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    Les cellules souches embryonnaires, telles que celle à l'image, sont très utilisées dans les essais cliniques des thérapies cellulaires. Elles sont concurrencées par les cellules souches pluripotentes induites, qui pourraient permettre d'éviter les problèmes de rejet de greffe. © Annie Cavanagh, Wellcome Images, Flickr, cc by nc nd 2.0

    Les cellules souches embryonnaires, telles que celle à l'image, sont très utilisées dans les essais cliniques des thérapies cellulaires. Elles sont concurrencées par les cellules souches pluripotentes induites, qui pourraient permettre d'éviter les problèmes de rejet de greffe. © Annie Cavanagh, Wellcome Images, Flickr, cc by nc nd 2.0

    La thérapie cellulaire consiste à soigner tout ou partie d'un organe défaillant par la transplantation de cellules saines dans le but de remplacer les cellules malades de l'organe en question. Le plus souvent, ces implants cellulaires sont produits à partir de cellules souches embryonnaires ou pluripotentes induites.

    Utilisation des thérapies cellulaires

    Encore limitées aujourd'hui à des autogreffes chez des patients atteints de leucémie ou à des greffes de peau, les thérapies cellulaires pourraient prendre une place prépondérante dans la médecine régénérativemédecine régénérative. L'idée serait de remplacer au fur et à mesure les organes défaillants (pour cause de maladie ou d'âge avancé) par des cellules jeunes et pleinement efficaces, de manière à redonner une entière activité à cet organe. Ainsi, des chercheurs espèrent par exemple pouvoir rendre la vue à des personnes aveugles, recréer des organes entiers en laboratoire ou soigner des patients diabétiquesdiabétiques par la greffegreffe de cellules bêtacellules bêta pancréatiques. Les premiers résultats des essais cliniquesessais cliniques s'avèrent encourageants, mais les défis qui se posent aux scientifiques restent encore immenses.