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Les 17 et 18 juillet dernier, conséquence d'une éruption solaire qui a expulsé des particules en direction de la Terre, des aurores ont embrasé le ciel de l'AntarctiqueAntarctique. Comme en ce moment c'est la longue nuit australe, les rares habitants (principalement des scientifiques) du continent blanc ont pu se régaler des heures du spectacle.
Pendant ce temps, de l'autre côté des aurores, là-haut dans l'espace, le satellite Suomi NPP en a profité à travers ses yeuxyeux infrarougesinfrarouges Viirs (Visible Infrared Imaging Radiometer Suite) pour saisir le phénomène dont les lueurs, mêlées à celles de la LuneLune, se reflétaient sur la surface glacée de l'Antarctique.
Aurore australe aux larges de la Nouvelle-Zélande imageait à bord de l'avion-télescope Sofia le 17 juillet 2022. © Ian Griffin du musée Otago (Nouvelle-Zélande), Vimeo
Autre point de vue et presque au même moment, des scientifiques à bord de l'avion-télescopetélescope Sofia n'en ont pas raté une miette, dans les airsairs, alors qu'ils volaient au sud de la Nouvelle-Zélande. Installés littéralement aux premières loges, ils ont longé les bandes « féériques » de l'aurore qui dansaient dans l'atmosphèreatmosphère, se tordant, ondulant, se dénouant, se reconnectant à des altitudes différentes.
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