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Image montrant le trou dans la couche d'ozone.
Ces efforts s'inscrivent dans le cadre du protocole de Montréal (septembre 1987). Bien que l'on observe une diminution de son taux d'appauvrissement dans la stratosphère et les premiers signes de sa reconstitution, au-dessus de l'Arctique et de l'AntarctiqueAntarctique ainsi qu'aux latitudeslatitudes moyennes des deux hémisphères, la couche d'ozonecouche d'ozone reste appauvrie et, selon les scientifiques, elle restera généralement vulnérable au cours des dix prochaines années environ.
Un trou record cette année
Toutefois, cette bonne nouvelle ne doit pas faire oublier que le trou dans la couche d'ozonetrou dans la couche d'ozone a atteint cette année une taille record (28 millions de km²), alors qu'il avait nettement diminué l'an dernier. Ce trou présent au-dessus de l'Antarctique est influencé à la fois par les conditions atmosphériques et par la pollution. Il a été mis en évidence pour la première fois en 1985 et nous rappelle la fragilité de cette couche protectrice que l'on doit préserver à tout prix.