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Ce système est basé sur l'utilisation d'un vecteur nommé "nanocubicle" composé de particules de 300 manomètresmanomètres de large et dont les grandes capacités d'absorption par le corps ont été confirmées par des tests cliniques. Ce vecteur de l'insuline, qui fait l'objet d'une demande de dépôt de brevet en Corée et aux États-Unis, ouvre la voie à un traitement insulinique oral.
Ceci permettrait par exemple d'éviter les injections d'insuline pour les patients souffrant de diabètesdiabètes insulino-dépendants. Selon le Dr Jeong Seo-young il sera possible de commercialiser d'ici trois ans un traitement oral à base d'insuline.