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Le dernier tatouage à la mode adhère à des cellules vivantes et se présente à l'échelle nanométrique, soit des dizaines de fois plus petit qu'une tête d'épingle. Les points et les fils mis au point par des ingénieurs permettraient de suivre la santé des cellules isolées, afin d'anticiper le diagnosticdiagnostic des maladies.
L'étude publiée dans Nano Letters vante le mérite de ce nouveau genre de tatouage, qui comble le fossé entre les cellules vivantes et les matériaux électroniques conventionnels. Ces nanotechnologies fonctionneraient comme des codes-barrescodes-barres ou des codes QRcodes QR.
Pour suivre les informations biologiques, les capteurscapteurs et les fils ne sont pas disposés au hasard et forment des « réseaux » : les chercheurs suivent des schémas avec des espacements spécifiques, comme dans les puces électroniques. Les tatouages ont été construits avec de l'or, un matériaumatériau connu pour empêcher la perte ou la distorsion du signal dans le câblage électronique. Ensuite, les chercheurs ont fixé les réseaux aux fibroblastesfibroblastes, des cellules qui soutiennent les tissus du corps humain. Des colles moléculaires ont facilité l'adhésion des tatouages aux cellules.
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