Médecine : personnalités

Le docteur Sylvie Royant-Parola a fait ses études de médecine à la Faculté de Necker-Enfants Malades. Dès 1976 elle devient enseignante à la faculté en tant qu’attachée assistante en neuro-anatomie et s’intéresse aux mécanismes du sommeil. Elle rentre dans le laboratoire de chronobiologie du Dr Odile Benoit à l’INSERM à la Salpêtrière et fait sa thèse de médecine sur les rythmes biologiques des sujets du matin et du soir. Son mémoire de psychiatrie porte sur l’étude des rythmes des patients déprimés. A la fin de son internat elle s’oriente vers une pratique clinique de consultation et d’exploration du sommeil.
Elle participe à des actions associatives ou scientifiques qui contribuent à faire reconnaitre le sommeil et ses pathologies comme une priorité de santé publique (Société Française de Recherche et de la Médecine du Sommeil, Syndicat de la Médecine du Sommeil et de la Vigilance, association Sommeil et Santé, Institut du Sommeil et de la vigilance). 
Depuis 2002 elle a contribué à la mise en place d’un réseau de santé consacré aux troubles chroniques du sommeil, le Réseau Morphée, dont elle est actuellement présidente (www.reseau-morphee.org). Dans le cadre de ce réseau, les actions de prévention et d’éduction pour la santé sont largement développés pour toucher le plus possible la population importante qui souffre de troubles du sommeil.
Dans sa pratique quotidienne elle est psychiatre libéral, Praticien Attachée des Hôpitaux et responsable du Centre d’Exploration du Sommeil de la Clinique du Château de Garches.

Santé

Médecine

Sylvie Royant-Parola

personnalité

04/04/2024

Passionnée par tout ce qui a trait au monde du vivant et du bien-être en général, j’ai d’abord étudié le domaine de la nutrition et de l’agroalimentaire. J’ai exercé la profession de diététicienne dans plusieurs secteurs et au contact de différents publics, avant de réaliser que mon goût pour la transmission passait avant tout par l’écriture.Si je m’intéresse particulièrement à la santé et aux progrès de la médecine, des sujets sur la société, la psychologie et l’environnement qui lui sont liés m’animent tout autant. Pour Futura, je suis journaliste scientifique indépendante dans la rubrique Santé.

Santé

Alimentation

Claire Manière

personnalité

09/08/2022

Ma formationJe suis docteur en pharmacie et docteur en biologie des cancers. J'ai un parcours professionnel original : j'ai travaillé à l'hôpital public, puis dans l'industrie pharmaceutique puis en agence de communication santé !Mes expériencesA l'hôpital, j'ai eu la chance de participer à un projet de recherche translationnelle en biologie des cancers, sur la mise au point de nouveaux biomarqueurs dans le cancer du sein hormonodépendant. Il s'agissait de mettre au point une méthode de dosage des biomarqueurs sur des échantillons tumoraux et d'établir un lien entre la présence des marqueurs et la réponse aux traitement hormonal des patientes. Dans l'industrie pharmaceutique, je réalisais des rapports d'expertise en cosmétovigilance. Ces rapports étaient destinés soit aux équipes marketing, soit aux autorités compétentes des différentes filiales. Ils contenaient des analyses statistiques sur les taux de remontées consommateur en fonction des volumes de vente et de la typologie du produit. En agence de communication, j'ai collaboré à différents projets destinés aux patients : création du contenu de sites internet ou d'applications, rédactions d'articles de blog santé.Mon ambitionLe fil rouge de ces différentes expériences est la rédaction. Je suis une scientifique qui adore écrire ! Aujourd'hui, je me consacre entièrement à la rédaction de contenus santé destinés au grand public, en free-lance.Mon objectif est de rendre accessible au plus grand nombre de personnes possible une information médicale de qualité. J'espère ainsi me rendre utile en permettant aux lecteurs de mieux comprendre leur pathologie ou celle de leur proche. Pour Futura, j'interviens régulièrement dans la rubrique santé pour rédiger des actualités ou des questions/réponses.

Santé

Biologie

Stéphanie Le Guillou

personnalité

15/10/2021

Michel Nostradamus était un astrologue, voyant et médecin français. Durant sa vie, il a fait de grandes prophéties, et certaines d’entre elles se sont réalisées. Avec les controverses sur la fin du monde en 2012, les études et les lectures sur Nostradamus ont pris de l’ampleur.Michel Nostradamus : jeunesse et étudesMichel de Nostredame, connu sous le nom de Nostradamus, est né à Saint Rémy-de-Provence, en France, le 14 décembre 1503. Il étudie la philosophie à Avignon et la médecine à l’université de Montpellier, dont il sort diplômé en 1529.Son père, James de Nostradamus, était un marchand de grains dont la famille s’était convertie du judaïsme au christianisme à la suite des persécutions liées à l’avènement de Louis XII. Sa mère, Reynière de Saint-Rémy, a eu plusieurs enfants, l’aîné étant Michel de Nostradamus, qui avait des connaissances en langues classiques, en astrologie et en occultisme grâce aux enseignements de ses grands-pères.Nostradamus a fait fortune en tant que médecin, exerçant sa profession avec courage, notamment lors des épidémies de son siècle, pendant lesquelles il a sauvé de nombreuses vies. Installé à Agen, Michel Nostradamus décide de quitter la ville après avoir perdu sa femme et ses deux enfants. Après une période obscure, ce n’est qu’en 1544 que nous avons des nouvelles de lui, alors remarié et exerçant la médecine à Salon-de-Provence.Comment Nostradamus a réalisé ses prophétiesVers 1547, Michel Nostradamus commence à faire des prédictions, grâce à des études astrologiques et à l’inspiration divine. Ses visions apparaissent principalement la nuit, lorsqu’il fixe le feu ou l’eau.Il fait une grande partie de ses prédictions en quatrains rimés. Les vers permettent les interprétations les plus variées, car ils rassemblent plusieurs langues, énigmes, anagrammes et épigrammes.Des siècles de NostradamusEn 1555, Michel Nostradamus publie un livre de prédictions intitulé « Les Prophéties », contenant un millier de prédictions. Réimprimé trois ans plus tard, il est dédié à Henri II.La reine Catherine de Médicis consulte alors Nostradamus, qui lui prédit la mort du roi Henri II. Voici comment il annonce la mort du roi : « Henri II a eu l’œil crevé dans un tournoi lorsque la lance d’un jeune capitaine a pénétré la visière de son casque d’or ». Lorsque la mort tragique du roi survient, la renommée du voyant se répand dans toute l’Europe, et beaucoup lui attribuent le don prophétique. De nombreuses prédictions de Nostradamus concernaient ce qui allait se passer dans l’humanité dans les années à venir, en langage métaphorique, et donc sujet à diverses interprétations par les spécialistes. De nombreuses prophéties de Nostradamus se sont confirmées avec le temps, comme celles qui annonçaient la Révolution française, les guerres mondiales, la montée en puissance d’Hitler, la bombe atomique, entre autres. Célèbres, les œuvres de Nostradamus étaient de plus en plus demandées par les nobles et les rois.AstrologueEn plus de prédire admirablement l’avenir, il existe des preuves que Michel Nostradamus connaissait la loi de la gravité avant Newton et les lois de Kepler avant Kepler. Il semble connaître l’existence des planètes Uranus et Neptune, qu’il appelle par les noms qu’elles recevront lorsqu’elles seront découvertes en 1781 et 1846, respectivement.DécèsEn 1566, malade de la goutte et d’une insuffisance cardiaque, il prédit sa propre mort. Lorsque son assistant lui souhaite bonne nuit le 1er juillet 1566, Michel Nostradamus répond : « Vous ne me trouverez pas vivant à l’aube ». Nostradamus a été retrouvé mort dans sa chambre le matin du 2 juillet 1566, dans la ville de Salon-de-Provence, en France.En 1781, les prédictions de Nostradamus sont condamnées par la Congrégation de l’Index de l’Église catholique.

Sciences

Astronomie

Michel Nostradamus

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26/05/2021

Robert Debré est né 7 décembre 1882 dans les Ardennes, et mort le 29 avril 1978 au Kremlin-Bicêtre. C’est un médecin français, considéré comme l’un des fondateurs de la pédiatrie moderne. Père de l’homme politique Michel Debré, du peintre Olivier Debré et du médecin Claude Monod-Broca, et grand-père des hommes politiques Jean-Louis Debré et Bernard Debré.Le contexte familial de Robert DebréRobert Anselme Debré est issu d’une famille de rabbins alsaciens qui ont émigré après la guerre franco-allemande de 1870. Son père Simon Debré était un écrivain, linguiste et talmudiste renommé, rabbin à Sedan, puis grand rabbin à Neuilly-sur-Seine, et auteur d’un livre sur l’humour judéoalsacien.Après avoir commencé des études de philosophie à la Sorbonne, Robert Debré les abandonne après la licence pour se consacrer entièrement à la médecine.Les principales étapes de sa carrière professionnelleEn décembre 1906, à l’âge de vingt-quatre ans, il entre à l’Internat des hôpitaux de Paris. Il a vingt-six ans lorsqu’il épouse à Paris Jeanne Debat-Ponsan, fille du peintre Édouard Debat-Ponsan et l’une des premières femmes admises au concours de l’internat de médecine.En 1914, l’année de son 32e anniversaire, Robert Debré est mobilisé comme médecin-lieutenant dans un régiment d’artillerie.Sept ans plus tard, après la fin de la guerre, il est devenu médecin hospitalier. Puis, il devient chef de service à l’hôpital Bretonneau à Paris. Plus tard, il travaillera dans le service pédiatrie de ce même hôpital, pour les enfants malades. Période de guerre En décembre 1940, après l’occupation allemande et l’application des lois antisémites, il lui est interdit de continuer à pratiquer la médecine. Sans grande protestation apparente, la solidarité des milieux universitaires et médicaux a intercédé en sa faveur pour lui obtenir une exemption. L’argument en faveur de cette exemption était principalement basé sur son expérience, notamment dans la méningite cérébro-spinale, la rougeole, la diphtérie et la tuberculose. L’une des opinions favorables à Debré le désigne comme un partisan du Front populaire, sur lequel il exerçait une influence favorable dans les milieux médicaux. Le 5 janvier 1941, le maréchal Pétain signe la dérogation, mais il faut plusieurs mois pour qu’elle soit publiée au Journal officiel et elle ne devient applicable qu’à la mi-juillet 1941. RésistanceÀ la rentrée 1941, âgé de presque 59 ans, Robert Debré est élu à l’unanimité de ses pairs comme membre de la clinique de médecine infantile de l’hôpital des enfants malades. Son état est resté précaire. Proclamant sa fidélité au judaïsme et à l’État français, il croit jusqu’au printemps 1941 que le Maréchal joue un double jeu, mais ses illusions sont dissipées.Fin 1942, accompagné de Clovis Vincent et de Louis Pasteur Vallery-Radot, il rencontre secrètement le colonel Rémy, agent secret de la France libre en territoire occupé, et participe à la création d’un service médical et chirurgical clandestin pour la résistance française.À partir de 1943, il refuse de porter l’étoile jaune. Il commence également à participer à des actions médicales au sein de la Résistance française, par le biais du mouvement du « Front national », sans adhérer au parti communiste. Le groupe du Front national auquel il appartient, outre le soutien médical à la Résistance, formule en 1944 des propositions de réforme hospitalo-universitaire qui seront reprises des années plus tard par le gouvernement français. Robert Debré s’est employé à cacher des enfants qui avaient échappé à l’arrestation dans sa maison en Touraine. Il a également hébergé un atelier de fabrication de faux documents à l’hôpital pour enfants malades. Il parvient à échapper à l’arrestation, avec Frédéric Joliot-Curie et Louis Pasteur, et est contraint de prendre le maquis. En août 1944, il participe à la libération de Paris, et soigne les blessés.

Santé

Médecine

Robert Debré

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25/05/2021

Albert Schweitzer est né le 14 janvier 1875 à Kaysersberg, en Alsace, une région qui appartenait à l’époque à l’Empire allemand, mais qui fait aujourd’hui partie de la France. Ses parents, français d’origine, ont ainsi été naturalisés allemands après le rattachement de l’Alsace à l’Empire Allemand. Fils du pasteur Louis Schweitzer et d’Adèle Schilinger, elle-même fille de pasteur, Albert est le deuxième d’une fratrie de cinq enfants. Albert Schweitzer n’a renié aucune des cultures françaises et allemandes avec lesquelles il a grandi, et qui l’ont placé dès le plus jeune âge au cœur du voyage et du mélange social. Ce n’est qu’au début des années 1950 que la France le reconnaîtra comme un citoyen de nationalité française, grâce au traité de Versailles.Les études d’Albert SchweitzerAlbert étudie au lycée de Mulhouse entre 1888 et 1893, alors qu’il est hébergé non pas par ses parents, mais par un grand-oncle et son épouse. Il prend des cours particuliers de piano et pratique également l’orgue dans une des églises de la ville. En 1893, il rejoint l’université de Strasbourg où il étudie la philosophie et la théologie protestante, au sein d’un double cursus. Un an plus tard, il interrompt ses études durant un an pour réaliser son service militaire auprès de l’armée allemande. Finalement, il obtient sa licence puis suit des études de théologie et de philosophie aux universités de Berlin et Paris, conformément à la tradition familiale. Il obtient un doctorat en philosophie en 1899 et un diplôme de théologie en 1900. Cette même année, il est affecté à l’église Saint-Nicolas de Strasbourg comme assistant du pasteur, et il deviendra le recteur du séminaire théologique de l’église peu de temps après.Albert avait alors une excellente réputation en tant que musicien. On disait qu’il était l’un des meilleurs interprètes de Beethoven et de Bach. Il agissait également comme pasteur de son église. Mais cela ne lui suffisait pas. Avec une âme toujours prête à servir, Albert décida de venir en aide aux Africains des colonies françaises.Albert Schweitzer et l’aide humanitaire en AfriqueEn 1904, à l’âge de 29 ans, un magazine missionnaire lui est tombé dans les mains, avec une phrase qui fut le déclencheur de ses futures actions : « Il manque d’hommes de bonne volonté pour aider les gens en Afrique ». C’est à cette époque qu’il a commencé à développer une vocation de service aux autres. À 30 ans, il décide alors d’entrer à la faculté de médecine pour répondre à cette demande d’aide en Afrique.En 1905, il entreprend donc ses études de médecine et six ans plus tard, une fois diplômé, il se marie et part au Gabon, où une mission a besoin de médecins. Face au manque de moyens, il improvise un bureau dans un vieux poulailler dans lequel il s’occupe des patients. Albert se confronte alors à des obstacles tels qu’un climat hostile, le manque d’hygiène, une langue qu’il ne comprend pas, ou encore le manque de médicaments et de matériel médical. Malgré cela, il traite plus de 40 patients par jour.Albert Schweitzer rédigea deux romans racontant son histoire et particulièrement sa jeunesse : Souvenirs de mon enfance (publié en 1924) et Ma vie et ma pensée (en 1931). Tous les ouvrages d’Albert Schweitzer ont été publiés en allemand puis, plus tardivement, traduits en français.La première guerre mondialeAu début de la première guerre mondiale, Schweitzer est rapatrié en France comme prisonnier de guerre. Il y passe toute la période de la guerre confiné dans un camp de concentration. À la fin du conflit, il reprend son travail comme si rien ne s’était passé. Devant la vision d’un monde effondré, il prononça ces mots : « nous allons recommencer, nous devons diriger notre regard vers l’humanité ». Il a alors tenu une série de conférences, dans le but de collecter des fonds pour reconstruire le pays détruit, en se faisant connaître dans tous les milieux intellectuels en Europe.Schweitzer vient alors s’installer en France, à Strasbourg, avec sa femme. C’est à ce moment-là qu’il obtient la nationalité française. Sa femme en revanche, ne pourra pas se faire naturaliser, car elle est allemande, née à Berlin.Prix Nobel d’Albert SchweitzerAprès sept ans passés en France, il repart au Gabon. Cette fois-ci, il est accompagné de médecins et d’infirmières prêts à l’aider. L’hôpital a été installé dans une zone plus confortable. Grâce à l’aide de l’équipe de professionnels qui l’entourent, il peut consacrer quelques heures de sa journée à l’écriture de livres, dont les revenus permettent d’entretenir les infrastructures de l’hôpital. Schweitzer y aura passé la plus grande partie de sa vie, traitant des milliers de patients et s’occupant de centaines de lépreux. Albert Schweitzer a enchanté le monde entier par sa vie et son travail et, en 1952, il reçoit le prix Nobel de la paix en hommage à un « grand homme ». Schweitzer profite de son discours de remise du prix pour attaquer une nouvelle fois la guerre, en insistant sur le fait qu’elle est inhumaine et qu’elle constitue le pire des maux pour l’humanité. Ainsi, en plus d’être médecin et chirurgien, il aura été pasteur, auteur de livres, historien et musicien. La vision du monde de Schweitzer était axée sur l’humanité et le respect de la vie. Son éthique consistait à démontrer la volonté de vivre et à affirmer que dans les circonstances où cette obligation ne pouvait être satisfaite, il ne fallait pas tomber dans le défaitisme, mais plutôt chercher la solution dans la spiritualité.Albert est décédé le 4 septembre 1965 à l’âge de 90 ans. Ce jour-là, à Lambaréné au Gabon, les tambours de la forêt résonnaient tristement en son honneur. Les locaux chantaient « le médecin blanc est mort ».

Santé

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Schweitzer Albert

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05/11/2020

Christian Cabrol est né le 16 septembre 1926 à Chézy-sur-Marne, dans l’Aisne. Fils d’un agriculteur et petit-fils de médecin du village, Christian a été très inspiré par la profession de son grand-père dans son enfance car il l’accompagnait souvent lors des visites à ses patients. C’est son aïeul qui l’a orienté vers la chirurgie.Christian a fait ses études dans la petite ville de Château-Thierry, au nord-est de Paris. Il n’a que 13 ans lorsque la seconde guerre mondiale commence en 1939. L’armée d’Hitler occupe Paris, dès le 14 juin 1940. Cabrol rejoint alors le mouvement de résistance français.Après la guerre, il devient interne aux Hôpitaux de Paris et travaille à la Pitié-Salpêtrière où il effectue sa thèse de doctorat. En 1955, il officie déjà en tant que chef de la clinique et professeur d’anatomie. C’est dans cet hôpital qu’il rencontre Annick, une anesthésiste réanimatrice, avec qui il se mariera.Histoire : médecine, médecins et chirurgiens sous l'Ancien RégimeLa toute première transplantation cardiaque dans le mondeLe 3 décembre 1967, le monde a été témoin d’une incroyable réussite médicale. La première transplantation cardiaque a fait sensation dans les médias. Le rêve longtemps caressé de remplacer un cœur humain défaillant par un cœur sain mais provenant d’un donneur mort est enfin devenu réalité. Des chirurgiens de différentes régions du monde ont durement travaillé pour rendre possible cette tâche jusqu’alors jamais atteinte. C’est le Dr Christian Barnard, un chirurgien de la province du Cap, en Afrique du Sud, à l'époque peu connu, qui a réalisé cet exploit, de manière tout à fait inattendue.Cependant, on peut dire que la transplantation cardiaque est le fruit d’un long et minutieux travail de recherche menée par de nombreux scientifiques à travers le monde. Par exemple, Norman Shumway et Richard Lower, de Palo Alto en Californie, ont ajouté leur pierre à l'édifice et méritent également une part du succès pour leurs travaux de recherche dans ce domaine : eux aussi ont finalement abouti à la réussite de la transplantation cardiaque humaine.En Inde, le Dr Sen, un talentueux chirurgien bengali, travaillant au King Edward Memorial (KEM) à Bombay, a effectué la première transplantation en Asie le 5 février 1968 avant même la première transplantation européenne.La première transplantation en EuropeLa première transplantation cardiaque européenne a eu lieu quelques mois plus tard. Le 27 avril 1968, le chirurgien français Christian Cabrol, ancien collègue de Barnard avec lequel il effectua son stage universitaire dans le Minnesota, réalise la première transplantation cardiaque humaine en Europe, à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, à Paris. En 2018, a été célébré le jubilé de cette première transplantation cardiaque en Europe !Il s’agissait de la 7e transplantation cardiaque humaine au monde. Cependant, l’euphorie a été de courte durée car le patient Clovis Roblain n’a survécu que 52 heures. La frustration fut telle qu’après l’enthousiasme initial, la plupart des chirurgiens ont cessé de pratiquer des transplantations et le nombre de greffes cardiaques est passé de 100 en 1968 à seulement 18 en 1970. À cette époque, malgré les mauvais résultats, les véritables pionniers comme Christian Cabrol n’ont jamais baissé les bras et ont trouvé l’énergie nécessaire pour se convaincre de poursuivre. Ce n’est que la découverte de la ciclosporine qui a changé le monde des transplantations, lui apportant de nouveaux espoirs dans les années 1980. Arrêt cardiaque : comment se servir d’un défibrillateur ?Les autres apports en médecine de Christian CabrolOutre le triomphe de la transplantation, Christian Cabrol a apporté de nombreuses autres contributions au développement de la chirurgie cardiaque, en France et à l'étranger. Il a poursuivi ses efforts dans différents domaines de la chirurgie cardiaque à l’hôpital de La Pitié-Salpêtrière. Il invente notamment une technique pour la prise en charge d’un anévrisme aortique ascendant (appelée méthode Cabrol) et met au point une technique similaire pour l’anastomose dans les pontages d’aorte.Ses activités chirurgicales ont continué jusqu’à sa retraite en 1990. Le service de chirurgie cardiaque de l’hôpital La Pitié-Salpêtrière est aujourd’hui l’un des plus grands services de ce domaine en Europe. Ce département, créé par le professeur Cabrol lui-même, a donné naissance à quelques-uns des plus célèbres chirurgiens cardiaques français, dont les professeurs Iradj Gandjbakhch, Gérard Guiraudon, Alain Pavie, Pascal Leprince, Akhtar Ali Rama et Nicolas Bonnet, entre autres. Le professeur Cabrol a également formé un certain nombre de chirurgiens étrangers très célèbres.La vie de Christian Cabrol en dehors de la médecineAu-delà du bloc opératoire, Cabrol a vécu une vie haute en couleur. Par ses réalisations, il acquiert un statut de célébrité. Il a divorcé de sa première femme, Annick et, en 1998, à l’âge de 73 ans, il épouse une actrice de 59 ans, Bérengère Dautun. Le professeur Cabrol s’est lancé dans la politique et y exerce plusieurs mandats électoraux. En 1989, il a été élu conseiller de Paris du 13e puis du 16e arrondissements de Paris. Il perd l’élection parlementaire en 1993, mais est élu au Parlement européen de 1994 à 1999. Il a occupé les fonctions d'adjoint au maire de Paris entre 1995 et 2001.En 1989, il crée l’Association pour l’Innovation et le Développement en Cardiologie (Adicare) dont il est le président fondateur et l'anime jusqu’en 2015. Cette organisation a contribué à l'amélioration des soins cardiaques en France et dans le monde ainsi qu’à la recherche et à l’enseignement. Bien qu’il ait cessé ses activités de chirurgien lors de la retraite à 65 ans, Christian Cabrol a continué d’être très actif au sein de l’association. Enfin, en 1998, il rejoint l’Académie nationale de Médecine qui vient consacrer sa carrière exceptionnelle.Christian Cabrol est décédé le 16 juin 2017 à Paris. Il marque l’histoire par ses exploits en chirurgie cardiaque et sa présence notable en politique.

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Cabrol Christian

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23/10/2020

Jean-Michel Cohen est Docteur en médecine. Il est marié et père de trois filles qui font toute sa fierté. Depuis 1981, il se consacre presque exclusivement aux problèmes concernant l'alimentation et aux relations entre le corps humain et l'utilisation des aliments. De 1982 à 1986, il a été consultant pour les laboratoires Braun-Bruneau où il a développé le principe de solutés hyper protéinés dans les situations de dénutrition gravissimes. Dans les années 2000, il a écrit plusieurs ouvrages dont « Savoir Maigrir », « Au bonheur de maigrir », « Bien manger en famille » ainsi que « Savoir manger : le guide des aliments » en collaboration avec Patrick Serog. Son dernier livre « Maigrir : Le Grand Mensonge » dans lequel il introduit le concept novateur de « régime universel » est déjà un succès de librairie… En 2004, il a reçu les insignes de l'Ordre National du Mérite de la part du Ministre de la Santé. En 2005, il a créé une unité des troubles additifs alimentaires à l'Institut Rothschild. Il est aussi à l’origine du "curseur nutritionnel", un outil de lisibilité pour l'étiquetage nutritionnel, actuellement en développement avec des groupes industriels alimentaires. Depuis 20 ans déjà, Jean-Michel Cohen intervient régulièrement à titre d'expert spécialiste en nutrition sur des plateaux de télévision (TF1, France2, M6, Gulli…) ainsi que dans diverses émissions radio.

Santé

Médecine

Jean-Michel Cohen

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25/09/2018

Chimiste, biologiste moléculaire et cristallographe, Rosalind Franklin est célèbre pour ses travaux sur le charbon et les virus. Ses photographies de l’ADN par cristallographie aux rayons X ne sont pas moins célèbres et ont largement contribué à la découverte de la structure à double hélice de la molécule. Son rôle, cependant, n’a pas été récompensé par un prix Nobel.
Rosalind Elsie Franklin naît le 25 juillet 1920 à Notting Hill, à Londres, dans une riche famille juive, Élève brillante, Rosalind Franklin réalise un parcours exemplaire tout au long de sa scolarité. Elle a la chance d’intégrer à 11 ans le St Paul’s Girls’ School, un des seuls établissements de Londres où la physique et la chimique sont enseignées aux jeunes filles. Là, elle montre ses talents pour ces matières, ainsi que pour le latin et le français, qu’elle apprendra à parler couramment. En 1938, elle passe avec brio son examen de fin de scolarité et obtient une bourse universitaire.
Rosalind Franklin est née en 1920 dans une famille influente. Son père était banquier d'affaires et professeur au Working Men’s College, un des premiers établissements de formation continue du Royaume-Uni et d’Europe, dont il deviendra ensuite le vice-principal. © A Other, Flickr
En cette première moitié du XXe siècle marquée par la montée du nazisme et la guerre, la vie de Rosalind Franklin est influencée par ces évènements. Sa famille accueille des jeunes réfugiés juifs fuyant l’Allemagne et l’Europe de l’est grâce au programme de secours Kindertransport (transport d’enfants, en allemand). Son père lui intime de céder sa bourse universitaire à un réfugié, ce qui n’empêchera pas Rosalind Franklin d’intégrer le Newham College, à l’université de Cambridge, afin d’y étudier la chimie.
Elle obtient son PhD en 1945 pour ses travaux sur la porosité du charbon, qui contribueront à la classification des charbons et permettront de déterminer leur intérêt industriel en ce contexte de guerre, notamment dans la production de carburants et de masques à gaz.
Les photographies historiques de l’ADN aux rayons X
Après la guerre, Rosalind Franklin se rend en France grâce à une réfugiée nommée Adrienne Weill, ancienne étudiante de l’université Pierre et Marie Curie, qu’elle avait rencontrée à Cambridge. En 1947, elle a l’opportunité d’entrer au Laboratoire central des services chimiques, à Paris, où elle se forme à la cristallographie aux rayons X, aussi appelé diffractométrie aux rayons X, aux côtés de Jacques Mering, spécialiste du domaine. Elle se sert de ces nouvelles connaissances pour poursuivre ses recherches sur le charbon, notamment sur le passage du charbon au graphite. 
De retour à Londres, Rosalind Franklin intègre le King’s College en 1951. Affectée au département de biophysique, elle met à profit son expertise en cristallographie aux rayons X pour étudier l’ADN. Elle vient alors prêter main forte à Maurice Wilkins et Raymond Gosling, un doctorant, qui avaient déjà effectué des travaux de diffraction sur cette molécule, en améliorant considérablement la technique utilisée. Mais des tensions s’installent entre Franklin et Wilkins…
Dans ce contexte, Rosalind Franklin et Raymond Gosling découvrent les deux conformations de la molécule d’ADN, qu’elle nommera A et B. Les deux chercheurs réalisent également de superbes clichés de l’ADN par diffractométrie aux rayons X, qui permettront d’identifier la structure à double hélice. Ainsi, en 1953, Rosalind Franklin arrive à la conclusion que les deux conformations de l’ADN présentent une telle structure et commence à les décrire dans des articles scientifiques.
Les clichés de l’ADN obtenus par cristallographie aux rayons X ont contribué à révéler la structure à double hélice de la molécule. © I. C. Baianu et al., 1994, Wikimedia Commons
Les travaux de Rosalind Franklin ont été écartés
Au King’s College, Maurice Wilkins poursuit ses recherches sur l’ADN B en parallèle des travaux de Rosalind Franklin, de même que James Watson et Francis Crick à l’université de Cambridge. Ces derniers s’appuient largement sur les découvertes effectuées par Rosalind Franklin et Maurice Wilkins pour construire un modèle moléculaire de l’ADN.
En mars 1953, Rosalind Franklin quitte le King’s College pour le Birckbeck College. Ses travaux sur l’ADN sont alors aboutis, mais ils doivent rester au King’s College, sur ordre du directeur. De leur côté, James Watson et Francis Crick publient leur modèle dans Nature en avril 1953. Les travaux antérieurs de Rosalind Franklin et Maurice Wilkins ne seront publiés que plus tard, comme en soutien au modèle de Crick et Watson.
Par un concours de circonstances, Rosalind Franklin sera ainsi écartée de la découverte de la structure à double hélice de l’ADN. Les tensions avec les autres chercheurs, d’une part, et sa position sceptique et prudente envers le modèle proposé par Crick et Watson, sont un début d’explication. Maurice Wilkins, James Watson et Francis Crick ont quant à eux accepté de collaborer. Il apparaît aussi que les travaux de Rosalind Franklin ont été utilisés à son insu après son départ du King’s College.
Rosalind Franklin a étudié les virus de la mosaïque du tabac, infectant les plants de tabac, par diffractométrie aux rayons X. On les voit ici, ces virus, teintés aux métaux lourds pour être rendus visibles au microscope électronique à transmission. Grossissement 160.000. © Wikimedia Commons
Disparue avant un possible Nobel
Au Birckbeck College, Rosalind Franklin entame des recherches sur l’ARN et sur les virus. Elle étudie notamment le virus de la mosaïque du tabac, toujours par diffractométrie aux rayons X. Elle découvre notamment que tous les virus de ce type ont la même longueur et qu’ils possèdent un unique brin. Par la suite, elle travaille également sur le virus de la mosaïque du concombre, le virus de la mosaïque jaune du navet, puis s’intéresse aux virus affectant les animaux et commence à étudier la structure des poliovirus (voir ses publications).
Dès 1956, la santé de Rosalind Franklin se dégrade en raison d’un cancer de l’ovaire. Après plusieurs traitements, elle décède finalement le 16 avril 1958 à Chelsea, à Londres, à seulement 38 ans.
En 1962, ses collègues James Watson, Francis Crick et Maurice Wilkins obtiennent le prix Nobel pour la découverte de la structure à double hélice de l’ADN. Rosalind Franklin, malgré son rôle primordial, ne sera malheureusement pas récompensée. Au-delà des tensions existant entre les chercheurs du vivant de Rosalind Franklin, cet « oubli » vient aussi du fait que le prix Nobel ne peut être attribué à titre posthume.

Santé

Génétique

Rosalind Elsie Franklin

personnalité

08/03/2018

A la fin de mes études de médecine, en 1987, j’ai été nommé Interne des Hôpitaux de Paris et je me suis très vite tourné vers une spécialisation en neurologie, cette discipline distincte de la psychiatrie, qui s’intéresse aux maladies du système nerveux. J’étais déjà intrigué par les manifestations complexes et parfois extraordinaires qui résultaient des désordres des fonctions les plus élaborées du cerveau, comme les troubles du langage, de la reconnaissance visuelle, du raisonnement. 
C’est en stage dans le service du Pr Jean Cambier à l’hôpital Beaujon que j’ai été initié à l’étude des fonctions intellectuelles, que l’on appelle la neuropsychologie. Ce qui m’a été enseigné à ce moment était une certaine manière d’interpréter les symptômes au-delà de la simple constatation de faits cliniques (un patient parle mal parce qu’il souffre d’une destruction d’une zone de son cerveau impliquée dans le langage). « Il faut se poser les bonnes questions » disait le Pr Cambier. En l’occurrence, se demander pourquoi le patient parlait encore, quelles étaient les régions du cerveau qui parlaient, et pourquoi, en s’exprimant, elles commettaient de telles erreurs de langage et pas telles autres. La notion de compétences hémisphériques, de compétition entre les deux hémisphères du cerveau était une notion mise en avant à l’école de Beaujon et une clé pour avancer dans la compréhension des phénomènes anormaux qui résultaient de ces lésions cérébrales. Mon cursus a été complété par la formation à la neurologie générale, à la psychiatrie et l’électrophysiologie clinique, c’est-à-dire l’étude des signaux électriques du système nerveux dans un but diagnostique (étude du cerveau par l’électroencéphalogramme et ses techniques dérivées et étude exploration du nerf périphérique et du muscle par l’électromyogramme).

Après ma spécialisation en neurologie, je suis revenu quatre ans comme Chef de Clinique dans le service de Beaujon, dirigé par le Pr Maurice Masson, et parallèlement j’ai passé le Diplôme d’Etudes Approfondis en Neurosciences, ce qui m’a permis de travailler auprès du Pr Laurent Cohen à la Salpêtrière.
J’ai ensuite été nommé praticien Hospitalier à l’Hôpital Intercommunal de Créteil dans le service du Dr Meyrignac où j’ai plus particulièrement dirigé le service d’explorations fonctionnelles neurologiques. Durant ces années, j’ai observé de nombreux cas de patients atteints de désordres neuropsychologiques. Je me suis tout particulièrement attaché à l’étude des troubles du langage, de la reconnaissance des objets et des visages, aux hallucinations produites par des lésions cérébrales, au perturbations du calcul, aux syndromes de déconnexion inter-hémisphériques. J’ai écrit un précis de neurpsychologie cognitive avec le Pr Cambier et j’ai participé à Paris aux enseignements du Diplôme d'Etudes Spécialisées en Neurologie, du Diplôme d'Université de Neuropsychologie/Master en Neurosciences (Université Paris VI), du Diplôme d’Université de Géronto-Psychiatrie (Université Paris VI), du Diplôme de Capacité d’Orthophoniste (Université Paris VI) et à la Faculté de Picardie d’Amiens à l’enseignement du DESS en psychologie de l’enfance, de l’adolescence et gérontologique. Mes travaux ont été récompensés par plusieurs prix (prix de la Société française de neurologie, 1995 ; prix Victor et Clara Soriano de l’Académie nationale de médecine, 2000 ; prix Diamant en Neurosciences Janssen-Cilag, 2005). J’ai dirigé treize thèses et mémoires principalement dans le domaine de la neuropsychologie clinique et de la neurophysiologie clinique et j’ai publié une quarantaine d’articles scientifiques dans des revues avec comité de lecture.
Depuis 2011, je me consacre à l’électrophysiologie clinique à l’hôpital et en libéral. J’ai participé dans cette discipline à l’enseignement du Master d’ingéniérie médicale « Signaux en Imagerie Médicale » à la Faculté des Sciences Paris XII.

Santé

Médecine

Patrick Verstichel

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22/11/2013

Pour devenir anthropologue judiciaire, médico-légale au Canada ou en Europe, la procédure académique n'est pas la même. Au Canada, on doit s'inscrire à Faculté des sciences humaines et sociales de l'université. Puis, on s'inscrit au département d'Anthropologie. On se concentre sur les cours d'anthropologie biologique (bioanthropologie, anthropologie physique) et d'archéologie (techniques de fouilles archéologiques, archéologie funéraire). Enfin, on prend des cours d'anatomie, d'ostéologie (l'étude des ossements), de biologie et de pathologie osseuse à la Faculté de médecine ou encore au département de biologie.

Au Canada, une dizaine d'universités offrent une formation en anthropologie judiciaire, médico-légale. La Bio-archéologie, l’Archéologie funéraire, l’Archéologie ostéologique (ostéo-archéologie), la Paléo-anthropologie et l’Ostéo-anthropologie partagent plusieurs techniques communes avec l’Anthropologie judiciaire, médico-légale (…), sans l’aspect légal.

Anthropologie judiciaire, Anthropologie médico-légale, Anthropologie légiste, Ostéologie judiciaire, Anthropologie forensique et Archéologie judiciaire sont des synonymes.

En Europe, si l'on souhaite devenir anthropologue judiciaire, médico-légale, on doit avant tout s'inscrire en médecine. En conséquence, les anthropologues judiciaires, médico-légaux en Europe ont une formation en médecine alors qu'au Canada, ils ont une formation en sciences humaines, sociales + des cours spécialisés. Par la suite, (en Europe), on se spécialise en pathologie osseuse, en ostéologie judiciaire et en anatomie humaine. Enfin, on se spécialise en anthropologie médico-légale.
Guy Gauthier lors de la présentation de son livre, Secrets d'ossements, des éditions EDP Sciences © Guy Gauthier

Guy Gauthier, anthropologue de formation académique et dans la vie professionnelle. Il est un passionné d’anthropologie judiciaire, médico-légale. Il a étudié au Canada notamment à l’Université de Montréal, à l’Université du Québec à Montréal, à l’Université Dalhousie (Halifax, Nouvelle-Écosse) et à l’Université du Manitoba (Winnipeg, Manitoba). Il a publié de nombreux ouvrages dont « Secrets d’ossements » et « Quand la science fait témoigner les morts ». Il a également collaboré à de nombreux ouvrages, notamment « Traité de médecine légale (et d’anthropologie médico-légale) ». Cet ouvrage est sous la Direction de Jean-Pol Beauthier (médecin légiste et anthropologue, Université Libre de Bruxelles, Belgique) Les Éditions De Boeck. 

Il est également professeur d’anthropologie au Collège Marie-Victorin à Montréal (Canada). Il a donné plusieurs conférences en anthropologie judiciaire, médico-légale. Il intervient souvent dans les médias à titre d’anthropologue expert en anthropologie judiciaire, médico-légale en regard de cas réels d’actualité.

Son expertise développée et sa capacité de vulgariser l’information sont appréciées par les médias. 

Monsieur Gauthier a également été sollicité pour mettre sur pied un cours intitulé : « Initiation à l’anthropologie judiciaire » pour le Collège Limoilou (Québec, Canada).

Guy Gauthier est membre de la plus prestigieuse société du genre de sciences judiciaires du Canada « Canadian Society of Forensic Science (CSFS) ». Cette société regroupe des anthropologues, biologistes, chimistes, odontologistes, physiciens, sérologistes, toxicologistes judiciaires (…) qui travaillent dans le domaine des sciences judiciaires et/ou qui ont apporté une contribution significative aux sciences judiciaires.

Il est également membre d’une dizaine d’associations professionnelles qui regroupent des anthropologues judiciaires, médico-légaux au Canada, aux États-Unis et en Europe notamment : « Canadian Association for Physical Anthropology »; « American Anthropological Association » ; « American Association of Physical Anthropologists » et « British Association for Biological Anthropology and Osteoarchaeology ».

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Guy Gauthier

personnalité

08/11/2013

Alain Lieury (1946-2015) est né en Normandie, a fait ses études à Rouen et Caen, puis à Paris. Il débute sa carrière comme enseignant-chercheur à l'Université Paris V (1/10/69) au laboratoire de Psychologie expérimentale de Paul Fraisse pendant une dizaine d’années. Il a été nommé Professeur des Universités en 1981 à Strasbourg qu’il a quitté pour rejoindre le laboratoire historique de Psychologie expérimentale (fondé en 1896) à l’université Rennes 2. 
Il a exercé différentes responsabilités, Directeur de l’UFR Science Humaines et Vice-Président Université Rennes 2 (1985-89) depuis 1995 directeur-adjoint, chargé de mission pour la construction du bâtiment Sciences Humaines et diverses responsabilités 
Expert pour différents départements du Ministère de l’Education Nationale, il est actuellement expert à la DEPP pour une large enquête sur 30.000 élèves de la 6e de collège à la 3e (2007-2013).
Alain Lieury est décédé le 1er mai 2015.

A obtenu différentes distinctions honorifiques : Palmes Académiques , chevalier (1988)
Palmes Académiques , officier (1994),Palmes Académiques , commandeur (2006).

Enseignement

Il a enseigné la psychologie expérimentale et cognitive, notamment la mémoire, l’intelligence, la perception, la motivation à divers niveaux de la 1ère année au doctorat et est actuellement professeur émérite à l’Université européenne de Bretagne (Rennes 2).

Activités de recherche

Il a été le Directeur du laboratoire de Psychologie expérimentale de l’université de Rennes 2 pendant 25 ans (1982-2007), a été Consultant scientifique pour différentes sociétés phamacologiques ou de testing (Biotrial, Sanofi-Winthrop, Marion Merrell Dow, Ipsen, etc). Directeur de collection et conseiller éditorial aux Editions DUNOD. Il a dirigé vingt thèses et participer à une soixantaine de jurys.

Publications 

Il a publié une centaine d’articles scientifiques et de vulgarisation scientifique. Il a participé à une centaine d’événements médiatiques, Presse, Radio, Télévision ; dont 
-Télévision sur la Mémoire "La Marche du Siècle" de Jean-Marie Cavada, le 26/05/93 sur France 3.
-Télévision « Nous ne sommes pas des anges » Canal + : « La mémoire » février 2006
-Télévision : C dans l’air ; Yves Calvi , France 5: Un bon cerveau pour bien vieillir, fév. 2010.
-Le Monde : interview : Comment stimuler sa mémoire. 9/03/2011 (Paula Ravaux).
-RTL : « On est fait pour s’entendre » animée par Flavie Flament 24/04/2012
-RTL Belgique: « Les Secrets de votre Cerveau » animée par Sandrine 22/05/2012
-Télévision- France 2 : Emission « Complément d’enquête » Benoît Duquesne, La mémoire 17/01/2013
-Télévision- France 5 : Emission « C à dire » Axel de Tarlé : Le Livre de la Mémoire, 8/05/2013

-Il a publié une vingtaine de livres dont certains traduits en une dizaine de langues (espagnol, brésilien, grec, russe…) dont
-Une Mémoire d’Elephant : vrais trucs et fausses astuces. Paris, Dunod, 2011
-Mémoire et Réussite Scolaire, Dunod, 2012, 4e édition 
-Les Secrets de votre Cerveau, Dunod, 2012 
-Psychologie Cognitive : Manuels Visuels de Licence. Dunod, 3e Edition, 2013.
-Motivation et Réussite scolaire 3e édition (avec F.Fenouillet), Dunod, Mai 2013.

La dernière publication en date : Le Livre de la Mémoire, Dunod, 2013

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Alain Lieury

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07/10/2013

Passionné et rebelle, ce fils de vigneron né dans le Beaujolais a raté son baccalauréat, ainsi que l’agrégation d'anatomie et physiologie. Mais, devenu préparateur en pharmacie, il s’éprend de la médecine et ne la quitte plus, l’emmenant dans des chemins originaux, bousculant les idées de son époque.
Tout le monde s’accorde à faire de Claude Bernard l’initiateur de la médecine expérimentale, alors que les médecins d’alors s’appuyaient sur l’observation et favorisaient l’empirisme. Lui préfère s’appuyer sur l’expérience. L’idée dominante de l’époque est celle du vitalisme, qui fait reposer la vie sur des mécanismes particuliers, dus au mystérieux « fluide vital ». En d’autres termes, au cœur des êtres vivants, les phénomènes à l’œuvre ne respectent pas toujours les lois de la physique et de la chimie. Claude Bernard, agnostique, n’y croit pas.
Les débuts de la médecine moderne
C’est vers la physiologie qu’il se tourne et il défend avec force l’idée d’expérimenter d’abord sur des animaux avant de le faire chez l’Homme. Il ne convaincra pas ses condisciples mais, devenu professeur au Collège de France, puis à la Sorbonne et au Muséum national d'histoire naturelle, il formera une nouvelle génération de médecins et de chercheurs.
Au Collège de France, il commence à travailler en 1841 avec son aîné et maître à penser, le physiologiste François Magendie. Après sa mort en 1855, il lui succédera à la chaire de médecine. Dans son plus célèbre ouvrage, Introduction à l'étude de la médecine expérimentale, publié en 1865, il précise sa méthode faite d’observations, d’hypothèses et d’expériences, et affirme sa foi dans les progrès à venir en médecine.
Il y énonce également son idée du milieu intérieur et de l’homéostasie, équilibre général d’un organisme vivant. « La constance du milieu intérieur est la condition d’une vie libre et indépendante », écrit-il en 1872. Il réfute l’idée que chaque fonction est nécessairement associée à un unique organe. Elle peut être assurée par plusieurs d’entre eux, affirme-t-il. Certaines fonctions sont donc assurées à l’échelle du corps entier. Dans cette veine, il démontre l’influence des secrétions pancréatiques sur la digestion. Il découvre que le foie fabrique des sucres, se penche sur les causes du diabète et étudie la thermorégulation.
C’est donc bien à un tournant de l’histoire de la médecine qu’a contribué Claude Bernard. Reconnus de son vivant, ses travaux lui valurent les récompenses de l'Académie des sciences (1854) et de l'Académie de médecine (1861), son entrée à l'Académie française en 1868. Il eut droit à des obsèques nationales après son décès le 10 février 1878.

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Claude Bernard

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12/07/2013

Privat-docent et chargée de cours à la Faculté de Biologie et Médecinede l’Université de Lausanne (Suisse).Centre de Neurosciences psychiatriques (CNP) Département de Psychiatrie-CHUV 1008 Lausanne-Prilly (Suisse)- Formation universitaire et thèmes de recherche 
Après une formation scolaire classique (latin-grec), Geneviève Leuba a fait des études de biologie à l’Université de Lausanne (Suisse) et obtenu une licence ès sciences naturelles, puis un doctorat ès sciences, avec une thèse dans le domaine de la morphologie du système nerveux, intitulée Maturation postnatale quantitative de l'écorce cérébrale de la souris. Développement normal et carences nutritionnelles, sous la direction du Professeur Th. Rabinowicz, alors directeur de la division de Neuropathologie rattachée à la Faculté de Médecine.
Rattachée à différents instituts de recherche, dans le cadre de la Faculté de Médecine, devenue Faculté de Biologie et de Médecine, ses domaines d’intérêt et de recherche ont d’abord été le développement cérébral, animal (souris, macaque, dauphin) et humain, puis elle s’est progressivement spécialisée dans l’étude du vieillissement cérébral normal et pathologique chez l’animal et chez l’homme, avec une attention particulière à la maladie d’Alzheimer.
Geneviève Leuba a été active dans l’établissement et le développement d'une unité de recherche sur le vieillissement cérébral, la maladie d'Alzheimer et les démences associées dans le Service de Psychogériatrie du Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV), unité intégrée en 2002 dans le Centre de Neurosciences psychiatriques (CNP) sous le nom d’unité de recherche en neurobiologie du vieillissement. Le CNP est dirigé par le professeur P. Magistretti - Enseignement
Dans le cadre de la Faculté de Biologie et de Médecine, Geneviève Leuba a organisé et enseigné dans plusieurs cours pré et post-gradués (bachelor, master, cours de privat-docent, spécialisation FMH en psychiatrie). Son enseignement concerne également la formation continue universitaire et non universitaire, ainsi que de nombreux cours et conférences pour le public.
- Autres activités 
Parmi de nombreuses activités facultaires et extra-facultaires, on peut relever une activité en faveur de la promotion académique féminine et un intérêt particulier pour la communication avec le public. Dans ce dernier domaine, Geneviève Leuba a été longtemps présidente du Groupement d’Etudes Biologiques (GEB) qui a organisé de nombreuses manifestations et conférences sur des sujets variés mais souvent en relation avec le cerveau et le comportement. Le GEB a actuellement fusionné avec l'Interface sciences-société de l'Université de Lausanne.

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Geneviève Leuba

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19/03/2013

- 1987 Doctorat en Chimie, Genève.
- 1988 Post-doctorat à l'Ecole Supérieure de Physique et de Chimie de Paris.
- 1992 Professeur ordinaire à la Faculté des sciences, Section des sciences pharmaceutiques, Université de Genève
Directeur du Laboratoire de Chimie Analytique Pharmaceutique, Université de Genève
- 1998-2004 Président de la Section des sciences pharmaceutiques, Université de Genève
- 2004-2010 Vice-Doyen de la Faculté des sciences, Université de Genève
- 2011- Vice-Recteur de l’Université de Genève
Publications
• 280 publications scientifiques• 16 chapitres de livres

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Jean-Luc Veuthey

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21/01/2013

Expert international en cacao et café
Mon parcours est un peu atypique : après un DUT de chimie, j'ai débuté ma carrière comme biochimiste, d’abord chez Kodak-Pathé pour analyser les émulsions des films argentiques, puis chez Lesieur-Cotelle pour explorer les huiles, les mayonnaises, les margarines et beaucoup d'autres produits de l'agro-alimentaire. 
En 1972, pour me rapprocher de mon domicile, j'ai rejoint l'Institut de Recherches du Café et du Cacao (IRCC), qui deviendra plus tard un département du Cirad, le centre de recherche sur l'agronomie tropicale. Le chocolat me tentait plus que les huiles et les margarines ! Là, tout en travaillant, j'ai suivi les cours du Conservatoire National des Arts et Métiers (CNAM) pour devenir Maître ès Sciences en Biochimie Agro-Alimentaire, puis ingénieur biochimiste du CNAM.
Après mon ingéniorat, je suis parti en Afrique (Côte d’Ivoire), en tant que chef du service de Chimie-Technologie de l'IRCC-CI. Une expérience extraordinaire, autant pour découvrir d'autres horizons, une autre civilisation, que pour suivre le cacao et le café au plus près de la production et m'intéresser à la vie des petits planteurs.De retour en France j'ai orienté mes recherches vers l’innovation technologique dans la filière cacao, avant d’être nommé Directeur du programme cacao du Cirad, puis Directeur de recherche et Expert international en technologie post-récolte pour le cacao et le café.
Au cours de ma carrière, j'ai réalisé plus de 40 missions outre-mer, dans toute la zone intertropicale de production de cacao et de café (du Cameroun à Madagascar, des Philippines à la Nouvelle-Calédonie, du Brésil, au Mexique). Une chance, à la fois d'échanges humains et d'acquisition de nouvelles compétences. J'ai aussi participé à de nombreuses réunions internationales et j'ai rédigé plus de cent vingt publications scientifiques sur les filières du cacao et du café. J'ai d'ailleurs participé à plusieurs ouvrages scientifiques (Microbiologie Alimentaire – Lavoisier ; Cacao et Chocolat – Lavoisier ; Chimie et alimentation – EDP sciences) et j'ai écrit le livre « Du cacao au chocolat, l’épopée d’une gourmandise » (Quae) destiné au grand public.
Egalement impliqué dans le monde du chocolat, je suis membre de l'Académie Française du Chocolat et Chevalier Honoris Causa de la Confrérie des Chocolatiers de France.
Récemment retraité, j'ai fondé "KawaCao", un bureau de consultant pour le cacao et le café. 
Ceci me permet de poursuivre mes activités d'expertises et de conseils en pays producteurs, pour améliorer la qualité du cacao et du café; de donner des cours et des formations à l'université et auprès des professionnels des secteurs cacao et café; d'organiser des initiations à l'analyse sensorielle et de donner des conférences pour tous les publics, scientifiques, professionnels et grand public.

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Michel Barel

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23/10/2012

Après une maîtrise de biochimie et un diplôme d’études approfondies - qualité des bio-produits - à l’Institut national agronomique, j’intègre, en 1995 et en tant qu’adjoint au chef d’unité, un institut en charge de l’hygiène des aliments. L’unité est chargée de réaliser des analyses pour les services vétérinaires (contrôles, plan de surveillance, investigation de toxi-infections alimentaires collectives ou TIAC). Je m’implique en parallèle dans des activités de recherche et d’appui technique sur Salmonella et Listeria monocytogenes (stress bactérien, dénombrement, relation dose-réponse, validation de méthodes alternatives,…) et participe à divers groupes de travail européens ou nationaux sur les Escherichia coli producteurs de Shiga-toxines. Je participe également aux sessions du Codex Alimentarius (session « Food hygiene »). En 1999, je développe mes compétences en épidémiologie et participe pendant près de 5 mois au Certificat d’études spécialisées en épidémiologie des maladies transmissibles humaines et animales (Institut Pasteur / Ecole nationale vétérinaire). En 2004, l’unité se transforme en une équipe dont on me confie la responsabilité. Les activités sont semblables mais les liens sur le terrain de la TIAC sont fortement développés. A la demande des services vétérinaires, je me rends donc sur place lorsque les TIAC sont jugées comme sensibles (fièvre typhoïde, par exemple). En parallèle de l’activité d’organisation et de management de l’équipe, je coordonne un projet de recherche et continue ma participation aux travaux sur Escherichia coli O 157:H7 dans le cadre d’un second comité d’expert. Je participe à la formation des agents de la Direction départementale de la protection des populations (anciens « services vétérinaires ») en complétant leurs connaissances microbiologiques dans le cadre de l’investigation des TIAC. J’enseigne également dans diverses grandes écoles ou universités (Institut Pasteur de Lille, université Descartes, Agro Paris-Tech, université Pierre et Marie Curie Polytech, université de Versailles Saint Quentin en Yvelines, université inter-âges,…).En 2008, j’intègre une nouvelle équipe et m’implique plus particulièrement dans ce que l’on appelle « l’analyse de dangers bactériologique ». Il s’agit de déterminer quelles sont les bactéries qui peuvent se retrouver dans divers produits transformés et comment ses contaminants sont susceptibles d’évoluer au regard du procédé de fabrication (multiplication, production de toxines, survie, destruction). En parallèle de ces travaux j’organise un cycle de séminaires auquel 200 personnes participent tous les ans. Et, bien entendu, j’ai pris un grand plaisir à un écrire le livre intitulé « Manger sans risques » dont l’objectif était de faire partager au plus grand nombre et de manière simple, agréable et concrète ma connaissances des TIAC.

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Vincent Leclerc

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30/09/2012

René Laënnec est né le 17 février 1781, à Quimper, au sein d'une famille de notables. Son grand-père, Michel Alexandre Laënnec, fut maire de Quimper de 1763 à 1765 et son père est lieutenant au ministère de la Marine. À l'âge de 5 ans, René Laënnec perd sa mère qui décède de la tuberculose. Son père l'enverra alors chez un de ses oncles, médecin à Nantes. Sous l'influence de ce dernier, René Laënnec entamera des études de médecine à Paris et sera reçu docteur en médecine en 1804. 
Après l'obtention de son doctorat, il s'intéressera beaucoup à la recherche et à l'anatomie pathologique, conjointement avec Gaspard Laurent Bayle. La cirrhose du foie, notamment, au travers de l'observation des lésions observées à l'occasion d'autopsies, suscitera son intérêt.
L'invention du stéthoscope par René Laënnec
Sa carrière prend un nouvel élan lorsqu'il est nommé à l'hôpital Necker à Paris en 1816. Ce sont alors les maladies pulmonaires qui l'occupent. Il se distingue particulièrement par son usage de la technique de percussion consistant à évaluer l'état d'un organe en écoutant le bruit rendu lorsque l'on frappe des doigts à son niveau. Pour mieux entendre, il inventera alors le pectoriloque (ou stéthoscope), un rouleau de papier ficelé, qu'il perfectionnera par la suite. Loin d'être anodine, cette invention conduira à la publication d'un Traité d'auscultation médiate dans lequel il établit une liste des bruits émis par le thorax en 1819.
Pour autant, sa contribution à l'enrichissement de la médecine ne s'arrête pas là. Il est aussi à l'origine de descriptions de la péritonite et de la cirrhose. De même, on lui doit le terme de mélanome et une description des métastases pulmonaires, ainsi que des contributions à la recherche sur la tuberculose.
C'est avec son invention que son neveu identifiera les symptômes de la tuberculose. Près de deux siècles après sa mort, son invention est toujours utilisée et constitue même un signe distinctif, arboré autour du cou dans le monde hospitalier.

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René Laënnec

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24/07/2012

John Alexander Hopps naît à Winnipeg le 21 mai 1919. Il obtient un diplôme d'ingénierie électrique en 1941 à l'université de Manitoba et intègre le National Research Council of Canada l'année suivante. 
En 1949, John Hopps commence à travailler avec les docteurs Wilfred Bigelow et John Callaghan à l'université de Toronto, au sein du Banting Institute. Il y effectue des recherches sur l'hypothermie. En effet, les chirurgiens ont alors recours à l'hypothermie pour ralentir le rythme cardiaque des patients et opérer à cœur ouvert. Mais ils ne savent pas faire rebattre un cœur en arrêt sans danger pour le patient au cours de ce type d'intervention.
John Hopps : inventeur et bénéficiaire du pacemaker !
John Hopps découvre alors qu'un cœur qui a cessé de battre à cause du froid peut se remettre à fonctionner sous l'effet d'une stimulation électrique. C'est à ce moment qu'il développe le premier pacemaker externe au monde, achevé en 1951. Il s'agit d'un appareil qui délivre une impulsion électrique destinée à stimuler le cœur. Ce n'est en revanche pas lui qui sera à l'origine du premier pacemaker interne.
John Hopps fonde par la suite le Canadian Medical and Biologial Engineering Society et devient le président de l'Ontario Heart Foundation. En 1984, il reçoit la plus belle gratification pour ses recherches puisqu'un pacemaker lui est implanté. Il est fait chevalier de l'Ordre du Canada en 1986, et devient membre du Canadian Science and Engineering Hall of Fame. Son invention a permis et permettra de sauver des milliers de vies à travers le monde.

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John Hopps

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22/07/2012

Adolf Eugen Fick, fils de Ludwig Fick, professeur d'anatomie et neveu du physiologiste Adolf Fick, naît à Marburg en Allemagne en 1852. Ce jeune homme se porte volontaire pour le service militaire à l'occasion de la guerre franco-prussienne, puis étudie la médecine, et plus particulièrement l'ophtalmologie. Il obtient son doctorat en 1875.
Atteint de tuberculose, après avoir échoué à obtenir un poste à l'université de Cordoba en Argentine, il émigre en Afrique du Sud, notamment pour son climat. Enregistré en tant que médecin, chirurgien et obstétricien à son arrivée, il s'installe à Richmond et y ouvre un cabinet de médecine générale.
Les travaux d'Adolf Eugen Fick sur la lentille de contact
En 1886, il retourne en Allemagne où il se marie avec Marie Wislicenus. Le couple s'installe à Zurich où Adolf Eugen Fick s'établit en tant qu'ophtalmologiste. Il entamera alors ses recherches sur les lentilles de contact, qu'il publiera en mars 1888.
C'est à partir de verre soufflé qu'Adolf Eugen Fick développe ses lentilles de contact. Ces dernières, d'un diamètre de 19, 20 ou 21 mm ont été testées sur des lapins, pendant 6 à 8 heures, ainsi que sur les yeux de cadavres. Il passa ensuite à la vitesse supérieure en les essayant lui-même pendant des périodes de 2 heures et en mettant à contribution ses collègues de la clinique ophtalmologique de Zurich.
Si les lentilles d'Adolf Eugen Fick étaient lourdes, inconfortables, et avaient le défaut de couvrir la presque totalité de l'œil, ses travaux étaient visionnaires puisque les lentilles, bien que perfectionnées, existent encore aujourd'hui. Il a par ailleurs permis de grandes avancées en ophtalmologie.

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Adolf Eugen Fick

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22/07/2012

Guespin-Michel est professeur émérite de microbiologie à l'université de Rouen. Ancienne élève de l'Ecole Normale Supérieure (Sèvres), elle a commencé ses recherches en génétique bactérienne à l'Institut Pasteur, puis a participé à la création de l'institut de microbiologie et du DEA de microbiologie fondamentale à la faculté des sciences d'Orsay. 
Nommée professeur à l'Université de Technologie de Compiègne elle a pu se confronter aux exigences de la microbiologie appliquée et cotoyer la microbiologie industrielle. Enfin, à l'Université de Rouen, elle a dirigé deux laboratoires, dont l'un, créé à l'IUT d'Evreux a dû, d'entrée de jeu se situer à la frontière entre plusieurs sous-disciplines de la microbiologie. Elle a été co-auteure de l'ouvrage "Procaryotic genetics: genome organisation, transfer and plasticity" Joset and Guespin-Michel, Blackwell science ed 1991. 
Ayant pris sa retraite elle a pu profiter du temps libéré pour s'initier à la dynamique des systèmes non linéaires, chez le professeur René Thomas, à Bruxelles, et au travail interdisciplinaire tant avec des physiciens et des informaticiens dans le cadre de l'atelirr d'épîgénomique du génopôle d'Evry, qu'avec des philosophes (elle a coordonné l'ouvrage "émergence, complexité et dialectique" Lucien Sève et al. Ed Odile Jacob 2005), et a rencontré le philosophe des sciences Hugh Lacey suite à un travail de groupe ayant conduit à la publication du livre "Le vivant entre science et marché : une démocratie à inventer" (ed Syllepse/espaces Marx 2006).
L'ouvrage "Les bactéries, leur monde et nous" ( ed Dunod 2011) représente en quelque sorte une synthèse de ces diverses expériences.

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Médecine

Janine Guespin-Michel

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01/05/2012

Docteur en médecine Qualifié en médecine d’urgence et en médecine aérospatiale 
Diplôme d’université en astronomie-astrophysique
Exerce actuellement dans une structure d’urgence libérale Passionné d’astronomie et d’astronautique. Correspondant de la ZeroG Corporation, Vienne, USA, société qui propose des baptêmes d’apesanteur pour le grand public en avion ZeroG. 
A effectué plusieurs vols en apesanteur en avion ZeroG aux Etats Unis et en France. 
Conférencier en astronautique. 
Animateur et vice-président de l’Astronaute Club Européen (ACE) de l’astronaute Jean-Pierre Haigneré, association de promotion du vol suborbital touristique. 
Coordinateur de l’ouvrage collectif « Embarquer des demain pour l’espace. Le vol suborbital touristique » paru chez Vuibert en octobre 2010, avec la participation de l’astronaute Jean-François Clervoy, de Philippe Coué, de Jacques Villain.

Santé

Médecine

Frank Lehot

personnalité

08/01/2012

- Savoir-faire
* Activité de consultant- enseignant et régulateur d’équipe en milieu hospitalier. * Spécialiste de la prise en charge du stress, ressources humaines en entreprise, des phobies, des TOC, du deuil, névroses posttraumatiques, thérapies familiale et conjugale. 
- Activités 
* Psychiatre libéral Attaché à l'hôpital Renée Sabran (service du Dr Tournebise) Consultant pour AFP (Association Française pour les enfants Précoces) Gérant et formateur pour Optimum Point Coach (Paris) 
- Compétences 
* Psychiatre clinicien cognitivo-comportementaliste. * Enseignement post-universitaire et universitaire. Gestion groupale de gestion des conflits et aide à la communication. Formation à la pratique psychanalytique et à la psychiatrie biologique. Formation aux approches systémiques et stratégiques
- Expérience
* Ex interne des Professeurs POROT, PLANCHE, * Ancien interne des hôpitaux psychiatriques de Lyon (Vinatier) Ex assistant du Professeur COLIN (Médecine légale et Urgences médico-psychiatrique de l’hôpital Edouard Herriot à Lyon). * Attaché à l’hôpital neurologique de Lyon ( service Pr Trouillas) Loo- 2005-2006)* Elaboration et mise en place de protocoles de recherche biomédicale.* Enseignant au DU de sexologie à Lyon (CHEVRET-MASSON). Gestion de groupes d’affirmation et communication interpersonnelle Conseiller technique en organisation l’association de maintien à domicile ASSAGA (Lyon). Praticien hospitalier à l’hôpital Henri Ey (Dr BERTRAND) 2004-2005 Régulateur d’équipes hospitalières, supervision, conférencier, EPU. * Formateur pour le GRIEPS, PACEI, OPTIMUM POINT COACH * Rédacteur, relecteur pour des revues médicales. * Formateur et superviseur (clinique Rousseau à * Chargé de cours à l'IUP Management (Clermont-Fd) 
- Dernières missions 
* Gestion du stress et d’équipe pour l’hôpital Renée Sabran HCL (2002) * Gestion de l’agressivité pour l’hôpital Henry Gabrielle HCL (2003)* Gestion d’équipe chirurgicale (2004-2006) * Gestion de stress professionnel pour équipe socio-éducative pour PACEI (2005-2007) * Coaching individuel de managers et chefs d’entreprises pour Optimum Point Coach (2005-2007) Formation « Enfants intellectuellement précoces » pour l’éducation nationale et le SNCEEL (Syndicat Nationale des Chefs d’Etablissement de l’Enseignement libre) (2005-2009) Prévention du Burn Out des oncologues (2009)
- Formation
* Médecin psychiatre depuis 1985. (thèse et mémoire) * AEU et DU de thérapie cognitive et comportementale. (mémoires) (Lyon) * AEU d’alcoologie et autres toxicomanies (mémoire) (Lyon) * Analyse personnelle. Formation à l’hypnose ericksonnienne (Bellet)* Formation aux approches stratégiques et systémiques. * DESU ressources humaines et coaching (Paris 8) * AEU d’expertise et de pédagogie appliquées à la FMC (Lyon) 
- Auteur
-- Ouvrages : 
-Echelles d’anxiété, de manie, de dépression, de schizophrénie Editions Masson, 1989. -Des processus de changement, j’en parle dans mon livre. Ed Karpathos, 2002. -Arrêtons le massacre, incidences des séparations parentales pour les enfants. Ed. Karpathos, 2003. -Etre et Paraître. De l’esthétique. Ed. Karpathos, 2006. -Une société plus humaine. Utopie ou réalité Ed. Karpathos.2007. -L’épanouissement de l’enfant doué Ed. Albin Michel, 2009. -La gestion de la crise en entreprise. (à paraître). -Tous mégalos mais toujours rigolos. (à paraître) 
- Conférences :
* Les phobies. Compréhensions et approches thérapeutiqu* Le burn out. Clinique, traitement, prévention. Compréhension bio-psycho-sociale * Les TOC de l'enfant et de l'adulte. Physiopathologie et prise en charge non non médicamenteu* Le stress post-traumatique. Compréhension.Résistance aux traitements. * Le symptôme, l'enfant, l'école et sa famille. Fonction et place du psychiatre et du psychologue. * La précocité intellectuelle et psycho-pédagogie * Le burn-out, prévention et gestion du stress personnel et professionnel * Le deuil, comment s’en sortir * La dépression résistante * La névrose-post traumatique * La dépendance affective * La thérapie de couple * Le coaching professionnel et gestion des personnalités difficiles * Les troubles du sommei* La phobie sociale Les enfants du divorce * Bibliothérapie ou comment traiter les troubles psychologiques et comportementaux avec les livres * Prévention et gestion de la violence en milieu soignant

Santé

Médecine

Ladislas Kiss

personnalité

31/08/2011

Le Professeur Henri Joyeux devient chirurgien chef de clinique-assistant des hôpitaux en 1972 ans après avoir passé une année et demi de 1968 à 1970 comme chirurgien coopérant au Maroc à l’Hôpital Al Kortobi de Tanger.
Après sa thèse, sur le thème de l’Intestin Artificiel soutenue en juillet 1972 devant la Faculté de Médecine de Montpellier Henri Joyeux est appelé comme premier assistant au Centre Régional de Lutte contre le Cancer de Montpellier par le Professeur Henri Pujol, - qui présidera la Fédération des Centres Anticancéreux français et deviendra président de le Ligue nationale contre le cancer – et le Professeur Claude Solassol futur Doyen, pendant 20 ans de la Faculté de Médecine de Montpellier.
Henri Joyeux est chirurgien-cancérologue, passionné d’anatomie et de physiologie humaine, il devient spécialiste international de la nutrition artificielle, en publiant de nombreux articles dans des revues américaines. Il sera invité dès 1974 par l’American College of Surgeons, dont il deviendra le plus jeune membre étranger en 1978.
Ses travaux de recherche au laboratoire de chirurgie expérimentale lui ont permis de mettre au point les Mélanges Nutritifs que les américains dénommeront le “All in One” (“Tout en Un”) qui rassemble en un seul contenant les 28 nutriments nécessaires à la vie. 
En 1980, il devient professeur de Cancérologie et est invité en juin de cette année au premier congrès chinois de Nutrition, organisé par Arthur Sackler et le Prix Nobel Linus Pauling à Tientsin. 
Henri Joyeux anime une importante consultation de patients et patientes envoyés d’abord par des médecins, puis venant souvent directement de tout le pays et de l’étranger. De nombreuses correspondances électroniques pour des conseils santé de toute nature, en cancérologie, nutrition, bioéthique, affectivité et sexualité toujours donnés gratuitement. Une galerie de patients lui donnant une vision très large de l’humain malade et bien portant. D’où un intérêt très fort porté sur les causes des maladies et leur prévention primaire ou secondaire pour les cancers (éviter les récidives).
Professeur à la Faculté de Médecine de Montpellier en cancérologie en 1980 puis en chirurgie digestive en 1986, enseignant la chirurgie cancérologique, la nutrition-réanimation, les bases de l’anatomie et de la physiologie aux étudiants entrant en médecine.
A l’Institut du Cancer de Montpellier, chercheur, directeur d’un laboratoire de chirurgie et nutrition expérimentale de 1980 à 1992, il mit au point dès 1972 une technique originale d’Intestin Artificiel adoptée dans le monde entier pour la nutrition prolongée par voie veineuse des malades atteints d’insuffisance digestive grave. Ce support nutritionnel artificiel fut à la base des techniques chirurgicales pour traiter les cancers du foie et faciliter la régénération hépatique après résection de 80 % du foie. Techniques originales aussi pour traiter les cancers de l’ovaire. 
Ces travaux de recherche d’abord chez l’animal puis chez l’humain permirent la création de nombreux emplois dans des structures privées : Fasonut à Montpellier et Strasbourg pour la fabrication de “mélanges nutritifs, Stedim à Aubagne et aux Etats Unis et récemment en Tunisie, pour la fabrication de poches nutritives et de bio-technologies. 
Tous ces travaux feront l’objet de films scientifiques primés tant en France qu'aux Etats-Unis et en Chine qu’il réalisera avec Eric Duvivier en particulier : Intestin Artificiel, Mélanges Nutritifs, Chirurgie exsangue du Foie, Association radio-chirurgicale pour le traitement des cancers du Rectum, du Pancréas, de l'Ovaire.
En 1992 il part à Paris avec toute sa famille, pour créer un service de chirurgie digestive à l’Institut Curie. Là lui étaient promis des moyens pour poursuivre ses recherches en nutrition et cancérologie et développer en plus un logiciel dédié au diagnostic des tumeurs du foie et au suivi tridimensionnel du volume des tumeurs et du foie restant après chirurgie cancérologique. Incompris d’une direction médicale peu courageuse pour préparer l’avenir, il décide de revenir dans son Université d’origine définitivement en 1997. 
A Montpellier, au Centre Régional de Lutte contre le Cancer, il développera ses recherches dans deux directions. 
En collaboration avec l’Inserm, la qualité nutritionnelles des aliments provenant des trois procédures culturales, Agriculture Biologique (AB), raisonnée (AR) et conventionnelle (AC). En collaboration avec le Cirad, la mise au point d’un logiciel dédié à l’évaluation volumétrique des cancers qui va bouleverser les bases diagnostiques et thérapeutiques de la cancérologie clinique et expérimentale pour les tumeurs solides. 
En plus de ses activités professionnelles, Henri Joyeux développe une réflexion de terrain auprès des jeunes et des adultes sur les thèmes Santé-Amour-Sexualité. Cette réflexion fait suite à la demande du ministre de la Santé de 1981, Jack Ralite, demandant aux professeurs de Cancérologie de s'engager dans l'explication au grand public : la grande concertation sur le Cancer" avec pour objectif principal: la Prévention.
D’où de nombreuses rencontres avec le grand public, dans tous les départements où il rencontre des adultes et de plus en plus de jeunes dans les écoles depuis la maternelle jusqu’aux universités, en prenant avec eux une journée par semaine dans les temps scolaires depuis 1982. Il rencontre systématiquement les parents des jeunes en fin de journée pour les aider à un “Dialogue Parents-Enfants en confiance” sur des sujets délicats "Santé Amour Sexualité" (SAS).
Ecrivain scientifique, Henri Joyeux publie dès 1980, en plus d’un livre sur le traitement des cancers du Colon et du Rectum dont il est le principal auteur, de nombreux articles scientifiques (plus de 300), le tome I d’un traité original de NutritionArtificielle. Le tome II sortira en 1986 en même temps que son premier livre pour le grand public sur le thème « Cancer et Alimentation – Prévention des cancers » qui aura un grand succès lors de ses éditions successives. Affolé par le fléau social du cancer du sein qui touche de plus en plus de femmes de toutes les tranches d’âge, très jeunes y compris, il publie en 1998 « Prévention des cancers du Sein- Ensemble relever le défi » puis un livre d’information pour les femmes : « Femmes si vous saviez Hormones, Ménopause, Ostéoporose Comment rester jeune naturellement ? ».
Simultanément Henri Joyeux fait part de sa large expérience auprès des jeunes et des parents. Il publie dans le cadre de l’Ecole de la Vie et de l’Amour dont il est membre fondateur et Conseiller Scientifique, une série de livres destinés aux parents et aux enfants, dès l’âge de 4 ans, pour les aider à faire passer les messages essentiels sur la sexualité. Cassettes et CD audio, CD Rom, cassette vidéo seront diffusées largement en Métropole et Outre-Mer et dans les pays francophones.
Appelé en 2000 par Jacques Bichot au Conseil d'Administration du grand mouvement familial d'utilité publique "Familles de France" qui regroupe plus de 100 000 familles, il est élu vice-président du Mouvement. En 2001, il en devient Président de Familles de France et a été brillamment réélu en mai 2004.
Henri Joyeux est nommé par le ministre de la Famille, rapporteur du groupe de travail "Adolescence-Santé-Famille" présidé par son collègue Marcel Rufo, puis rapporteur de la commission "Prévention-Information du Tourisme sexuel" du groupe de travail présidé par Carole Bouquet.
Il est également, comme représentant de l'UNAF, membre du Groupe de travail de l'Assurance Maladie "Abus, gaspillages et fraudes" au Ministère de la Santé et en 2005 Membre du groupe "Familles, vulnérabilité, pauvreté". 
Henri Joyeux est un passionné de l’Humain, individuel et collectif, qu’il cherche à comprendre, soucieux de faire connaître grâce à une très large expérience, ce qu’il croit important à l’équilibre et au bonheur de chacun.
Ses auteurs préférés / Nietszche, Freud et Jung, Hans-Urs Von Balthazar,Karol Wojtyla, René Girard, Guy Corneau
Activité professionnelle d’Henri Joyeux
Chirurgien plein temps au Centre Régional de lutte contre le Cancer de Montpellier, professeur de chirurgie digestive et cancérologie, il enseigne à la Faculté de Médecine de Montpellier, la chirurgie cancérologique et la nutrition.
Il dirige une importante équipe chirurgicale composée de 2 professeurs de chirurgie qu'il a formés et de nombreux assistants français et étrangers. 
Il n'a pas de relation financière avec les patients, étant fonctionnaire hospitalo-universitaire de l'Etat dans un Institut du Cancer, Centre régional de lutte contre le Cancer de Montpellier. 
Activités de Recherche d’Henri Joyeux en Cancérologie et Nutrition
Ses travaux concernent depuis 30 ans les traitements des cancers et les relations entre la Nutrition et le cancer. En 2004, il a publié avec une équipe de l’Inserm, une recherche dénommée ABARAC visant à évaluer précisément et à comparer les qualités et les défauts nutritionnels de 20 aliments provenant des 3 procédures culturales, Agricultures Biologique (AB), Raisonnée (AR) et Conventionnelle (AC). Ces travaux sont en cours de publications aux USA.
Les travaux depuis 1972, date de la thèse de doctorat d’Henri Joyeux sur le thème "L’Intestin Artificiel" ont permis la création de plusieurs entreprises, sans qu’il s’implique financièrement :
- Stedim, (www.stedim.com) fondée à Aubagne en 1978 et développée en 1983, qui fabrique des poches nutritives et des enceintes de recherche en milieu stérile :Aubagne ( 254 personnes en 2002), aux USA (en Californie 49 personnes), récemment en Tunisie à M'Hamdia (75 personnes). Actuellement Stedim est côté en Bourse.
- Fasonut (www.fasonut.fr) fondée 1986 à Montpellier qui remplit les poches nutritives selon les besoins des patients en nutrition artificielle par voie veineuse : 3 unités de production à Montpellier (21 personnes), Strasbourg (15 personnes) et Lille (12 personnes).
- Intrasense (www.intrasense.fr) est une Start-up de logiciels de Biométrie visant à détecter et évaluer les tumeurs cancéreuses ou non.Elle a été créée en février 2004 à Montpellier et a créé 3 emplois de docteur en informatique et emploi pour la gestion. Le projet a été sélectionné par l'Anvar au niveau régional puis national et par la structure LRI (Languedoc Roussillon Incubation) qui apportent à la création un financement important.
Henri Joyeux avait fin 2003, 452 publications nationales ou internationales, les dernières parues datant de juin et novembre 2003. Plusieurs sont en cours et paraîtront courant 2004 et 2005.
Livres pour le grand public publiés par Henri Joyeux
Ils concernent 2 domaines, l'un exclusivement scientifique, l'autre destiné aux familles, jeunes et parents sur le thème "Santé-Amour-Sexualité" :
- Le domaine scientifique correspond à ma spécialité professionnelle ; les traitements des cancers et les relations entre Nutrition et Cancers : 
1980 et 1986 Traité de Nutrition artificielle de l'Adulte Ed SCTNA 2 volumes1981 Cancers de colon, du rectum et de l'anus - Ed Masson1985 Cancers de l'ovaire Ed Vigo1987 Cancers du Colon-Rectum, de l'ovaire et du Foie - Ed INSERM1998 Prévenir les cancers du Sein - Ensemble relever le défi - Ed FX de Guibert2000 Cancers du Tube Digestif - de la Prévention aux traitements Tome I - Ed FX de Guibert2002 Femmes si vous saviez - Hormones, Ménopause, Ostéoporose - Ed FX de Guibert2003 Changez d'Alimentation - Prévention des cancers - Faut-il manger Bio ? - Ed FX de Guibert2004 Spiritualité et Cancer : L'Espoir2004 Femmes si vous saviez : les hormones de la puberté à la menopause - 2ème édition - Edition F.X. de GUIBERT 2005 Guérir définitivement du cancer - Oser dire quand et comment - Edition F.X. de GUIBERT 
- Le domaine parents-enfants est la traduction d'une importante expérience de rencontres un jour par semaine dans le temps scolaire avec les jeunes dans les écoles, collèges et lycées depuis 1982
Aux éditions FX de Guibert, éditions de livres et CD audio sur les thèmes intéressant les jeunes, dans la collection Ecologie Humaine* pour les 4-10 ans : "Dis Maman qu'est ce que je faisais dans ton ventre ?" et "Comment on fait les bébés ?"* pour les 10-13 ans : "L'annonce de la puberté" et "C'est quoi la puberté des garçons et des filles" , avec en appui un CD Rom avec jeux interactifs : "Les filles, les garçons, l'Amour et les bébés"* pour les 13-15 ans : "Les bouillonnements de l'Adolescence" et "Expliquez nous l'amour et la sexualité"* pour les 15-20 ans : "Je suis amoureux, tu es amoureuse ???"* pour les 20-30 ans : "Faire sa vie à deux - la construction de l'amour" 38 situations* pour jeunes adultes : " Construisez votre amour, il est si fragile : Cohabitation -Union libre-Mariage" *Comment parler à nos enfants de l'amour et de la sexualité en respectant le jardin secret de chacun - paru en 2004
Activités du conférencier Henri Joyeux
Ils portent sur tous les sujets qui concernent les traitements des cancers, et les aspects de prévention du cancer et du sida. Depuis 1982 il donne une journée aux jeunes par semaine dans toutes les écoles publiques et privées, depuis le primaire jusqu’aux grandes écoles et une soirée aux familles avec des salles de 100 à 700 personnes. Toutes ses interventions sont gratuites, car il s’agit de sujets de SANTE PUBLIQUE. 
Les thèmes sur lesquels intervient publiquement Henri Joyeux
- Les traitements des cancers : associations radio-chimio-chirurgicales- Dialogue parents-enfants sur l'Amour et la Sexualité pour la prévention du sida et des cancers par Maladies Sexuellement Transmissibles.- Alimentation et prévention des cancers : "Changer d'alimentation- Manger mieux et meilleur"- Prévention des cancers du sein et gynécologiques : "Femmes si vous saviez Hormones, Ménopause, Ostéoporose".- Nutrition et Prévention des maladies de civilisation
Depuis avril 2001, président (bénévole) du Mouvement d’Utilité publique, Familles de France", libre de toute confession, politique, syndicat ou idéologie, Henri Joyeux rencontre des familles sur le thème de la défense des intérêts matériels et éthiques. Les thèmes de conférences sont : 
- Santé économique des familles- Politique familiale- Etre parents aujourd'hui- Adolescence -Santé- Familles

Santé

Médecine

Henri Joyeux

personnalité

25/05/2011

Parcours académique et professionnel : 
Guillaume Morel est né à Clermont-Ferrand en janvier 1969. Après un diplôme d’ingénieur électronicien de l’Institut des Sciences et Technologies (1990), il a obtenu en 1994 un doctorat de l’Université Pierre et Marie Curie (UPMC) – spécialité Mécanique et Robotique. Il a ensuite travaillé deux années au Massachusetts Institute of Technology comme chercheur postdoctoral (1995-1996). 
De retour en France, après un an passé à travailler comme ingénieur pour le compte d’Electricité de France il rejoint le monde académique en septembre 1997 en tant de Maître de Conférences à l’Université Louis Pasteur – Strasbourg I. 
Il s’autorise ensuite un nouvel intermède dans le monde industriel en 2000-2001 (ingénieur de recherche à EDF) puis rejoint l’UPMC de ses débuts en tant que Maître de Conférences en septembre 2001. Depuis septembre 2007, il est Professeur en Robotique dans ce même établissement. 
Fonctions actuelles : 
A l’Institut des Systèmes Intelligents et de Robotique, Guillaume Morel dirige l’équipe AGATHE (Assistance aux Gestes et Applications Thérapeutiques) qui regroupe une quinzaine de chercheurs permanents ou non autour de la robotique d’assistance au geste avec un intérêt particulier pour les applications thérapeutiques (assistance à la chirurgie et à la médecine, rééducation fonctionnelle). Parallèlement, il dirige la formation d’ingénieurs en Robotique qu’il a créée en 2006 à Polytech’Paris-UPMC. 
Guillaume Morel est éditeur associé de la revue IEEE/ASME Transactions on Mechatronics, et membre des comités éditoriaux de conférences internationales de référence dans les domaines de la robotique, de la mécatronique et de l’assistance au geste chirurgical (IEEE Int. Conf. on Robotics & Automation, IEEE Int. Conf. on Advanced Intelligent Mechatronics, Inf. Conf. on Medical Image Computing and Computer Assisted Interventions). Il est également membre du Directoire de la Recherche de l’UPMC, qui est le board de l’Université sur lequel s’appuie la Présidence pour définir sa politique de recherche. 
Parcours scientifique : 
Depuis 15 ans, les travaux de recherche de Guillaume Morel ont porté sur la commande des systèmes robotiques exploitant des capteurs extéroceptifs, en particulier la commande en efforts (contrôle fin des contacts) et l’asservissement visuel (contrôle des mouvements exploitant une image en temps réel). 
En 1999, à la suite d’une rencontre avec le Professeur Marescaux à l’hôpital de Strasbourg, il oriente ses recherches vers les applications chirurgicales en proposant un système d’automatisation du geste endoscopique exploitant les techniques d’asservissement visuel, un projet qui lui vaut d’être lauréat du concours national « ACI jeunes chercheurs ». 
Revenu à l’UPMC, il poursuit ses recherches dans cette idée que les systèmes robotiques peuvent exploiter des informations sensorielles pour réaliser des gestes simples en autonomie, et non sous contrôle complet du chirurgien comme c’est le cas actuellement. Trois expériences réalisées sur des animaux par son équipe de recherche jalonnent ce travail : 
• en 2005, un robot baptisé MC2E, capable de contrôler en temps réel les efforts appliqués à un organe dans une procédure laparoscopique, est utilisé comme un assistant par le Dr. N. Bonnet pour réaliser une ablation de la vésicule. Ce qui est nouveau dans cette expérience c’est que le robot, exploité pour dégager la vésicule en tirant dessus avec une force constante, fonctionne de façon autonome et non pour suivre une trajectoire imposée. 
• En 2006, dans le cadre du projet Gabie, un système robotique intervient à l’intérieur d’un cœur battant grâce à un guidage automatique exploitant en temps réel des images échographiques. Le chirurgien ne déplace pas directement le robot mais contrôle la trace de l’instrument directement dans l’image échographique grâce à une interface informatique. 
• En 2010, dans le cadre du projet PERSEE, un système micro-robotique permet de réaliser une image in vivo grâce au balayage d’une sonde d’endomicroscopie confocale à la surface d’un organe. La résolution des images est à l’échelle du micron alors que, sur le sujet vivant, l’amplitude des mouvements engendrés par la respiration est 10 000 fois plus grande (un centimètre). 
Guillaume Morel est auteur ou co-auteur d’une centaine d’articles dans des journaux et conférences internationales à comité de lecture de rang A ainsi que d’une dizaine de brevets internationaux déposés ou en cours de dépôt. 
Projet scientifique : 
Au cours des dernières années, l’équipe Agathe a opéré un virage important en abandonnant le paradigme de l’automatisation du geste par commande référencée capteurs, qui, bien que techniquement réalisable, se heurte à des obstacles liés à la sécurité d’exécution et à des difficultés d’acceptation par le corps médical. Aujourd’hui, les travaux sont orientés vers le développement du concept de comanipulation : les dispositifs considérés sont des systèmes robotiques qui travaillent en synergie avec le chirurgien, pour augmenter ses capacités motrices ou sensorielles et faciliter la réalisation de l’intervention. Parallèlement, les mêmes concepts sont exploités dans des applications de rééducation fonctionnelle.

Tech

Tech

Guillaume Morel

personnalité

20/03/2011

Barbara McClintock (1902-1992), Américaine, est l’une des pionnières de la « cytogénétique » (étude de la génétique au sein même de la cellule). Elle consacra sa carrière à l’étude des chromosomes de maïs, ce qui lui permit de découvrir les phénomènes de recombinaison au cours de la méiose, le lien entre les régions chromosomiques et les traits phénotypiques. La découverte de l’existence des transposons lui valut le prix Nobel de médecine en 1983.

Santé

Médecine

Barbara McClintock

personnalité

10/03/2011

Après des études secondaires les plus banales, j’ai réussi le baccalauréat D « Mathématiques et Sciences de la nature » en 1970, pressé d’avoir « mon pain en main », j’ai entrepris des études courtes de Masso kinésithérapie que j’ai terminé en 1973 par l’obtention d’un Diplôme d’État de Masseur – Kinésithérapeute - Rééducateur (ce qui m’a permis de gagner ma vie pendant toute la durée de mes longues études médicales, en rééduquant des enfants handicapés moteurs dans un centre spécialisé.) 
J’ai commencé mes études de Médecine, la même année, à Grenoble. Ma thèse de Doctorat eut pour objet l’étude d’une maladie très rare : la Réticulose histiocytaire multicentrique. C’est une pathologie rhumatologique mettant en cause, le système immunitaire.
J’ai fait des études de spécialisation en Rhumatologie. Je suis titulaire des attestations d’études universitaires des facultés de Lyon et Grenoble, de Médecine Manuelle, de Droit Médical et d’Aptitude à l’Expertise, m’autorisant les titres d’« Ostéopathe», et d’ « Expert ».
Indépendamment des titres, il faut constamment pratiquer l’ « Art manipulatif » sous peine de « perdre la main », de même il faut rester médecin clinicien et soigner des patients quotidiennement, pour faire des expertises « justes et sincères ».

Santé

Médecine

Jean-Pierre Poinsignon

personnalité

02/03/2011

J’ai grandi dans une petite ville universitaire de l’Italie centrale et j’ai choisi de suivre des études scientifiques, de façon naturelle, sans penser qu’il pouvait en exister d’autres. C’est ainsi que j’ai eu mon diplôme de médecine et chirurgie : je me suis beaucoup amusée pendant six ans tout en remplissant d’orgueil mes parents ! Mais je me suis rendu compte rapidement que je ne pouvais pas être médecin et que je n’avais pas les qualités pour devenir chercheur non plus. De plus, je n’étais pas non plus une bonne politicienne, une bonne organisatrice, ou une intellectuelle de la santé. Il ne restait que la plume, la ressource de ceux qui ne veulent pas grandir et ne veulent jamais arrêter d’apprendre. C’est ainsi que j’ai commencé ma carrière de journaliste scientifique, une profession aujourd’hui souvent complexe. Je travaille surtout à la radio nationale italienne, au sein de la rédaction de l’émission scientifique quotidienne Radio3 Scienza et je collabore avec plusieurs maisons d’édition, journaux, magazines, sites internet, associations, établissements publiques et privés et agences de presse.
Mon métier est magnifique, mais caractérisé aussi par des aspects désagréables comme la chasse aux arriérés ou les remises de manuscrit à des dates impossibles à tenir. Cependant, il me donne un énorme privilège : il me fait penser !
Poste actuel : Journaliste médico-scientifique free lanceCollaboration régulière avec Radio 3 Rai, au sein de la rédaction de l’émission quotidienne Radio3 Science (http://www.radio.rai.it/radio3/terzo_anello/scienza/index.cfm) et présentation de l’émission depuis août 2005.
Collaboration avec les journaux Il manifesto, Le Scienze, Mente e cervello, Un pediatra per amico, et avec le site internet scientifique des éditions Zanichelli pour la rédaction d’articles scientifiques pour jeunes étudiants (http://scienze.zanichelli.it/notizie/). Collaboration avec des maisons d’édition (il Saggiatore, Sironi) pour la rédaction, le suivi et la traduction d’ouvrages scientifiques, et avec les agences de presse scientifiques Totem, Zadigroma, Insintesi Attaché de presse de l'Uaar, Union des athées et des agnostiques rationalistes, depuis janvier 2007, et de la revue Un Pediatra per amico, depuis janvier 2007.
Publications
Le sexe, Editions Belin, juin 2009 (traduction de Sesso a test, Alpha Test, mai 2008)Pourquoi aime-t-on la musique ?, Editions Belin, octobre 2009 (traduction de Perché ci piace la musica - Orecchio, emozione, evoluzione, Sironi editore, febbraio 2007)
Bourses et prix
- Bourse Eicos (European Initiative for Communicators of Science), et participation au laboratoire ouvert pour journalistes scientifiques, au Max Planck Institute de Göttingen (juin 2009)- Prix jeune journaliste scientifique de la Giovanni Armenise – Harvard Medical School Foundation et de l’Ugis (Union journalistes scientifiques italiens) avec stage à l’Harvard Medical School de Boston (mai 2008).
• Diplômes
2002 DEA en médicine et chirurgie de l’université de Pise. Titre du mémoire : Thymomes : correlation anatomo-clinique (sous la direction du professeur Fulvio Basolo du Service d’oncologie, greffes et nouvelles technologies médicales de Pise). Inscription au tableau de l'ordre des médecins et des chirurgiens-dentistes de la province de Pise (novembre 2003).2004 Master en communication scientifique de la Sissa (Ecole internationale supérieure d’études avancées), Trieste. Titre du mémoire : Odiava le auto rosse - L'evoluzione dell'immagine sociale del malato mentale attraverso la cronaca nera dei quotidiani (Il haïssait les voitures rouges. L’évolution de l’image sociale du malade mental à travers la rubrique « faits divers » des quotidiens). Un extrait du mémoire a été publié dans la revue Jcom: http://jcom.sissa.it/archive/04/04/A040401/

Santé

Médecine

Silvia Bencivelli

personnalité

17/10/2010

Diplômes et Concours
 - Doctorat de Neurosciences, Collège de France, Paris VI, 2007 - Master de Neurosciences, Collège de France, Paris VI, 2004 - Agrégation de Sciences de la Vie et de la Terre, ENS Lyon, 2003 - Magistère de biologie moléculaire et cellulaire, ENS Lyon, 2002 - Admission ENS Lyon, CPGE BCPST lycée Janson de Sailly, 2000
Expériences d’enseignement
- Professeur agrégé de SVT, 2009 - 2010 Collège Jean Jaurès, Clichy (Titulaire de Zone de Remplacement - académie de Versailles) Assistant Temporaire d’Enseignement et de Recherche, 2007 - 2009Université Paris VI - Détaché de l’académie de Versailles- Chargé de TP et de TD Licence - Master - Interventions à la préparation aux concours agro/veto- Moniteur, 2004 - 2007 Université Paris VI Chargé de TP et de TD Licence - Master - Interventions à la préparation à l’agrégation de SVT- Examinateur en CPGE BCPST, lycée Janson de Sailly, 2003 - 20051 heure par semaine en première (sup) et deuxième (spé) année- Encadrant de sorties sur le terrain CPGE BCPST 2007, 2008 et 2009Botanique, zoologie et géologie pour le lycée Clémenceau, Nantes
Autres expériences professionnelles
Orateur : 
- Conférences sur le cerveau, les drogues et la toxicomanie, 2005 - 2009 Collèges et Lycées des régions parisienne, nantaise et rouennaise- Atelier projet sur l’eau et la démarche scientifique, 2006Classe de CM2, en partenariat avec Paris VI et le Palais de la Découverte
Auteur :
- Modules d’initiation à la biologie, CD-ROM Universalis V13, 2007- Le corbeau et le renard ou la gravitation du camembert, Editions Ellipses, avril 2008- Cerveau, drogues et dépendances, Editions Belin, février 2010
Chercheur :
3 mois à l’hôpital Rotschild à Paris en virologie, 2001 6 mois à l’Université La Sapienza à Rome en psychobiologie, 20026 ans au Collège de France à Paris en neuropharmacologie et en électrophysiologie, 2004-2009
Articles scientifiques spécialisés 2006-2009
9 Publications dans divers journaux scientifiques renommés dont PNAS, PLoS One, Journal of Neuroscience, Neuropsychopharmacology, European Journal of Neuroscience, etc. (http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/)
Articles scientifiques généralistes
La nicotine ne rend pas dépendant… Pour La Science, avril 2006 Les IMAO, des molécules indispensables à la dépendance tabagique ? Traité d’addictologie, Flammarion, 2006
1er prix du Poster, congrès de la Société Française de Toxicologie 2006
Fondateur de l’Association Science Prod’ « Médiation & communication scientifiques » 2009

Santé

Médecine

Lucas Salomon

personnalité

02/05/2010

Myriam Cohen est docteur en pharmacie, diplômée en cosmétologie et dermopharmacie.
Elle a rédigé un mémoire sur la cause de l’incompatibilité des matières plastiques avec les produits cosmétiques (laboratoires L’Oréal) puis après avoir été pharmacien assistant attaché au service technique d’un laboratoire pharmaceutique (laboratoires Wyeth Byla), elle s’installe comme pharmacien d’officine.

Jouant un rôle de pharmacien expert, elle a élaboré des fiches techniques pour des sites internet, et pour de nombreuses revues et magazines.
Elle est à l’origine du guide des cosmétiques, ouvrage qui présente l’ensemble des produits de beauté, cosmétiques et maquillages, disponibles dans tous les réseaux de distributions (parfumerie, grande distribution, pharmacie) dans un esprit à la fois basé sur des connaissances scientifiques sérieuses, de l’expérience en pharmacie d’officine, de la demande des utilisatrices et sur les renseignements récoltés auprès d’industriels, de chercheurs et de dermatologues, avec indépendance et objectivité. Une 2ème édition est parue en 2008/2009.

Santé

Médecine

Myriam Cohen

personnalité

22/04/2009

De nationalité française, Docteur en Médecine et membre de l’Association Française de Thérapie Comportementale et Cognitive, Jacques Fradin (54 ans) dirige l'Institut de Médecine Environnementale (IME), qu’il a fondé à Paris en 1987, et y anime une équipe de recherche en neurosciences cognitives, en partenariat avec l’Université de Paris 8. Egalement fondateur et directeur scientifique de l’Institute of NeuroManagement (INM, Paris & Bruxelles), expert auprès de l’Association Progrès du Management et du Plan Urbanisme Construction et Architecture (PUCA), il est co-auteur de « L'entreprise neuronale » (2001) et « Manager selon les Personnalités » (2006), publiés aux Editions d'Organisation.
Ouvrages parus

• « L'intelligence du stress ». Fradin J. avec la collaboration de Aalberse M., Gaspar L., Lefrançois C., Le Moullec F., Ed. Eyrolles, Paris (juin 2008).• « Manager selon les personnalités ; les neurosciences au secours de la motivation ». Fradin J. et Le Moulec F., Editions d'Organisation, Paris (2006).• « Personnalités et Psychophysiopathologie ». Fradin J. et Fradin F., Ed. Publibook Université, Paris (2003-2006).• « Paradoxes de la violence contemporaine ». Fradin J. and Le Moullec F., Ed. IME, Paris (2003)• « L’Entreprise neuronale » Fradin J. and Fustec A., Editions d’Organisation, Paris (2001).• « Crises et crisologie » Fradin J. and Larue M.H., Ed. IME, Paris (2000).• « La Thérapie Neurocognitive et Comportementale » Fradin J. and Fradin F., Ed. Publibook Université, Paris, 3e édition (1990-2004).

Santé

Médecine

Jacques Fradin

personnalité

18/01/2009

Président Fondateur de l’Institut Franco-Chinois de Réflexologie. David Tran est né le 6 Février 1949 à Canton (Chine). Nom et prénom chinois : CHAN Tao-Wei (Tao-Wei signifie « Chemin de la Lumière »). Surnommé par les patients : Docteur FOOT.
1 - Formation :
- 1966-1971 : Diplômé de la Faculté de Droit (Vietnam)- 1971-1976 : Diplômé de la Faculté de Médecine Traditionnelle Chinoise (HongKong)- 1980-1983 : Diplômé de l’Institut de Réflexologie (Singapour)- 1985-1987 : Diplômé de l'Institut International de Réflexologie (Suisse)- 1988-1990 : Diplômé de l'École d'Enseignement Supérieur de Médecines Alternatives (France)- 1996 : Formation Supérieure des Réflexologues (Chine)- 2006 : Etudes et Recherches de Réflexologie Méthode Rwo-Shr (Japon).
2 - Activités professionnelles
-- Réflexologue :
- 1979 : Centre d’Etudes et de Recherches de Réflexologie (CERR - Beijing) - 1981-1988 : Centre de Réflexologie Appliquée (Paris) - 1989-2000 : Institut YUNG (Paris) - Depuis 2000 : Cabinet David TRAN (Paris) 
-- Professeur :
- 1997-2002 : Centre de Réflexologie (Colmar).- Depuis 1995 : Faculté Libre de Médecines Naturelles et d’Ethnomédecine (Paris).- Depuis 1998 : Institut Franco-Chinois de Réflexologie (Paris). - 1974-1976 : HongKong University of Alternatives Medecines (HongKong)
-- Conférencier :
- Mars 2000 : « Le pied : le deuxième visage de l’homme » 30è Congrès International d’Esthétique Appliquée (Paris)- Avril 2001 : « Le Stress » (Paris)- Mars 2002 : « La Colère » (Paris)- Mai 2003 : « Soigner le corps soigner l’âme » (Bourgogne)- Juin 2003 : « La vie d’une émotion : la Peur » (Strasbourg)- Septembre 2005 : « Interprétation du langage du corps par le pied » (Bastogne-Belgique)- 2004-2007 : Animation «Semaine du Bien-Être » Hôtel Royal Palm (Île Maurice)- Avril 2008 : APTN : Association des Praticiens en Thérapies Naturelles « Réflexologie sans frontières » (Genève-Suisse)- Mai 2008 : Animation « Semaine du Bien-Être » pour Bora Bora Cruises (en croisières) et l’hôtel Saint Régis (Bora Bora - Tahiti)- Juin 2008 : AVIR : Association Vaudoise des Infirmières Réflexologues « Quand l’Est rencontre l’Ouest » (Lausanne-Suisse)
3 - Recherche
-- Protocoles :
- 1987-1990 : la réflexologie Anti-Stress et Anti-fatigue (validé)- 1991-1993 : la réflexologie Anti-Poids et Anti-Âge (validé)- 1994-1995 : la réflexologie Anti-Tabac (validé)- 1997-2000 : la réflexologie Anti-Colère (validé)- 2002-2003 : la réflexologie Anti-Peur (validé)
- 2005- : la réflexologie évolutive (en cours de validation)- 2006-2007 : la réflexologie et les enfants hyperactifs (validé)
-- Techniques :
- 1997 : « Ascension du Dragon »- 1998 : « la Flèche Céleste »- 1999 : « Fontaine Jaillissante »- 2000 : « la Propulsion »- 2004 : « 3 D »
-- Recherche en cours :
La réflexologie du troisième millénaireLa réflexologie clownesque 
-- Participation conférences :
- 1985 : Conférence Internationale de Médecine Traditionnelle Chinoise (HongKong)- 1988 : Conférence Internationale de Réflexologie (Malaysie)- 1992 : Etude et Recherche de Réflexologie (Indonésie)- 1996 : International Council of Reflexologists (Pays Bas)- 1998 : Reflexology In Europe Network (Grande-Bretagne)- 2000 : Conférence Internationale de Réflexologie (Danemark)- 2002 : Conférence Internationale de Réflexologie (Italie)- 2004 : Conférence Internationale de Réflexologie (Beijing-Chine)(voyage organisé par l’Institut Franco-Chinois de Réflexologie avec la participation de 40 élèves )
-- Evènement : Livre des Records Guiness
- 2006 : Conférence Internationale de Réflexologie Méthode Rwo-Shr (Tsukuba-Japon). La réflexologie est inscrite dans Livre des Records Guiness avec la participation de 1000 réflexologues dont six français de l’Institut Franco-Chinois de Réflexologie pratiquant la réflexologie en même temps et au même endroit : Park Hôtel à Hokkaido-Japon).
4 - Promotion de la réflexologie :
-- Publication :


- Février 2008 : « La leçon de Réflexologie » (selon méthode Tao Wei) (Edition Flammarion)
-- Presse :- 1990-2000 : Interviews des magazines ELLE, GALA, Madame FIGARO, SANTE Magazine, TOP SANTE, SCIENCES et AVENIR, BIBA, Les Nouvelles Esthétiques, PSYCHOLOGIES, MAGAZINE AIR France…
-- Radio :
- 2002 : Interviews en direct sur Radio France, France Inter, Radio BFM, Radio Monaco.
-- Télévision :
- 2003 : Diffusion de la Réflexologie sur SANTÉ-VIE tournée au cabinet David TRAN (chaîne de Canal-Satellite)- 2006 : Diffusion de la Réflexologie sur TV5 Internationale tourné dans l’hôtel Royal Palm (Île Maurice).
5 - Membre : 
- F.F.R (Fédération Française de Réflexologues) : France (Adhésion à titre personnel et professionnel et membre de la commission de formation).- I.C.R (International Council of Reflexologists) : Canada- R.I.E.N ( Reflexology In Europe Network) : Pays-Bas- R.R.C (Reflexology Research Center -Beijing) : Chine

Santé

Médecine

David Tran

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02/11/2008

Luc Montagnier est Professeur Emérite à l'Institut Pasteur, où il a dirigé, de 1972 à 2000, l'Unité d'Oncologie Virale, directeur de recherches honoraire au CNRS et membre des Académies des Sciences et de Médecine.
Il est Président de la Fondation Mondiale Recherche et Prévention SIDA, créé en 1993 avec Federico Mayor, ancien Directeur Général de l'UNESCO. Cette Fondation a créé le Centre Intégré de Recherches Biocliniques d'Abidjan (CIRBA) en 1996 et le Centre International de référence et de recherche «Chantal Biya» sur la prévention et la prise en charge du VIH/SIDA au Cameroun. 
Parallèlement, Luc Montagnier a participé à la création de plusieurs compagnies de biotechnologies aux Etats-Unis et en France. 
Il est lauréat de la Médaille d'Argent du CNRS, du Prix Rosen de Cancérologie, des Prix Gallien, Jeantet, Korber, Lasker, Gairdner, du Prix du Japon, du Prix du Roi Faisal d'Arabie Saoudite, notamment. Il est également Commandeur de la Légion d'Honneur et Commandeur de l'Ordre National du Mérite. 
Selon Arnold Migus, directeur général du CNRS :"le prix Nobel de médecine 2008 a été attribué à trois européens : un Allemand et deux Français. Cette distinction, décernée à Françoise Barré-Sinoussi et Luc Montagnier, honore l'Institut Pasteur et deux organismes de recherche, le CNRS et l'Inserm, qui ont su mobiliser leurs meilleurs talents sur un enjeu scientifique majeur de santé. En lui décernant le prix Nobel, le Comité distingue en Luc Montagnier, directeur de recherche émérite au CNRS, un chercheur d'exception, co-découvreur du virus du sida, qui a su porter la qualité de la recherche française bien au-delà de nos frontières."

Santé

Médecine

Luc Montagnier

personnalité

08/10/2008

Françoise Barré-Sinoussi, 61 ans, est Professeur de classe exceptionnelle à l'Institut Pasteur et Directrice de recherche Inserm de classe exceptionnelle. Elle dirige l'Unité Régulation des Infections Rétrovirales à l'Institut Pasteur. Elle est également Présidente du Conseil scientifique de l'ANRS et dirige le site de recherche de l'ANRS en Asie du Sud-Est. Françoise Barré-Sinoussi a établi de nombreuses collaborations avec les pays les plus touchés par l'épidémie de VIH/sida, notamment à travers le Réseau International des Instituts Pasteur.
Ses travaux ont donné lieu à 216 publications originales dans des revues scientifiques internationales, à plus de 250 communications lors de congrès internationaux et à 17 dépôts de brevets. 
Son équipe à l'Institut Pasteur, constituée d'une vingtaine de personnes, travaille notamment sur les modes de transmission du virus de la mère à l'enfant, sur les mécanismes innés de la régulation de l'infection et sur les infections chez les singes provoquées par les virus simiens. 
Françoise Barré-Sinoussi a reçu de nombreux prix (Prix Sovac, Prix de la Fondation Körber pour la promotion de la Science Européenne, Prix de l'Académie de Médecine, Prix International de Médecine de la Fondation du Roi Faisal (Arabie Saoudite), Prix Recherche et Médecine de l'Institut des Sciences de la Vie (France), Prix de IAS (International AIDS Society)… Elle a été élevée au rang d'officier de la Légion d'Honneur en 2006. 
André Syrota, Directeur Général de l'Institut national de la santé et de la recherche médicale, tient à féliciter vivement Mme Barré-Sinoussi pour son parcours exceptionnel et son engagement scientifique et humain total dans la lutte contre le VIH-Sida. « Les nombreuses collaborations qu'elle a développées avec les pays du Sud et le lien permanent qu'elle a su établir entre recherche fondamentale et recherche clinique en font une ambassadrice hors pair de la recherche biomédicale française » souligne-t-il.

Santé

Médecine

Françoise Barré-Sinoussi

personnalité

08/10/2008

Harald  zur Hausen

Santé

Médecine

Harald zur Hausen

personnalité

08/10/2008

-- Professeur Titulaire de la Chaire de Biologie au Conservatoire National des Arts et Métiers
-- Chef du groupe « Relations Hôtes-Pathogènes » dans le laboratoire CNRS UMR7151 à l’Institut Universitaire d’Hématologie, Paris.
1 - Enseignement
- Virologie, biotechnologie, biologie moléculaire et cellulaire, thérapie génique et cellulaire- Transmission du savoir scientifique- Président de l’Association pour la Promotion des Sciences et de la Recherche – l’Arbre des Connaissances (voir Le Monde de l’Education, Oct. 2005)(http://www.savoirs.essonne.fr/sections/annuaire/fiche/institution/l-association-pour-la-promotion-de-la-science-et-de-la-recherche/)
- Auteur (avec Jean Crépu) d’un documentaire télévisuel « Dr Virus et Mr Hyde »* Grand Prix du Festival International du Film Scientifique Pariscience 2006* Prix de l’Information Scientifique du Festival International du Scoop et du Journalisme 2006- Coordinateur d’un numéro spécial du magazine Pour la Science, Avril-Juin 2007, « Les virus : ennemis utiles »
2 - Recherche
Etude des relations hôtes-pathogènes
3 - Travaux, ouvrages 
Depuis 1993, plus de 80 articles originaux (Nature, Science, EMBO J..), de vulgarisation (La Recherche, Pour la Science,…) ou chapitres d’ouvrage (Encyclopédie Atlas,…) publiés.
4 - Expertises
- Membre de nombreuses instances d’évaluation de la recherche (INSERM, Fondation Saint-Louis, Agence Nationale de Recherche sur le SIDA)- Membre du bureau éditorial de la revue Retrovirology.
5 - Titres et qualifications
- Professeur Titulaire de la Chaire de Biologie, Cnam 2008- Professeur des Universités, Université Paris Diderot 2005- Lauréat contrat INTERFACE Inserm/Université 2004- Habilitation à diriger des recherches 2001- Chargé de Recherche à l’INSERM 1997- Thèse de Doctorat 1996 -- Cursus Universitaire (Aix-Marseille puis Paris) 1986-1996 -- Baccalauréat Série D 1986
6 - Distinctions 
- Lauréat 1995 des Prêts d’Honneurs Salavin-Fournier de la Fondation de France- Lauréat 1997 du Prix Dina-Surdin de la Société Française de Biochimie et de Biologie Moléculaire- Lauréat 1997 du Prix Jean-Louis Parrot de l’Association Française pour l’Avancement des Sciences- Lauréat 1997 du Prix Nathalie Demassieux de la Chancellerie des Universités de Paris- Lauréat 1998 du Prix Recherche de l'Académie Nationale de Médecine- Lauréat 2002 du Prix Dandrimont-Bénicourt de l’Académie des Sciences

Santé

Vie

Ali Saib

personnalité

14/09/2008

Philippe Taugourdeau

Santé

Médecine

Philippe Taugourdeau

personnalité

16/05/2008

Steven Rose

Santé

Médecine

Steven Rose

personnalité

14/05/2008

Yves Pouliquen

Santé

Médecine

Yves Pouliquen

personnalité

14/05/2008

Gabriel Naudé

Santé

Médecine

Gabriel Naudé

personnalité

13/05/2008

Célèbre pour ses études sur le réflexe conditionnel qui porte son nom, le fameux réflexe de Pavlov. Il montra que si l'on accoutumait un chien à accompagner sa nourriture d'un stimulus sonore, ce dernier pouvait à la longue déclencher la salivation de l'animal sans être accompagné de cette nourriture.

Santé

Médecine

Ivan Pavlov

personnalité

13/05/2008

Jacques Leibowitch

Santé

Médecine

Jacques Leibowitch

personnalité

09/05/2008

Robert Koch

Santé

Médecine

Robert Koch

personnalité

09/05/2008

Henry Havelock Ellis

Santé

Médecine

Henry Havelock Ellis

personnalité

18/04/2008

François Jacob

Santé

Médecine

François Jacob

personnalité

18/04/2008

Alexander Fleming

Santé

Médecine

Alexander Fleming

personnalité

18/04/2008

Théodore Fraenkel

Santé

Médecine

Théodore Fraenkel

personnalité

18/04/2008

Jean-Martin Charcot

Santé

Médecine

Jean-Martin Charcot

personnalité

16/04/2008

123

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