Variant détecté en Angleterre, variant sud-africain, puis variant indien, le virus de la Covid-19 mute sans aucune surprise. En effet, ses mutations suivent un cheminement naturel, tout simplement pour assurer sa survie. Ce qui inquiète les autorités sanitaires est surtout lié à la transmission de ces variants, plus rapide que celle du virus d’origine.
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Le virus de la Covid-19, que le territoire a connu en mars 2020, cède peu à peu sa place à d’autres virus mutants. Ces derniers portent préjudice à l’être humain puisqu'ils sont plus virulents, parfois plus dangereux et plus résistants. D’où les mises en garde des autorités pour s’en protéger.
Quelles sont les recommandations des autorités ?
Avant de garantir l’efficacité totale des vaccins contre le virus de la Covid-19, certaines recommandations instaurées doivent être poursuivies. La Haute Autorité de Santé (HAS) préconise la poursuite des mesures locales. En effet, certaines régions enregistrent la présence de certains variants à des degrés plus ou moins élevés. Ainsi, sur le territoire national, la présence du variant anglais est majoritaire et en Outre-mer, les variants sud-africain et indien représentent plus de la moitié des cas.
La vaccination reste le meilleur moyen de se protéger soi-même et son entourage. Néanmoins, le respect des gestes barrières reste primordial depuis le début de l’épidémie. S’ils restent identiques, ils doivent cependant être ajustés : se laver les mains, ne pas se serrer la main, ne pas s’embrasser, se tenir à deux mètres de distance au lieu du un mètre auparavant préconisé. Quant au port des protections, c’est le masque de catégorie 1 qui est vivement recommandé !
Quels sont les types de masque recommandés contre les variants ?
Les variants nommés B.1.1.7 (variant anglais), B.1.351 (variant sud-africain) et P1 (variant brésilien) sont contagieux plus rapidement. La Haute autorité de santé (HAS) a revu ses préconisations quant à leur contagion et au port du masque.
Le masque FFP2, qui protège contre les risques d’inhalation d’agents infectieux transmissibles par voie aérienne, est composé d’une pièce faciale et d’un dispositif de filtration ; s'il a été adopté dans les pays voisins comme l'Autriche et dans le sud de l’Allemagne en janvier dernier, il n’est cependant pas obligatoire en France. Néanmoins, l’arrivée des variants a vu l’utilisation des masques chirurgicaux et des masques de catégorie 1 (filtrant plus de 90 % des particules) devenir obligatoire dans certains lieux, notamment à l’école. Les masques de catégorie 2 et ceux faits maison ne sont plus conseillés, ils filtrent en effet « seulement » 70 % des particules, une capacité insuffisante pour des variants plus transmissibles.
Pour éviter tout risque de contamination, le plus fiable reste de choisir des masques certifiés ou brevetés comme les masques médicaux Cidaltex® fabriqués par BioSerenity. Pour une fiabilité certaine, chaque masque Cidaltex ® est conçu selon une technologie ayant fait subir des essais stricts : évaluation de la sécurité, de l'efficacité antivirale et antibactérienne à 99,99% de la couche de filtration et de décontamination.
Reste à savoir si les recommandations que nous connaissons seront amenées à être modifiées en cas de recrudescence ou de diminution du virus et de ses variants.
Article réalisé en partenariat avec les équipes de BioSerenity