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Ces six cas de fusion de galaxies, connus depuis plusieurs années, appartiennent à la très belle et impressionnante collection de collisions cosmiques amassées par Hubble.

NGC 4194, à plus de 130 millions d'années-lumière, est surnommée Méduse pour son évocation des serpents sur la tête de la créature légendaire. © ESA, Hubble & NASA, A. Adamo et al.
NGC 4194, à plus de 130 millions d'années-lumière, est surnommée Méduse pour son évocation des serpents sur la tête de la créature légendaire. © ESA, Hubble & NASA, A. Adamo et al.

Les six spécimens ont fait l'objet d'une étude approfondie de leurs caractéristiques via le sondage HiPEEC (Hubble imaging Probe of Extreme Environments and Clusters) qui vise à mieux connaître les taux de formation d'étoiles au sein de ces danses virevoltantes de galaxies (celle de la Voie lactée avec sa grande voisine Andromède a déjà commencé). Des galaxies que l'on peut comparer à des titans, de par leurs tailles et masses, et projetant l'un contre l'autre des centaines de millions ou de milliards d'étoiles. Tout cela se passe à des millions d'années-lumière de la Terre et en l'espace de quelques centaines de millions d'années. Et à la fin il n'en restera qu'une..., une galaxie plus vaste et massive encore, décorée d'une ribambelle d'étoiles bleues. Ce sont précisément ces chapelets de points bleutés qui ont intéressé les astronomes : combien sont-ils ?, en combien de temps ces nids de bébés étoiles se forment-ils ? Quelles sont leurs masses ? Leurs longévités ? etc. Bref, quels sont les impacts de ces ébats galactiques géants sur la population d'étoile et leur renouvellement. Il en ressort que les amas les plus massifs apparaissent vers la fin du processus.

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