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Crédits : www.epa.gov
Une perspective totalement irréaliste de l'avis même de l'un des financeurs de l'étude, le California Air Ressources Board, qui voit mal comment imposer de nouvelles dépenses aux propriétaires souvent pauvres de vieux véhicules.
Mais pour Joseph Norbeck, professeur d'ingénierie chimique et environnementale à Riverside, qui a dirigé les recherches, l'important n'est pas là. Il s'agit avant tout de voir que des progrès pour atteindre les objectifs fédéraux en matière d'émissionsémissions automobilesautomobiles à l'horizon 2010 sont d'ores et déjà possibles, avec les technologies actuelles.
Ce point de vue optimiste laisse perplexes les partisans de la pile à combustiblepile à combustible qui y voient un argument susceptible d'encourager l'industrie automobile à produire des véhicules à moteurs classiques plutôt que d'investir dans la recherche de modes de propulsion alternatifs.