au sommaire
Après de longues négociations, c'est un soulagement du côté de la France et une belle opportunité d'avenir pour ce programme de 10 milliards d'euros sur 30 ans.
D'après des sources proches du dossier, Tokyo aurait obtenu un réajustement des financements du projet par lequel le «pays hôte» devrait assurer 50% du coût de la constructionconstruction du réacteur (estimé à 4,2 milliards d'euros) contre 10% pour le pays «non hôte».
- Plus d'informations dans cette actualité