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C'est le cas de nombreuses plantes dont par exemple, le laurierlaurier rose.
Figure 5. Feuillage de laurier rose (Nerium oleander). La face supérieure des feuilles est vernissée (cuticule cireuse épaisse) et la face inférieure apparaît mate et tachetée. © Pinus - CC BY-SA 3.0
Figure 6. Surface inférieure d'une feuille de laurier rose. Entre les nervures, de nombreuses cryptes creusent la surface.
© Biologie et Multimedia
Figure 7. Détail d'une crypte en vue de surface. On observe de nombreux poils blancs entourés d'un rebord vert.
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Sur une coupe transversale de feuille de laurier, on peut voir l'organisation des différents tissus.
Figure 8. Coupe transversale de feuille de laurier rose. La section est réalisée “in vivo“ ce qui permet de reconnaître les tissus chlorophylliens. © Biologie et Multimedia
Figure 9. Schéma explicatif de la coupe transversale de feuille de laurier rose
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Figure 10. Détail d'une crypte. Elle est presque fermée par rapport à l'extérieur. Elle est remplie de poils épidermiques qui limitent fortement les courants d'air. Les stomates sont ainsi protégés de l'atmosphère extérieure chaude et sèche.
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Dans ce type d'adaptation, la transpirationtranspiration due aux mouvements de l'air sec externe est limitée puisque les stomatesstomates sont abrités.
De plus, à l'intérieur des cryptes, règne une atmosphèreatmosphère humide. Enfin, le gaz carboniquegaz carbonique, nécessaire à la photosynthèsephotosynthèse peut entrer par diffusion dans la crypte et pénétrer par les stomates.