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Crédits : CNRS
Ce modèle a réussi à estimer la quantité de précipitation en 2003 avec un écart de 6% par rapport aux observations, mais aussi à rendre compte des 50% de variation des pluies d'année sur année.
Ce modèle, basé sur une approche dynamique non-linéaire, est un outil fiable de prévision des précipitations de la moussonmousson. A la différence des autres modèles empiriques qui nécessitent l'intégration de données relatives aux températures de la surface de l'océan, le modèle Iyengar-Raghukanth utilise les données des précipitations tombées depuis l'année 1891 et chaque année, il doit prendre en compte les données de l'année en cours pour prévoir celles de l'année suivante.
Les scientifiques travaillent désormais sur le modèle afin de l'appliquer à l'échelle d'un Etat ou d'une ville.