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    (1)Nous remercions Mme veuve Robert Octobon qui a bien voulu nous confier les archives du commandant Octobon relatives au site, ainsi que D. Mouchot, conservateur du musée et P.‑E. Moulée, conservateur du musée de Menton, qui ont bien voulu nous permettre de jeter un oeil au mobilier des fouilles du Cdt F. C. E. Octobon.

    (2)Pour l'histoire des fouilles, cf. Octobon (1972‑1973).

    (3) Us 1100 : kaolinititque B 30 (+ 500/+ 600) ; Us 1102 : Amphore‑‑‑ africaine Keay 57 (+ 47o/550).

    (4) Octobon identifiait même deux portesportes dans cette « enceinte inférieure ».

    (5) Il s'agit de la pièce connue sous le nom de « maison du Pithos » dans les écrits du chanoine de Villeneuve, qui en donnait une coupe. Nous joignons ici la coupe dressée par le commandant Octobon. Le mobilier de cette pièce est conservé, avec indications stratigraphiques, pour partie au musée de Cimiez, pour partie au musée de Menton.

    (6) M. Laude et S. Todini étaient en charge de ce secteur en 1999.

    (7) On ne peut à cet égard manquer d'être sensible à l'absence à peu près totale de la volaille de basse‑cour dans les restes osseux.

    (8)La citerne 107 a été reconnue en 1998. Elle est enduite de bétonbéton de tuileau sur une hauteur de plus de 1 m et a justifié la mise en place du contrefortcontrefort 1070. Sa capacité est estimée à une cinquantaine de m'. Il est probable que la pièce loi, publiée par Octobon, qui prolonge au nord la citerne 107, ait également été une citerne, à supposer qu'il ne s'agisse pas de la même pièce, l'existence d'une cloison entre les deux demeurant hypothétique : les carnets du Cdt Octobon font en effet apparaÎtre que le fond de la pièce était également réalisé en béton de tuileau. Octobon (1972‑1973, p. 38) ajoute à la liste de ces citernes la pièce 105: « Peut‑être la case cimentée n'estelle elle‑même qu'un bassin où aboutissait cette canalisationcanalisation, car nous n'avons trouvé, dans ce local à paroi verticale que de la terre tamisée, sans aucun vestige de tuilestuiles ou de poterie, jusqu'à 1,60 m de profondeur ». Les carnets sont silencieux sur la nature de ce « ciment ».

    (9) P. 110 : « un fragment de roche avec trou de mine ». Les blocs taillés en V qu'il représente sans son dessin et qu'il interprète comme des passages de canalisation doivent également être interprétés comme des contrepoids dont la partie sommitale s'est brisée (fig. 12).