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    De querelles de spécialistes en avancées technologiques, et grâce à la redécouverte en 2003 du squelette de la reine Arégonde, à des restes organiques et du mobilier funéraire dans un coffre-fort de l'Hôtel d'Aumont, l'histoire de la mère de Chilpéric Ier, s'est progressivement construite.

    Bijoux de la reine Arégonde au musée du Louvre. Les recherches archéologiques ont permis de réaliser l'enquête anthropologique et de révéler quelques informations sur cette reine mérovingienne. © Domaine public
    Bijoux de la reine Arégonde au musée du Louvre. Les recherches archéologiques ont permis de réaliser l'enquête anthropologique et de révéler quelques informations sur cette reine mérovingienne. © Domaine public

    Arégonde, une reine mérovingienne

    Arégonde représente l'élément central de l'étude des tombes mérovingiennes de la basilique de Saint-Denis. Le réexamen de sa sépulturesépulture et de son corps a bénéficié de l'évolution des techniques de recherche. Malgré un squelette très dégradé, l'étude anthropologique a permis d'approfondir la connaissance de ce personnage historique, participant ainsi au renouveau de l'information sur la période et la dynastie mérovingienne.

    Nous apprendrons dans ce dossier à la découvrir : quel était son âge ? Son état de santé ? Que peut-on savoir au travers d'examens anthropologiques et d'analyses génétiques ?

    Véronique GallienVéronique Gallien, anthropologue, nous décrit les découvertes et conclusions tirées de l'étude des restes d'Arégonde.

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