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Conclusion
Devant l'ampleur des dégâts causés par les plantes parasitesparasites, la mise au point de méthodes de lutte toujours mieux ciblées a fait, et fait encore, l'objet de très nombreuses recherches agronomiques.
Ces méthodes couvrent toutes les approches : agronomique(arrachage, fumure, travail du sol, rotation ou association culturale, état phytosanitaire des semences), physique (solarisation), chimique (utilisation d'herbicidesherbicides plus ou moins spécifiques), génétiquegénétique (sélection de variétés résistantes) et biologique (utilisation d'insectesinsectes, de champignonschampignons ou de bactériesbactéries). Cependant, elles présentent toutes des limites économiques, techniques ou sociologiques.
Depuis le début du XXIème siècle, la communauté scientifique est parvenue à un consensus. Elle préconise une lutte raisonnée et intégrée associant plusieurs méthodes de lutte ayant déjà donné des résultats encourageants.
Cependant, dans la lutte contre ces plantes parasites, particulièrement les Orobanches et les Striga, il convient de garder à l'esprit le fait que ces plantes sont parfaitement adaptées aux cultures céréalières et industrielles et qu'elles présentent une importante plasticité.
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