“
L'examen de Futura-sciences montre l'incroyable chemin parcouru en si peu de temps. Il est vrai que les sujets traités mobilisent de nombreux citoyens, scientifiques ou non, mais ce n'est pas encore suffisant. Les solutions aux problèmes de la planète, de notre environnement immédiat, de notre santé, de notre vie en société, de l'équilibre écologique... passent par des considérations éthiques, philosophiques, politiques, économiques qui se situent au niveau du langage et de la discussion. Les solutions réelles concrètes à tous ces problèmes sont pratiquement toujours réalisées par des scientifiques. Les politiques et les scientifiques de haut niveau ont de lourdes responsabilités face à l'avenir de l'humanité et de tout ce qui est vivant. Nous sommes tous concernés et il est heureux que Futura-Sciences existe pour que nous puissions comprendre, savoir, nous exprimer et inciter ceux qui ont ces responsabilités à prendre les décisions généreuses qui s'imposent. Futura-Sciences doit encore grandir (plus de personnalités, plus de partenaires ou participants) en France, dans les pays francophones et s'allier, créer des cellules identiques à l'étranger puisqu' internet le permet aujourd'hui. L'enjeu est vital. Et pour la paix dans le monde : la connaissance apporte la liberté. Que Futura Sciences ne ronronne jamais. Robert Chalavoux 11-09-2002
“
Découvrez sa
Biographie
Entré dans une école de formation pratique pour passer les CAP d'ajusteur et de tourneur, il est remarqué par le directeur de ce centre, Jean Gallet ingénieur des Arts et métiers de Cluny. Cet homme tout à fait exceptionnel et peu soucieux des contraintes administratives, décelant ses possibilités, le garde comme élève à régime particulier et lui fait suivre les cours de math de sciences et, le reste de la semaine, des cours de dessin industriel où le professeur de cette spécialité lui donne des études plus difficiles.
Cette formation accomplie, c'est le passage obligé qu'accomplissaient aussi les futurs ingénieurs « gats'arts » de l'époque, comme ouvrier dans un atelier de production.
Ensuite c'est l'aventure industrielle, dessinateur aux Ateliers d'Études Aéronautique à Paris (trois mois avec le célèbre Wernher Von BraunWernher Von Braun , futur dirigeant de la NASANASA) puis le service militaire à la 21e escadre à Bordeaux Mérignac et un bref passage aux bureaux d'études Brown Boveri CEM à Lyon.
L'envie d'enseigner commence avec un emploi d'auxiliaire dans un centre puis ce sont les concours : Ecole Normale d'Apprentissage dont il sort major puis le Capet, il est professeur certifié de constructionconstruction mécanique et enseigne dans les classes terminales de lycée.
En 1967, à la création des IUT il est nommé à l'IUT2 de l'Université Claude BernardClaude Bernard Lyon I. Il se consacre entièrement à ses étudiants (construction et déformation plastiqueplastique à froid des métauxmétaux) et aux cours de formation continue (automatismes industriels pour ingénieurs et techniciens), il écrit une dizaine de polycopiés. Chargé d'études pour IUT INTERNATIONAL à Paris, en 1983-84. Entre autres, l'étude de l'installation d'un IUT de construction navale au KOWEIT.
La peinture qu'il avait un peu négligée pendant trois décennies revient en force lorsqu'il arrive en Provence vers la fin des années 70. Il découvre la couleurcouleur .
En 1985 il met en place et anime un Atelier de création graphique pour les étudiants de Techniques. de Commercialisation à l'IUT2 de Lyon. A l'invitation du Ministre de la Culture, et du Ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche (Professeur agrégéProfesseur agrégé de pédiatriepédiatrie Julien Mézu), du GABON en 1986 il expose 50 toiles à Libreville.
Nommé directeur du service Formation Continue de l'IUT2 en 1987, peu après il est Professeur hors classe.
Il quitte l'Éducation Nationale en1990.
Nouvelle vie, dans la couleur, comme agent commercial NCS (Natural Color Système - Stockolm-) avec les éditions EREC Paris.
En 1994 il crée sa maison d'édition « Chalagam » pour éditer "l'OUTIL DES COULEURS" qu'il à commencé d'écrire et de mettre en forme dans les années 80.
En 1995 une nouvelle aventure couleur, il est coordinateur et responsable scientifique du projet « Formeurocolor » à la Commission Européenne, 4e programme cadre 1995-98 présenté par le CAUE d'Avignon. Ce projet, plutôt bien accueilli par la commission ne se concrétisera pas par manque de représentation européenne. En 1995, il assure des conférences sur la couleur, à Paris (Ecole-Supérieure des Beaux-Arts, Xérox,...), à Lyon, Grenoble, Marseille, Montpellier, ... puis sur le Nombre d'orNombre d'or à partir de 1999.
En 1997 il édite « Géométrie du Nombre d'or » de Robert Vincent, et anime des stages couleur, pour les cadres, puis la maîtrise de Gemplus et parallèlement, pour les professeurs d'art plastique et d'arts appliqués dans le cadre de la Mafpen.
Pendant trois ans il anime un « Atelier couleur », qu'il a crée en 1999, pour les adolescents de « l'espace Arthur » du Professeur Rufo à l'hopital de la Timone à Marseille.
Il est l'auteur de l'ouvrage « Nombre d'or, nature et œuvre humaine » d'une Collection nombre d'or, qui compte trois livres, et qu'il crée en 2001. Ces livres sont à la boutique de Futura-Sciences.
Depuis, illustration, pour les éditions Désiris, de « L'Acoustique Cistercienne et l'Unité Sonore » d'Hubert Larcher, des articles sur la couleur ou sur le nombre d'or ou des conférences et le métier très prenant d'éditeur.
En cours d'étude ou de réalisation :
- Edition en anglais de « geometry of the golden section » de Robert Vincent en 2003 et du livre « Golden section, nature and human's works »
- Edition de « La couleur et l'artiste » qu'il a commencé d'écrire vers 1987, en attente depuis 1997
- et d'autres livres de nouveaux auteurs.
De part sa personnalité et son parcours, Robert Chalavoux allie rigueur et esthétisme, ses réalisations en sont la preuve.
Voir son site : Chalagam edition