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On a désormais toutes les preuves pour affirmer que l'eau de lest, véhicule des organismes marins autres que des algues microscopiques, comme d'autres espèces d'algues, de poissons, de crustacés, d'étoiles de mer et de mollusques.

<em>Limanda limanda.</em>© Hans Hillewaert - CC BY-SA 4.0

Limanda limanda. © Hans Hillewaert - CC BY-SA 4.0

© Unesco

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En février 2004, l'Organisation maritime internationale ratifiait l'adoption de directives sur les procédures concernant les eaux de lest par les vraquiers. Ces mesures visent à réduire le risque de pénétration de substances nuisibles, en recommandant diverses pratiques comme le délestage en mer (réalisable uniquement sur les navires dont la capacité dépasse les 40 000 tonnes en lourd), le déballastage en eaux profondes et le lavage des sédiments accumulés dans les cuves loin des fermes d'aquaculture fragiles ou des parcs marins.

© Unesco

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La plus efficace des mesures pour éviter la propagation des tests de microplancton par les eaux de ballast des navires consisterait à éviter de pomper de l'eau en période d'efflorescences toxiques dans les ports. On a également étudié des solutions faisant appel à la chaleur, le choc électrique ou le traitement chimique des eaux de ballast, soit en cale, soit dans des services à terre.