servant à le diriger.
Reproduction de l’ours blanc
Les femelles de l’espèce mettent généralement bas un maximum de deux oursons tous les trois ans. La naissance a lieu lors de l’hibernation, au sein de la tanière. La mère allaite les petits pendant trois à quatre mois, durée au terme de laquelle ils partent à la découverte de leur univers de glace. L’apprentissage dure trois longues années, pendant lesquelles les oursons apprennent à chasser le phoque et à choisir une tanière. Les femelles atteignent leur maturité sexuelle à trois ans, tandis que les mâles mettent une année de plus.
Régime alimentaire de l’ours blanc
À l’inverse de ses cousins bruns ou noirs qui sont essentiellement végétariens, l’ours blanc est essentiellement carnivore et ses proies de prédilection sont les phoques dont deux espèces vivent spécifiquement sur la banquise, à savoir : Phoca hispida (phoque annelé) et Erignathus barbatus (phoque barbu). 
Menaces sur l’ours blanc
L’ours blanc est inscrit sur la liste rouge de l’UICN en tant qu’espèce vulnérable. Entre la pollution aux métaux lourds, aux pesticides et aux PCB dont le terme générique est POPs (Polluant des régions polaires), la fonte de la banquise et les exploitations pétrolifères, le plantigrade a du souci à se faire pour sa survie. Les polluants arctiques véhiculés par les courants marins et les vents intoxiquent toute la chaîne alimentaire, du plancton au poisson, en passant par les phoques dont se nourrissent les ours. Ces derniers sont empoisonnés au mercure et au plomb, métaux hautement toxiques pour le système nerveux et provoquant des dégénérescences congénitales. Ce même phénomène est constaté chez les bélugas (baleines blanches) et les orques. 
La disparition de la banquise due au réchauffement climatique est un autre aspect alarmant. En effet, l’habitat naturel de l’ours se réduit, et avec lui, les proies dont il se nourrit. Ces dernières voient disparaître leurs reposoirs flottants. Des phénomènes de cannibalisme ont été observés à plusieurs reprises chez les ours blancs qui ne trouvent plus de proies en suffisance. D’autres ont été retrouvés noyés... En effet, bien qu’ils soient des nageurs émérites, le recul des glaces contraint les plantigrades à franchir des distances toujours plus grandes en haute mer, là où les eaux sont plus agitées. C’est l’épuisement qui a raison d’eux. Si l’on rajoute à tous ces périls, celui de la chasse aux trophées, on peut prendre la mesure des menaces qui pèsent sur une espèce très spécialisée, et de sa vulnérabilité.
Ours blanc (Philipps 1774) - Ursus maritimus
Ordre : Carnivores Famille : Ursidae Sous-famille : Ursinae Genre : UrsusTaille : 1,60 à 3,00 m Poids : 400 à 700 kg Longévité : 15 à 30 ans
Statut de conservation UICN : VU vulnérableChamp lexical : ours polaire | ursus maritimus

Ours blanc

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L&rsquo;illustration fran&ccedil;aise n&rsquo;est pas en reste pour imaginer les machines volantes du futur. En 1901, Monnier imaginait la &laquo; machine &agrave; faire partir l&rsquo;amant de Madame tr&egrave;s vite &raquo; du si&egrave;cle suivant. Bien que le dessin ne montre rien d&rsquo;autre qu&rsquo;une h&eacute;lice agr&eacute;ment&eacute;e d&rsquo;une paire d&rsquo;ailes, on imagine l&rsquo;engin &eacute;quip&eacute; d&rsquo;un moteur extr&ecirc;mement puissant, capable de faire d&eacute;guerpir le malheureux avant l&rsquo;arriv&eacute;e de Monsieur. &copy; Monnier

La machine volante pour faire partir l’amant de Madame

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Avez-vous d&eacute;j&agrave; imagin&eacute; votre transport du futur ? C&rsquo;est l&rsquo;id&eacute;e du magazine Popular Science qui a laiss&eacute; &agrave; Douglas Rolfe tout le loisir de cr&eacute;er son avion personnel. Le r&eacute;sultat est plut&ocirc;t r&eacute;aliste et bluffant, ce qui peut s&rsquo;expliquer par le fait qu'en 1944 l&rsquo;aviation avait d&eacute;j&agrave; fait un grand bon avec la Premi&egrave;re et la Seconde Guerre mondiale. &copy; Douglas Rolfe, juillet 1944, revue Popular Science

L'avion du futur selon Douglas Rolfe

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Cette carte postale, plus qu'une repr&eacute;sentation vraiment exacte du futur, refl&egrave;te l'enthousiasme du d&eacute;but du XXe si&egrave;cle pour les inventions telles que l'[popupdefinition id=11105]automobile[/popupdefinition] ou l'avion, qui allaient marquer le d&eacute;but d'une humanit&eacute; plus rapide et plus [popupdefinition id=1954]mobile[/popupdefinition].&copy; Claremont, N.H. dans le futur (postcard circa 1910)

Le parc flottant, un hommage à la mobilité future

Le smartphone est un téléphone mobile que ses fonctions rapprochent de l’ordinateur portable et de l’appareil photo numérique. En France il est passé dans l’usage courant de l’appeler mobile, téléphone mobile ou smartphone. Il est très rare d’employer la terminologie québécoise qui parle de téléphone intelligent et ne signifie pas grand-chose aux Français.Les fonctions les plus recherchées d’un smartphone Outre la téléphonie, le smartphone peut être doté, selon son prix :d’un écran tactile ;d’un appareil photo et d’une caméra numérique ;de la reconnaissance et de la synthèse vocale ; d’une calculatrice ;d’un agenda et d’un aide-mémoire ;la cartographie numérique, la boussole voire le GPS ;la reconnaissance faciale. Le smartphone est toujours connecté à Internet et il est facile de télécharger les applications de son choix.Les multiples critères qui déterminent le prix d’un smartphone En plus des fonctions qui l’apparentent à un ordinateur portable, le prix d’un smartphone est influencé par plusieurs critères : la taille et la résolution de l’écran ;la capacité de stockage (il est conseillé d’opter pour une capacité minimale de 64 Go) ;l’autonomie ; la résolution vidéo ;l’étanchéité qui n’est pas si fréquente.Le smartphone ou « téléphone intelligent » désigne un téléphone mobile doté de fonctionnalités évoluées : navigation sur Internet, lecture de vidéos, de musique, jeux vidéo, courrier électronique, vidéoconférence… © liewcf, CC by-sa 2.0À quoi sert un smartphone ? Dans les années 1990 le téléphone portable était encore très peu répandu. Il manifestait un niveau de revenus. Aujourd’hui 84 % des Français possèdent un smartphone et 35 % de ses usagers l’ont obtenu avant l’âge de douze ans. L’appareil s’est donc considérablement banalisé. On peut distinguer deux types d’usages : 1. Les usages personnels du smartphoneLe succès du smartphone tient pour beaucoup à son utilité pratique. La généralisation du téléphone portable a mis fin à l’époque du rendez-vous manqué où il était indispensable de se fixer un lieu et une heure précise pour se retrouver. Il est également devenu difficile de se perdre puisque l’appareil vous aide à vous géolocaliser. On peut aisément connaître la météo. Le portable revêt également une dimension conviviale et ludique : on échange des photos et des vidéos, par le biais des réseaux sociaux qui sont très prisés et notamment de Snapchat. Les trois quarts des Français ont utilisé leur portable pour maintenir un lien social au cours de la pandémie de coronavirus. Le jeu vidéo est également très apprécié. 2. Les usages professionnels du smartphone Le smartphone occupe une place très importante dans les professions nomades ou itinérantes qu’il s’agisse des commerciaux et des responsables marketing en relation directe avec le client. Il est particulièrement prisé de certaines professions libérales comme les avocats.Comment marche un smartphone ?Un smartphone est à la fois un téléphone et un ordinateur de poche. Son fonctionnement repose sur ces deux caractéristiques. Il a besoin d’une batterie, d’un chargeur et d’un système d’exploitation.Le système d’exploitation des mobiles est essentielLes grandes marques disposent généralement de leur propre système d’exploitation qui est régulièrement mis à jour à distance. On peut notamment citer BlackBerry OS de RIM, Android de Google, Windows Phone de Microsoft, etc.La batterie et le chargeur, outils indispensables aux smartphones La batterie est nécessaire pour alimenter le smartphone et surtout l’écran qui est le plus gros consommateur d’énergie. Et le chargeur permet à la batterie de se recharger.Champ lexical : mobile | téléphone intelligent

Smartphone

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Cette carte, datant de 1890-1900, propose une vision de l&rsquo;aviation future similaire &agrave; celle de 1800, un si&egrave;cle plus t&ocirc;t. L&rsquo;influence des fr&egrave;res Montgolfier a encore frapp&eacute; ! &copy; Romanet &amp; Cie, collection 476, 2e s&eacute;rie

L'aviation, marquée par les frères Montgolfier

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Cette vision du futur nous semble plut&ocirc;t banale tant les entreprises comme Fedex ou La Poste font partie de notre quotidien. Pourtant, au d&eacute;but du XXe si&egrave;cle, l&rsquo;arriv&eacute;e du courrier en avion paraissait une petite r&eacute;volution !&copy; Couverture de Literary Digest, le 31 mai 1919

L’arrivée du courrier en avion

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Cette illustration am&eacute;ricaine de 1900-1910 est tout &agrave; fait audacieuse. Elle repr&eacute;sente une femme au volant. Pour rappel, le 19e amendement, qui permit aux femmes de voter aux &Eacute;tats-Unis, ne fut pass&eacute; qu'en 1920 !&copy; Harry Grant [popupdefinition id=2499]Dart[/popupdefinition] pour All stroy magazine

Les femmes pilotes d'avions : impensable à l'époque

Dart (Double Asteroid Redirection Test) est une mission de la Nasa qui vise à faire la démonstration d'une technique de déviation d'astéroïde à l’aide d’un impacteur cinétique. La cible est l'astéroïde binaire Didymos. Ce dernier est composé de deux objets : Didymos, le corps principal de 780 m de diamètre, et une lune de 160 m, provisoirement baptisée Didymoon, qui tourne autour de Didymos.Dart sera lancé en 2021 à bord d’un lanceur Falcon 9 de SpaceX. Le satellite Hera de l’Agence spatiale européenne, qui sera lancé deux ans plus tard en 2023, aura pour tâche d’observer et de mesurer les conséquences de l’impact, dont le calcul des changements de l’orbite de Didymoon. Des mesures nécessaires pour permettre aux scientifiques de mieux déterminer les capacités de l'impact cinétique comme stratégie d'atténuation des astéroïdes. Hera arrivera deux ans après l’impact, prévu en septembre 2022.Démontrer qu'un impact peut dévier un astéroïdeCette mission est une étape importante pour démontrer qu'il est possible de protéger la Terre d'un astéroïde grâce à la technique de l'impact cinétique — le but est de faire dévier de sa trajectoire l'objet percuté. La maîtrise de cette technologie est l'une des deux armes envisagées par la Nasa pour défendre notre planète contre un objet dangereux de grande taille. L'autre solution est l'explosion nucléaire à proximité.Dart est un satellite de forme carré (1,2 x 1,3 x 1,3 m) d’une très grande simplicité à propulsion électrique. Doté de deux panneaux solaires de 8,5 m chacun, il a comme seul instrument une caméra. Il embarque un CubeSat fourni par l’Agence spatiale italienne (ASI) et nommé LICIACube. Il sera déployé deux jours avant l’impact de Dart contre Didymoon à la vitesse de 6 kilomètres par seconde. LICIACube aura pour tâche de prendre des photos de l’impact, du nuage d’éjectas et des débris qui en résultera ainsi que le cratère formé.

Dart

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