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Une nouvelle voie pourrait être envisagée, par intervention neurochirurgicale au niveau du noyau subthalamique.
En effet, des chercheurs du CNRS, qui ont publié leurs travaux dans Nature Neuroscience, viennent de montrer par différentes séries de tests comportementaux que les rats dont le cerveau subthalamique est lésé sont moins sensibles aux plaisirs de la cocaïne mais qu'ils le restent pour les plaisirs « naturels ».
Considérés jusqu'alors comme identiques, les circuits neuronaux impliqués dans les motivations pour les droguesdrogues pourraient donc être dissociés de ceux des récompenses naturelles.