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    Des centaines de touristes ont afflué une dernière fois vendredi 25 octobre sur le site d'Uluru, célèbre formation rocheuse au cœur du désert australien, à la veille de l'interdiction de son ascension.

    À compter de samedi, une mesure interdisant de manière permanente l'ascension de ce monolithemonolithe géant, considéré comme sacré dans la culture aborigène, entrera en vigueur à la demande de ses propriétaires, les aborigènes Anangu.

    Des centaines de personnes ont attendu pendant des heures vendredi matin l'autorisation d'entamer la montée, interdite jusqu'en milieu de matinée en raison de ventsvents violents.

    Des touristes font l'ascension du rocher d'Uluru une dernière fois avant son interdiction, le 25 octobre 2019 au Parc national Uluru-Kata, en Australie. © Saeed Khan, AFP
    Des touristes font l'ascension du rocher d'Uluru une dernière fois avant son interdiction, le 25 octobre 2019 au Parc national Uluru-Kata, en Australie. © Saeed Khan, AFP

    De nombreux touristes pensent que l'escalade d'Uluru, également appelé Ayers Rock, fait partie des choses qu'il faut absolument faire quand on visite l'Australie.

    Les aborigènes Anangu, qui vénèrent le lieu depuis des dizaines de milliers d'années, avaient décidé d'interdire l'ascension d'Ayers Rock, estimant notamment que « c'est un lieu extrêmement important, pas une cour de récréation ou un parc à thème ».

    Les touristes seront toujours autorisés à visiter le parc national d'Uluru-Kata Tjuta dans lequel ils peuvent se promener ou découvrir le patrimoine indigèneindigène.

    Le 26 octobre marque le 34e anniversaire de la remise du titre du parc à ses propriétaires traditionnels.

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