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L'Amérique latine étouffe sous une vaguevague de chaleurchaleur sans précédent. À Rio, les brésiliens sont confrontés à des températures extrêmes : le système d'alerte municipal a enregistré des températures ressentiestempératures ressenties record, dépassant les 60 °C dans certains quartiers de la ville ! Les températures réelles ont également atteint des niveaux alarmants, dépassant les 40 °C dans plusieurs endroits, notamment dans la zone ouest de la capitale qui abrite les quartiers les plus pauvres, et où vit 40 % de la population carioca.
Une zone urbaine particulièrement exposée à cause, notamment, de la croissance démographique et de la déforestationdéforestation. Pour se protéger de cette chaleur urbaine accablante, tous les moyens sont bons, notamment se rendre dans des endroits plus frais comme les plages et les parcs.
Des phénomènes de plus en plus extrêmes et de plus en plus fréquents
Pendant ce temps, le sud du Brésil doit faire face à une météométéo orageuse : fortes pluies et risques d'inondationsinondations sont attendues dans certaines régions, menaçant la sécurité des habitants et plaçant le pays dans un face-à-face violent avec les défis posés par le changement climatique.
Ces phénomènes météorologiques extrêmes sont liés, d'une part, à la hausse globale des températures et d'autre part, à El Niño. Ce phénomène climatique complexe se caractérise par le réchauffement anormal des eaux de surface de l'océan Pacifique tropical, ce qui peut entraîner des perturbations climatiques à l'échelle mondiale, notamment des sécheressessécheresses, des inondations et des tempêtestempêtes.
