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Un botanistebotaniste spécialisé dans l'étude des effets du climat sur les populations d'arbres propose comme hypothèse qu'il existe un lien directe entre cette destruction massive et le réchauffement de la planète, et plus précisément avec une série d'étés exceptionnellement chauds.
Ces derniers auraient permis aux scarabées, friands du tissu capillaire des arbres, d'accomplir leur cycle biologique habituel de deux ans en une seule année et de s'attaquer ainsi au système immunitairesystème immunitaire des arbres qui se protègent normalement en sécrétant une substance.
Ce chercheur souligne toutefois que le débat reste ouvert. En effet, étant donné que l'exploitation forestière était interdite dans la forêt du Kenai, ses populations d'arbres sont plus âgées et sans doute plus vulnérables.