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Selon le Centre Français de Recherches Pétrographiques (CFRP) appartenant au CNRS, qui a participé à la mission, il est vraisemblable que les échantillons pourront tout de même être analysés, car ils se sont incrustés beaucoup plus profondément dans le support que les particules de poussière résultant de l'écrasement. Cela réclamera simplement une phase supplémentaire de nettoyage et de caractérisation, selon les scientifiques.
"La cartouche est éventrée sur environ 20 centimètres et une partie de son contenu en est sorti, se mélangeant aux éléments du sol désertique de l'Utah. Mais nous avons de la chance, ce n'est qu'un peu de terre et de boue collante", déclare David Lindstrom, scientifique de la mission auprès de la Nasa.
Nouvelles images saisissantes de l'écrasement de Genesis. On y voit que la sonde |