Le nombre de Français qui souffrent d’insomnie ou de troubles du sommeil augmente d’année en année. Pour y remédier, il est utile de connaître les causes de cette maladie ainsi que les astuces pour éviter d’être fatigué au réveil.
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Tout le monde s’accorde à reconnaître qu’un bon sommeil est la clé du bien-être mental et physique d’une personne. En revanche, un mauvais sommeil constitue une source de fatigue au réveil. Il existe de nombreux motifs qui engendrent un tel sommeil non réparateur. La plupart du temps, c’est l’amalgame de plusieurs facteurs qui conduisent à ce résultat. Dans cet article, nous allons évoquer les causes les plus fréquentes du sommeil non réparateur.
Un mauvais environnement de sommeil
Votre sommeil peut également être perturbé par un mauvais environnement. Voici les exemples les plus marquants :
La qualité du sommier et du matelas selon son état physique
Le matelas et le sommier affectent considérablement la qualité de sommeil d’un individu. Ainsi, un matelas trop mou ou trop rigide peut conduire à une insomnie, en fonction de votre morphologie. Il en est de même si votre matelas est infesté de bactéries ou d’acariens. Ces nuisibles peuvent entraîner une maladie chez les personnes sensibles et souffrant d’allergie. Le matelas latex naturel est recommandé pour toutes ces catégories d’individus. Naturellement antibactérien et anti acarien, il est compatible avec n’importe quelle catégorie de sommiers, même les modèles électriques.
L’environnement de la chambre
Il faut aussi souligner que l’environnement de la chambre peut engendrer un sommeil non réparateur. C’est notamment le cas si celle-ci est surchauffée. Effectivement, la chaleur va augmenter le taux d’humidité dans la pièce tout en réduisant les phases de sommeil profond. D’autre part, si la pièce n’est pas plongée complètement plongée dans l’obscurité, cela risque d’engendrer des troubles de sommeil. Certes, la lumière bouleverse la sécrétion de mélatonine, encore appelée hormone du sommeil. Enfin, le bruit est une des causes du sommeil non réparateur. Dans un environnement bruyant, non seulement vous risquez une insomnie, mais cela nuit surtout à la qualité de votre sommeil.
Les émotions du quotidien et leur impact sur le psychisme la nuit
Une personne peut avoir du mal à s’endormir à cause de l’anxiété, des soucis qu’elle rencontre au quotidien ou encore du stress emmagasiné durant la journée. Cette situation peut arriver jusqu’à perturber son sommeil profond. Or, c’est pendant cette phase que l’individu récupère le mieux. En conséquence, elle est victime d’insomnie, de sommeil non réparateur, de troubles de sommeil, etc.
Une mauvaise nuit s’accompagne souvent de cauchemars consécutifs à cet état anxieux. Si rien n’est mis en place pour réduire cette anxiété, ces cauchemars peuvent devenir récurrents, au point d’avoir peur de s’endormir ! L’intervention de Léa Le Gall, onirologue et analyste jungienne est donc parfois nécessaire. Il s’agit d’une spécialiste de l’interprétation des rêves qui va vous aider à détecter très vite une problématique essentielle et à trouver des solutions pour agir en conséquences. Si un travail thérapeutique s’avérait utile, elle pourra vous proposer un accompagnement basée sur la psychologie analytique de Carl Gustav Jung.
Des mauvaises habitudes avant l’heure du coucher
Il existe aussi de mauvaises habitudes qui risquent d’occasionner des troubles du sommeil.
Se coucher et se lever à des heures différentes chaque jour
Pour un endormissement optimal, il est recommandé de garder le même rythme pour le lever et le coucher, aussi bien pendant la semaine que le week-end. Sinon, vous risquez de décaler votre horloge biologique.
L’utilisation d’écrans avant de dormir
Si vous souhaitez profiter d’un sommeil réparateur, évitez d’utiliser les écrans avant de vous mettre au lit. Ainsi, la télévision, le téléphone, la liseuse électronique ou encore la tablette sont à proscrire au moins 1 heure avant d’aller vous coucher. En effet, ces appareils émettent une lumière bleue qui perturbe les rythmes biologiques, et donc le sommeil.
La consommation de caféine, d’alcool ou de drogue
Ces excitants favorisent la fragmentation du sommeil dans la deuxième partie de la nuit. Ils peuvent donc provoquer un réveil nocturne et déboucher sur des troubles du sommeil.
Une alimentation lourde
Les repas copieux, riches en graisses ou en protéines mettent plus de temps à digérer. Vous devez aussi éviter les grignotages pendant la nuit. En revanche, il convient de privilégier les aliments riches en mélatonine, comme le lait, le kiwi, les poissons gras ou les amandes.
Article rédigé en partenariat
