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L'autre moteur nous incitant à penser « renouvelable » est le dérèglement climatique qui semble provenir de notre production excessive de gaz à effet de serre provenant principalement de la combustion des stocks fossiles, du méthane provenant de la digestion des bovins et des gaz exotiques utilisés par une kyrielle de procédés industriels.

Un ours blanc (<em>Ursus maritimus</em>) bondissant entre deux blocs de glace de la banquise fondante, sur l'île de Spitzberg, dans l'archipel norvégien de Svalbard. © Arturo de Frias Marques, <em>Wikimedia commons,</em> CC by-sa 4.0

Un ours blanc (Ursus maritimus) bondissant entre deux blocs de glace de la banquise fondante, sur l'île de Spitzberg, dans l'archipel norvégien de Svalbard. © Arturo de Frias Marques, Wikimedia commons, CC by-sa 4.0

L'autre effet allant dans le même sens est l'amélioration de la qualité de l'air : la pollution obscurcit le ciel et empêche partiellement le passage de la lumière, ce qui limite l'énergie solaire nous parvenant.

<br />Dans le premier graphique, les émissions sont pondérées par le potentiel de réchauffement global de chaque gaz (avec 72% de CO2, 18% de méthane, 9 % d'oxydes d'azote et 1 % d'autres gaz). © Robert A. Rhode


Dans le premier graphique, les émissions sont pondérées par le potentiel de réchauffement global de chaque gaz (avec 72% de CO2, 18% de méthane, 9 % d'oxydes d'azote et 1 % d'autres gaz). © Robert A. Rhode

En améliorant la propreté des procédés industriels et en filtrant les émanations des moteurs à explosion et des chauffages, l'air devient plus transparent et laisse passer plus d'énergie solaire, augmentant la température. 

Les catastrophes climatiques pourraient engendrer des coûts astronomiques pour tous les pays et la plupart des experts s'accordent à penser qu'il est urgent de produire moins de CO2 et d'économiser l'énergie.