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Des activités humaines en développement
Fakarava est restée bien longtemps en dehors des circuits touristiques, seulement reliée par quelques goëlettes qui assuraient l'approvisionnement des Tuamotu.
Atoll de Fakarava. Réserve de la biosphère. Banc de gros yeux communs (Priacanthus hamrur) au-dessus du récif corallien.
© Photographe Alexis Rosenfeld
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Quelques pensions de famille complétaient l'activité locale de pêchepêche et de culture des perles noires, spécialité de l'archipelarchipel, de quelque 250 habitants regroupés autour des passes.
Atoll de Fakarava. Réserve de la biosphère. Mérou (Epinephelus sp.) dans sa tanière.
© Photographe Alexis Rosenfeld
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Aujourd'hui accessible par avion, ce qui la place à une heure et demie seulement de Tahiti, elle est en train de rejoindre doucement Rangiroa au palmarès des destinations touristiques les plus prisées, notamment bien sûr par les plongeurs : avoir le sentiment de découvrir des sites pratiquement vierges est pour les amoureux du monde sous-marinsous-marin un bonheur inégalable, et c'est dans ce sens que Fakarava a aujourd'hui un défi à relever, pour mériter pleinement et durablement son titre de réserve de la biosphèreréserve de la biosphère.
Atoll de Fakarava. Réserve de la biosphère. Banc de poissons-cochers (Heniochus acuminatus) au-dessus du récif corallien.
© Photographe Alexis Rosenfeld
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Un grand hôtel, le Maï Taï, vient d'être implanté sur l'île, mais avec une volonté affichée de respecter l'environnement local, tout en permettant d'accueillir un nombre plus important de visiteurs, dans un cadre luxueux. Les années à venir sont cruciales : elles permettront de savoir s'il est vraiment possible de concilier augmentation du nombre de touristes et préservation.
Atoll de Fakarava. Réserve de la biosphère, passe de Tetamanu. Holothurie géante (Thelenota anax) sur le sable. Cet animal peut mesurer jusqu'à un mètre de long et 15 centimètres de diamètre. Elle est de couleur crème ou grise, avec éventuellement quelques taches brunes.
© Photographe Alexis Rosenfeld
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Peut-être faudra-t-il, comme on le fait ailleurs dans des réserves ou parcs nationaux, limiter les zones accessibles, ou établir des quotas de visiteurs, pour trouver le meilleur équilibre et permettre à cet atollatoll unique de conserver sa beauté originelle.