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La naissance de l’univers est considérée comme une singularité, au sens mathématique du terme : cet événement n'est pas complètement défini. Selon Claude Aslangul, face à ce problème, la physique quantique ne peut guère apporter plus d'informations que la physique classique.
Schématiquement, il existe un seuil d'énergie, de longueur et de temps, matérialisé par l'horizon de PlanckPlanck, au-delà duquel la physique actuelle est incapable de décrire un phénomène. Là devraient se rejoindre la relativité générale et la physique quantiquephysique quantique mais elles restent encore inconciliables. Par-delà ce murmur, pour l'instant infranchissable, on ne peut qu'extrapoler des scénarios comme celui du Big Bang par exemple.
© De Boeck