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    [Image du jour] La chaleurchaleur écrasante et la sécheressesécheresse auront eu raison d'une bonne partie de la végétation en Europe de l'Ouest, « gâtée » par deux épisodes caniculaires en l'espace de deux mois. Le carnage se voit même depuis l'espace, comme le montrent ces images avant-après de l'Espagne et la France roussies par les fortes chaleurs, prises en mai puis fin juillet 2019 par le satellite d'observation de la Terreobservation de la Terre Sentinel 3 de la constellationconstellation Copernicus. Alors que juin 2019 s'établit comme le mois de juin le plus chaud depuis le début des mesures, juillet 2019 surpasserait tout juste, quant à lui, le record de juillet 2016 pour devenir le mois le plus chaud jamais enregistré, tous mois confondus, selon les données de l'agence européenne Copernicus Climate Change Service (C3S).

    Fin juin, l'Europe était en effet frappée par une caniculecanicule d'une intensité aussi remarquable que sa précocité, rappelle Météo-France, qui témoigne que 23 % de ses stations ont alors enregistré leur record absolu de température depuis leur installation. Ne laissant que peu de répit au Vieux Continent, un deuxième épisode de canicule grillait le pays fin juillet. La végétation européenne étouffée par les températures élevées et le manque de précipitations, responsables de restrictions d'eau dans 80 départements français au 30 juillet, n'a également pas été épargnée par les incendies. Plus de 6.500 hectares de forêts avaient déjà été réduits en cendres en Catalogne au 27 juin, et de même, plusieurs milliers d'hectares de forêts et de cultures étaient partis en flammes en France au 25 juillet.

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