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La station spatiale internationale terminée (dessin d'artiste).
Aux dires d'un porteporte-parole du Centre russe de gestion des vols (Tsoup), "il n'y a pas lieu de s'en inquiéter car il s'agit d'un indice insignifiant". Ils estiment que si même la pression à bord continue à baisser à cette vitesse, l'oxygène nécessaire aux activités de l'équipage suffira pour plus de 180 jours encore.
Mais ni le Centre russe, ni le Centre américain ne sont pour l'instant à même d'indiquer la cause exacte de cette anomalieanomalie. L'équipage de l'ISSISS, le Russe Alexandre Kaleri et l'Américain Michael Foale, examinent la Station compartiment après compartiment, au moyen de détecteurs à ultrasonsultrasons.