Le stress lié au travail ou à des problèmes personnels, une mauvaise alimentation et les facteurs socio-économiques peuvent contribuer à un mal-être et à des troubles de santé mentale. L'impact de la nutrition sur cet équilibre mérite d'être exploré.
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Si, comme l’affirme l’illustre anthropologue et ethnologue britannique Jane Goodall, « nous sommes ce que nous mangeons ! », force est de constater que le parallèle peut être fait entre la façon de s’alimenter et son impact sur la santé mentale des individus. Alors, en quoi bien se nourrir pourrait être bénéfique à l’organisme et contribuer à se sentir mieux ?
Qu’entend-on par santé mentale ?
La santé mentale est une dimension intrinsèque à la santé. Elle ne se définit pas uniquement par l’absence de troubles mentaux ou d’un handicap mental. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) considère d’ailleurs la santé mentale comme étant « un état de bien-être mental qui nous permet d’affronter les sources de stress de la vie, de réaliser notre potentiel, de bien apprendre et de bien travailler, et de contribuer à la vie de la communauté ». À contrario, une absence de santé mentale peut générer une surcharge et une fatigue mentale, du stress, de l’anxiété, une dépression, un manque d’entrain, mais aussi des troubles de la concentration. Il se trouve qu’à l’issue de la pandémie mondiale liée à la Covid-19, les troubles de la santé mentale se sont accrus.
Audrey Verseils Zéphir, responsable Communication au sein du laboratoire Dynveo l’explique : « La santé mentale est propre à chacun et générée par des facteurs divers, qu’ils soient personnels, socio-économiques ou d’ordre collectif. Tout au long de l’existence, elle varie et peut être conditionnée par ces paramètres qui, selon la vulnérabilité de l’individu, peuvent être plus ou moins impactants, donc compromettre ou venir en renfort de la santé mentale ».
Ainsi, elle peut être accompagnée, soutenue et préservée par plusieurs biais. D’abord, un des premiers soutiens reste le fait de pouvoir bénéficier de soins. Mais d’autres déterminants peuvent venir en complément : un entourage bienveillant, la pratique d’un loisir pour diminuer la charge mentale ou encore l’adoption d’une alimentation équilibrée pour une plus grande résilience.
Quel rôle peut jouer la nutrition dans la santé mentale ?
Pour fonctionner convenablement, le cerveau a besoin de nutriments. Audrey Verseils Zéphir met justement en avant qu’« une première étude réalisée en 2013 et qui a analysé 13 cohortes d’adultes montre qu’une alimentation saine à base de fruits, de légumes, de poisson ou encore de graines entraîne des risques moins importants. Depuis quelques années, on voit d’ailleurs émerger une nouvelle discipline appelée la psychologie nutritionnelle qui étudie le comportement alimentaire d’un individu et vise à l’améliorer pour aboutir vers un mieux-être ».
Depuis ces dernières années, plusieurs études ont mis en lumière le lien existant entre alimentation et santé mentale. L’une d’entre elles explique notamment en quoi le régime méditerranéen particulièrement riche en fruits, légumes, huile d’olive et poisson amenuise les risques de troubles de la santé mentale.
De plus, on parle aujourd’hui de l’intestin comme un deuxième cerveau. Ce microbiote intestinal, qui abrite des milliards de micro-organismes, communique étroitement avec notre cerveau. Il faut également savoir que la sérotonine est un neurotransmetteur que l’on retrouve à la fois au niveau cérébral et digestif. Se pose alors la question d’un lien entre déséquilibre du microbiote intestinal et certains troubles de santé mentale.
Conscient du rapport entre nutrition et santé mentale, mais aussi du bienfait des solutions naturelles pour améliorer certains inconforts, le laboratoire Dynveo propose un extrait sec de Rhodiola rosea en gélules.
Une alimentation équilibrée : le secret du bien-être
Une alimentation équilibrée est cruciale pour maintenir la santé globale, y compris la santé mentale, comme le confirment les recherches récentes. Les nutriments tels que les vitamines, les minéraux et les acides gras essentiels jouent un rôle vital dans la régulation de l'humeur, la concentration et la réduction de la fatigue. Leur insuffisance peut être liée à divers troubles mentaux, dont la dépression et l'anxiété. Une alimentation variée est essentielle pour garantir un apport complet en nutriments.
Les meilleurs aliments pour le cerveau sont ceux qui fournissent une gamme de nutriments essentiels pour son fonctionnement optimal. Les fruits à coque comme les noix et les amandes sont riches en acides gras oméga-3, en antioxydants et en vitamine E, qui favorisent la santé cérébrale. Les poissons gras comme le saumon, le thon et le maquereau sont d'excellentes sources d'acides gras oméga-3, bénéfiques pour la mémoire et la concentration.
Les fruits et légumes colorés, en particulier les baies, les épinards et les carottes, sont riches en antioxydants qui protègent les cellules cérébrales contre les dommages causés par les radicaux libres. Les aliments riches en vitamines B, comme les légumineuses ou les produits laitiers, sont également importants pour la santé du cerveau en favorisant la production de neurotransmetteurs.
Focus sur la Rhodiola, une plante bénéfique pour la santé mentale
La Rhodiola rosea est une plante cultivée sur les hauteurs des montagnes de l’Altaï, en Sibérie. Elle doit son nom au parfum caractéristique de rose qui se dégage de ses racines. Cette plante est connue et employée depuis des siècles, notamment en tisane. Sa renommée est due à ses vertus toniques, stimulantes et d'aide à la résistance au stress. Elle a montré des bénéfices permettant de mieux résister au surmenage professionnel et personnel en stimulant les performances physiques et mentales, contribuant ainsi au bon fonctionnement du système nerveux. Forte de ses plus de 140 composés actifs (dont les flavonoïdes par exemple), la Rhodiola rosea présente donc certains bienfaits tels que des propriétés adaptogènes.
La responsable communication du laboratoire Dynveo explique : « La Rhodiola rosea contient de la rosavine et de la salidroside qui sont deux principes actifs se trouvant dans la racine de la plante. Dans notre organisme, leur mission est de favoriser et de stimuler le transport des précurseurs de la sérotonine ». Se supplémenter en Rhodiola rosea s’avère donc intéressant pour le fonctionnement normal du système nerveux. Aussi, pour bien choisir ses gélules de Rhodiola, il est très important de vérifier la concentration de ces deux principes actifs.
Pour une efficacité optimale sur la santé mentale, Dynveo propose une Rhodiola rosea titrée à 5 % minimum en rosavine et 2 % minimum en salidroside et dont l’extrait reste 100 % pur et conditionné dans une gélule végétale. Le mode de culture est également à prendre en compte : éthique et durable avec une extraction végétale écoresponsable !
Article rédigé en partenariat avec Dynveo