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En effet, ces morceaux d'ADN ne contiendraient pas de gènesgènes, mais représenteraient des aires riches en informations contrôlant l'activité des gènes et donc fortement impliquées dans les malformationsmalformations et les maladies.
Qui plus est, ces aires seraient aussi étendues que les régions contenant les gènes eux-mêmes. Ces travaux sont le fruit de la collaboration d'une équipe internationale composée de chercheurs du Whitehead Institute for Biomedical Research de Cambridge (Massachusetts), de la Washington University de Saint Louis (Missouri), de l'European Bioinformatics Institute et du Wellcome Trust Sanger Institute, tous deux de Cambridge (Angleterre).
Ce programme est financé par le National Human Genome Research Institute de Bethesda (Maryland) et le Wellcome Trust de London (Angleterre). Un premier rapport concernant les résultats de ces travaux est publié dans le dernier numéro de Nature.