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L'étude de Tchouri a apporté de nombreuses réponses inédites sur la composition des comètes, leur évolution sous l'influence du Soleil ou encore l'origine de l'eau sur notre planète. Le passage de la sonde RosettaRosetta dans la queue cométaire a pu déterminer la présence de vapeur d'eau, de composés organiques, mais aussi de dioxygène provenant du noyau même.
De son côté, Philae, après un atterrissage hasardeux, a pu mettre en évidence un sol accidenté parsemé de matériaux granuleux, vraisemblablement de gros grains de moléculesmolécules organiques. Suite à l'analyse radar réalisée grâce à l'instrument Consert, il a aussi pu déterminer que la structure interne du noyau cométaire semblait bien plus homogène que prévu par les modèles.
© Esa