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Voilà plus de 60 ans que les astronomesastronomes étudient le vent solaire. Ce flux de particules -- essentiellement des ionsions, des protonsprotons et des électronsélectrons -- est éjecté de la haute atmosphèreatmosphère du SoleilSoleil. À une vitessevitesse et à une température qui varient en fonction de l'activité de notre étoileétoile. Mais globalement plutôt en mode ouraganouragan que petite brise. Puisque les chercheurs estiment qu'il souffle à plus d'un million de kilomètres par heure.
Et c'est à l'aide de l'instrument Fields qui équipe la sonde Parker Solar Probe (NasaNasa) que des astronomes de l'université Johns Hopkins (États-Unis) sont parvenus à enregistrer le chantchant de ce vent solairevent solaire. Car en captant les fluctuations électriques et magnétiques causées par les ondes de plasma lorsque les ondes et les particules interagissent, Fields peut fournir des informations sur la fréquencefréquence et l'amplitude de ces ondes. Des informations transformées en sons par les chercheurs
On y reconnaît par exemple quelques ondes en mode sifflement, causées par des électrons énergétiques jaillissant de la couronne solaire. Comme au cœur d'un ouragan. Ou encore, quelques ondes dispersives. Des ondes de plasma qui passent rapidement d'une fréquence à une autre en se déplaçant à travers le vent solaire. Donnant naissance à une sorte de gazouillis.
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