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    Mardi 1er octobre 2024, les instruments ont enregistré une nouvelle éruption solaireéruption solaire majeure. La deuxième plus puissante de ce cycle 25.

    Une éruption de classe X7.1 issue de la tache solaire nommée AR3842. Et les astronomesastronomes ont rapidement signalé qu'elle avait éjecté de la matière coronale (CMECME) en direction de la Terre. Une CME relativement modeste, toutefois. Qui n'aurait, habituellement, pas nécessairement attirée l'attention.

    Une éjection de masse coronale est en route vers la Terre

    Mais la saisonsaison est propice aux tempêtes solaires. Parce qu'autour de l'équinoxe d'automneéquinoxe d'automne - tout comme de celui de printemps -, le champ magnétiquechamp magnétique de notre Terre est orienté de façon à se connecter assez naturellement avec le SoleilSoleil et à laisser plus facilement le vent solairevent solaire s'écouler dans l'atmosphèreatmosphère que le reste de l'année. C'est ce que les astronomes appellent l'effet Russell-McPherron. Ainsi, les modèles de la NOAA (National Oceanic and Atmospheric AdministrationNational Oceanic and Atmospheric Administration)) annoncent-ils une tempêtetempête géomagnétique de classe G3 pour ce week-end.

    Verrons-nous des aurores boréales dans le ciel de France ?

    Les experts préviennent toutefois qu'il reste difficile de prévoir l'apparition d'aurores boréales à nos latitudeslatitudes. Compte tenu des incertitudes qui demeurent toujours sur l'heure d'arrivée de l'éjection de massemasse coronale. De parfois plus ou moins 12 à 20 heures, tout de même. Mais aussi du fait que l'indice Kp - à la base de l'échelle des tempêtes géomagnétiques -, un excellent indicateur des perturbations dans le champ magnétique de notre Terre, n'est pas aussi bon à prédire si oui ou non nous verrons finalement des aurores boréalesaurores boréales dans notre ciel.

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