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C'est le ministre de la justice en personne qui a annoncé cette nouvelle pratique, mis en place depuis lundi dernier. Le premier site à avoir fait les frais de cette nouvelle politique est une cyberofficine illégale de produits pharmaceutiques. Outre des développeurs de pénispénis suédois, on y trouvait l'inévitable viagra et d'autres substances dont le commerce est soumis au contrôle des autorités.
Un site de warez a également été réorienté vers des horizons électroniques plus légaux, après l'arrestation de son auteur. Selon le ministre de la Justice ces mesures sont des invitations à l'intention des webmestres sans scrupule à cesser leurs activités illicites.
Outre le fait qu'elle pose des questions de droit autant que d'efficacité (l'adresse IP numériquenumérique est toujours valable), cette pratique remet en question le rôle du gouvernement américain dans la gouvernance d'InternetInternet, en général, et avec l'Icann en particulier.